person:pascal durand

  • Bin Noun « inquiète » par la candidature LREM de Pascal Durand aux Européennes
    28 mars 2019 - The Times of Israël
    https://fr.timesofisrael.com/bin-noun-inquiete-par-la-candidature-lrem-de-pascal-durand-aux-eur

    Ce mercredi, sur Twitter, Aliza Bin Noun, ambassadrice d’Israël en France, s’est dite « inquiète et surprise de voir Pascal Durand sur la liste LREM-Modem-Agir aux élections européennes ».

    « Un candidat qui soutient le boycott d’Israël et des terroristes notoires tels Marwan Barghouti n’incarnent pas les valeurs européennes et françaises », a-t-elle ajouté. (...)

    https://twitter.com/AlizaBinNoun/status/1110928844486250496

  • Le cadmium, ce « tueur » caché dans les engrais qui divise l’Europe

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2018/03/16/le-cadmium-ce-tueur-cache-dans-les-engrais_5271887_3244.html

    La Commision veut limiter la présence de ce métal cancérogène dans les fertilisants phosphatés. L’Espagne s’y oppose fortement, la France brille par sa discrétion.

    Voilà un dossier sur lequel la France s’est montrée jusqu’ici très discrète. On aurait pourtant pu penser qu’à défaut du ministre de l’agriculture, son homologue à la transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, se serait empressé de s’en saisir. Mardi 20 mars devait s’ouvrir une négociation serrée entre les Etats membres de l’Union européenne et le Parlement autour d’un projet de la Commission visant à réduire le taux de cadmium dans les engrais phosphatés. Cette discussion tripartite a été reportée au 11 avril a appris Le Monde. « Pour des raisons techniques et non politiques », précise-t-on à Bruxelles. L’affaire est sensible.

    Le cadmium est un métal lourd contenu dans les roches phosphatées. Il est utilisé pour fabriquer des engrais pour l’agriculture. Classé cancérogène pour l’homme par l’Organisation mondiale de la santé, il a des effets toxiques sur les reins, le squelette, l’appareil respiratoire, et est fortement suspecté d’être un perturbateur endocrinien. Or, l’utilisation d’engrais phosphatés dans les cultures est la principale cause de contamination des sols au cadmium, et donc de l’alimentation, qui représente 90 % de l’exposition à cette substance pour les non-fumeurs.

    Depuis près de dix ans, les agences sanitaires alertent sur ses dangers et la nécessité de réduire son exposition. En 2009, l’Autorité européenne de sécurité des aliments a fixé un niveau hebdomadaire d’ingestion – 2,5 microgrammes/kilo – à ne pas dépasser. Aussi, convaincue qu’il présente « un risque inacceptable pour l’homme et l’environnement », la Commission a décidé de durcir sa réglementation en introduisant une limite pour la teneur en cadmium des engrais phosphatés. Fixée à 60 milligrammes (mg)/kilo, elle doit être abaissée à 40 mg/kg après trois ans et à 20 mg/kg d’ici douze ans.

    Le projet de texte a reçu en octobre 2017 le soutien du Parlement européen, qui voudrait parvenir au 20 mg/kg en neuf ans. Le Conseil de l’Union européenne doit désormais se prononcer. Or, relève-t-on à Bruxelles, « les pays sont divisés ». Plusieurs gouvernements se sont déclarés favorables au texte, comme en Allemagne ou au Danemark. Quatorze Etats ont déjà instauré une limite inférieure ou égale à 60 mg/kg – et même à 20 mg/kg en Finlande, en Hongrie et en Slovaquie.

    Silence radio de la France

    D’autres pays, en revanche, s’opposent à ce texte : l’Espagne, le Royaume-Uni et la Pologne. Et la France ? Silence radio. Les ministères de l’agriculture et de la transition écologique n’ont pas répondu aux sollicitations du Monde. « Comment se fait-il que nous n’entendions pas la voix de la France ? », s’interroge le Réseau Environnement Santé (RES). Ce réseau, qui regroupe 28 associations nationales et locales, devait adresser, vendredi 16 mars, une lettre ouverte aux ministres de l’agriculture, de la transition écologique et de la santé pour demander à la France, « pays précurseur » dans la lutte contre les perturbateurs endocriniens, de « peser de tout son poids pour l’adoption du projet de la Commission européenne ».

    Associés à la baisse de qualité du sperme, aux malformations congénitales, à une puberté précoce, à l’obésité ou à l’autisme, « les perturbateurs endocriniens ne sont pas des substances comme les autres, rappelle André Cicolella, le président du RES. Il faut les éliminer à la source, car on ne peut pas les gérer par la dose. On s’est beaucoup focalisé sur les pesticides, mais le cadmium est un tueur caché, ajoute le toxicologue. Il est confirmé aujourd’hui qu’il est impliqué dans les cancers du sein et de la prostate ».

    Or les engrais phosphatés sont encore massivement utilisés en France. Selon les dernières ­données disponibles, l’agriculture française en a consommé 430 000 tonnes en 2015. Et une grande partie affiche des taux de cadmium élevés, selon RES. L’explication est simple. La majorité des fertilisants utilisés en France et en Europe sont fabriqués à partir des roches phosphatées marocaines, qui affichent des teneurs en cadmium comprises entre 30 mg/kg et 73 mg/kg.

    Le projet de réglementation de la Commission inquiète le Maroc. Le pays possède les plus grandes réserves minières en phosphates (évaluées à 50 000 millions de tonnes) de la planète. Le leader mondial du secteur, OCP, réalise 32 % de ses ventes dans l’Union européenne. Il avait proposé à Bruxelles de relever le seuil à 80 mg/kg. En vain. Le Maroc a aussi exprimé ses craintes à la France. Voilà qui pourrait peut-être expliquer en partie la prudence du gouvernement dans ce dossier.

    Autre élément : la peur des agriculteurs de voir s’envoler le coût des engrais. « Limiter le niveau de cadmium dans les engrais phosphatés aura un impact important sur le prix du produit fini en raison de la rareté des gisements de phosphates faibles en cadmium, a déjà prévenu Fertilizers Europe, le syndicat européen des producteurs d’engrais. L’augmentation des coûts sera transmise aux agriculteurs européens au détriment de leur compétitivité internationale. »

    Avec sa nouvelle réglementation, la Commission entend aussi encourager l’usage des engrais ­organiques et à base de déchets. Le projet de texte s’inscrit dans un train de mesures sur l’économie circulaire. Il précise que « l’UE importe environ 6 millions de tonnes de phosphates par an, mais pourrait remplacer jusqu’à 30 % de ce total par des boues d’épuration, des déchets biodégradables, des farines de viande et d’os ou du fumier ».

    « Conflit d’intérêts » en Espagne

    Des orientations qui ne semblent pas partagées par tous les Etats membres. Si la France n’a pas encore exprimé publiquement sa position, dans d’autres pays, le débat fait rage. L’Espagne a fait savoir qu’elle était opposée au projet de la Commission. « Des limites trop strictes de cadmium nous excluraient du marché des engrais phosphatés », a déclaré la ministre de l’agriculture et de l’environnement, Isabel Garcia Tejerina, le 21 février, devant les députés, affirmant que cette position était partagée par la France.

    La ministre espagnole a également assuré que les teneurs en cadmium actuelles ne représentaient « pas de risque pour les personnes ni pour l’environnement ». Le parti d’opposition Podemos accuse Mme Garcia Tejerina de « parrainer les engrais toxiques » et de « corruption » – une allusion au parcours professionnel de la ministre de l’agriculture. L’élue du Parti populaire a été, entre 2004 et 2012, directrice de la planification stratégique de Fertiberia, le premier producteur d’engrais en Espagne, et conseillère de Fertial (Société des fertilisants d’Algérie) appartenant au même groupe Villar Mir.

    A l’initiative de l’élu espagnol Florent Marcellesi, 38 députés européens, dont les écologistes français Yannick Jadot, Pascal Durand et Eva Joly, ont écrit à la pré­sidence bulgare du Conseil de l’Union européenne pour dénoncer un « conflit d’intérêts ».

    • Visiting EU, Netanyahu will be ’billed’ 1m euros for razed West Bank projects - Israel News - Haaretz.com
      https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-1.827360


      By Netta Ahituv | Dec. 7, 2017 | 9:26 AM |

      Next Monday, December 11, Prime Minister Benjamin Netanyahu will pay what is being called an “unofficial visit” to the European Parliament. The visit to Brussels will include a breakfast, which is also classified as unofficial. On top of this, Netanyahu can also expect an unofficial reception: A group of European Parliament members have prepared posters welcoming the prime minister upon his arrival in Europe (“Dear Bibi, Welcome to Europe”), but they also want to ensure that he doesn’t forget to pay a certain invoice before he leaves the continent.

      The bill, according to the dozens of EP members who have signed a petition accompanying the posters (and are planning to take out a full-page ad in Haaretz), amounts to 1.2 million euros. That’s how much Israel ostensibly owes the European Union for humanitarian projects the EU built for the Palestinians and which Israel demolished. The projects, all in Area C in the West Bank (that is, under full Israeli civilian and security control), were razed by the Israel Defense Forces by order of the government. Among them were dwellings for homeless Bedouin, structures used for schools and kindergartens, and various infrastructural projects such as water pipes, cisterns and electrical power systems.

      The invoice that Netanyahu is being asked to pay is being presented to him “on behalf of millions of EU taxpayers,” as posters in the corridors of the EP declare. According to the posters, “Approximately 400 EU and Member State-funded humanitarian aid structures built for vulnerable Palestinian communities in the occupied West Bank and deliberately demolished or confiscated by Israel outside of military hostilities and in violation of international humanitarian law since you became prime minister in 2009.”

      A note at the bottom of the “invoice” states: “This invoice only covers the EU contribution to the humanitarian structures, not their full cost. It also does not cover the damage to the Palestinian families displaced by demolitions and the harm to the prospect of a peaceful future.”

      The “reception” being prepared for Netanyahu at the EP is another stage in the ongoing discussion being conducted in Europe about the measures that should be taken in the face of the demolitions of EU-funded structures. Already a year ago, the EU’s Middle East committee recommended that member states demand compensation from Israel for the destruction of these projects, but apart from diplomatic tension between Israel and the EU, nothing has happened since. The EU classifies these structures as “humanitarian aid” for the Palestinians, but Israel sees them as illegal construction, which could create facts on the ground.

      “It is inconceivable that the EU institutions and member states are imposing austerity on their citizens in an attempt to manage public funds correctly, but when it comes to the government of Israel, which demolishes projects funded by the EU budget, suddenly those governments don’t care,” says French-born EP member Pascal Durand, a member of the Group of the Greens/European Free Alliance, which is one of the sponsors of the posters.

      Durand takes affront when asked about the allegation often voiced by the Israeli public and the country’s elected representatives that the EU is anti-Semitic and, it follows, pro-Palestinian.

      “That is a myth and it is an insult,” he asserts. “Everyone who has signed these posters condemns every anti-Semitic declaration or act. We will always defend the right of the Israelis to live in peace within recognized borders. We are not ready to accept the fact that our pacifist stance is being exploited by vested interests and termed anti-Semitic.” He notes also that the EU’s relations with Israel are the most extensive and closest of any non-EU country, a reference to the fact that the EU is Israel’s largest trading partner.

      Durand emphasizes that the sponsors of the poster and the signatories are not angry about Netanyahu’s visit to Brussels, “but at the demolition of the humanitarian projects and the continuing expansion of the settlements – two actions that are contrary to international law. We want Netanyahu to understand the European frustration at his actions, and then to rebuild what he has demolished, or pay for the destruction.”

    • Bruxelles : Netanyahu salue la décision de Donald Trump et espère que les pays de l’UE feront de même
      RTBF avec Agences
      https://www.rtbf.be/info/monde/detail_bruxelles-netanyahu-salue-la-decision-de-donald-trump-et-espere-que-les-
      Publié à 06h12 - Mis à jour à 09h43

      Fractures

      Mais les ministres ont eu du mal à cacher des fractures de plus en plus profondes au sein de l’Union, dans une situation où plusieurs Etats membres - notamment la Hongrie, la Grèce et la Lituanie - veulent gommer les aspérités de la difficile relation entre l’UE et Israël.

      La Hongrie a ainsi, au-delà de la question de la colonisation et d’une reprise du dialogue avec l’Aurtorité palestinienne. Une autre question sensible, qui a été abordée à Bruxelles, est la destruction par Israël en Cisjordanie occupée d’infrastructures destinées à « des communautés palestiniennes vulnérables » financées par des fonds de l’UE ou des Etats membres.

      Demande de compensations

      Dans des affiches placardées au Parlement européen interpellant Benjamin Netanyahu, des eurodéputés présentent une « facture » de 1,2 million d’euros pour des écoles, des citernes d’eau, des systèmes électriques et d’autres installations qui ont été selon eux « délibérément détruits ou confisqués par Israël, en dehors d’hostilités militaires et en violation du droit humanitaire international ».

      Plusieurs Etats membres ont récemment écrit au gouvernement israélien pour lui demander des « compensations » pour ces destructions.

  • Le gouvernement israélien s’apprête à refouler sept élus français
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/11
    par Cyrille Louis, Correspondant à Jérusalem | Mis à jour le 13/11/2017 à 18:37 /13/01003-20171113ARTFIG00250-le-gouvernement-israelien-s-apprete-a-refouler-sept-elus-francais.php

    Pierre Laurent, Clémentine Autain, Patrick Le Hyaric ou encore Pascal Durand viennent d’être déclarés persona non grata. Ils devaient entamer ce week-end une visite en Israël et dans les Territoires palestiniens.

    Le ministère israélien de la Sécurité intérieure a annoncé lundi vouloir interdire l’entrée de son territoire à sept élus français, dont le secrétaire national du PCF, qui prévoient d’atterrir ce week-end à Tel Aviv pour une visite de cinq jours en Israël et dans les Territoires palestiniens. Ils font partie d’une délégation de vingt parlementaires et élus locaux qui avait indiqué un peu plus tôt dans la journée vouloir, à l’occasion de ce déplacement, « alerter sur la situation des près de 6000 prisonniers politiques palestiniens ».

    Certains membres de ce groupe d’élus issus du Parti communiste et de la France insoumise avaient annoncé leur intention de rencontrer Marwan Barghouti, haut cadre du Fatah incarcéré en Israël depuis une quinzaine d’années. Condamné à plusieurs peines de prison à perpétuité pour son implication dans la deuxième intifada, ce prisonnier de 58 ans est souvent présenté comme le plus populaire des dirigeants palestiniens.

    Selon une source au ministère israélien de la Sécurité intérieure, « la décision de refouler ces sept élus a été prise après une enquête rapide du bureau des Affaires stratégiques ». Cette structure est notamment chargée de surveiller les activités de la campagne internationale Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS). Les autorités israéliennes ne semblaient toutefois pas en mesure de préciser, lundi après-midi, sur quels critères précis cette « liste noire » a été dressée. « Il s’agit des éléments les plus provocateurs », se bornait à préciser le ministère de la Sécurité intérieure, qui assurait vouloir « éviter une déconvenue aux intéressés en les informant à l’avance du sort qui les attend. »
    Interdits de rencontrer Salah Hamouri

    La liste dressée par le gouvernement israélien sous l’ordre des ministres Gilan Erdan et Arye Déry, telle que communiquée au Figaro, comprend le secrétaire national du PCF Pierre Laurent, la députée (LFI) Clémentine Autain, les députés européens Pascal Durand (Verts/Alliance libre européenne) et Patrick Le Hyaric (PCF), ainsi que les maires (PCF) de Stains Azzedine Taibi, de Limay Éric Roulot et de Gennevilliers Patrice Leclerc.

    D’après le ministère de la Sécurité intérieure, les treize autres élus qui prévoyaient de participer au voyage seront pour leur part admis sur le territoire israélien. Mais ils auront interdiction de rencontrer Marwan Barghouti ainsi que le détenu franco-palestinien Salah Hamouri, placé en détention administrative le 23 août, sans que ses défenseurs puissent avoir accès aux éléments réunis à son encontre. Le Quai d’Orsay s’est récemment dit « préoccupé » par sa situation, indiquant « espérer » sa remise en liberté.

    • Des élus français interdits d’entrée en Israël
      Lundi, 13 Novembre, 2017
      Humanite.fr
      https://www.humanite.fr/des-elus-francais-interdits-dentree-en-israel-645473

      Une délégation de plus d’une centaine d’élus français doit se rendre, ce week-end, en Palestine avec la volonté de rencontrer Marwan Barghouti et Salah Hamouri. Les autorités israéliennes ont annoncé qu’elles interdiraient à plusieurs d’entre eux, du PCF, de la FI et d’EELV d’entrer sur leur territoire.

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      Réaction aux déclarations des autorités israéliennes
      13 novembre 2017
      https://lafranceinsoumise.fr/2017/11/13/reaction-aux-declarations-autorites-israeliennes
      Communiqué du groupe « La France insoumise » à l’Assemblée nationale

      Les autorités israéliennes viennent de recommander à la délégation d’une centaine d’éluEs français qui s’apprêtent à partir à Jérusalem et dans les territoires palestiniens de « ne pas prendre l’avion ». Ainsi, l’Etat d’Israël veut interdire la venue de représentants de la République française, députés et sénateurs compris, sur leur territoire. Ce déni de démocratie et de liberté est aussi consternant qu’inacceptable.

      Quatre députés de la France Insoumise, Clémentine Autain, Michel Larive, Danièle Obono et Muriel Ressiguier, participent à ce voyage organisé par l’Association pour les jumelages entre les camps de réfugiés palestiniens et les villes françaises (AJPF).

      Le prétexte avancé est l’intention de rencontrer Marwan Barghouti, l’un des leaders palestiniens et aujourd’hui prisonnier politique. « Nous n’autorisons pas l’accès au territoire à ceux qui appellent activement à s’en prendre à Israël », a déclaré le ministre israélien de la Sécurité publique dans un communiqué. Ces propos sont stupéfiants. Agir pour l’application des résolutions de l’ONU et contre la colonisation constituerait-il désormais un engagement si insupportable qu’il légitimerait, aux yeux des autorités israéliennes, l’interdiction de venir sur leur territoire, y compris pour des élus français ? Comment un Àtat qui se dit démocratique peut-il proférer de telles menaces ?

      Comment ne pourrions-nous pas rendre visite à notre compatriote Salah Hamouri, privé de liberté pour son engagement politique ?

      Ces déclarations constituent une escalade dangereuse que la France ne peut accepter.

      Nous appelons le Président de la République, le gouvernement et le président de l’Assemblée nationale à intervenir pour que cette menace d’interdiction ne soit pas rendue possible. Il en va de la démocratie et de la paix.

    • Des élus français interdits de se rendre en Israël pour délit d’opinion
      14 novembre 2017 Par Thomas Cantaloube
      https://www.mediapart.fr/journal/international/141117/des-elus-francais-interdits-de-se-rendre-en-israel-pour-delit-dopinion

      (...) Selon le quotidien israélien Haaretz, qui s’est procuré un document émanant du ministère des affaires stratégiques, voici les justifications retenues pour l’interdiction de visa : « La question des visites aux prisonniers n’est pas de la responsabilité du ministère des affaires stratégiques, mais la question des prisonniers palestiniens et des efforts de délégitimation d’Israël sont imbriquées. (…) Une visite avec Marwan Barghouti est susceptible de lui donner de l’importance. » Barghouti est devenu une « cause célèbre » en Palestine et à l’étranger depuis qu’il a été arrêté en 2001, puis condamné à la prison à vie pour son rôle dans l’organisation d’attentats pendant la seconde intifada, alors qu’il clame son innocence.

      Quant à Salah Hamouri, il s’agit d’un avocat et activiste franco-palestinien placé en détention administrative en Israël depuis le 23 août, qui n’est pour l’instant pas inculpé. Selon le ministère des affaires stratégiques, « il est devenu en France le symbole du combat des prisonniers palestiniens. (…) Lui rendre visite reviendrait à célébrer un activiste extrémiste qui cherche à délégitimer Israël ».(...)

    • Israël refuse l’entrée à des responsables européens pour cause de ‘Soutien au boycott d’Israël’
      14 novembre | Ilan Lior , Jonathan Lis et Josh Breiner pour Haaretz |Traduction J.Ch. pour l’AURDIP |Actualités
      en English
      http://www.aurdip.fr/israel-refuse-l-entree-a-des.html

      Le but de la visite était de rencontrer en prison le leader palestinien condamné Marwan Barghouti, disent deux ministres.

      Israël a annoncé lundi qu’il interdirait l’entrée de sept membres d’une délégation de responsables européens en utilisant la législation récemment approuvée selon laquelle les militants du boycott anti-Israël sont interdits de visite.

      La délégation de 20 membres, dont l’arrivée en Israël était prévue pour la semaine prochaine, devait comprendre des députés européens et des maires français. La direction de la Population, de l’Immigration et des Frontières du ministère de l’Intérieur a dit que sept des 20 membres de la délégation seraient interdits d’entrée en Israël, ajoutant qu’elle avait été informée qu’ils avaient appelé au boycott d’Israël.

  • La France va-t-elle sauver ses hérissons ? | Eco(lo)
    http://ecologie.blog.lemonde.fr/2017/05/12/la-france-va-t-elle-sauver-ses-herissons

    Il est à la fois le garant de la bonne santé des campagnes, un précieux auxiliaire des jardiniers et un emblème de la biodiversité. Cet animal des plus communs et pourtant de plus en plus menacé, c’est le #hérisson. La semaine dernière, un collectif d’associations a mené une semaine de sensibilisation à la disparition de ce petit mammifère nocturne et insectivore. Elles appellent à sauver cette « espèce de 60 millions d’années d’évolution menacée de disparition » dans une pétition signée par 80 000 internautes depuis août dernier, et soutenue par des personnalités politiques (Yannick Jadot, Laurence Abeille, Pascal Durand ou encore Corinne Lepage).

    « Là où dans les campagnes il y avait cent hérissons, il n’y en a plus que trois à présent ! On estime qu’ils auront quasiment disparu d’ici à 2025, dans à peine dix ans », écrivent les ONG qui souhaitent la création « d’un statut prioritaire » pour l’espèce afin de « densifier le réseau des personnes habilitées à les sauver ». Elles prennent pour exemple le Royaume-Uni, où ces mammifères, emblématiques et populaires, font l’objet d’une large protection.

    Outre-Manche, les chiffres sont alarmants. Les populations de #hérissons étaient estimées à 1,55 million d’individus en 1995 contre 36,5 millions dans les années 1950 ! Et le #déclin se poursuit. Selon plusieurs études britanniques, en moins de vingt ans, elles ont perdu 30 % de leurs effectifs dans les zones urbaines et jusqu’à 75 % dans les campagnes.

    #extinction

  • A Rome, Mélenchon creuse le sillon du « plan B » européen avec les gauches radicales

    Le candidat à la présidentielle participe samedi et dimanche à une réunion de la gauche radicale européenne. Il prône une sortie de l’Union si la renégociation des traités échoue.
    Jean-Luc Mélenchon a longtemps pensé que l’Europe serait au cœur de cette présidentielle. Même si le sujet n’est pas parvenu pour le moment à s’imposer dans la campagne, ce partisan du non au traité constitutionnel européen en 2005 compte bien saisir la tribune qui lui est offerte, samedi 11 mars, lors d’« un sommet du plan B » organisé à Rome. Une autre façon pour lui de célébrer les 60 ans du traité du même nom, à l’origine de la Communauté économique européenne (CEE).

    Celui qui n’a cessé de dénoncer ces dernières années « l’Europe austéritaire » a lui-même lancé ce processus en septembre 2015 lors de la Fête de L’Humanité. A l’époque, il vient de rompre avec Alexis Tsipras, le premier ministre grec issu du parti Syriza, coupable à ses yeux de n’avoir pas su instaurer un rapport de force avec l’Allemagne.
    Le député européen est alors soutenu par l’ex-ministre grec des finances Yanis Varoufakis – qui s’éloignera finalement de l’initiative –, par l’Allemand Oskar Lafontaine, ancien coprésident de Die Linke, ou encore par Zoe Konstantopoulou, alors présidente du Parlement grec, en rupture avec Syriza.

    « Protectionnisme solidaire »

    Samedi et dimanche, à Rome, cette quatrième rencontre réunira des participants principalement issus de la gauche radicale européenne la plus critique – les communistes français ne partagent par exemple pas cette démarche.

    Etaient cependant annoncés John McDonnel, un proche du leader du Parti travailliste britannique Jeremy Corbyn, Luigi De Magistris, maire de Naples et homme de gauche indépendant, ou Fabio Massimo Castaldo, député européen du Mouvement 5 étoiles italien. « C’est encore très démarrant, on se voit beaucoup car on a besoin de bien se comprendre, avait précisé M. Mélenchon, lundi, lors d’une conférence de presse. Il n’y aura pas qu’un plan B. Suivant les pays, le plan B ne sera pas le même. »

    Dans son programme, M. Mélenchon défend l’idée d’un « plan A » – « sortie concertée des traités européens » et « négociation d’autres règles » – et d’un « plan B » – « sortie des traités européens unilatérale par la France » – en cas d’échec de la première méthode.

    Le premier comporte la fin de l’indépendance de la Banque centrale européenne, la mise en place d’un « protectionnisme solidaire » ou encore une harmonisation fiscale et sociale.

    « L’Europe, on la change ou on la quitte »

    En cas d’accord, les Français seront consultés par référendum pour décider « souverainement de [leur] participation à l’Union européenne [UE] refondée ou de la sortie ». En cas d’échec, la seconde option consisterait notamment à stopper la contribution de la France au budget de l’UE et à mettre en place un contrôle des capitaux et des marchandises aux frontières nationales.

    « S’il n’y a pas de plan B, le plan A ne fonctionne pas, expliquait le candidat de La France insoumise en août 2016 au Monde. Ce qui me distingue d’autres courants de gauche, c’est que, pour moi, la nation est un levier de la bataille européenne. »

    Une démonstration qui ne convainc pas l’écologiste Pascal Durand, son collègue au Parlement européen, qui juge que c’est une sortie de l’UE qui ne dit pas son nom. « Son plan A n’existe pas, estime ce pro-européen. Mélenchon, ce n’est pas Zorro : ce qu’il demande n’est pas compatible avec les traités. On peut essayer de les renégocier mais pas de s’en affranchir tout seul. La seule façon d’y arriver, c’est de sortir de l’UE. »

    Au lendemain du Brexit britannique, en juin 2016, M. Mélenchon n’avait pas hésité à résumer sa pensée d’une formule provocatrice, inspirée d’un slogan de la droite dure : « L’Europe, on la change ou on la quitte. » Une approche qui marque une évolution par rapport à 2012, où il souhaitait « s’affranchir » du traité de Lisbonne pour « construire une autre Europe ».

    Se différencier de Benoît Hamon

    Désormais, l’ex-socialiste entend marquer sa différence, notamment avec Benoît Hamon, pourtant lui aussi « noniste » en 2005. C’est d’ailleurs le seul point que M. Mélenchon avait évoqué, le 26 février, après leur tête-à-tête pour expliquer l’échec de leurs discussions.

    Si l’objectif du candidat socialiste – « mettre l’austérité en minorité » en Europe – rejoint celui du fondateur du Parti de gauche, le chemin pour y parvenir diverge, comme il l’expliquait jeudi dans une interview au Monde. M. Hamon, lui, ne croit pas à la « menace » d’un plan B. « Je veux réussir à parler d’Europe sous une autre forme que celle d’un dangereux chiffon rouge qu’on agite dans tous les sens », critiquait-il.

    Ce partisan d’une Europe de la défense que M. Mélenchon fustige promeut « une assemblée parlementaire de la zone euro » qui aurait pour mission de « décider du budget de la zone euro, mais aussi des politiques d’harmonisation fiscale et sociale ».

    Une idée que son concurrent de La France insoumise a déjà étrillée dans une note de blog le 22 février, jugeant que M. Hamon ne faisait que reprendre une idée « cosmétique » de François Hollande. « Il ne s’agit donc pas de trouver de nouvelles formes d’apparence de l’Europe, mais de régler ses problèmes à la racine ! », écrivait-il.

    Raphaëlle Besse Desmoulières
    Journaliste au Monde

    #élections_présidentielles #union_européenne #promesses_électorales #plan_B

  • Protégeons les lanceurs d’alerte, vite !
    https://www.crashdebug.fr:443/actualites-france/12035-protegeons-les-lanceurs-d-alerte-vite

    La bonne nouvelle du jour, c’est qu’ils ont commencé à mettre des banquiers en prison dans le cadre de l’escroquerie sur le Libor... Manque plus que les hommes politiques maintenant.... LOL !

    « Il faut poursuivre les criminels qui font de l’évasion fiscale, pas les lanceurs d’alerte » dénonce Jeppe Kofod,

    député social-démocrate danois. Photo : Reuters

    Scandalisés par les récentes condamnations d’Antoine Deltour et de Raphaël Halet dans le procès du « LuxLeaks », la plupart des députés européens exigent que les lanceurs d’alerte bénéficient le plus rapidement possible d’une protection au niveau européen. La Commission européenne traîne des pieds.

    « Il serait temps de passer aux actes ! » a lancé mercredi soir devant le parlement européen le député Pascal Durand ( Verts/ALE ), résumant le sentiment (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • Protégeons les lanceurs d’alerte, vite !
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12035-protegeons-les-lanceurs-d-alerte-vite

    La bonne nouvelle du jour c’est qu’ils ont commencé à mettre des banquiers en prison dans le cadre de l’escroquerie sur le Libor.... Manque plus que les hommes politiques maintenant.... LOL !

    « Il faut poursuivre les criminels qui font de l’évasion fiscale, pas les lanceurs d’alerte » dénonce Jeppe Kofod,

    député social-démocrate danois. Photo : Reuters

    Scandalisés par les récentes condamnations d’Antoine Deltour et de Raphaël Halet dans le procès du « LuxLeaks », la plupart des députés européens exigent que les lanceurs d’alerte bénéficient le plus rapidement possible d’une protection au niveau européen. La Commission européenne traîne des pieds.

    « Il serait temps de passer aux actes ! » a lancé mercredi soir devant le parlement européen le député Pascal Durand ( Verts/ALE ), résumant le sentiment (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • Encore une tribune :

    Contre l’intimidation technologique des manifestants, pour la liberté d’expression et de manifestation
    Arié Alimi, avocat ; Pouria Amirshahi, député ; Pascal Anger, secrétaire national du SNEP-FSU ; Ariane Ascaride, actrice ; Danielle Auroi, députée ; Isabelle Attard, députée ; Étienne Balibar, professeur de philosophie ; Olivier Besancenot, facteur ; Éric Beynel, co-délégué général, Solidaires ; Laurent Binet, romancier ; Fréderic Bodin, secrétaire national, Solidaires ; Sylvain Bourmeau, journaliste ; Jean-Louis Brochen, avocat ; Dominique Cabrera, cinéaste ; Jean-Jacques Candelier, député ; Michel Cantal-Dupart, urbaniste, architecte ; Fanélie Carrey-Conte, députée ; Patrice Carvalho, député ; Pierre-Antoine Chardel, enseignant-chercheur en sciences sociales ; Pascal Cherki, député ; Hervé Christofol, secrétaire général, Snesup-FSU ; Antoine Comte, avocat ; Philippe Corcuff, maître de conférences, philosophie ; David Cormand, secrétaire national EELV ; Sergio Coronado, député ; Cécile Duflot, députée, ancienne ministre ; Pascal Durand, député européen ; Annie Ernaux, écrivaine ; Aude Évin, avocate ; Éric Fassin, sociologue ; Jean-Pierre Fraisse, conseiller municipal, père de Rémi Fraisse ; Léon Lef Forster, avocat ; Jacqueline Fraysse, députée ; Jean-Marie Gleize, écrivain ; Cécile Gondard-Lalanne, co-déléguée générale, Solidaires ; Robert Guédiguian, réalisateur ; Fréderic Hocquard, conseiller de Paris ; Leslie Kaplan, écrivaine ; Samy Johsua, professeur des universités, sciences de l’éducation ; Pierre Khalfa, coprésident, fondation Copernic ; Razmig Keucheyan, maître de conférences, sociologie ; Aude Lalande, ethnologue ; Robert Linhart, écrivain ; Virginie Linhart, auteur, réalisatrice ; Noel Mamère, député ; Philippe Marlière, politiste ; Jean-Luc Mélenchon, député européen, ancien ministre ; Marie-José Mondzain, directrice de recherches, philosophie ; Gérard Mordillat, romancier, cinéaste ; Heitor O’Dwyer de Macedo, psychanalyste ; Claude Ponti, auteur ; Philippe Queyras ; Christian Salmon, écrivain et chercheur ; Jean-Marc Salmon, chercheur en sciences sociales ; Gisèle Sapiro, directrice de recherches, sociologie ; Éva Sas, députée ; Danielle Simonnet, conseillère de Paris ; Bernard Stiegler, philosophe ; Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste ; Philippe Torreton, acteur ; Dominique Tricaud, avocat ; Antoine Volodine, écrivain ; Sophie Wahnich, directrice de recherches, historienne, Mediapart, le 22 juin 2016
    https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/220616/contre-l-intimidation-technologique-des-manifestants-pour-la-liberte

    #Tribune #Manifestations #France #Répression #Liberté_d'expression #NuitDebout #Crise_de_2016

  • Cisjordanie : Israël détruit à Khirbet Tana des constructions financées par l’UE -
    Avec notre correspondant à Khirbet Tana, Nicolas Ropert - Publié le 13-05-2016
    http://www.rfi.fr/economie/20160513-khirbet-tana-cisjordanie-fonds-europeens-armee-israel?ref=tw_i&dlvrit=1

    Le Premier ministre palestinien Rami Hamdallah a visité jeudi 12 mai la communauté bédouine de Khirbet Tana, dans le nord de la Cisjordanie. Ce village de 250 habitants a été détruit 4 fois depuis le début de l’année par l’armée israélienne qui estime que les constructions des habitants sont illégales. Problème : une partie de ses structures avaient été financée par l’Union européenne. Les ONG qui travaillent sur place appellent à des pressions politiques sur le gouvernement israélien pour que ces destructions cessent.

  • Analyse et Dénonciation claires et pédagogiques de l’épouvantable Accord UE-Turquie sur les migrants. Intervenants : Geneviève Garrigos (Amnesty Internationale), Florent Geer (Bureau Afrique de la FIDH), Fatima Benomar (mouvement féministe "Les effrontées) et Pascal Durand (député européen EELV)

    http://www.itele.fr/magazines/18h-politique-audrey-pulvar/18h-politique-du-03042016-159907

    On apprend dans le reportage d’introduction que les camps dans lesquels les migrants ont été regroupés en Grèce sont fermés (les migrants y sont prisonniers) et ni les ONG, ni les journalistes n’y ont accès.

    Florent Geer souligne que l’OFPRA établissement public administratif qui en France statue sur les demandes d’asile, considère l’Accord UE-Turquie comme illégal. L’OFPRA a donc refusé de participer à sa mise en oeuvre.
    Ceci dit, en refusant de prendre en charge un nombre significatif de réfugiés syriens, le gouvernement français est responsable de la mise en place de cet Accord UE-Turquie. Angela Merkel a en effet été mise dans une situation inextricable par le refus d’une écrasante majorité d’états européens de prendre leur part dans l’application du Droit d’Asile (alors qu’ils ont tous signé les Conventions de Genève).

    #Migrants #Migration #Syrie #Grèce #Union-Européenne #Accord-UE-Turquie #Droit-d'asile #Conventions-de-Genève #refus-du-droit

  • Histoires de terre---« La seule solution pour être indépendant en agriculture »
    http://radiovassiviere.com/2015/11/la-seule-solution-pour-etre-independant-en-agriculture

    document.createElement(’audio’) ; http://radiovassiviere.com/mp3/emissions/HISTOIRES%20DE%20TERRE/HISTOIRESDETERRE12(160kbps).mp3 Pascal Durand s’est installé avec sa compagne sur des terres nues à Gentioux-Pigerolles voici une dizaine d’années, avec le désir de vivre de leur production laitière (...)

  • L’Europe de l’énergie, renouveler le projet européen
    http://www.taurillon.org/l-europe-de-l-energie-renouveler-le-projet-europeen

    A deux mois des élections européennes, la Maison de l’Europe organisait le 1er avril un débat entre des représentants de partis politiques sur les politiques environnementale et énergétique européennes. Différents constats et perspectives été émis par Pascal Durand co-fondateur et candidat aux européennes pour Europe Ecologie-les Verts et les eurodéputé-es Catherine Trautmann (S&D), Francis Wurtz (GUE/GVN), Corinne Lepage (ADLE), et Philippe Juvin (PPE). Si chacun défendait une position propre à sa (...)

    #Environnement

  • Humanité 2.0 : Linky, l’Enfer Vert et le techno-totalitarisme : : Pièces et Main d’Oeuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume

    Afin d’offrir aux écologistes de son gouvernement des prétextes pour y rester, et d’ouvrir un nouveau marché à l’innovation, Jean-Marc Ayrault annonce mardi 9 juillet 2013 le remplacement de tous les compteurs électriques par des compteurs intelligents Linky pour un montant de 5 milliards d’euros. « Trois millions de compteurs Linky seront installés par ERDF d’ici 2016 et tous les logements en seront équipés d’ici 2020 ». Pour Pascal Durand, numéro 1 d’Europe-Ecologie Les Verts, « c’est une vraie rupture et le début d’une transition ». On ne saurait mieux dire. Avec Linky, l’Enfer Vert (1) s’installe à domicile. Un progrès pour le techno-totalitarisme dans notre pays, dont le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, refuse l’asile à Edward Snowden, traqué par les Etats-Unis pour avoir étalé leur programme d’espionnage électronique mondial.

    #linky #surveillance_électronique #rfid #électricité #autoritarisme

  • Humanité 2.0 : Linky, l’Enfer Vert et le techno-totalitarisme
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=423

    Afin d’offrir aux écologistes de son gouvernement des prétextes pour y rester, et d’ouvrir un nouveau marché à l’innovation, Jean-Marc Ayrault annonce mardi 9 juillet 2013 le remplacement de tous les compteurs électriques par des compteurs intelligents Linky pour un montant de 5 milliards d’euros. « Trois millions de compteurs Linky seront installés par ERDF d’ici 2016 et tous les logements en seront équipés d’ici 2020 ». Pour Pascal Durand, numéro 1 d’Europe-Ecologie Les Verts, « c’est une vraie (...)

    #Nécrotechnologies
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Linky-2.pdf

  • Ultragauche : le marronnier par Sébastien Navarro
    http://cqfd-journal.org/Ultragauche-le-marronnier

    Après les casseurs dans les manifs, les médias ne ratent pas l’occasion d’agiter le chiffon rouge de l’ultragauche lors de contestations sociales radicales, pour couper la lutte de tout soutien populaire. Et justifier la répression.

    Lundi 3 décembre, le thème du « Téléphone sonne » sur France Inter était : « L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes : Nécessité économique ou désastre écologique ? » Sur le plateau, deux invités se font face : Christophe Clergeau (PS) et Pascal Durand (EELV). 19 h 48, Pierre Weill, taulier de l’émission, lit le message d’un auditeur à l’attention de Pascal Durand : « Admettez-vous qu’il y a parmi les opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, des gens qui sont des sortes d’anarcho-autonomes, viscéralement anticapitalistes ? Pour eux, un aéroport, c’est un symbole d’argent, un symbole de la société de consommation. Tout dialogue avec ce genre de militants violents est impossible. » Durand botte en touche, parle de la grande manifestation non-violente du 17 novembre, entre 30 000 et 40 000 pékins, des centaines de tracteurs… Hargneux, Weill le coupe et revient à la charge : « Mais y a-t-il aussi des anarcho-autonomes ? » Agacé, Durand change de braquet et aborde le sujet des violences policières avant d’avouer qu’il n’est même pas sûr « que des gens de cette nature soient arrivés sur le site ». C’est alors au tour de Clergeau de dégainer et d’intimer aux élus, sous-entendus ceux de EELV, de « se désolidariser de cette violence et [de ne pas] faire l’autruche comme s’il n’y avait pas ces personnes-là. »

  • Pascal Durand (EELV) : « Ce passage en force sur l’aéroport de Nantes est incompréhensible »
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/10/16/pascal-durand-eelv-ce-passage-en-force-sur-l-aeroport-de-nantes-est-inutile-

    L’opération est d’envergure : pas moins de 500 gendarmes et CRS et plusieurs hélicoptères ont évacué des maisons squattées par des opposants au projet d’aéroport de #Notre-Dame-des-Landes, au nord de Nantes, mardi 16 octobre au petit matin. Pour Pascal Durand, secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts, l’évacuation est aussi inutile et critiquable que le projet d’aéroport lui-même. Il souhaite que les ministres écologistes restent au gouvernement, mais demande l’arrêt des évacuations et l’abandon du projet.

    Cette évacuation, qui s’apparente à une quasi-provocation policière, s’avère totalement incompréhensible. C’est un passage en force inutile sur un projet inutile. Nous ne voyons pas la logique qui conduit à des expulsions maintenant alors que des recours et des procédures judiciaires sont en cours, notamment contre les expropriations ou la concession accordée pour les travaux à Vinci. Le rapport des commissaires enquêteurs sur la loi sur l’eau, pour évaluer l’impact de l’aéroport et de sa desserte routière sur l’eau et sur les milieux aquatiques, doit en outre être rendu très prochainement. Nous nous interrogeons donc sur l’urgence à procéder à ces évacuations et sur leur but.

    Par ailleurs, cette accélération dans ce dossier intervient au moment où le gouvernement doit faire des arbitrages, en raison d’un budget contraint, parmi les grands chantier qu’il faut mener à bien dans le pays. Pourquoi, alors, se lancer dans la construction d’un aéroport fondamentalement inutile et coûteux, en plus d’être polluant ?

  • La primaire écolo chemine en terre inconnue | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/journal/france/100611/la-primaire-ecolo-chemine-en-terre-inconnue?page_article=2

    « Nous ne nous sommes pas donné le temps et les moyens pour que la primaire élève le niveau. Cette course contre la montre est l’antithèse de l’écologie politique ! Obama ne s’est pas fait en trois semaines. Sans compter que des questions comme la transformation énergétique ou les rapports Nord-Sud ne se traitent pas en trois minutes de débat », tempête Pascal Durand. Son acolyte Jean-Paul Besset poursuit : « La primaire est un phénomène très piégeux, qui encourage un dissensus un peu artificiel, crispe et conduit un peu à la surenchère et à une radicalisation de façade. »

    Il n’y a pas de mode de désignation idéal en politique. Elles semblent en plus mieux adaptées à un système bipartisan, comme aux USA. Les primaires ont bien des défauts, mais elles permettent néanmoins une participation plus grande des citoyens.

    #primaires #écologie_politique

    • « ... elles permettent néanmoins une participation plus grande des citoyens. » N’en donnent-elles pas l’illusion ? Et puis cette notion de participation me paraît bizarre, appliquée à un processus électoral qui est destiné à organiser la représentation et non la participation.

    • @Suske L’illusion en partie oui, si les participants se contentent de valider les prédictions sondagières. Mais il n’est pas évident qu’il en soit toujours ainsi. La primaire écolo apparaît plutôt ouverte et imprévisible au moins entre Eva Joly et Nicolas Hulot.
      Sinon, il faut bien voir que l’organisation de primaires est en quelque sorte le résultat de la défaillance des partis politiques dans l’un rôle principal : la désignation de candidats. Les partis politiques français ne représentent qu’une petite fraction de l’électorat et peinent à élargir leur audience. Je ne sais en revanche si les primaires ne vont pas accroître leur crise, en retour, plutôt que redorer leur blason. Quant on pense qu’ils pèchent aussi dans leur rôle « d’intellectuel organique » de producteurs d’idées et de propositions...
      Sinon, la représentation est le résultat du processus électoral, la participation, elle, est un préalable.
      @monolecte le tirage au sort était pratiqué à Athène et dans la Grèce antique, pour la désignation des fonctions ne nécessitant aucune spécialité. Les citoyens étaient donc tous égaus pour exercer ces fonctions, car ils sont alors .interchangeables. Mais il faut bien voir que le tirage au sort avait sans doute une signification religieuse et avait précédé la démocratie

    • Le participation est indépendante de la représentation. Enfin, il faudrait éplucher sérieusement ce mot concept sinon on va causer dans des univers parallèles :-) Pour moi, la notion de participation est intrinsèquement liée à l’idée de contre-pouvoir, d’opposition. C’est à mes yeux une des victoires du libéralisme/capitalisme que d’avoir réussi à faire passer dans la culture occidentale des concepts comme celui de « participation des salariés » ou de « participation électorale »...

      Sur la primaire, je trouvais le papier intéressant. Mais en fait, je n’aime pas le système présidentiel. Au nom de la clarté et de l’efficacité, c’est un système trop proche de la monarchie, constitutionnelle et limitée dans le temps certes... L’amélioration de la représentativité passe par plus de collégialité et plus de proximité entre les citoyens et les lieux de pouvoir. Enfin bref, seenthis c cool :-)