person:philip luther

  • Detention of Palestinian circus performer extended despite international outcry
    June 13, 2016 6:10 P.M. (Updated: June 13, 2016 11:00 P.M.)
    http://www.maannews.com/Content.aspx?id=771865

    Muhammad Faisal Abu Sakha (Photo: Power FM)

    BETHLEHEM (Ma’an) — Israeli authorities on Monday decided to extend the administrative detention of a 23-year-old Palestinian circus performer, in spite of widespread outcry from activists and rights groups around the world demanding his release.

    Israeli authorities ruled to extend Muhammad Faisal Abu Sakha’s remand for another six months from June 13 until Dec. 12, in addition to the six months he has already served in administrative detention — Israel’s controversial policy of internment without trial or charge.

    According to prisoner’s rights group Addameer, a confirmation hearing for the ruling is scheduled for June 15, during which a military judge may confirm, limit, or cancel the administrative detention order.

    In a statement released by the Palestinian Circus School, where Abu Sakha worked, they said that neither they, nor Abu Sakha’s family or lawyer have received any reason or information regarding his detention — as is customary for administrative detainees that are held by Israel under undisclosed evidence for indefinitely renewable periods of three or six months.

    Their statement referred to the Israeli occupation as “a system that knows no humanity,” whose only goal is “to break the spirit of an entire nation.”

    #Muhammad_Faisal_Abu_Sakha

    • Israël prolonge de six mois la détention sans inculpation d’un artiste de cirque palestinien
      14 juin 2016 - Communiqué d’Amnesty International
      http://www.plateforme-palestine.org/Israel-prolonge-de-six-mois-la-detention-sans-inculpation-d-un

      Mohammed Faisal Abu Sakha, 23 ans, artiste et professeur au sein de l’École du Cirque Palestinienne, a été arrêté le 14 décembre 2015 alors qu’il passait un checkpoint pour se rendre à Ramallah. Il a été placé en détention administrative, sans aucune raison. Le 13 juin 2016, sa détention a été renouvelée, toujours sans inculpation. Amnesty International réagit par un communiqué.

      13 juin 2016

      L’armée israélienne a prolongé de six mois la détention d’un artiste de cirque palestinien, Mohammad Faisal Abu Sakha, qui est détenu sans inculpation depuis son arrestation en décembre 2015 ; cette affaire illustre le fait que les autorités recourent à la détention administrative de façon arbitraire et à des fins répressives, a déclaré Amnesty International.

      Mohammad Abu Sakha dispense à l’École de cirque de Palestine, à Beir Zeit, près de Ramallah, un enseignement spécialisé aux enfants ayant des difficultés d’apprentissage.

      « La détention arbitraire de Mohammad Abu Sakha représente un nouvel exemple du recours abusif par les autorités israéliennes à la détention administrative. Il a déjà passé plus de six mois derrière les barreaux sans inculpation ni jugement : il a été privé de toute forme de justice, a déclaré Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.

  • Why did Amnesty say one thing in English and another in Hebrew? | The Electronic Intifada
    https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/why-did-amnesty-say-one-thing-english-and-another-hebrew
    https://electronicintifada.net/sites/electronicintifada.net/files/styles/original_800w/public/311015_shh_00_1.jpg?itok=a7ClSM7b&timestamp=1446566371

    A week ago, Amnesty International published a report on Israel’s summary executions of Palestinians.

    As The Electronic Intifada reported, the human rights group said it had “documented in depth at least four incidents in which Palestinians were deliberately shot dead by Israeli forces when they posed no imminent threat to life, in what appear to have been extrajudicial executions.”

    It examined the killings of teenagers Saad al-Atrash, Dania Irsheid, Fadi Alloun and Hadil Hashlamoun.

    “In some cases,” Amnesty said, “the person shot was left bleeding to death on the ground and was not given prompt medical assistance, in violation of the prohibition of torture and other ill-treatment.”

    Amnesty published an Arabic-language release of its report that is faithful to the English version.

    Yet the no-holds-barred report was considerably softened for the organizations’s much shorter Hebrew press release (translation below).
    “Israeli palate”

    At the Hebrew-language news website Local Call, journalist Noam Rotem wrote that the Hebrew version looked like it had been changed “in order to adapt it to the Israeli palate.”

    He observed that the Hebrew release sent to journalists by Amnesty’s Israel office, “is entirely different from the original press release issued by the organization in English.”

    The English version is clear right from the headline about who is responsible for violence: “Israeli forces in occupied Palestinian territories must end pattern of unlawful killings.”

    The Hebrew headline is more circumspect: “Lethal force should not be used to eradicate a violent incident.” (The Hebrew version does include the headline that appeared in the English version, but only as a sub-heading.)

    The differences go deeper. “The Hebrew version makes significant efforts to stress Palestinian violence,” Rotem observed.

    It does speak about “unlawful killings” by Israelis but, unlike the English/Arabic version, omits the term “extrajudicial executions.”

    The English/Arabic version also includes several quotes from Philip Luther, director of Amnesty’s Middle East and North Africa program.

  • Parler de crimes de guerre à propos de Gaza 2014 n’est pas un scoop, soyons clairs. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est la pertinence de nouvelles analyses de données qui s’appuient sur des techniques de pointe en matière d’investigation et d’analyse, mises au point par Forensic Architecture, une équipe de recherche basée au Goldsmiths College de l’Université de Londres.

    "Jusqu’à présent, les autorités israéliennes se sont montrées incapables de mener des investigations indépendantes sur les crimes de droit international commis à Rafah et ailleurs, et bien souvent plus que réticentes à le faire. Les conclusions de ce rapport viennent s’ajouter à la longue liste des documents crédibles pointant du doigt les graves violations commises durant le conflit à Gaza, ce qui requiert la tenue d’une enquête indépendante, impartiale et efficace. » (Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.)

    Gaza : crimes de guerre commis par Israël à Rafah | Amnesty International France
    http://www.amnesty.fr/Nos-campagnes/Crises-et-conflits-armes/Actualites/Gaza-crimes-de-guerre-commis-par-Israel-Rafah-15726
    #israel#gaza_2014#crimes_de_guerre#amnesty#rafah

  • Rapport d’Amnesty sur la dernière offensive israélienne contre Gaza et les attaques de civils - Communiqué

    Les forces israéliennes ont tué des dizaines de civils palestiniens dans des attaques parfois constitutives de crimes de guerre menées contre des bâtiments abritant des familles, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport sur la dernière opération israélienne dans la bande de Gaza.

    Rendu public mercredi 5 novembre sous le titre Des familles sous les décombres. Les attaques israéliennes contre des habitations, ce nouveau rapport décrit huit cas dans lesquels des habitations à Gaza ont été prises pour cible par les forces israéliennes, sans avertissement, pendant l’opération Bordure protectrice, en juillet et août 2014, causant la mort d’au moins 104 civils, dont 62 enfants. Le rapport montre que les forces israéliennes ont eu recours à des bombardements aériens pour détruire des habitations, tuant parfois des familles entières.

    « Les forces israéliennes ont violé les lois de la guerre en menant une série d’attaques contre des habitations civiles, faisant preuve d’une froide indifférence face au carnage qui en résultait, a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.

    « Notre rapport dénonce la pratique courante des attaques d’habitations par les forces israéliennes, qui ont témoigné d’un mépris choquant pour les vies des civils palestiniens en ne les avertissant pas et en ne leur laissant aucune chance de s’enfuir. »

    Le rapport contient de nombreux témoignages de survivants qui décrivent l’horreur d’avoir eu à creuser frénétiquement dans les décombres et la poussière de leurs habitations détruites, à la recherche des corps de leurs enfants et de leurs proches.

    Dans plusieurs des cas décrits dans ce rapport, Amnesty International a pu identifier de possibles cibles militaires. Cependant, dans tous les cas, la dévastation en termes de vies civiles et de biens détruits était clairement disproportionnée par rapport aux gains militaires des attaques.

    « Quand bien même un combattant eût été présent dans l’une de ces habitations, cela ne dispensait pas Israël de son obligation de prendre toutes les précautions possibles pour protéger la vie des civils pris dans les combats. Les attaques répétées et disproportionnées contre des habitations montrent que les tactiques militaires actuelles d’Israël sont inadaptées et en totale contradiction avec les principes du droit international humanitaire », a déclaré Philip Luther.

    Dans l’attaque la plus meurtrière évoquée dans le rapport, 36 membres de quatre familles, dont 18 enfants, ont été tués lors du bombardement du bâtiment al Dali, un immeuble de trois étages. Israël n’a pas indiqué pourquoi ce bâtiment avait été pris pour cible, mais Amnesty International a identifié la présence possible de cibles militaires à l’intérieur.

    La deuxième attaque la plus meurtrière visait semble-t-il un membre des brigades al Qassam, la branche armée du Hamas, qui se trouvait devant la maison de la famille Abu Jame. Cette maison a été complètement détruite et 25 civils, dont 19 enfants, ont été tués. Quelles qu’aient été les cibles visées, ces deux attaques étaient manifestement disproportionnées et, en vertu du droit international, elles auraient dû être annulées ou reportées dès lors qu’il est apparu de manière évidente que ces bâtiments abritaient tant de civils.

    Les autorités n’ont donné aucun argument justifiant ces attaques. Dans certains des cas évoqués dans le rapport, Amnesty International n’a pu trouver aucune cible militaire apparente. Les attaques étaient semble-t-il dirigées directement et délibérément sur des civils ou des biens de caractère civil, ce qui constitue un crime de guerre.

    Dans tous les cas sur lesquels Amnesty International s’est penchée, aucun avertissement préalable n’a été donné aux habitants des bâtiments visés. Les prévenir aurait pourtant clairement permis d’éviter des pertes excessives parmi les civils.

    « Il est tragique de penser que ces décès de civils auraient pu être évités. Il est de la responsabilité des autorités israéliennes d’expliquer pourquoi elles ont délibérément choisi de raser des maisons entières pleines de civils, alors qu’elles avaient clairement l’obligation légale de limiter les dommages infligés aux civils et les moyens de le faire », a déclaré Philip Luther.

    Le rapport souligne les conséquences catastrophiques de ces attaques israéliennes contre des habitations, qui ont anéanti des familles entières. Certaines des habitations attaquées étaient remplies de proches qui avaient fui d’autres zones de Gaza à la recherche d’un peu de sécurité.

    Les survivants de l’attaque contre l’habitation de la famille al Hallaq, touchée par trois missiles, ont décrit des scènes horribles de corps déchiquetés éparpillés au milieu de la poussière et du chaos.

    Khalil Abed Hassan Ammar, médecin au sein du Conseil médical palestinien et habitant de ce bâtiment, a déclaré : « C’était terrifiant, nous n’avons pu sauver personne […] Tous les enfants étaient carbonisés, je ne pouvais pas distinguer les miens de ceux de mes voisins […] Nous avons porté ceux que nous avons pu dans l’ambulance […] J’ai seulement reconnu mon fils aîné, Ibrahim, aux chaussures qu’il portait […] Je lui avais achetées deux jours auparavant. »

    Ayman Haniyeh, un voisin, a raconté le traumatisme que cela avait été de fouiller les décombres à la recherche d’éventuels survivants :

    « Tout ce dont je me souviens, ce sont des morceaux de corps, des dents, une tête, des bras, des intestins, éparpillés partout », a-t-il déclaré. Une survivante de cette même attaque a raconté avoir serré dans ses bras un sac plein des « lambeaux » du corps de son fils.

    À ce jour, Israël n’a même pas reconnu les attaques décrites dans le rapport et n’a pas répondu aux demandes d’explications d’Amnesty International sur les raisons de chacune d’entre elles.

    Au moins 18 000 logements ont été détruits ou rendus inhabitables pendant le conflit. Plus de 1 500 civils palestiniens, dont 519 enfants, ont trouvé la mort dans des attaques israéliennes pendant le dernier conflit à Gaza. Des groupes armés palestiniens ont aussi commis des crimes de guerre ; ils ont tiré sans discrimination des milliers de roquettes sur Israël, tuant six civils, dont un enfant.

    « Il est crucial que des comptes soient rendus pour toutes les violations du droit international humanitaire qui ont été commises. Les autorités israéliennes doivent fournir des réponses. La communauté internationale doit prendre de toute urgence des mesures pour mettre un terme à ce cycle de graves violations et d’impunité la plus totale », a déclaré Philip Luther.

    Étant donné que les autorités israéliennes et palestiniennes ne font rien pour mener des enquêtes indépendantes et impartiales sur les accusations de crimes de guerre, il est impératif que la communauté internationale soutienne l’intervention de la Cour pénale internationale (CPI).

    Amnesty International appelle une nouvelle fois les autorités israéliennes et palestiniennes à adhérer au Statut de Rome et à accorder à la CPI le pouvoir d’enquêter sur les crimes commis en Israël et dans les territoires palestiniens occupés. Elle engage également le Conseil de sécurité des Nations unies à saisir le procureur de la CPI de la situation en Israël et dans les territoires palestiniens occupés afin qu’il puisse enquêter sur les allégations de crimes relevant du droit international commis par toutes les parties.

    Israël continue d’interdire aux organisations internationales de défense des droits humains, dont Amnesty International, de se rendre à Gaza, et l’organisation a dû mener ses recherches pour ce rapport à distance, avec le soutien de deux personnes travaillant sur le terrain à Gaza. Les autorités israéliennes ont aussi annoncé qu’elles ne coopéreraient pas avec la commission d’enquête mise en place par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies.

    « Ce refus de permettre aux observateurs indépendants des droits humains de se rendre à Gaza donne l’impression que les autorités israéliennes cherchent à dissimuler des violations ou à échapper à la surveillance internationale. Pour prouver son engagement à l’égard des droits humains, Israël doit coopérer pleinement avec la commission d’enquête des Nations unies et autoriser immédiatement les organisations de défense des droits humains comme Amnesty International à se rendre à Gaza », a déclaré

  • #Israël/#Gaza : Israël a bombardé et anéanti des familles entières dans une froide #indifférence — Amnesty International Suisse
    http://www.amnesty.ch/fr/pays/moyen-orient-afrique-du-nord/israel-et-territoires-occupes/docs/2014/israel-a-bombarde-et-aneanti-des-familles-entieres-dans-une-froide-indiffere

    « Les forces israéliennes ont violé les lois de la guerre en menant une série d’attaques contre des habitations civiles, faisant preuve d’une froide indifférence face au carnage qui en résultait, a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International. « Notre rapport dénonce la pratique courante des attaques de maisons par les forces israéliennes, qui ont témoigné d’un #mépris choquant pour les vies des #civils palestiniens en ne les avertissant pas et en ne leur laissant aucune chance de s’enfuir. »

    Israeli forces displayed ‘callous indifference’ in deadly attacks on family homes in Gaza | Amnesty International
    http://amnesty.org/fr/node/50094

    #Israel #victimes_civiles #impunité

  • L’Arabie séoudite fusille 7 hommes en public
    http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/middleeast/saudiarabia/9927288/Saudi-Arabia-executes-seven-men-in-public-by-firing-squad.html

    International rights groups had protested that the men – now aged between 20 to 24 years old according to news website sabq.org – were condemned for crimes committed when they were juveniles.

    “It is a bloody day when a government executes seven people on the grounds of ’confessions’ obtained under torture, submitted at a trial where they had no legal representation or recourse to appeal,” said Amnesty’s MENA director Philip Luther.

    They claimed their relatives were also “threatened with torture if they withdrew their ’confessions’,” said Amnesty.

  • Saudi Arabia: Beheading for ’sorcery’ shocking | Amnesty International
    http://www.amnesty.org/en/news/saudi-arabia-beheading-sorcery-shocking-2011-12-12

    “The charges of ‘witchcraft and sorcery’ are not defined as crimes in Saudi Arabia and to use them to subject someone to the cruel and extreme penalty of execution is truly appalling,” said Philip Luther Amnesty International’s interim Director of the Middle East and North Africa Programme.