person:philippe meirieu

  • Octobre 2018 : La fin de l’état de grâce pour Jean-Michel Blanquer ?

    Comme je le disais à @monolecte, je ne finis pas d’être étonné de la réussite du ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer depuis l’élection d’Emmanuel Macron.
    – Il est plébiscité dans les sondages au point d’être pressenti comme un 1er ministre de rechange pour la fin du quinquennat ;
    – Il avance dans son agenda politique sans aucune résistance ;
    – Les camarades qui ont une conscience politique mais ne sont pas spécialistes de l’Éducation s’alarment de nombreuses réformes macroniennes, mais personne ne s’émeut de ce qui se passe dans le champ éducatif.

    Il a réussi cela :
    – en détricotant des réformes précédentes impopulaires ou mises en œuvre de manière contre-productive (réforme du collège, réforme des rythmes) ;
    – en faisant profil bas (lors de son arrivée au ministère, il a dit qu’il ne toucherait à rien) ;
    – en pratiquant néanmoins la stratégie du choc (une annonce de réforme par semaine, tous les sujets sur la table, des décisions prises rapidement ne permettant pas une réaction des opposant·e·s) ;
    – en tenant le discours du pragmatisme, de l’expertise et du scientisme.
    – en séduisant les réacs de tous bords de Marianne à Valeurs Actuelles et en se positionnant sur un discours très « républicaniste ».

    [NB : Accessoirement, il a réussi cela parce que les syndicats d’enseignants ont complètement merdé les 10 dernières années et sont condamnés à une impuissance frileuse, mais c’est un autre débat.]

    Pourtant c’est une personnalité controversée, une des plus à droite de ce gouvernement :
    – Il aurait pû être le Ministre de Fillon ;
    – Il est proche des milieux, associations et think tanks (très) réactionnaires ;
    – Ses décisions (sur la pédagogie) sont régulièrement soutenues et approuvées par le RN.

    De fait, il engage, rapidement et efficacement, depuis plus d’un an des réformes de fond, à haute teneur idéologique, en rupture profonde avec les 30 dernières années, et sur lesquelles il sera très très difficile de revenir.
    Et tout ça donc : sans résistances et dans une certaine indifférence médiatico-politique.

    Pourtant, en cette automne, ça commence un peu à se (sa)voir :

    Des démissions qui illustrent à la fois le sectarisme idéologique du ministre et ses méthodes autoritaires finissent par intéresser les médias

    Entretien exclusif : Marie Aleth Grard : On ne peut plus discuter au CSP (Le Café Pédagogique)
    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2018/10/01102018Article636740069644434920.aspx

    Marie-Aleth Grard n’était pas venue par hasard au Conseil supérieur des programmes (CSP). Auteure d’un rapport remarqué sur l’Ecole et la grande pauvreté, elle portait l’espoir d’une école ouverte à tous, et en premier lieu aux plus démunis. Sa démission du CSP, la troisième en un an, marque plus que le changement de cap du Conseil supérieur des programmes. C’est aussi l’enterrement d’un espoir. Marie Aleth Grard s’en explique auprès des lecteurs du Café pédagogique.

    Nouvelle démission au sein du Conseil supérieur des programmes (Libération)
    https://www.liberation.fr/france/2018/10/02/nouvelle-demission-au-sein-du-conseil-superieur-des-programmes_1682546

    Ses adversaires (chercheurs, experts, corps intermédiaires) commencent à prendre la parole

    – Prises de paroles de haut-fonctionnaires retraités qui témoignent qu’une partie des experts, scientifiques et de la hiérarchie intermédiaire refuse de cautionner ce tournant réactionnaire et en même temps ultra-libéral.
    Par exemple :
    Le Blog de Marc Bablet (Club Médiapart)
    https://blogs.mediapart.fr/marc-bablet/blog

    – Philippe Meirieu a écrit un livre !
    [NB : Ce dernier point risque d’être contre-productif, tant son auteur, au-delà de ses apports indéniables à la vie des idées éducatives ces 30 (40 ?) dernières années, a été la figure du socialisme libéral et pour de très nombreux enseignant·e·s le nom cité de manière récurrente par leur hiérarchie pour leur expliquer qu’ils allaient pouvoir se priver des moyens supprimés avec un peu plus de pédagogie. Mais c’est un autre débat.]
    Philippe Meirieu prend la défense de la pédagogie (LeMonde.fr)
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/09/11/philippe-meirieu-prend-la-defense-de-la-pedagogie_5353220_3232.html

    Le problème c’est que le temps que tout le monde se réveille et en prenne conscience, il sera trop tard pour revenir en arrière...

    #éducation #politique #réforme

  • Philippe Meirieu : le rôle des « pédagogues prétentieux »
    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2016/11/25112016Article636156526083470927.aspx

    En dénonçant le pouvoir de « pédagogues prétentieux » qu’il entend bouter au dehors de l’Éducation nationale s’il est élu président de la République, François Fillon fait un joli coup politique. Il se joint, dans un contexte international et national qu’il sait sensible à ce thème, au concert contre toutes les formes d’« élitisme »… Il sait, évidemment, que, nulle part, dans aucun des grands corps intellectuels et médiatiques, les « pédagogues » ne sont considérés comme relevant de l’élite : nul Prix Nobel de Pédagogie et nulle chaire de cette discipline au Collège de France ou au CNRS. Pas vraiment de reconnaissance de cette approche disciplinaire et épistémologique dans l’université française, ni même de travaux encouragés et accompagnés sur l’histoire et la tradition de la culture pédagogique en France : il faut aller en Suisse ou en Allemagne, au Royaume-Uni ou même en Italie pour trouver des programmes élaborés sur ces questions…

    #Société #Education

  • Philippe Meirieu : Modestes remarques sur le rôle des « pédagogues prétentieux »
    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2016/11/25112016Article636156526083470927.aspx

    Disons-le tout net : alors que de « vrais politiques », réalistes et « en prise avec la grande majorité des Français », ont parfaitement compris que le choix de l’établissement et de son uniforme, les examens d’entrée égrenés à tous les niveaux de l’institution, les sanctions contre les « mauvais parents » et la mise en place d’une #orientation précoce, correspondent parfaitement à la montée d’un #individualisme, que nul, désormais, ne prend le risque de critiquer, les « pédagogues » sont tout simplement aujourd’hui des adeptes du « rapt d’enfants ». Ils sont là, tapis en embuscade, pour tenter d’assigner à l’#École une mission sociale… autant dire pour voler ostensiblement aux parents leur progéniture, pour former, autant que possible, des #citoyens capables de prendre en charge ensemble leur avenir quand, un peu partout, on voudrait simplement les voir « réussir », faire la fierté de leurs parents ébahis, se positionner dans la #hiérarchie sociale pour mettre en échec cette crainte du #déclassement qui tenaille tant de nos concitoyens.
     
    Que des « pédagogues » s’intéressent aux vertus de la mixité sociale, aux effets de l’entraide entre pairs et entre générations, à l’enrichissement que pourrait représenter, pour toutes et tous, des activités dites « manuelles »… que ces mêmes pédagogues veuillent, au-delà de l’indispensable #apprentissage des règles de la langue, donner à chacune et à chacun le goût de l’écrit et l’exigence d’une expression précise et rigoureuse, qu’ils veuillent faire de l’entrée dans la culture non un privilège mais un droit… voilà qui a de quoi inquiéter des politiques dont l’objectif premier reste, semble-t-il, de laisser entendre à chaque parent : « Vous allez enfin pouvoir choisir votre établissement pour vos enfants. Comme vous-mêmes, ils connaîtront les joies subtiles de « l’entre soi ». Votre fils ou votre fille ne risqueront pas de mauvaises fréquentations. Ils seront toujours triés sur le volet et n’auront pas à se préoccuper de ceux et celles qui, accidentés dans leur vie personnelle et sociale, pourraient avoir besoin d’eux. Soyez sereins : au royaume du » développement personnel », on ne leur demandera jamais de s’inscrire dans des collectifs pour faire l’expérience de la #solidarité. L’École de la République va devenir celle des familles, des ghettos et des clans. L’École de la culture pour tous celle de l’excellence pour quelques élus ». (1)

  • Changer l’école (Politis)
    http://www.politis.fr/Changer-l-ecole,27680.html

    La généralisation des méthodes alternatives permettrait à tous les enfants d’accéder au savoir de ce socle commun qui aujourd’hui fait défaut à presque la moitié d’entre eux. Mais, entre soutien et méfiance, les expérimentations ont bien du mal à s’étendre.

    Quelques articles du dossier (#paywall) :
    – Face au mur de l’institution (http://www.politis.fr/Face-au-mur-de-l-institution,27681.html)
    – François Dubet : « L’argument de l’atteinte à l’égalité est loufoque » (http://www.politis.fr/L-argument-de-l-atteinte-a-l,27683.html)
    – Philippe Meirieu : « Sortir de la caricature » (http://www.politis.fr/Philippe-Meirieu-Sortir-de-la,27685.html)

    #éducation #école #pédagogie #méthodes_alternatives

  • « Je veux que mes filles fassent les études que je n’ai pas pu faire », par Marc Serrand
    http://www.lexpress.fr/education/je-veux-que-mes-filles-fassent-les-etudes-que-je-n-ai-pas-pu-faire_1193218.
    Pas mieux !

    Ce que je dis à mes enfants ? Et bien quelque chose qui ressemble à cela : « Essayez de découvrir en vous ce qui vous fait rêver, ne vous souciez pas des débouchés, mais faites tout pour exceller dans ce que vous aurez choisi ». Je crois en effet que la période est bien trop incertaine pour faire des paris fermes sur les métiers ou les diplômes qui seront recherchés... Je fais donc le pari de pousser mes enfants à trouver leur projet, sans tenir compte des fameux « débouchés »... mais avec un grand souci de l’effort, de ce qui s’apparenterait au « chef d’oeuvre » qu’aime mentionner Philippe Meirieu.

    #éducation

  • Une fois de plus Alain #Finkielkraut reçoit un invité d’ #extrême_droite, s’auto-déclarant #libéral, cette fois-ci c’est pour parler d’ #école :

    Répliques - L’école dans la cité
    http://www.franceculture.fr/emission-repliques-l-ecole-dans-la-cite-2012-09-08

    Invité(s) :
    Philippe #Meirieu, spécialiste de la pédagogie, Professeur des universités en Sciences de l’éducation, consacré à l’histoire et à l’actualité de la pédagogie
    Philippe #Nemo, philosophe, professeur de philosophie politique et sociale, et historien des idées politiques français à l’ESCP Europe

    Mettre en face de Philippe Nemo, Philippe Meirieu laisse penser qu’un pluralisme est respecté. C’est oublier le contexte et oublier qu’au milieu il y a Alain Finkielkraut et ses « interventions ».

    Déjà en juin 2011 Alain Finkielkraut avait reçut Richard #Millet dans une émission intitulée « Au coeur de la France ». L’apologiste d’Anders #Breivik n’était pas là pour ses qualités littéraires, mais pour étaler sa xénophobie. Ainsi il déclare, entre autre, devant l’ami Finki qui ne bronche pas :

    Quelqu’un qui au bout de la 3e génération continue à s’appeler Mohamed ne peut être français

    http://www.franceculture.fr/emission-repliques-au-coeur-de-la-france-2011-06-11.html
    http://download.od.tv-radio.com/france_culture_ondemand/sites/default/files/sons/2011/06/s23/RF_A8B38876-0115-49C1-B473-196A8F85F4AC_GENE.MP3

    Déjà certains avaient relever la vision raciste des compères :

    Chez Alain Finkielkraut, une certaine idée du rance.
    http://blogs.mediapart.fr/blog/yvan-najiels/110611/chez-alain-finkielkraut-une-certaine-idee-du-rance

    Mais revenons à notre mouton, voici quelques liens pour mieux connaitre Philippe Nemo :

    Démontage de Philippe Nemo en cinq lignes
    http://comite-de-salut-public.blogspot.fr/2010/11/demontage-de-philippe-nemo-en-cinq.html

    Le monde de Philippe Nemo et la France de Robert Ménard
    http://television.telerama.fr/television/le-monde-de-philippe-nemo-et-la-france-de-robert-menard,76935.ph

    Ou encore par ses interventions ou par les hommages reçus dans les milieux d’extrême droite :

    #Français_de_souche aime l’écouter parler de « l’Ayathola Vincent Peillon » et des illitrés de l’éducation nationale :
    http://www.fdesouche.com/304763-philippe-nemo-la-regression-intellectuelle-de-la-france-radio-cour

    Car #Radio_Courtoisie a la chance de compter Philippe Nemo parmi les membres de son équipe :
    http://radio-courtoisie.over-blog.com/article-11770526.html

    L’ #Action_Française, et les curés qui la composent, apprécie son travail :

    L’ACTION FRANÇAISE 2 0 0 0
    N° 2835 ❙ 66e année ❙ Du 1er au 14 mars 2012

    http://www.actionfrancaise.net/wp-content/uploads/numeros/af2012/af_2835.pdf

    Abbé G. de Tanoüarn
    L’athéisme est mort

    Philippe Nemo signe un petit livre passionnant.

    APRÈS AVOIR CRIÉ « Dieu est mort », les cultureux commencent à réaliser que l’athéisme ne tient pas la route. C’est ce que souligne Philippe Nemo dans un petit livre passionnant, La Belle Mort de l’athéisme moderne.

    [...]

    Je laisse à Philippe Nemo la conclusion de ce panorama : « Les deux siècles chez Lucifer ont fait passer le christianisme par la plus terrible épreuve du feu qu’il ait subi dans son histoire. Mille vieilleries - superstitions, croyances naïves, adhérences politiques, anthropologiques et sociologiques... ont été brûlées et ne reprendront plus jamais consistance. Mais ce qui a résisté au feu est l’or incorruptible de l’Évangile et de l’Église. La tâche du jour est donc de dégager intellectuellement cet or des scories auxquelles il est encore mêlé. » Ce feu auquel Philippe Nemo fait allusion, feu à travers lequel doit passer tout ce qui se déclare oeuvre de Dieu (I Cor. 3, 11-15), ce feu touchera d’abord - et il a déjà commencé à le faire - les adaptations les plus récentes, les "expériences" les plus contemporaines. Ne demeurera que la sainte Tradition, non pas comme une forme passéiste, mais la Tradition apostolique dans sa permanente actualité, dans sa persistante efficacité, dans son irritante affirmation d’elle-même.

    L’un et le multiple : Les mémoires contre la nation
    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-un-et-le-multiple-Les-memoires

    Il est frappant d’observer que la gauche intellectuelle et politique a remarquablement accompli sa tâche de prosélytisme des masses qu’elle s’est évertué à gauchir pour assurer la prééminence de son magistère moral, jetant les anathèmes, distribuant les satisfecit et, partout, répandant son prêchi-prêcha droit-de l’hommard et diversitaire. Dans La France aveuglée par le socialisme (François Bourin Editeur, 2011) le philosophe, Philippe Nemo décrit la contagion du socialisme idéologique, et sa colonisation totalitaire de l’espace public (via l’école et les media), autant que sa propension misérabiliste à niveler par le bas, sous prétexte de discrimination positive, d’égalité des chances et autres fariboles égalitaristes. Véritable assommoir intellectuel de « nature néoreligieuse qui fait que, chez nous, les politiques les plus raisonnables proposées par les esprits dotés de quelques clairvoyance ne sont pas reçues comme des hypothèses qu’on peut et doit discuter, mais comme des impiétés qu’on doit repousser sans même les examiner », le socialisme chimérique fait obstacle, depuis les années 1970 et singulièrement depuis 1981, à toute pensée libre sur des sujets qu’il a d’abord préemptés avant, soit de les sanctuariser (les mœurs, la famille), soit de les entourer d’une intenable odeur de soufre (l’immigration, l’Histoire).

    C’est donc assez « naturellement » que l’Action Française l’invite à une de ses conférences :

    http://www.sylm.info/?gid=0&fid=5393&c=n&o=0&pn=3&forum_fid_

    Action Française

    [Paris] Conférence avec Philippe Nemo

    A 19 h30, le vendredi 8 octobre, dans les locaux de l’Action française, 10, rue Croix de Petits Champs, 75001 Paris,

    conférence de Philippe Nemo, professeur de philosophie politique et sociale, et historien des idées politiques français, sur la « Crise économique ou crise de #civilisation »

    Philippe Nemo a aussi pour petit plaisir de participer à des conférences de de L’ #Institut_Thomas_More, tout comme son ami Finkielkraut :

    Qu’est-ce que l’Occident ? L’histoire, l’identité, l’avenir
    Mardi, 1 Février, 2005

    Rencontre du Comité France de l’Institut Thomas More, mardi 1er février 2005, 8h30-10h, Paris. Intervenant : Philippe NÉMO, professeur à l’ESCP-EAP, essayiste, auteur de Qu’est-ce que l’Occident ? (2004, ed. PUF).

    L’Occident existe. Nous en procédons et nous le vivons. Une ogive, une vigne, Michel-Ange et Louis Pasteur : quelque chose unit tout cela, nous le savons bien, mais pouvons-nous le définir ? Est-ce bien ce quelque chose qui a été attaqué le 11 septembre 2001 ? Si oui, alors il faut le défendre et le promouvoir, et pour cela : le connaître. L’identité est le socle de toute ambition. Que sera demain l’Europe si toujours elle fuit le moment de dire « je suis » ?

    Sur ces questions essentielles pour notre avenir, nous vous invitons à venir débattre en compagnie de Philippe NÉMO.

    Évidement, L’Institut Thomas More se pose actuellement de grave question face au danger socialiste :

    #Immigration, éducation, #mariage #homosexuel | La gauche contre le réel Vendredi, 7 Septembre, 2012

    Nouvelle Rencontre de l’Institut Thomas More | Mardi 25 septembre 2012, 8h30-10h | Restaurant Les Editeurs, Paris

    En découvrant la crise cinq mois après son installation à l’Élysée, peut-être François HOLLANDE va-t-il s’apercevoir des limites et des dangers de son programme économique...

    Mais il y a aussi fort à parier que, gêné dans la mise en œuvre de ses propositions sur le front de la croissance, de l’emploi ou de la compétitivité, la gauche sur-investisse le champ du « sociétal ».

    Immigration, violences urbaines, éducation, mariage homosexuel : la machine à déformer le réel et le refus de « nommer les choses » marchent à plein régime... Comment réagir ? Que dire ? Que faire ?

    Pour répondre à ces questions l’Institut Thomas More a le plaisir de vous inviter à venir débattre et participer à sa prochaine Rencontre autour de :

    #Élisabeth_LÉVY

    | Journaliste, fondatrice et directrice de Causeur, collaboratrice au Point

    | Dernier ouvrage paru : La gauche contre le réel (Fayard, 2012)

    Élisabeth LÉVY signera son livre à l’issue de la Rencontre.

    La Rencontre se déroulera au restaurant Les Editeurs (4, carrefour de l’Odéon – 75 006 Paris).

    Le nombre de places est limité. Réponse souhaitée avant le lundi 24 septembre 2012.