person:roger stone

  • Everipedia Internet Culture Roundup #5: Tattoos Are Forever
    https://hackernoon.com/everipedia-internet-culture-roundup-5-tattoos-are-forever-fd850f7c5c68?s

    Tattoos are a permanent mark that symbolizes how you feel about someone or something a certain point in time. It has become a starter of conversations for many interactions. Roger Stone got his #tattoo of Richard Nixon years ago and carries the former President’s spirit quite literally on his back. Kelsey Karter supposedly got singer Harry Styles’ tattoo on her face this week and many are wondering how her future significant other will feel about it in a few years. Notorious #wikipedia editor Philip Cross is not known to have tattoos, and his editing activity makes people question whether he is a person at all or a group of people trying to sway public opinion. Dan Riffle does not care if you have a tattoo or not, only if you are a billionaire because he considers that to be an economic (...)

    #economic-inequality #media #roger-stone

  • Le parti démocrate attaque la campagne Trump, la Russie et Wikileaks
    http://www.parismatch.com/Actu/International/Le-parti-democrate-attaque-la-campagne-Trump-la-Russie-et-Wikileaks-1500

    Une étonnante contre-attaque en justice. Le « Washington Post » révèle ce vendredi que le parti démocrate a attaqué en justice la campagne Trump, la Russie et Wikileaks, leur reprochant de s’être concertés pour mettre à mal la candidature d’Hillary Clinton. La plainte civile, déposée devant une cour fédérale de Manhattan, vise nommément de nombreux proches du président comme son ami Roger Stone, son fils Donald Trump Jr -qui a confirmé avoir été en contact avec WikiLeaks-, son gendre et conseiller Jared Kushner, son ancien directeur de campagne Paul Manafort, mais aussi Julian Assange.

    Ils pourraient aussi sans doute attaquer quelques contributeurs de SeenThis tiens...

    Plus ça fonctionne pas, plus faut essayer. Les shadocks sont dans la place !

  • Purge anti-globaliste par inadvertance
    http://www.dedefensa.org/article/purge-anti-globaliste-par-inadvertance

    Purge anti-globaliste par inadvertance

    Voici une thèse intéressante sur la Grande Purge saoudienne, avec adjonction de la crise Clinton-Brazile à “D.C.-la-folle”. Elle est développée par Jamie Wright, de Infowars.com et sans doute largement substantivée à partir d’informations et d’analyses de Roger Stone, un lobbyiste, stratège de tendance républicaine et homme d’influence de Washington qui s’est placé proche de Trump contre les démocrates. Stone, qui est cité une fois directement dans l’article de Wright, a sans aucun doute, en plus de son expérience des intrigues et des corruptions internes à “D.C.-la-folle”, une excellente connaissance des liens de corruption entre certains groupes et familles/“maisons” de l’establishment avec la maison des Saoud, notamment la maison des Clinton et la maison des Bush. (...)

    • L’article mêle la crise interne du parti démocrate, avec la rébellion de Donna Brazile contre les Clinton, et la crise en cours en Arabie, avec l’énorme purge anti-corruption lancée par le fils du roi, Prince Mohamed Ben Salman (on dit désormais MBS), frappant une belle brochette de Princes et autres dirigeants. L’article présente le comportement de Brazile ainsi que son livre qui sort ces jours-ci et dont des extraits ont été publiés dans Politico.com et dans le Washington Post, comme l’avant-garde d’une manœuvre approuvée par l’establishment démocrate pour éliminer les Clinton et leur clique dont les turpitudes plombent affreusement le parti. En attendant, Brazile est seule au charbon et elle est violemment mise en cause par l’équipe de campagne d’Hillary Clinton, agissant par communiqué sur consigne de la patronne. Elle n’en poursuit pas moins.

      Pour le côté saoudien, le même angle d’appréciation est choisi. On sait que l’interprétation générale est que cette Grande Purge, présentée comme une opération anti-corruption, a aussi sinon d’abord comme but d’affirmer et de verrouiller le pouvoir de MBS, qui est quasiment de direction centrale en raison de l’état de santé de son père, le roi Salman. L’appréciation est alors de constater que cette Grande Purge touche les relais et contacts saoudiens les plus “fidèles” des Clinton, et aussi des Bush qui sont dans le même circuit, avec le train de corruption extraordinaire qui suit. On en vient même à rappeler l’épisode de l’“exfiltration” des officiels saoudiens des USA juste après 9/11, “Prince Bandar”, dit “Bandar Bush” en tête... (Et, du coup, l’élimination de “Bandar Bush”, autour de 2013, apparaît, – sans qu’on l’ait voulu nécessairement et précisément dans ce sens mais soit, – comme un premier pas d’une élimination de toute une génération de corrupteurs-corrompus, autant du côté saoudien que du côté US.)

  • Vu le documentaire Icon consacré à Richard Pryor sur Netflix. Comme je ne connaissais ni la vie du gars, si réellement son œuvre de standup, j’ai trouvé ça à la fois bien intéressant et touchant. (Après, c’est typique de ces documentaires américains qui font surtout causer des gens qui répètent plusieurs fois la même chose, le tout illustré de zooms sur des photos qu’on voit passer plusieurs fois, mais c’est pas très long, et vraiment, comme je ne connaissais du gars que ses seconds rôles dans des films des années 70-80, ça vaut le coup.)

    Également sur Netflix, Get Me Roger Stone, un documentaire sur un spin doctor républicain, désormais assez nettement alt right, proche de la campagne de Trump. Honnêtement, je ne connaissais pas ce type, qui a pourtant l’air d’être plutôt connu dans les milieux de la magouille politicienne américaine, et des commentateurs très à droite de la télé. C’est assez glaçant, et bien intéressant. (Après, je crains que ce genre de choses ne sur-valorisent le rôle des Machiavels dans la politique et reproduisent le mythe du billard-à-14-bandes des coups tordus, mais certains commentaires dans le doc suggèrent justement qu’il faut faire attention aux prétentions du type qui se prétend un peu trop au centre des événements.) La personnalité du type, qui désamorce le fait qu’il est une authentique ordure en revendiquant ouvertement le fait d’être une ordure, c’est assez marrant.

  • « La charge de Trump contre la communauté du renseignement s’est retournée contre lui »

    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/02/22/un-president-stagiaire-plonge-dans-un-nid-d-espions_5083365_3232.html

    Robert Littell, auteur du « Grand roman de la CIA », s’interroge : « le locataire égocentrique de la Maison Blanche » « deviendra-t-il un jour adulte » ?

    « Un rébus enveloppé de mystère au sein d’une énigme », disait Winston Churchill à propos de la Russie en octobre 1939. « Le déni enveloppé de ressentiment au sein d’une colère aveuglante », écrivait, le 18 février, le quotidien israélien Haaretz à propos de Donald Trump.
    Le locataire égocentrique de la Maison Blanche commet en moyenne une bourde par jour depuis qu’il a pris ses fonctions, ce qui n’a rien de surprenant puisqu’il est un président stagiaire. Mais la plus énorme remonte au temps de sa campagne, à l’époque où il n’imaginait pas qu’il puisse remporter l’élection et devenir président – reste à savoir s’il le souhaitait, mais c’est une autre histoire.

    Lorsque les services de renseignement américains sont arrivés à la conclusion que la Russie était derrière le piratage des courriels d’Hillary Clinton et leur divulgation par WikiLeaks, en vue de faire basculer le vote de 2016 en faveur de M. Trump, l’homme d’affaires milliardaire a perdu le peu de sang-froid qu’il possédait.

    Dans ses diatribes et déclarations sur Twitter, il a calomnié la CIA en particulier et la communauté du renseignement en général, en les accusant de divulguer de « fausses informations ». « On vit dans l’Allemagne nazie ou quoi ? », a-t-il fulminé, comparant de manière insultante la Central Intelligence Agency (CIA) à la Gestapo d’Hitler.

    Torrent d’insultes

    Il a accusé les espions de politiser le renseignement, d’être totalement incompétents et même de mentir. Il a affirmé que les rapports sur ­l’ingérence de la Russie dans l’élection américaine étaient « ridicules ».
    Confrontés au torrent d’insultes de Trump, sans parler de son désintérêt pour les briefings des services de renseignement, les espions ont riposté. « C’est triste, s’est désolé un responsable du renseignement, que des politiques accordent davantage de crédit à Vladimir Poutine et à Julian Assange [le fondateur de WikiLeaks] qu’aux Américains qui risquent leur vie au quotidien pour fournir des analyses objectives et impartiales. »

    La visite du président au siège de la CIA à Langley (Virginie), le lendemain de son entrée en fonction, n’a fait qu’aggraver les choses. Devant le mur mémorial où sont gravées 117 étoiles, représentant chacune des agents tués dans l’exercice de leurs fonctions, il a parlé de… lui ; il a accusé les « médias malhonnêtes » de sous-estimer le nombre de personnes venues ­assister à son investiture comme 45e président des Etats-Unis.

    Ce sont des moments comme ceux-là qui donnent la mesure d’une présidence. La communauté du renseignement que M. Trump tourne en ridicule consiste en dix-sept organismes ou entités – la CIA et la National Security Agency (NSA) étant les plus célèbres – qui emploient 850 000 personnes ! Oui, 850 000 ! Ils sont plus ou moins au courant de tous les cadavres dans le placard.

    Le précédent Kennedy

    Retournons un instant à l’époque de la présidence de John F. Kennedy. Lui et son frère Robert, qui, en tant que ministre de la justice, chapeautait le Federal Bueau of Investigation (FBI), détestaient son très despotique directeur J. Edgar Hoover, et souhaitaient le congédier.
    Hoover, dit-on, débarqua un jour dans le bureau de Robert avec un dossier sous le bras qu’il montra au frère du président. Ce dernier jeta un œil à son contenu puis rendit le dossier à son visiteur sans dire un mot : lui et son frère renoncèrent à virer Hoover.

    Le patron du FBI savait avec qui le président couchait quand Jackie Kennedy était en déplacement. Il y avait les deux jeunes employées de la Maison Blanche qui se baignaient nues avec lui dans la piscine de la Maison Blanche. Il y avait cette femme venue d’un pays d’Europe de l’Est qui était peut-être une espionne – elle fut conduite sous escorte à l’aéroport et expulsée dans la plus grande discrétion. Parmi les nombreuses maîtresses de « JFK » figurait aussi Judith Exner, qui partageait aussi la couche du boss de la Mafia de Chicago, Salvatore « Mooney Sam » Giancana. Bref, Hoover connaissait tous les secrets du président.

    La charge brutale de M. Trump contre la communauté du renseignement – alimentée par une colère aveuglante – s’est retournée contre lui. Il continuera à en payer le prix tant qu’il sera à la Maison Blanche, avec la distillation lente et douloureuse de détails embarrassants, voire contraires à la loi, sur son mode opératoire. Il n’est pas exclu non plus que les espions fournissent le détail croustillant qui l’éjectera du bureau Ovale.

    Un nouveau Watergate

    L’autre tourment de M. Trump, ce sont les grands médias. Il n’a cessé d’attaquer la presse (« elle est l’ennemie du peuple américain ») au point que son entourage et lui parlent ouvertement, et au mépris du premier amendement de la Constitution (qui protège la liberté de la presse), d’une guerre entre la Maison Blanche et les médias.
    Mais les journalistes politiques basés à Washington, qui ont noué au fil des ans des contacts au sein de la communauté du renseignement, flairent un nouveau Watergate. Ils auront leur carrière assurée dans les mois et les années qui viennent s’ils parviennent à porter un coup à l’ego surdimensionné de M. Trump ou, mieux encore, à obliger les élus républicains réticents de la Chambre des représentants à faire passer le pays avant leur parti et à le destituer.

    Ne nous y trompons pas : Donald Trump est en grande difficulté. On sait qu’il vend des biens immobiliers à des riches russes depuis des années. On sait qu’il tente, en vain jusqu’à présent, d’installer la marque Trump à Moscou. Il a visiblement plus de succès en Chine : maintenant qu’il est revenu au principe de la « Chine unique », Pékin a accordé à son entreprise la possibilité d’utiliser la marque Trump dans le pays.

    En refusant de rendre publique sa déclaration d’impôts – contrairement à tous les candidats à la présidentielle depuis quarante ans –, Donald Trump alimente le soupçon que son empire commercial est financé par des banques russes.

    Cadavres dans le placard

    Son peu d’empressement à ­critiquer les violations des droits de l’homme du Kremlin, son refus d’admettre que la Russie est intervenue pour l’aider à remporter l’élection, le nombre de personnes de son entourage entretenant des liens douteux avec Moscou – Paul Manafort, Carter Page, Roger Stone et le conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, ce dernier contraint à la démission le 13 février –, tout cela suscite de la désapprobation.

    Et voilà à présent que la communauté du renseignement – les 850 000 personnes à Washington qui sont au courant des cadavres dans le placard – confirme (malgré les démentis de Trump) l’existence de contacts répétés entre des responsables du renseignement russe et des membres de l’équipe de M. Trump au cours de la campagne présidentielle. A suivre…

    Trump et ses sbires au Congrès et au ministère de la justice sont dans le déni : ils tentent de détourner l’attention du contenu des fuites pour la focaliser sur les fuites elles-mêmes. Le président a juré de mettre au jour l’identité des auteurs des fuites et de les sanctionner. Bonne chance ! Quand bien même il parviendrait à colmater cette fuite, cela provoquera à coup sûr une autre fuite ailleurs.

    Deviendra-t-il un jour adulte ?

    Donald Trump n’est pas un rébus enveloppé de mystère au sein d’une énigme. Il est tout juste le déni enveloppé de ressentiment au sein d’une colère aveuglante. Pour lui, le vrai problème n’est pas que ces choses arrivent alors qu’il est aux commandes, le problème c’est que, à cause des « fuites » de la communauté du renseignement qui a connaissance des cadavres dans le placard, ces choses soient rendues public.
    Ce qui l’irrite, ce n’est pas le crime mais le châtiment. On connaît bien ça quand on est parent : l’enfant, pris sur le fait, n’est pas désolé de sa faute, il est désolé de s’être fait prendre.

    Donald Trump deviendra-t-il un jour adulte ? Les Etats-Unis résisteront-ils à ses accès de colère en 140 caractères ? Etant donné que nombre des 850 000 membres de la communauté du renseignement ont accès à des informations potentiellement compromettantes, aura-t-il le temps de devenir adulte pendant qu’il est le locataire égocentrique de la Maison Blanche ?

    Même s’il n’arrive pas au terme de son premier mandat, la démocratie américaine en sortira-t-elle indemne ou sera-t-elle définitivement déformée par la candidature puis la présidence d’un président enfant ?

    Robert Littell

  • Here’s Why It’s Fair—and Necessary—to Call Trump’s Chief Strategist a White Nationalist Champion

    After Donald #Trump announced he was appointing #Stephen_Bannon to a top job in the White House as chief strategist, I sent out a tweet referring to a Mother Jones story that reported on how Bannon, when he was head of Breitbart News, the far-right conservative site, provided a haven for white nationalists. In response, Roger Stone, a longtime Trump adviser and conspiracy theory advocate (he wrote a book claiming Lyndon B. Johnson killed John F. Kennedy), tweeted at me: “’White Nationalist’ my ass. Stop with the childish name calling….we don’t call you a communist.”


    http://www.motherjones.com/politics/2016/11/why-its-fair-and-necessary-call-trumps-chief-strategist-stephen-bannon-
    #nationalisme #nationalisme_blanc #racisme #xénophobie #extrême_droite #extrême-droite

    • Donald Trump, Stephen Bannon and the Coming Crisis in American National Life

      During the 1990s, two amateur historians, Neil Howe and the late William Strauss, developed a new theory of American history in two books, Generations: the History of America’s Future (1991), and The Fourth Turning: An American Prophecy (1997). They identified an 80-year cycle in American history, punctuated by great crises that destroyed an old order and created a new one.
      Though their theory is not widely taught in colleges or discussed in the media, Strauss and Howe may well play a major role in Donald Trump’s administration. Stephen Bannon, the former head of Breitbart News who has been appointed Trump’s chief strategist in the White House, is very familiar with Strauss and Howe’s theory of crisis, and has been thinking about how to use it to achieve particular goals for quite a while. I know this because Bannon interviewed both Neil Howe and myself in 2009 while he was making a documentary film about the ongoing financial crisis. The film, called Generation Zero, discussed those ideas in some detail.

      http://time.com/4575780/stephen-bannon-fourth-turning/?xid=time_socialflow_twitter

  • Un ancien conseiller de Trump appelle le président élu à poursuivre Clinton en justice
    http://www.brujitafr.fr/2016/12/un-ancien-conseiller-de-trump-appelle-le-president-elu-a-poursuivre-clinto

    Allié de longue date du président élu Donald Trump, Roger Stone appelle, dans une pétition, la nouvelle administration de la Maison Blache à traduire en justice l’ancienne secrétaire d’État et candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton. « ...

  • #Abus_sexuels sur #enfants : la ville qui fermait les yeux | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2014/08/28/abus-sexuels-sur-enfants-la-ville-qui-fermait-les-yeux

    Le rapport du professeur Alexis Jay, publié cette semaine, révèle les atrocités commises dans cette ville du Yorkshire du Sud.

    Selon l’ancienne inspectrice des affaires sociales, au moins 1 400 enfants ont été victimes d’#exploitation_sexuelle entre 1997 et 2013. Nombre d’entre eux ont subi des #viols à répétition de la part des membres de bandes dont les agissements étaient connus ou auraient dû l’être. Les enfants qui résistaient étaient battus. Ceux qui osaient parler était traités avec mépris par les adultes censés les protéger.

    Il semble qu’aucune des personnes détenant l’autorité dans cette affaire n’ira en prison ni ne renoncera à sa pension. Roger Stone, officier de l’ordre de l’Empire britannique, à la tête du conseil municipal travailliste [de Rotherham] depuis onze ans, a démissionné. Il a déclaré qu’il assumait sa responsabilité dans cette affaire. Mais il n’a nulle part été question que cet homme de 71 ans renonce à sa pension, et il n’a guère exprimé de remords.

    Roger Stone semble considérer sa démission comme un acte d’une grande noblesse, une sorte de hara-kiri destiné à permettre à ses subalternes de conserver leur poste.

    Il en va toujours ainsi quand il s’agit des pouvoirs publics et de scandales concernant des enfants placés. Ce n’est jamais la faute de personne, c’est un "système" qui est en cause. Les “systèmes”, certes, peuvent toujours être améliorés, mais les individus ne sont jamais à blâmer.

    #police_complice #impunité