person:sigmundur davíd gunnlaugsson

  • El escándalo sexista que golpea Islandia, el país con mayor igualdad de género | Mi dinero | Cinco Días
    https://cincodias.elpais.com/cincodias/2018/12/02/midinero/1543742796_772029.html

    Des politiciens islandais (d’opposition) piégés dans un bar en train de se moquer grassement de #MeToo (entre autres gracieusetés). Enorme scandale. Pas trouvé grand chose en français (où l’on a d’autres chats à fouetter en ce moment).

    slandia es el país con mayor igualdad de género del mundo. Pero esta semana, el país se ha visto sumido en un sórdido escándalo político que sugiere que un sexismo flagrante en el interior del Parlamento.

    Un exprimer ministro y varios otros legisladores fueron captados en una grabación usando lenguaje morboso, grosero y cargado sexualmente para describir a sus compañeras.

    Sigmundur David Gunnlaugsson, un legislador de la oposición que fue primer ministro hasta que fue expulsado por supuestamente esconder la riqueza de su familia de las autoridades fiscales, destacaba entre las personas grabadas en un bar frente al Parlamento en Reikiavik la tarde del 20 de noviembre. Estaba en compañía de un exministro de Asuntos Exteriores, Gunnar Bragi Sveinsson, entre otros.

    La grabación, que fue realizada por un comensal en el bar, incluye a legisladores del recientemente formado Partido de Centro y el Partido del Pueblo. Se puede escuchar cómo el grupo se burla del movimiento #MeToo y compara a un exmiembro del Parlamento con discapacidad con «un animal.»

    Los vídeos, que rápidamente se hicieron virales en Islandia, provocaron una condena generalizada en todo el país. Durante la celebración de los 100 años de la independencia de Dinamarca este sábado se ha realizado una marcha de protesta contra los legisladores que protagonizaron el escándalo.

    El episodio es un golpe aleccionador para una nación que ha trabajado duro pa

    #sexisme #machisme

  • Gesticulations de façade face à la délinquance financière Politis / Jérôme DUVAL
    http://www.politis.fr/articles/2016/09/gesticulations-de-facade-face-a-la-delinquance-financiere-35287

    Hypocrisie du FMI et autres institutions pour combattre l’évasion fiscale
    En pleine tourmente du scandale des Panama Papers – qui a déjà valu la démission du Premier ministre islandais Sigmundur David Gunnlaugsson, suite à d’énormes manifestations |1|, et celle du ministre espagnol de l’Industrie José Manuel Soria après la révélation de sociétés à son nom aux Bahamas et à Jersey |2|, se clôturaient les réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale le 16 avril dernier.

    La directrice du FMI, Christine Lagarde, accusée d’abus d’autorité dans l’affaire Tapie, en a profité pour plaider pour la transparence en matière fiscale. Puisque ceci « doit être un sujet d’inquiétude majeur » selon ses propres mots, profitons-en pour rappeler que le montant de son salaire annuel de 467 940 $ (419 695 €), assorti d’une allocation de 83 760 $ (75 127 €) par an pour frais de représentation, est exempté de tout impôt |3|.

    Christine Lagarde a beau parler de transparence, elle préside une institution dont le conseil des gouverneurs reste des plus opaques.

    Dans la foulée, le FMI, la Banque mondiale, l’ONU et l’OCDE annonçaient le 19 avril la création d’une plateforme commune destinée à aider les pays pauvres à combattre l’évasion fiscale des multinationales.

    Cette énième fausse tentative pour combattre ce fléau semblerait répondre au rapport de l’ONG Oxfam publié quelques jours plus tôt. Il affirme qu’en seulement quatre ans (jusqu’en 2013), la Société financière internationale (SFI, filiale de la Banque mondiale spécialisée dans les prêts au secteur privé) a investi 36 milliards de dollars (32 284 080 000 €) via des banques, des fonds spéculatifs et autres intermédiaires, pour financer des projets conduisant à des violations des droits humains à travers le monde :

    « C’est moitié plus que les fonds consacrés par le groupe de la Banque mondiale à la santé au cours de la même période, et trois fois plus que ceux consacrés à l’éducation, commente Oxfam. »

    En 2015, sur les 68 entreprises qui ont emprunté à la SFI afin de financer des projets de « développement » en Afrique subsaharienne, 51 ont eu recours aux paradis fiscaux, principalement l’île Maurice tel que le conseillait le cabinet Deloitte.

    Après la fière affirmation de Nicolas Sarkozy, le 23 septembre 2009 sur TF1 et France 2, selon laquelle « les paradis fiscaux, le secret bancaire, c’est terminé », et l’engagement du G20 la même année à lutter contre ces trous noirs de la finance internationale en établissant des listes incohérentes, il y a de quoi douter quant à l’efficacité de toute initiative émanant de ces institutions.

    A qui profite l’opacité du Panama ?
    Rappelons que les banques européennes sont très impliquées dans la délinquance financière. La Société Générale a massivement recouru aux services du cabinet Mossack Fonseca via sa filiale luxembourgeoise, SG Bank & Trusts pour établir 979 sociétés offshore (lire encadré). Viennent ensuite la britannique HSBC (2 300 sociétés), les suisses UBS (1 100 sociétés) et Crédit Suisse (1 105 sociétés).

    Ces trois banques, actuellement poursuivies dans des scandales de fraude fiscale, n’hésitent pas à franchir la porte des ministères quand elles n’y sont pas carrément invitées. Ce fut le cas par exemple en France, cet été, lorsque l’ancien haut dirigeant de la banque d’investissement de la Société générale, Thierry Aulagnon, a été nommé directeur de cabinet du ministre des Finances Michel Sapin.
    Joseph Stiglitz, récipiendaire du prix de la Banque centrale de Suède en sciences économiques - malencontreusement dénommé « prix Nobel d’économie », et le suisse Mark Pieth |5|, professeur de droit pénal à Bâle (Suisse), ont tous deux démissionné le 5 août d’un comité destiné à réaliser un audit du système financier notoirement opaque du Panama, créé à la suite des révélations des Panama papers |6|.

    C’est par un courrier du gouvernement panaméen reçu fin juillet qu’ils apprenaient que seul le président du pays pouvait décider de publier le rapport du comité attendu d’ici la fin de l’année et que, de surcroît, le gouvernement refusait de s’engager à le rendre public...

    « Comment voulez-vous avoir un comité sur la transparence qui lui-même ne soit pas transparent ? », s’indignait M. Stiglitz à l’AFP.

    Pour Mark Pieth, l’exécutif « subit la pression du monde des affaires » : « Il est en train de reculer. » Ne craignant aucunement le ridicule, le gouvernement panaméen prêt à tout pour les grandes entreprises, réitéra alors son « engagement ferme et réel envers la transparence et la coopération internationale ».

    Sans dévoiler sa véritable identité, le lanceur d’alerte à l’origine des Panama Papers et qui a fourni les 11,5 millions de fichiers du cabinet d’avocats Mossack Fonseca à la Süddeutsche Zeitung, appelle à « ouvrir les yeux » pour sortir radicalement d’un système « que nous appelons toujours capitalisme, mais qui se rapproche davantage d’un esclavage économique » |7|. Il venait, sans doute à son insu, de nous offrir une belle définition du « capitalisme » !

    Notes
    |1| Le premier ministre islandais Sigmundur David Gunnlaugsson avait dissimulé l’existence d’une société offshore au nom de sa femme et lui. Il a été poussé à la démission par de gigantesques manifestations.
    |2| Le 15 Avril, 2016, après plusieurs déclarations contradictoires et incapable de clarifier sa position, il a démissionné de toutes ses responsabilités : ministre de l’Industrie, de l’énergie et du tourisme du gouvernement espagnol, député au Parlement pour Las Palmas et président du PP des îles Canaries. Débouchant sur un nouveau scandale, Soria a été nommé le 2 septembre 2016 représentant espagnol à la Banque mondiale.
    |3| Le salaire de son prédécesseur, Dominique Strauss-Kahn, était de 420 930 $ (377 616 €) et 75 350 $ (67 593 €) de frais de représentation en 2007.
    |4| « La Société générale n’a plus aucune implantation dans les « paradis fiscaux », a-t-il répété devant plusieurs médias, martelant ses déclarations devant une commission d’enquête du Sénat en 2012.
    |5| Alors qu’il présidait la Commission indépendante de la Fifa sur la gouvernance (IGC), Mark Pieth avait critiqué la Fifa en qualifiant sa structure de « quasi dictatoriale » : « La Fifa possède une structure quasi-dictatoriale, déjà sous Joao Havelange et encore plus avec Blatter » avait-il dit.
    |6| Le comité ne compte plus que quatre Panaméens et un Costaricain.
    |7| John Doe, le surnom du lanceur d’alerte à l’origine des « Panama Papers », a expliqué en mai les motivations de son geste en transmettant au consortium ICIJ une lettre-manifeste intitulée « La révolution sera numérique ».

    Le directeur général de la Société Générale Frédéric Oudéa avait pourtant affirmé lors d’une audition sous serment le 17 avril 2012 au Sénat, que la banque avait fermé ses implantations dans les pays figurant sur la liste grise des paradis fiscaux, ainsi que dans les Etats jugés non coopératifs, comme Panama |4|. Or, l’article 6 de l’ordonnance du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires précise que toute personne se présentant devant une commission parlementaire est tenue de prêter serment. Toute déclaration erronée expose son auteur à des poursuites pénales. Malgré cela, plutôt que de transmettre le dossier à la justice, le bureau du Sénat décidait le 26 mai, de ne pas poursuivre Frédéric Oudéa pour « faux témoignage ».

  • Islande : le Parti pirate pourrait prendre les rênes du prochain gouvernement, selon les sondages — RT en français
    https://francais.rt.com/international/25042-parti-pirate-pourrait-former-gouvernement-islande

    Selon les derniers sondages nationaux, le Parti pirate devrait obtenir entre 18 et 20 des 63 sièges du Parlement islandais, lors des élections anticipées qui se dérouleront en octobre.

    Avec 28,3% des intentions de votes, un autre sondage réalisé en juin par le journal islandais Kjarninn, le donnait gagnant des élections, devançant de 4% le Parti de l’indépendance de l’ancien Premier ministre, Sigmundur David Gunnlaugsson.

    En avril, ce dernier avait en effet été poussé vers la sortie par de larges manifestations d’Islandais en colère, après la publication des Panama Papers, qui ont révélé qu’il avait des placements à hauteur de plusieurs millions dans des paradis fiscaux.

  • A quater of Iceland´s cabinet members held offshore companies - even the current prime minister. Sigmundur David Gunnlaugsson is suspected of having been influenced, also by personal interests in his fight against the banking crisis.

    http://panamapapers.sueddeutsche.de/articles/56fec0cda1bb8d3c3495adfc

    The names of several Icelandic public officials show up in the internal documents of Mossack Fonseca (Mossfon), the Panamanian offshore provider. Among them are Prime Minister Sigmundur David Gunnlaugsson, Finance Minister Bjarni Benediktsson, and the Minister of the Interior, Ólöf Nordal. The data reveals that all three politicians have links to anonymous offshore companies, which they have neglected to disclose. The Panama Papers also include the names of Hrólfur

    Ölvisson, the chairman of the prime minister’s Progressive Party, several of Iceland’s wealthiest men, a number of former top bankers, and at least one high-level government advisor. The number of suspects is shockingly high for a country of just 330,000 inhabitants.

    Iceland is in for another storm, it seems.

  • L’Islande annule (encore une fois) une partie des emprunts immobiliers...

    http://www.express.be/business/fr/economy/lislande-annule-encore-une-fois-une-partie-des-emprunts-hypothecaires-des-menages/209361.htm

    C’était une promesse de campagne : le Premier ministre islandais, Sigmundur Davíd Gunnlaugsson, élu en 2013, a confirmé que le pays allait annuler une partie de la dette des ménages islandais qui avaient contracté des emprunts immobiliers avant la crise de 2008.

    La mesure, appelée « Leidréttingin » (‘correction’), permettra aux foyers qui avaient souscrit des emprunts hypothécaires indexés sur l’inflation avant 2008 de bénéficier d’une annulation d’une partie de leur dette, à concurrence de 4 millions de couronnes islandaises (25 800 euros). Depuis le mois de juillet, 69 000 familles islandaises ont sollicité de pouvoir profiter de cette mesure. Celle-ci leur permettra de réduire leurs mensualités de 13 à 14% en moyenne, soit une réduction individuelle de 95 à 130 euros.

    #islande #crise_financière #suite :)

  • L’Islande va annuler jusqu’à 24.000 euros de dettes par ménage | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/12/02/lislande-va-annuler-jusqua-24-000-euros-de-dettes-par

    Le gouvernement islandais a annoncé samedi un plan pour alléger les dettes des ménages qui ont contracté un emprunt immobilier, jusqu’à un peu plus de 24.000 euros chacun.

    Ce plan était la principale promesse électorale du Parti du progrès (centriste) du Premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, victorieux aux législatives d’avril avec son allié conservateur, le Parti de l’indépendance.

    Après de longs mois de tractations, le gouvernement de coalition a présenté des mesures d’un coût évalué à 150 milliards de couronnes (plus de 900 millions d’euros) sur quatre ans.

    La mesure-phare est la réduction du principal de la dette pour les ménages ayant contracté un emprunt immobilier indexé sur l’inflation (ce qui correspond à la grande majorité des cas), sans conditions de revenus. Cet allégement de dettes, qui dépend du montant emprunté, est plafonné à quatre millions de couronnes (24.400 euros).

    80% à peu près des ménages vont être directement touchés, mais tous les ménages islandais vont en tirer profit, entre autres grâce à une croissance (économique) et un pouvoir d’achat accrus, a déclaré M. Gunnlaugsson.

    L’autre mesure est une exemption d’impôt pour les ménages puisant dans leur épargne-retraite pour rembourser leur emprunt immobilier.

    #Islande
    #emprunt-immobilier
    #dette ( annulation jusqu’à 24000 euros par ménage )
    #crise

  • L’Islande va annuler jusqu’à 24 000 euros de dettes par ménage
    http://www.brujitafr.fr/article-l-islande-va-annuler-jusqu-a-24-000-euros-de-dettes-par-menage-121

    Le gouvernement islandais a annoncé samedi 30 novembre un plan pour alléger les dettes des ménages qui ont contracté un emprunt immobilier, à concurrence d’un peu plus de 24 000 euros chacun. Ce plan était la principale promesse du Parti du progrès (centriste) du premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, victorieux aux élections législatives d’avril avec son allié conservateur, le Parti de l’indépendance. Après de longs mois de tractations, le gouvernement de coalition a présenté des mesures d’un coût évalué à 150 milliards de couronnes (plus de 900 millions d’euros) sur quatre ans. La mesure-phare est la réduction du principal de la dette pour les ménages ayant contracté un emprunt immobilier indexé sur (...)

    #ECONOMIE_/_FINANCE

  • L’Islande va annuler jusqu’à 24 000 euros de dettes par ménage
    http://lemonde.fr/economie/article/2013/11/30/l-islande-va-annuler-jusqu-a-24-000-euros-de-dettes-par-menage_3523345_3234.

    Le gouvernement islandais a annoncé samedi 30 novembre un plan pour alléger les dettes des ménages qui ont contracté un emprunt immobilier, à concurrence d’un peu plus de 24 000 euros chacun.

    Ce plan était la principale promesse du Parti du progrès (centriste) du premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, victorieux aux élections législatives d’avril avec son allié conservateur, le Parti de l’indépendance.

    Après de longs mois de tractations, le gouvernement de coalition a présenté des mesures d’un coût évalué à 150 milliards de couronnes (plus de 900 millions d’euros) sur quatre ans.

    La mesure-phare est la réduction du principal de la dette pour les ménages ayant contracté un emprunt immobilier indexé sur l’inflation (ce qui est le cas dans la grande majorité des cas), sans conditions de revenus. Cet allégement de dettes, qui dépend du montant emprunté, est plafonné à quatre millions de couronnes (24 400 euros).