person:thierry carcenac

  • Enquête pour vols contre des professeurs ayant voulu sauver des tableaux noirs

    http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/41804-dingueca-tarn-education-fait-divers-enquete-contre.html

    Six professeurs d’un collège de Gaillac (Tarn) font l’objet d’une enquête pour « vol » pour avoir voulu préserver des tableaux noirs « destinés à déchetterie » pendant des travaux estivaux dans leur établissement, a dénoncé ce lundi leur comité de soutien.

    Une plainte pour « effraction, intrusion et vol » a été déposée en juin à l’encontre de ces enseignants par la principale du collège Albert-Camus et le président du conseil départemental Thierry Carcenac, s’est indigné auprès de l’AFP Pascal Pragnère, porte-parole de ce comité de soutien.

    A la fin de la dernière année scolaire, ayant été avertis que les tableaux noirs du premier étage devaient être détruits et remplacés par des tableaux blancs, les professeurs ont décidé de les sauvegarder pour les ramener à la rentrée.

    L’année précédente, lors des travaux au 2e étage, les tableaux noirs avaient tous été amenés à la déchetterie.

    Dès le mois de décembre, ils avaient adressé un courrier à la cheffe d’établissement, pour sauver « leur outil de travail ». Ils avaient réitéré leur demande en mars, avril, mai et juin.

    Sans réponse, ils ont été chercher les tableaux avec des camionnettes. Tout en alertant la principale, selon Pascal Pragnère.

    La gendarmerie est alors intervenue, et les tableaux ont été laissés sur place.

  • cvuh : Quand le conseil départemental du Tarn se fait l’hagiographe de F. Mitterrand
    https://cvuh.blogspot.ch/2016/12/quand-le-conseil-departemental-du-tarn.html

    Le saviez-vous ? François Mitterrand est venu dans le Tarn au moins à quatre reprises : à l’occasion des élections cantonales de 1979, en 1980, au début de sa campagne présidentielle, en 1982 et de nouveau en 1992. Il n’en fallait pas plus pour justifier l’édition d’une brochure de 36 pages sur papier glacé intitulée « Mitterrand dans les pas de Jaurès ». Ces 36 pages sont éditées par le journal La Dépêche du Midi, et reprennent le contenu d’une exposition réalisée par les archives départementales et l’institut François Mitterrand.
    Jean Jaurès vous le connaissez, c’est l’homme assassiné pour ses idées en 1914, ce qui est tout de même « relativement stupide et bête », pour reprendre les propos de Thierry Carcenac, président socialiste du Conseil départemental du Tarn à propos de la mort de Rémi Fraisse en octobre 2014. Quant à François Mitterrand, c’est celui qui est mort dans son lit après avoir trahi les siennes et les siens.

    #histoire #historiographie

  • Mais où est donc passé le clown à Vaour ?
    http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article838

    "Il faut chasser la bêtise parce qu’elle rend bête ceux qui la rencontrent.”
    Bertolt Brecht

    #Vaour, petit village qui se situe dans le #Tarn à une vingtaine de kilomètres de #Sivens, est réputé pour son festival du rire subventionné, entre autres, par le Conseil départemental du Tarn. Sivens, quant à lui, est réputé pour son projet inutile de barrage, déclaré illégal par le tribunal administratif, un barrage pour une poignée d’intéressés soutenus par la FNSEA et ses milices. C’est aussi le symbole d’un entêtement de l’État et des Conseils départementaux du Tarn et du Tarn et Garonne, caractérisé par des violences policières sans précédent se soldant par la mort d’un militant écologiste et pacifiste.

    Crime de lèse-majesté à Vaour le 3 août 2016

    Lors de la soirée d’inauguration de ce festival du RIRE, au moment de la prise de paroles des officiels et plus précisément de celle de #Thierry_Carcenac, sénateur et toujours président du Conseil départemental du Tarn, des petits plaisantins ont déroulé une banderole sur laquelle était écrit NON AU BARRAGE. Le roitelet a été joyeusement hué par une partie des festivaliers présents. Pourtant, « Ce n’était pas le moment de faire de la politique » disent les élus effarouchés, les organisateurs subventionnés et autres grabataires d’un PS moribond. Mais c’est quand le moment de rappeler que le tribunal administratif a annulé :

    – la Déclaration d’utilité publique (DUP) du projet de barrage de Sivens (arrêté inter-préfectoral du 2 octobre 2013 des préfets du Tarn et du Tarn-et-Garonne),
    – l’autorisation de défrichement (arrêté du préfet du Tarn du 12 septembre 2014),
    – la dérogation à la loi sur la protection des espèces protégées (arrêté du préfet du Tarn du 16 octobre 2014) [1] ?

    Carcenac en s’appuyant sur ces arrêtés et en s’entêtant pour réaliser ce projet inutile agissait en toute illégalité. C’est donc quand le moment de la libre expression ?

    Sur convocation, au seul moment des élections ? Les élus effarouchés, les organisateurs subventionnés et autres grabataires d’un PS moribond ont-ils oublié que, suite à l’attentat de Charlie Hebdo, des millions de personnes manifestaient pour la liberté d’expression ?

    Qui peut légitimement s’exprimer ? Seulement les gens d’ici, pas « ceux venus d’ailleurs pour foutre la merde » disent les pro-Carcenac. Pire, ces petits plaisantins ont entarté le président : récidive caractérisée d’un crime de lèse-majesté, un acte très grave. Pour tous ces bien-pensants, l’entartage n’est pas le moyen de ridiculiser une personne publique, au discours fallacieux. Ce n’est pas un acte contestataire comme une lettre d’insultes qui vous explose sur la tête et vous dégouline dans le cou, ce serait un acte violent !?

    Qui est violent ?

    Leur mémoire vacille. Se rappellent-ils :

    – que le président du Conseil départemental a engagé 450 000 € de l’argent des contribuables pour des gaz lacrymogènes, des flashballs, des hordes de gendarmes ? (Source : L’âge de faire n°92 déc. 2014 « 450 000 € pour la castagne, 0 € pour le débat »)
    – que par son entêtement et sa collusion avec l’État, Thierry Carcenac est responsable des violences policières et de la mort d’un jeune écologiste pacifiste ?
    – de son comportement indigne à l’égard de la famille de Rémy Fraisse et de sa phrase tristement célèbre « Mourir pour des idées, c’est une chose, mais c’est quand même relativement stupide et bête »

    Vaour au pays des Soviets

    Ces élus effarouchés, ces organisateurs subventionnés et autres grabataires d’un PS moribond demeurent compatissants, les arguments ne leur manquent pas : « Thierry aurait pu chuter, repartir mécontent et supprimer sa subvention à l’Eté de Vaour ». Carcenac n’a même pas à prononcer cette menace, certains membres zélés du Conseil municipal veulent se fondre en excuses auprès du roitelet, leur pote : c’est leur choix au risque de s’infantiliser et d’être la caution de l’oligarchie locale qui nous gouverne.

    Pire, ils ont même imaginé des sanctions à l’égard des joyeux acteurs du jour le plus drôle de l’été de Vaour. Le psychodrame touche à l’indécence, c’est Vaour au pays des Soviets. Tout ceci est ridicule mais aussi inquiétant. Inutile de personnaliser, nous étions nombreux à organiser cette action, à huer Carcenac et maintenant bien plus encore à soutenir cet acte d’expression populaire.

    On assiste à la preuve éclatante que, faute d’un positionnement politique clair, le Conseil municipal dérive comme des petits soldats affolés, perdus en rase campagne. Quand un Conseil départemental vote une subvention à une municipalité ou à une association achète-t-il aussi son silence ? La peur de perdre ce subside doit-elle faire taire la libre pensée et son expression ? Tout cela est affaire de conscience, ces questions sont fondamentales.

    Par ricochet, elles posent la question du contrôle des élus par le peuple car il est utile de leur rappeler que la subvention attribuée par une collectivité n’est que l’argent des contribuables. Les roitelets se l’attribuent à tort comme de l’argent pour les proches.

    Si ces élus effarouchés, ces organisateurs subventionnés et autres grabataires d’un PS moribond ne manquent pas de courage, Il ne leur reste plus qu’à rééditer les pin’s de SOS racisme « Touche pas à mon pote » et les vendre à la prochaine édition pour financer la tournée des festivals de Thierry Carcenac.

    Nous félicitons les acteurs, de ce jour le plus drôle de l’Eté de Vaour 2016, de leur impertinence envers la bien-pensance, comme il sied à tout bon festival du rire.

    Comité des Acrobates du Rire remède à la Constipation des Élus Niant l’Autodérision en pays Cordais

    [1] Pour plus de précision sur les aspects juridiques voir l’article « Retour sur le procès du barrage de Sivens »
    http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article839

    Article d’@Anarchosyndicalisme ! n°151 Oct-Nov 2016
    http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article834

    • Aujourd’hui, 6 mars 2015, double événement :

      1) Le Conseil général du Tarn, encore présidé par Thierry Carcenac (PS), a opté pour la construction d’un barrage sur le Tescou, malgré les nombreux avis défavorables et l’absurdité avérée du projet.

      2) L’Etat PS, avec à sa tête François Hollande et Manuel Valls, a envoyé plusieurs centaines de gendarmes mobiles assistés par des pro-barrages FNSEA et JA, ainsi que par des miliciens fascisants, afin d’expulser totalement l’une des principales ZAD en France.

      Une fois de plus, l’Etat et le Conseil général ont dangereusement joué la carte du pourrissement de la situation et l’escalade calculée de la violence et de la peur, malgré de nombreux blessés. Et la mort, il y a quatre mois, de Rémi Fraisse.

      Nous n’oublierons pas qu’aujourd’hui, 6 mars 2015, aucune voix n’a manqué ni au PS ni à la droite pour voter, main dans la main, en faveur du barrage, à la satisfaction également de l’extrême-droite.

      Nous appelons par conséquent tous nos soutiens partout en France à en tirer les conclusions qui s’imposent : à dénoncer, démasquer et expulser le PS et ses complices.

      Nous les appelons également à ne pas baisser les bras au moment où une ZAD au nord de la Grèce vient d’obtenir gain de cause contre un projet de mine d’or dans la réserve naturelle de Chalcidique.

      ZAD PARTOUT ! NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES ! TERRE ET LIBERTE !

      La coordination des opposants au barrage de Sivens

      réunis place de la Libération à Gaillac, le 6 mars 2015

  • C’est ici qu’on bétonne...
    https://soundcloud.com/vos-gueules-les-mouettes/cest-ici-que-05-testet

    « Mourir pour des idées c’est une chose, mais c’est quand même relativement stupide et bête. » Ainsi s’exprimait Thierry Carcenac, président PS du Conseil Général du Tarn, au lendemain de la mort de Rémi Fraisse sur la ZAD du Testet. Mais de quelles idées s’agit-il ? On a décidé, en plus de nos bottes, d’aller promener notre micro et nos oreilles du côté du projet de barrage. Au bout du tuyau d’arrosage, on a trouvé tout plein de questions sur la gestion de l’eau et sur l’agriculture dans la vallée du Tescou et plus loin. On y a croisé pas mal de gens qui luttent, décortiquent, mentent, démentent, expliquent et nous aident à mieux comprendre les enjeux de ce projet vaseux. Durée : 1h. Source : Radio Vos gueules les (...)

  • Tuer pour la croissance
    http://jefklak.org/?p=1308

    Tribune pour une organisation entre les ZAD et contre les violences policières

    Au lendemain de la mort de Rémi F., Thierry Carcenac a eu cette phrase stupéfiante : « Mourir pour des idées, c’est une chose mais c’est quand même relativement stupide et bête. » À cette fripouille, nous rétorquons : « Tuer pour ses intérêts et pour la croissance, c’est abject, même si c’est relativement banal, à l’échelle de la planète. »

    Car s’il faut voir dans cette mort la conséquence d’une idée, c’est de celle qui anime obsessionnellement tous les gestionnaires du monde, du cadre de PME aux chefs d’État en passant par le moindre élu local : la croissance à tout prix ; l’emploi même s’il est inutile ou nuisible ; le développement infini, pour rester ou devenir plus attractif que le voisin et consolider leur pouvoir.

    Le même jour, Carcenac a aussi poussé ce cri du cœur : « Si tous les chantiers qui déplaisent doivent être protégés ainsi, où va–t-on ? ». Effectivement, où va-t-on si les gens se mêlent de leurs affaires et que les représentants ne peuvent plus s’en occuper à leur place, en s’en mettant plein les poches avec leurs petits copains entrepreneurs ? C’est la crainte qui se répand ces jours-ci dans l’oligarchie française : qu’il ne soit plus possible d’engager des travaux d’infrastructure industrielle dans le pays sans que surgissent des opposants informés, déterminés et librement organisés. Qu’il ne soit plus possible de faire tourner la machine à cash sans que de simples citoyens posent bruyamment les questions qui fâchent : ce projet, pour quoi faire ? au profit de qui ? et avec quelles retombées sur notre milieu de vie ?

    C’est pour cela qu’il est si important, pour l’État, qu’un mouvement de jeunesse n’émerge pas, qui mettrait en question à la fois les moyens (policiers) et les finalités (capitalistes) de son action. Où irait-on si lycéens et étudiants réclamaient le désarmement de la police, en dénonçant de concert les crimes racistes commis ordinairement dans les banlieues et la répression sauvage des manifestations anti-capitalistes ? Où irait-on si les différentes Zones à Défendre contre les projets industriels et commerciaux scélérats continuent de se relier, de se coordonner, de se fédérer, en paroles et en actes ? Difficile pour sûr de savoir où cela nous mènera, mais s’engager sur ce chemin est la plus belle chose qui puisse nous arriver.

    #Sivens #ZAD #Groupe_Marcuse

  • ariegenews.com - Barrage de Sivens : EELV 09 interpelle le président du Conseil général de l’#Ariège
    http://www.ariegenews.com/ariege/debats_opinions/2014/83290/barrage-de-sivens-eelv-09-interpelle-le-president-du-conseil-general-d.h

    le président du Conseil général de l’Ariège, Henri Nayrou(...)précisait avoir une « une pensée pour #Rémi_Fraisse et sa famille » et indiquait dans la phrase suivante : « je pense aussi à Thierry Carcenac, président du Conseil général du Tarn, qui a été exécuté en place publique alors que c’est homme et un élu honnête »

    #socialisme_maffieux #abjection

  • Sivens : lettre ouverte à Thierry Carcenac, par Benoit Biteau (*)
    http://www.eauxglacees.com/Sivens-lettre-ouverte-a-Thierry

    A la veille de la réunion organisée par Ségolène Royal au ministère de l’Ecologie le mardi 4 novembre, autour du projet, contesté, du barrage de Sivens, et d’une soixantaine de projets similaires dans le bassin Adour Garonne, Benoit Biteau, paysan bio et Vice-président du Conseil régional Poitou Charentes, praticien et défenseur éminent d’une agriculture durable, interpelle Thierry Carcenac, président du Conseil régional du Tarn, maître d’ouvrage du projet de barrage de Sivens, qui a annoncé le vendredi (...)

    • Monsieur Thierry Carcenac, vous êtes à la fois pathétique et consternant !

      Consternant, en tant que maître d’oeuvre pour la réalisation du barrage de Sivens, sur le fond de ce dossier.

      Comment peut-on porter un projet public, mobilisant 100% de crédits publics sans se poser les bonnes questions, dès le départ ?

      Le projet de barrage vient du fait que le Tescou subit, depuis 30 ans, des étiages sévères.

      Monsieur Carcenac, vous êtes-vous interrogé sur les causes de ces étiages sévères et quelles évolutions de pratiques pourraient en être à l’origine ? Visiblement non, car vous auriez rapidement pu faire le lien entre ces étiages sévères et le développement important des surfaces en maïs hybride sur le bassin versant du Tescou.

      Le Conseil Général du Tarn devait-il donc, face à cette situation, avec 100 % d’argent public, accepter de réaliser, dans une fuite en avant, un équipement qui ne vient qu’en soutien de ces pratiques agricoles peu respectueuses de la ressource en eau, tant sur le plan quantitatif que qualitatif d’ailleurs, ou explorer, avec cette même enveloppe, de 8,5 millions d’euros, des alternatives à ce modèle agricole qui touche le fond ? La réponse ne peut que trouver ses fondements dans le bon sens paysan !

      Monsieur Carcenac, vous invoquez le nécessaire soutien à ce projet au motif que cette agriculture est plus « rentable » grâce à l’irrigation.

      Mais comment expliquer alors, que ces maïsiculteurs, grands bénéficiaires des aides publiques de la PAC (Politique Agricole Commune), expliquant d’ailleurs la majeure partie de la rentabilité de cette culture, ne puissent pas, au nom de cette rentabilité, financer eux-mêmes, un tel projet ?

      Faisons, maintenant un peu de mathématiques.

      Monsieur Carcenac. Vous expliquez que les exploitations moyennes concernées, pourraient irriguer environ 40 hectares chacune grâce au 1,5 millions de mètres cubes stockés dans le barrage de Sivens.

      Contrairement à ce que vous dites, la grande majorité des surfaces qui seraient irriguées grâce ce projet (cf : enquête publique) sont des surfaces en maïs ! Pour irriguer 1 hectare de maïs hydride, il est nécessaire de mobiliser, en moyenne 2 000 m3 d’eau. Ce barrage permettrait donc l’irrigation d’environ 800 hectares de ce maïs. Pour une moyenne de 40 hectares par exploitation, le projet ne peut donc que concerner environ 20 exploitations !

      Ce qui signifie qu’un projet de 8,5 millions d’euros, d’argent public, pour stocker de l’eau, ne va bénéficier qu’à 20 exploitations agricoles, parmi celles d’ailleurs les mieux dotées en aides publiques de la PAC ! Belle logique vertueuse ! En gros, sans trop caricaturer, 20 exploitations agricoles, parmi les mieux dotées d’aides publiques de la PAC, vont se voir attribuer une nouvelle aide publique indirecte d’un peu plus de 400 000 euros chacune ! 400 000 euros qu’elles ne peuvent pas financer seules et qui pourtant vont servir à irriguer une plante, parait-il très rentable, à laquelle elles ne peuvent donc renoncer, et qui justifie donc la réalisation de ce barrage.

      Qui parlait de bon sens paysan ?

      #les_points_sur_les_i #agriculture #climat #eau #gpii

  • Lettre ouverte à Thierry Carcenac, par Benoit Biteau
    http://www.eauxglacees.com/Lettre-ouverte-a-Thierry-Carcenac

    A la veille de la réunion organisée par Ségolène Royal au ministère de l’Ecologie le mardi 4 novembre, autour du projet, contesté, du barrage de Sivens, et d’une soixantaine de projets similaires dans le bassin Adour Garonne, Benoit Biteau, paysan bio et Vice-président du Conseil régional Poitou Charentes, praticien et défenseur éminent d’une agriculture durable, interpelle Thierry Carcenac, président du Conseil régional du Tarn, maître d’ouvrage du projet de barrage de Sivens, qui a annoncé le vendredi (...)

  • Rémi Fraisse, une mort « stupide et bête » ? M. Carcenac doit démissionner !

    https://france.attac.org/actus-et-medias/article/en-france-on-meurt-pour-des-idees

    Thierry Carcenac, Président du Conseil général du Tarn : « Mourir pour des idées, c’est une chose, mais c’est quand même relativement stupide et bête ». Une telle phrase, qui fait la Une du quotidien régional La Dépêche, devrait conduire son auteur à la démission de toutes ses responsabilités dans la République, président du conseil général et sénateur.

  • Thierry Carcenac : « Mourir pour des idées, c’est une chose, mais c’est quand même relativement bête » - 27/10/2014 - LaDépêche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/27/1980186-thierry-carcenac-mourir-idees-est-chose-est-quand-relativement-bet

    Formidable commentaire sous l’article, que je colle ici pour la postérité :

    Des études américaines ont montré que lorsqu’on ne tue pas les gens ils vivent en moyenne beaucoup plus longtemps et aussi qu’il y a une forte corrélation entre le nombre de personnes qui meurent pour des idées et celle qu’on tue pour des idées.

  • Thierry Carcenac : « Mourir pour des idées, c’est une chose, mais c’est quand même relativement bête » - 27/10/2014 - LaDépêche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/27/1980186-thierry-carcenac-mourir-idees-est-chose-est-quand-relativement-bet

    « L’arrêt total du projet de barrage à #Sivens aurait des conséquences sur l’indemnisation aux entreprises. La reconfiguration du projet pose d’autres problèmes juridiques », a indiqué le président du conseil général du Tarn lors d’une conférence de presse. Il indique toutefois partager les préconisations des experts.

    En ce qui concerne le dramatique décès de Rémi, le jeune Toulousain mort sur le coup dans la nuit de samedi à dimanche, à cause d’une explosion d’origine indéterminée, Thierry Carcenac a déclaré : « Mourir pour des idées, c’est une chose, mais c’est quand même relativement stupide et bête ». Néanmoins, je tiens à dire que je comprends et que je me mets à la place des parents dans cette situation".

    #salauds

  • Sivens/Testet : déjà 49 et 43 jours de grève de la faim !
    http://www.eauxglacees.com/Sivens-Testet-deja-49-et-43-jours

    Depuis le 27 août 2014, des militants du Collectif ont commencé une grève de la faim devant le Conseil Général du Tarn dans le cadre du projet très controversé de barrage de Sivens. Thierry Carcenac, président du Conseil Général (récemment élu sénateur du Tarn…), n’a toujours pas apporté de réponses aux questions envoyées par le Collectif en février 2014 tout comme il refuse tout débat public contradictoire depuis un an.Ayant peur d’affronter les arguments du Collectif, il trouve toujours des nouveaux (...)