person:tristan nitot

  • Conseil de lecture : Surveillance :// de Tristan Nitot – AIL – Association pour une Informatique Libre
    http://asso-ail.org/2019/05/04/conseil-de-lecture-surveillance-de-tristan-nitot

    Cet ouvrage explique comment nos moindres faits et gestes sont suivis, enregistrés, analysés, dans le but de créer des profils d’utilisateur qui se revendent à prix d’or (mais surtout au prix de notre vie privée). Tristan Nitot nous donne une analyse factuelle de la situation mais – surtout – nous offre les moyens de reprendre le contrôle de notre vie numérique. Tout s’articule autour de deux axes : « Comprendre et agir » ! Un « must have » pour tous ceux qui veulent défendre nos libertés numériques.

    #Surveillance #Tristan_Nitot #C&F_éditions

  • Les Journées du Logiciel Libre ont besoin de vous !
    https://linuxfr.org/news/les-journees-du-logiciel-libre-ont-besoin-de-vous-9eab733d-5c89-40bd-8942-3

    Vous êtes certainement nombreux à déjà connaître les Journées du Logiciel Libre.

    Dédiées à la promotion du Libre auprès du grand public et organisées par un collectif associatif (ALDIL, Illyse, Maison pour tous de Lyon), elles se dérouleront les 6 et 7 avril 2019 à la MPT – Salle des Rancy au cœur de Lyon sous le thème « Ecologeek : pour une terre communautaire ».

    Au programme : ateliers, install parties, espace DIY et les conférences de Tristan Nitot (Qwant), Laurent Chemla (Gandi, Caliopen), Pierre‐Yves Beaudouin (Wikipédia), Alexandre Monnin (Origens Media Lab) ou encore Pierre‐Yves Gosset (Framasoft), qui ont pour l’heure accepté notre invitation.

    Afin d’assurer la réussite de cet événement régional, nous avons cependant besoin de soutien financier et matériel, en privilégiant la participation de tous.

    → Voulez‐vous bien (...)

  • Les Journées du Logiciel Libre ont besoin de vous !
    https://linuxfr.org/news/les-journees-du-logiciel-libre-ont-besoin-de-vous-396afc58-7b17-4373-8920-6

    Vous êtes certainement nombreux à déjà connaître les Journées du Logiciel Libre.

    Dédiées à la promotion du libre auprès du grand public et organisées par un collectif associatif (ALDIL, Illyse, Maison Pour Tous de Lyon), elles se dérouleront les 6 et 7 avril 2019 à la MPT – Salle des Rancy au cœur de Lyon sous le thème « Ecologeek : pour une terre communautaire ».

    Au programme : ateliers, install parties, espace DIY et les conférences de Tristan Nitot (Qwant), Laurent Chemla (Gandi, Caliopen), Pierre-Yves Beaudouin (Wikipédia), Alexandre Monnin (Origens Media Lab) ou encore Pierre-Yves Gosset (Framasoft), qui ont pour l’heure accepté notre invitation.

    Afin d’assurer la réussite de cet événement régional, nous avons cependant besoin de soutien financier et matériel, en privilégiant la participation de tous.

    → (...)

  • Hauts-de-Seine - Le département choisit le moteur de recherche Qwant | La Gazette de la Défense
    https://lagazette-ladefense.fr/2019/02/22/le-departement-choisit-le-moteur-de-recherche-qwant

    Tristan Nitot n’y est pas allé de main morte. Qwant, qui hache et chiffre les données personnelles de ses utilisateurs, serait une réponse aux pillages du net opérés par Facebook et Google. « Veut-on que la France devienne colonie numérique américaine ? », s’est-t-il ainsi interrogé, soulignant que Facebook serait une coquille vide sans les données personnelles de ses usagers, ou que Google, via ses multiples applications, dispose d’une somme inquiétante de données.

    « Google collecte toutes vos données personnelles, que ce soit votre position et vos déplacements prévus avec Maps, vos correspondances avec Gmail, vos contacts, votre réseau, vos préoccupations, vos interrogations avec le moteur de recherche, ou encore ce que vous prévoyez de faire avec Google Agenda : si vous êtes sous surveillance, vous n’êtes pas libres », s’alarme-t-il.

    5 000 postes de l’hôtel départemental et 3 000 postes dans les Yvelines sont déjà équipés du moteur de recherche français, auxquels s’ajoute depuis le 1er février ceux du conseil départemental des Hauts-de-Seine. « Ce n’est pas quelques milliers d’ordinateurs qui vont changer notre chiffre d’affaire, mais cela montre que notre service est propre et digne de confiance, et nous, nous payons nos impôts en France, suivez mon regard ! », glisse Tristan Nitot dans une dernière pique adressée aux GAFA.

    #Tristan_Nitot

  • Pourquoi la levée de l’anonymat sur Internet ne mettra pas fin aux délits en ligne
    https://www.marianne.net/societe/pourquoi-la-levee-de-l-anonymat-sur-internet-ne-mettra-pas-fin-aux-delits-

    Un anonymat déjà très relatif

    Le levée de l’anonymat, une mesure miracle ? Renseignements pris, pas si sûr. Dans les faits, il s’agit déjà d’une notion très relative sur internet. Hormis quelques hackeurs insaisissables, l’immense majorité des internautes, qui sèment des petits cailloux à longueur de navigation, sont déjà traçables sur internet et peuvent être retrouvés, à condition de s’en donner les moyens. « Les gens qui le veulent peuvent se rendre plus difficilement traçable sur internet, mais ce n’est pas pour tout le monde, ce n’est pas à la portée du petit apprenti djihadiste », nous confirme Stéphane Bortzmeyer, ingénieur en réseaux informatiques. Ne laisser aucune emprunte en ligne relève, selon ce militant des libertés sur internet, de la gageure. « L’anonymat sur internet, ça revient au mode de pensée d’un espion en territoire ennemi, à la moindre erreur, vous êtes démasqué. Ça demande une mentalité paranoïaque. »

    Anonymat = violence ? Une idée reçue

    Hélas, allouer des moyens supplémentaires pour permettre à la police de retrouver les délinquants du web, et aux tribunaux de les condamner, n’aurait rien d’une solution miracle mettant fin à la haine sur la toile. En effet, le secret de l’identité civile sur internet ne semble pas corrélé avec le fait d’être plus ou moins violent en ligne. « Ce n’est pas le pseudo qui va faire le comportement déviant », insiste Lucile Merra. « Ces comportements violents préexistent à Internet. (…) Cela relève d’un comportement malsain de certains individus au sein de leur environnement social. »

    Une étude de juin 2016, publiée par équipe de chercheurs de l’Université de Zurich, tend à montrer que dans le contexte d’une polémique en ligne, l’anonymat ne démultiplie pas systématiquement l’agressivité des internautes. Au contraire, sur les 532197 commentaires analysés, tous postés sur une plateforme de pétitions en ligne allemande entre 2010 et 2013, les internautes écrivant sous leurs véritables identités étaient plus agressifs que ceux recourant à l’anonymat. La même année, une étude de l’université d’Etat du Michigan a également montré que, selon les données compilées dans 16 études scientifiques sur la question, les individus « sont en fait plus sensibles aux normes collectives d’un groupe lorsqu’ils sont moins identifiables par les autres membres de ce groupe ».

    L’idée selon laquelle le fait de se cacher derrière un avatar confèrerait aux internautes un sentiment d’impunité, qu’ils se penseraient alors invulnérables et profiteraient de la situation pour se livrer à un certain nombre de dérives, tiendrait ainsi de l’idée reçue. « Le sentiment d’impunité tient plus à qui vous êtes et d’où vous parlez qu’au fait que vous le fassiez sous pseudonyme. Un homme blanc éduqué pourra par exemple se sentir davantage autorisé à tenir certains propos », avance Stéphanie Wojcik, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris-Est Créteil. Tristan Nitot, auteur du livre Surveillance, les libertés au défi du numérique, abonde en ce sens : « Le discours de haine ou le harcèlement surviennent quand ils sont considérés comme socialement acceptables, voire fédérateurs, au sein d’un groupe qui partage les mêmes opinions. » Le vice-président du moteur de recherche français Qwant pointe en outre une « inconscience » des internautes. "Je pense que le premier facteur du sentiment d’impunité, c’est le rapport au numérique, perçu à tort comme un domaine « virtuel », plutôt que le fait de porter un pseudonyme", explique-t-il. « Dans un café, je suis inconnu, anonyme, et pourtant je ne tiens pas de discours haineux. A l’inverse, les membres de la Ligue du LOL ne portaient pas de pseudonyme pour la plupart. »

    Une voie royale pour les Gafam

    Cependant, donner voix au chapitre aux géants du web sur ces questions, notamment en leur fournissant davantage d’éléments concernant l’identité de leurs utilisateurs, ne va pas sans de vives inquiétudes. Stéphane Bortzmeyer s’alarme du pouvoir exorbitant qui serait entre les mains de ces structures : « Les Gafam (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) ont déjà trop d’informations, et on veut en faire les auxiliaires privés de l’Etat dans le contrôle des identités en ligne ! L’obsession du contrôle de l’internet mène à oublier à quel genre de sociétés on veut confier notre surveillance. On ne peut pas reprocher à Facebook de collaborer avec le gouvernement chinois pour contrôler qui fait quoi, si on fait la même chose chez nous. »

    Pour ces raisons, la « levée progressive de toute forme d’anonymat », tel qu’Emmanuel Macron l’avait initialement envisagé, a de quoi faire frémir quant aux rôles de ces entreprises privées, expose Tristan Nitot. « Aujourd’hui, sur Facebook, de nombreuses personnes se sont exprimées sur les gilets jaunes. Chacune a été identifiée, ça se fait automatiquement, par des robots qui analysent les données et des algorithmes de deep learning. Le métier de Google, c’est de tout savoir sur vous. Facebook ou Google sont conçus, structurellement, pour offrir un ciblage très fin à des annonceurs, c’est leur modèle commercial. Que vous ayez un pseudonyme ou non, on pourra vous cibler sur internet. Or, la question des identités appartient à l’Etat, pas aux entreprises. »

    Si le projet de loi qui sera présenté en mai prochain n’est que la première étape de cette « levée progressive » de l’anonymat, le poids des Gafam ne sera que l’un des problèmes qui se posera aux citoyens. Ne plus pouvoir se cacher sous un pseudonyme est loin d’aller soi en matière de liberté d’expression. « Si on va vers l’interdiction de l’anonymat, on va vers beaucoup plus de discrimination, avec des gens au statut social particulier - policiers, professeurs, hauts fonctionnaires ou anciens détenus - médiatisés ou non, qui pourraient devenir victimes de harcèlement, voire mis au ban de groupes sociaux », nous détaille Maryline Laurent, professeur à Telecom sup Paris et auteur du livre La gestion des identités numériques.

    #Anonymat #Identité_numérique #Liberté_expression #Stéphane_Bortzmeyer #Tristan_Nitot

  • Les limites de la déGAFAisation individuelle (Blog Stéphane Bortzmeyer)
    https://www.bortzmeyer.org/degafaisation-individuelle.html

    Il y a aujourd’hui une certaine prise de conscience des dangers divers associés à l’utilisation trop exclusive des GAFA. (Si vous ne la partagez pas, je vous conseille le livre de Tristan Nitot, surveillance ://.) Cette prise de conscience a comme résultat l’apparition de nombreux articles donnant des conseils de déGAFAisation, « faites ceci », « ne faites pas cela », conseils sur les logiciels et les services à utiliser… Même le gouvernement français s’y met. C’est une excellente chose et je m’en félicite. Mais, en même temps, il faut être conscient des limites de cette approche individuelle.

  • Surveillance :// Les libertés au défi du numérique, de Tristan Nitot, C&F éditions -
    http://danactu-resistance.over-blog.com/2018/07/surveillance/les-libertes-au-defi-du-numerique-de-tristan-nitot-c-f

    En quatre grands mouvements Tristan Nitot partage ses vastes connaissances. Dans un premier temps, les dangers de la surveillance, les risques personnels, Google, Facebook, le Big Data, les rapports entre la loi et la vie privée. Ensuite il analyse les mécanismes de la surveillance, le piège de la gratuité, Apple, les Smartphones et le Cloud, sans oublier l’énorme vague actuelle des objets connectés et les services de renseignement. Un peu démoralisé par cette réalité angoissante digne d’Orwell et Huxley, l’on aborde heureusement les deux dernières parties, plus euphorisantes, les remèdes. Car à tout problème existe un remède. Si un autre monde est possible comme nous le répète souvent les altermondialistes, un autre réseau est aussi possible : reprendre le contrôle, logiciels libres, chiffrement, ou maîtrise du serveur. Mais aussi choisir son navigateur, sa messagerie, son smartphone, ou encore paramétrer Google. Grande qualité de cet ouvrage, la simplicité des explications en évitant le jargon habituel des geeks et autres hackers. Chacun pourra comprendre la situation actuelle et surtout comment y remédier et reprendre sa vie informatique en main. Indispensable.

    #Tristan_Nitot #Surveillance

  • Tristan Nitot : Facebook a « laissé faire » Cambridge Analytica - Le Point
    http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/tristan-nitot-facebook-a-laisse-faire-cambridge-analytica-22-03-2018-2204601

    Tristan Nitot, un activiste de la première heure pour les libertés sur Internet, est un ancien de Netscape puis de Mozilla (éditeur du navigateur libre Firefox). Il a rejoint la start-up Cozy Cloud, qui veut proposer des services en ligne respectueux de la vie privée. Il a publié en 2016 l’excellent livre Surveillance :// , qui dénonce notamment l’action des Gafam, et donne des clés pour être (un peu) moins surveillé.

    Le Point : qu’est-ce qui rend l’affaire Cambridge Analytica importante ?

    Tristan Nitot : Elle révèle le vrai business model de Facebook et des géants de l’Internet : capturer un maximum de données personnelles et les monétiser à tout prix, sans aucune considération éthique. Souvenons-nous que récemment, on a découvert qu’ils permettaient de cibler de la publicité de façon raciste. La publicité sur la base de la donnée personnelle collectée est le cœur du réacteur de Facebook, et on voit que la machine est cassée.

    De plus, cela vient s’ajouter à la longue liste des bévues de Facebook : violation de la neutralité du Net avec Internet.org ; publicités en libre service, qui ont permis de cibler, par exemple, les internautes tapant les mots « brûleurs de juifs » et de promouvoir la haine ; technologie Beacon qui révèle vos achats à vos proches (violation de la vie privée) ; promotion des fake news via un algorithme qui favorise les contenus les « plus engageants » [qui génère le plus de clics et de partages, NDLR] ; modèle publicitaire encourageant les publicités outrageuses (car de telles publicités poussent à cliquer et sont vendues moins cher) ; spam par les jeux qui tentent de devenir viraux ; révélation par défaut de données personnelles lors du changement d’interface de Facebook ; manipulation des émotions de 600 000 personnes non prévenues dans le cadre d’une expérience psychologique ; publicité raciste car excluant certaines audiences sur la base de la race, etc.

    Il faudrait quand même bien que les gens comprennent qu’ils ne sont pas les clients des géants de l’Internet, mais leur matière première

    Qui est coupable ? Facebook est-il vraiment victime ?

    Il y a plusieurs fautifs. Évidemment, Cambridge Analytica est le premier. Ils veulent manipuler une élection, vendent leurs services à cet effet, et c’est scandaleux, quel que soit le camp qui en profite.

    Mais Facebook aussi a sa part de responsabilité, pour avoir laissé faire, pour avoir été négligeant quand ils se sont rendu compte du problème. En 2015, ils ont demandé à Cambridge Analytica de supprimer les données, ce qui n’a pas été fait (elles ont été utilisées en 2016). En fait, Facebook considère tout cela comme un problème négligeable. Ils ont eu tort de n’avoir pas prévenu les utilisateurs concernés.

    #surveillance #Cambridge_analytica #Facebook

  • Les Journées du logiciel libre 2018 à Lyon ont besoin de vous !
    https://linuxfr.org/news/les-journees-du-logiciel-libre-2018-a-lyon-ont-besoin-de-vous

    Dédiées à la promotion du Libre auprès du grand public et organisées par un collectif associatif (ALDIL, Illyse, MPT), les Journées du logiciel libre se dérouleront les 24 et 25 mars 2018 à la Maison pour tous – Salle des Rancy, au cœur de Lyon, et fêteront leurs vingt ans  ! Au programme, ateliers (adultes et enfants), install parties, espace DIY et les conférences de Tristan Nitot, David Revoy, Hervé le Crosnier ou encore Pierre‐Yves Gosset, qui ont, pour l’heure, généreusement accepté notre invitation.

    Afin d’assurer la réussite de cet événement régional, nous avons cependant besoin de soutien financier et matériel, en privilégiant la participation de tous. Voulez‐vous bien apporter votre pierre à l’édifice  ? Vous pouvez contribuer de différentes façons :

    faire un don via la plate‐forme helloasso  ; devenir l’un de nos (...)

  • Nothing To Hide un documentaire sur la surveillance numérique | L’ADN
    http://www.ladn.eu/nouveaux-usages/doit-on-se-resigner-a-la-surveillance-numerique-de-masse

    Dire que la vie privée ne vous intéresse pas parce que vous n’avez « rien à cacher » c’est comme dire que la liberté d’expression est inutile parce que vous n’avez rien à dire.

    Edward Snowden

    La projection se tenait au Maif Social Club et était proposée par Tristan Nitot, auteur de l’ouvrage surveillance ://. Dans cet essai, il dresse le bilan du pillage systématique de nos données orchestré par les géants du numérique, et propose des solutions concrètes pour reprendre le contrôle. Fervent défenseur des libertés numériques et du logiciel libre comme alternative aux GAFAM, il répondait à nos questions en Juin 2017 à Futur en Seine.

    #Surveillance #Vie_Privée #C&Féditions #Tristan_Nitot

  • Rien à cacher, vraiment ? - Communauté Mozilla francophone
    https://blog.mozfr.org/post/2017/10/Rien-a-cacher-vraiment-nothing-to-hide

    Ce mardi soir, l’ancien patron de Mozilla en France, Tristan Nitot, recevait dans les bureaux parisiens de Mozilla au nom de son nouvel employeur Cozy Cloud, startup française qui fait de l’hébergement décentralisé.

    Il s’agissait, après une courte introduction (sans les cochons) de regarder le documentaire – lancé grâce au financement partificipatif – Nothing to Hide, qui a été placé sous licence libre sans utilisation commerciale fin septembre (CC By-NC-ND 4.0).

    Le film résonne avec les préoccupations de Mozilla et pas uniquement car apparaissent les logos de Firefox et Thunderbird aux côtés du navigateur Tor (basé sur Firefox) lors de la présentation de quelques outils pouvant limiter la surveillance. Il donne la parole à des représentants d’organisations que Mozilla côtoie dans les salons et conférences, et qui sont aussi accueillies dans ses locaux par Mozilla pour leurs événements.

  • Tristan Nitot - Interview - Tous connectés du 13/10/2017 – Fréquence Protestante
    https://frequenceprotestante.com/diffusion/tous-connectes-du-13102017

    Comprendre et agir face au contrôle de notre vie numérique

    Avec Tristan Nitot

    Réf : « Surveillance :// Les libertés au défi du numérique : comprendre et agir » C&F éditions.

    #Tristan_Nitot #C&F_éditions #Interview

  • Comment protéger sa vie privée sur Internet, Les Echos Week-end
    https://www.lesechos.fr/week-end/perso/developpement-personnel/030695212540-comment-proteger-sa-vie-privee-sur-internet-2122002.php#

    Alors, n’ai-je vraiment rien à cacher ? « Ce n’est pas un argument recevable, assure Rayna Stamboliyska, auteur du livre "La Face cachée d’Internet" (Larousse, 2017). Nous avons tous et toutes quelque chose à cacher. Cependant, avoir une vie personnelle et une intimité ne veut pas dire qu’on est un criminel ou qu’on agit comme tel. »

    Deuxième étape : le choix du moteur de recherche. « Beaucoup de nos recherches sont de l’ordre de l’intime et Google est finalement le premier à qui l’on fait part de nos questionnements », fait remarquer Tristan Nitot, directeur produit chez Cozy Cloud et auteur du livre Surveillance :// (C & F Éditions, 2016). Face à l’américain, quasi hégémonique en France, il invite à utiliser de préférence Qwant, un moteur de recherche européen explicitement développé pour protéger la vie privée des utilisateurs et dont le modèle économique repose sur l’affiliation. « Nous ne vous traçons pas, nous ne gardons pas votre adresse IP, nous n’avons aucune information sur qui vous êtes ni sur où vous allez », assure ainsi Éric Léandri, directeur général de Qwant. Il existe aussi des méta-moteurs de recherche, comme DuckDuckGo ou StartPage, qui transmettent votre requête à d’autres moteurs, servant ainsi d’intermédiaire.

    Tentez cette petite expérience : téléchargez l’application DataRespect (pour l’instant disponible seulement pour Android) puis cliquez sur le bouton « Faites-moi peur ! » Vous découvrirez alors combien d’applications installées sur votre téléphone peuvent savoir à votre insu où vous êtes, accéder à liste de vos contacts, vos fichiers, votre enregistreur, votre caméra, savoir qui vous appelle, connaître votre activité physique... Le smartphone, de fait, est un véritable mouchard ! Soyez donc vigilant quant aux accès que requiert une application lors de l’installation. « La donnée la plus sensible est la géolocalisation, considère Philippe Michel, directeur général de Magush et créateur de DataRespect. Si j’ai votre géolocalisation, je sais tout de vous. » Il suggère de la désactiver le plus souvent possible. Sachant que le wifi et le bluetooth peuvent également permettre de géolocaliser, Philippe Michel applique une solution radicale : « Si je vais faire un quelconque examen médical, même si ce n’est pas grave, je laisse mon téléphone à la maison parce que je n’ai pas envie que ma géolocalisation soit récupérée par n’importe qui. Imaginez que cette information tombe entre les mains d’une assurance ou d’une banque... » Pour limiter la collecte de ses données personnelles, Tristan Nitot a de son côté abandonné les smartphones utilisant Android, qu’il qualifie d’« aspirateur à données », au profit de l’iPhone. « Apple a un business model très lucratif - vendre des gadgets très cher en faisant une très grosse marge - qui ne l’oblige pas à avoir recours à la collecte de données personnelles pour faire du ciblage », explique-t-il. Son seul regret : impossible d’installer des applications libres sur l’iPhone.

    #Vie_privée #Tristan_Nitot

  • YogaEsoteric : : Surveillance : Tristan Nitot à l’aide des internautes : :
    http://www.yogaesoteric.net/content.aspx?lang=FR&item=12478

    C’est un pari difficile que de vulgariser des concepts techniques. C’est étonnamment bien réussi de la part de Tristan Nitot, dans son live « Surveillance :// Les libertés au défi du numérique : comprendre et agir ». Expliquer les enjeux de la surveillance et les moyens mis en place par les Etats et les entreprises privées, n’est pas chose aisée. Les non-spécialistes ont tendance à rapidement utiliser le point #spagrave, #jairienacacher ou #jinteressepersonne.

    Sans tomber dans une paranoïa totale et sans décrire une infrastructure de psychopathe de la protection des communications, Tristan Nitot donne aux béotiens les moyens nécessaires pour assurer un minimum de privacy. Ce qui est une gageure.

    #C&Féditions #Tristan_Nitot #surveillance

  • Next INpact : Commandez un exemplaire dédicacé de Surveillance :// de Tristan Nitot avec votre abonnement
    https://www.nextinpact.com/blog/104774-commandez-exemplaire-dedicace-surveillance-tristan-nitot-avec-vot

    Vous n’avez pas encore lu Surveillance :// de Tristan Nitot ou vous souhaitez en obtenir un exemplaire dédicacé ? C’est possible en vous abonnant à Next INpact !

    Nous avons eu l’occasion de rencontrer Tristan Nitot à l’occasion de notre reportage sur Pas Sage En Seine. Nous en avons profité pour lui demander s’il pouvait proposer des exemplaires dédicacés de son livre, Surveillance ://, que nous pourrions distribuer avec notre abonnement. Il a accepté.

    Commandez votre exemplaire

    Ainsi, pour tout abonnement ou prolongement d’un an ou deux ans à Next INpact, vous pourrez choisir un exemplaire dédicacé dans la section dédiée aux Goodies. Attention, seuls 30 exemplaires sont proposés. Une fois votre commande et votre adresse validées, nous vous contacterons afin de confirmer vos informations et les mentions de la dédicace. La livraison aura lieu courant août (si la force de Pinkie est avec le poignet de Tristan).

    Cette offre est réservée aux lecteurs en France Métropolitaine pour des raisons de simplicité d’envoi. Le tarif, livraison comprise est le suivant :

    Abonnement d’un an : +19 euros
    Abonnement de deux ans : +15 euros

  • Reprendre sa vie numérique et ses données en main - Tristan NITOT - WEB2DAY 2016 - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=gzMaUoMsgpU

    Tristan Nitot - Chief Product Officer COZY CLOUD

    Peut-on imaginer un monde où il serait possible d’utiliser nos données sans pour autant les confier à un tiers ? Peut-on imaginer un monde où les services de Google ne seraient pas incontournables ? Peut-on imaginer un monde où on ne serait pas bombardé de publicités intrusives et surveillés par des agences de renseignement ?

    Si oui, à quoi ressemblerait ce monde ? Il reposerait sur le concept de SIRCUS – Système d’Information Redonnant Contrôle aux UtilisateurS – un concept qui s’appuie sur 7 principes. L’approche SIRCUS permet aux utilisateurs de reprendre le contrôle de leurs données personnelles, un point essentiel alors que nos smartphones savent tout sur nous et que des tendances comme l’Internet des Objets et le Quantified Self produisent toujours plus de données personnelles.

    Le concept SIRCUS offre aussi aux développeurs et aux marques l’accès à ces données, sous le contrôle de l’utilisateur.

    #Tristan_Nitot #C&Féditions #surveillance

  • Tristan Nitot, fondateur de Mozilla Europe et auteur de « Surveillance :// » - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=sxReNJ6jejU

    En quittant Mozilla, en 2015, Tristan Nitot avait annoncé la couleur : il comptait bien écrire un livre sur la surveillance de masse pratiquée notamment par les géants Google, Facebook ou Amazon. Depuis début octobre, « Surveillance :// » est donc en librairies. Un ouvrage clair et concis dans lequel ce fervent défenseurs des libertés en ligne fait l’état des lieux des pratiques – et débordements – actuels des principaux acteurs du numérique (et, par extension, des gouvernements...).
    « Comprendre et agir » : voici ce à quoi veut-nous pousser Tristan Nitot, sans toutefois tomber dans la parano. Interview.

    #C&Féditions #Tristan_Nitot #surveillance

  • C&F Éditions, des livres pour devenir un citoyen connecté et éclairé
    https://www.actualitte.com/article/monde-edition/c-f-editions-des-livres-pour-devenir-un-citoyen-connecte-et-eclaire/82648

    À la tête d’un catalogue d’une quarantaine de références, la maison d’édition C&F a de quoi porter les différents thèmes qui animent sa ligne éditoriale : culture numérique en général, et biens communs, design, citoyenneté, éducation ou encore musique en particulier. Hervé Le Crosnier et Nicolas Taffin, cofondateurs de la maison, nous ont éclairés sur la démarche qui les anime.

    Il y a 14 ans, à la veille du Sommet mondial sur la société de l’information, Hervé Le Crosnier et Nicolas Taffin décident de monter une structure d’édition « pour porter la parole de la société civile, des associations, des citoyens et d’une partie du monde, les pays du Sud, à l’occasion de ce sommet, où les multinationales et les gouvernements occidentaux étaient très bien représentés » . Il en sort un ouvrage de 650 pages, Enjeux de mots, qui présente en quatre langues les attentes et les idées de ceux qui n’ont d’habitude pas la parole dans ce type d’événement.

    Depuis, les deux éditeurs, qui sont par ailleurs enseignants-chercheurs à l’université de Caen, n’ont pas oublié leur credo originel : « Nous sommes dans la société numérique, aujourd’hui, maintenant, alors comment la penser ? La question n’est pas d’être pour ou contre, mais il faut s’interroger sur la manière dont les débats politiques, économiques et culturels se retrouvent dans le monde numérique » , souligne Hervé Le Crosnier.

    Les publications de C&F Éditions mêlent ainsi culture numérique et citoyenneté, gouvernance, information ou encore la démocratie, pour des livres-sommes, la plupart du temps. On retrouve ainsi à leur catalogue deux ouvrages signés par Fred Turner, un historien américain qui a retracé tout l’histoire d’Internet dans Aux sources de l’utopie numérique et s’est intéressé aux nouveaux médias interactifs, plus démocratiques, nés avec le réseau mondial.

    Si la culture numérique les passionne, Le Crosnier et Taffin l’évoquent sans angélisme, conscients des enjeux : « Aujourd’hui, on parle sans arrêt des outils numériques que l’on va mettre à l’école, sauf que les jeunes sont déjà plongés dans le monde numérique. Ce qu’il faudrait, c’est leur apprendre à réfléchir ce monde : le rôle de l’école est de former des citoyens, et un citoyen du XXIe siècle doit penser son monde, se l’approprier » , expliquent les éditeurs.

    D’où, au sein du catalogue, des ouvrages polémiques, comme surveillance ://, de Tristan Nitot, qui fournit des clés pour se prémunir de l’œil des gouvernements sur Internet. Ou encore C’est compliqué, de danah boyd, et Grandir connectés, une enquête dans les collèges et lycées d’Anne Cordier, qui proposent une autre vision de la vie numérique des plus jeunes, sans a priori ni mépris.

    Dans le catalogue d’une vingtaine d’ouvrages, beaucoup sont collectifs, et portés par une volonté démocratique forte : « Nous essayons toujours d’équilibrer les intervenants hommes et femmes, originaires de l’hémisphère Nord comme du Sud » , explique Nicolas Taffin. Les deux éditeurs prolongent leur activité dans une dynamique de partage qui inclut la création de sites web et d’outils d’édition.

    « Nous voulons donner des moyens, des sites web, des livres, des listes de diffusion, qui ne sont pas focalisés sur un usage du matériel numérique, mais plutôt sur la littératie numérique » , notion qui recouvre justement la capacité à maîtriser, comprendre et transmettre l’outil numérique.


    #C&Féditions

  • Tendance CLAIRE du NPA | Surveillance :// par Tristan Nitot
    http://tendanceclaire.org/article.php?id=1196
    images/LogoTC-court.png

    En même temps, il ne s’agit pas d’un ouvrage destiné à des utilisateurs ou utilisatrices avancées. Il s’adresse à des personnes n’ayant aucune notion de la gestion de leur trace sur Internet. Une fois parcouru les débats et principes des questions de surveillance, une seconde partie plus technique s’ouvre pour décrire la manière, les méthodes, les techniques et l’usage qu’ont les entreprises sur Internet des données récupérées. Ici l’auteur propose un éclairant renversement de perspective : nous avons l’impression de consommer Internet, de consommer ses services de partages, d’échanges, d’e-mail, de réseaux sociaux etc. Des services généralement gratuit auquel nous succombons assez simplement. Sauf que « si c’est gratuit c’est vous le produit » et Tristan Nitot nous décrit à la fois les subtilité des contrats d’utilisation indigestes (qu’il résume à chaque fois en 2 lignes) ainsi que ce qu’un serveur distant peut apprendre de notre ordinateur, smartphone, de notre navigation sur Internet…

    #C&Féditions #Tristan_Nitot #surveillance ://

  • Surveillance :// de Tristan Nitot | Le Blog d’ANDRE Ani
    https://andre-ani.fr/divers-informatique/surveillance-de-tristan-nitot

    Je viens de lire le livre de Tristan Nitot, Surveillance :// Et mon verdict est : vraiment bien ? Intéressant, plutôt complet et facile à comprendre. Je pense que même des gens qui n’y connaissent pas grand chose en informatique le comprendrait facilement, et c’est tout à fait ce qu’il faut. Plein de sujets abordés sur la surveillance dans nos sociétés, pas trop de technique. Un bon livre pour comprendre les tenants et aboutissants de la surveillance, la publicité ciblée, les silos, la surveillance des états et des agences gouvernementales, le libre.

    #C&Féditions #Tristan_Nitot #surveillance

  • « Si vous demandez ‘Que faites-vous de mes données ?’ vous n’obtiendrez aucune réponse » - Sciencesetavenir.fr
    https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/si-vous-demandez-que-faites-vous-de-mes-donnees-vous-n-obtiendrez-a

    Une BD en complément pour celles et ceux qui ont apprécié « surveillance ://« de Tristan Nitot et « C’est compliqué » de danah boyd

    Effectivement. Nous voulions aussi expliquer qu’il ne suffit pas de cocher une case dans un formulaire pour limiter ou autoriser l’exploitation et le partage de vos données. Ce débat sur opt-in ou opt-out, oubliez ! C’est un mythe. Le fait que les jeunes se moquent de la confidentialité en est un autre. Josh a peut-être 15 ou 20 ans de plus que moi et les gens de sa génération sont parfois moins au fait de ces questions.

    Dans le livre, nous racontons notre rencontre avec la sociologue Danah Boyd dont les recherches portent sur la manière dont les adolescents socialisent en ligne. Elle a grandi dans les années 1980, une époque où les jeunes se retrouvaient au mall [zone commerciale aux Etats-Unis]. Aujourd’hui, pour diverses raisons, l’espace physique de liberté est bien plus contrôlé par les parents, particulièrement aux Etats-Unis. Or, si vos parents restreignent le périmètre à l’intérieur duquel vous êtes autorisés à voir vos amis, forcément, vous finissez par aller les « voir » en ligne. Ce n’est pas que les jeunes aiment Facebook, c’est juste qu’ils aiment leurs amis ! Dans ces conditions, il est évident qu’ils cocheront ‘OK’ à tous les paramètres allant à l’encontre de confidentialité puisqu’ils leur permettent de discuter avec les autres.

    #C&Féditions #surveillance :// #C_est_compliqué #danah_boyd

  • Retour sur le débat du 21 mars avec Tristan Nitot et Philippe-Vion Dury | Le Mouton Numérique
    http://mouton-numerique.org/retour-debat-21-mars-tristan-nitot-philippe-vion-dury

    Face au numérique, sommes-nous tous Moutons ? La question était posée le 21 mars dernier à Mediaschool Paris, avec Tristan Nitot (Hacktiviste) et Philippe Vion-Dury (journaliste).

    #C&F_éditions #Tristan_Nitot #surveillance ://

  • Sur la table à carte : surveillance :// de Tristan Nitot – docalabordage
    https://docalabordage.wordpress.com/2017/03/15/sur-la-table-a-carte-surveillance-de-tristan-nitot

    Mais nous, professeurs documentalistes pouvons nous intéresser à ce livre pour plusieurs raisons
    – L’auteur déploie une véritable pédagogie pour faire comprendre les soucis éthiques et civiques de la surveillance permise par les outils numériques. Une très bonne synthèse donc, pour savoir de quoi on parle.
    – Il fait référence à des exemples fort récents et fort utiles pour illustrer nos séances, l’ouvrage ayant été écrit entre 2014 et 2016, ça nous changera de Marc L…
    – Vous avez le droit d’utiliser le texte tant que vous voulez ! Il est sous licence CC-By-NC
    – Il a sa place dans un CDI de lycée. Dans un collège, pour les bons lecteurs intéressés sans doute, mais la maquette est un peu austère. Je crois, si l’éditeur me lit, qu’il y aurait matière à adapter le texte et le propos pour les plus jeunes.
    – Les derniers chapitres contiennent des conseils d’hygiène numérique accessibles à tous. Et d’ailleurs, le propos dans son ensemble est accessible à tous. Vraiment.
    Ce serait dommage de s’en passer donc, d’autant que ce livre devrait bien vieillir.

    #C&Féditions #surveillance :// #Tristan_Nitot #shameless_auto_promo

  • TRISTAN NITOT : Google et les petits cochons - La Rédaction - Siné Mensuel
    http://www.sinemensuel.com/videos/tristan-nitot-google-et-les-petits-cochons

    Tristan Nitot n’est pas un adversaire des nouvelles technologies. Créateur du navigateur de Mozilla, ex-membre du Conseil national du numérique, proche de la Cnil, il sait de quoi il parle quand il assure que « nos libertés sont menacées par les géants du Web ». Illustration avec sa métaphore des petits cochons.