person:vincent petit

  • Algues vertes : après la mort d’un cheval en 2009, la responsabilité de l’Etat reconnue
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/07/21/algues-vertes-apres-la-mort-d-un-cheval-en-2009-la-responsabilite-de-l-etat-

    L’Etat est-il responsable de la prolifération des algues vertes ? La cour administrative d’appel de Nantes a tranché, lundi 21 juillet, en reconnaissant la responsabilité de l’Etat après la mort d’un cheval due à des algues vertes en décomposition pendant l’été 2009, sur une plage des Côtes-d’Armor, en Bretagne.
    La cour a lié « la prolifération des algues vertes » aux « carences [de l’Etat] à mettre en œuvre de manière suffisamment efficace les règles nationales et européennes » sur la protection des eaux « contre les pollutions d’origine agricole », cause principale des marées vertes.

    La justice a néanmoins considéré que le propriétaire du cheval, Vincent Petit, avait commis « une imprudence » en se rendant sur cette plage de Saint-Michel-en-Grève, « particulièrement exposée à la présence d’algues vertes ». Un panneau recommandait en outre de ne pas s’en approcher. M. Petit a été indemnisé à hauteur de 2 200 euros et 2 000 euros de frais de justice.

    Avec, en prime, une superbe faute d’orthographe…

    Le jour des faits, sur une plage de Saint-Michel-en-Grève, son cheval s’était enfoncé jusqu’à l’encolure dans un trou profond de 1,5 mètre dans une vasière, à proximité d’une rivière recouverte d’algues vertes en décomposition. Les poumons du cheval étaient « gorgés de sang », tandis qu’aucune trace de coups ou de noyade n’avait été relevée, laissant aucun doute sur les causes de la mort due aux gazs toxiques dégagés par les algues. Vincent Petit réclamait 31 609 euros, notamment en raison de son « préjudice moral ».

    Cette affaire avait fait grand bruit et frappé l’opinion, entraînant en août 2009 la visite du premier ministre, François Fillon, sur le site.

  • Hadopi Labs : 35% de socio, 100% de pipeau | Fabrice Epelboin
    http://reflets.info/hadopi-labs-35-de-socio-100-de-pipeau

    On trouve tout et n’importe quoi dans les Hadopi Labs, y compris de bonnes choses. Mais pas que. Il y a, comme partout ailleurs sur internet, ’le pire comme le meilleur’, or manque de bol, on est tombé ce week end sur le pire. Le billet de Vincent Petitet est un modèle du genre. Une concentration en mots savants inversement proportionnelle au sens qui se dégage de l’ensemble, une volonté farouche de faire entrer des ronds dans des carrés, et une bouillabaisse de mots-clés à rallonge qui laisseraient penser qu’il est en train de jouer au Scrabble. Mais non, le but ici est tout autre, avec cette succession de mots compte triple, nous avons à faire à une nouvelle génération d’intellectuels bien Français qui tentent de se faire une place dans le petit cercle d’experts de ze internets. A regarder sa bio, nous avons clairement là un énième énergumène qui sous prétexte de maitriser un savoir en prend d’assaut un autre en tentant de l’assujettir, sans imaginer un instant ni le ridicule