person:yann bourgueil

  • Espaces en dépeuplement

    Clémentine Cottineau
    A multilevel portrait of shrinking urban Russia [Texte intégral]
    Portrait de la #Russie urbaine en #décroissance
    Tomasz Spórna, Iwona Kantor-Pietraga et Robert Krzysztofik
    Trajectories of depopulation and urban shrinkage in the Katowice Conurbation, Poland [Texte intégral]
    Les trajectoires de #déclin_urbain dans l’agglomération de #Katowice (#Pologne)
    Raphaël Languillon-Aussel
    Tokyo, les recompositions démographiques d’une #ville mature [Texte intégral]
    #Tokyo, demographic recompositions of a mature city
    Sophie Buhnik
    Géographie de la #décroissance_démographique et évolution des #mobilités_quotidiennes dans la conurbation #Ōsaka-Kyōto-Kōbe [Texte intégral]
    Geography of demographic degrowth and changing daily mobilities in the Ōsaka-Kyōto-Kōbe city-region
    Patrick Rérat
    Le retour des villes [Texte intégral]
    Les phénomènes de déprise et de reprise démographiques dans les villes suisses
    The return of cities. The phenomena of demographic decline and new rise in Swiss cities
    Nicolas Cauchi-Duval, Vincent Béal et Max Rousseau
    La décroissance urbaine en #France : des villes sans politique [Texte intégral]
    Urban decline in France : cities without policy
    Yoan Miot
    Le rôle du facteur démographique dans les processus de #décroissance_urbaine [Texte intégral]
    Le cas de trois villes de tradition industrielle françaises
    The role of the demographic factor in urban shrinkage processes – The cases of three French traditional industrial agglomerations
    Brice Laménie
    Endiguer le dépeuplement en restaurant l’#attractivité dans un territoire en déclin [Texte intégral]
    Le cas des #Ardennes
    The combined effects of demographic and economic decline in industrial regions : what perspectives with the metropolization ? The example of the Ardenne
    Guillaume Chevillard, Julien Mousquès, Véronique Lucas-Gabrielli, Yann Bourgueil, Stéphane Rican et Gérard Salem
    Dépeuplement rural et offre de #soins de premiers recours : quelles réalités et quelles solutions ? [Texte intégral]
    Rural depopulation and primary health care : which reality and solutions ?
    Yoann Doignon, Sébastien Oliveau et Isabelle Blöss-Widmer
    L’Europe méridionale depuis 20 ans : dépeuplement, #dépopulation et renouveau démographique [Texte intégral]
    Southern Europe for 20 years : depopulation and demographic renewal
    Thibaud de Fortescu
    Un espace de #montagne en dépeuplement : nouvelles dynamiques et stratégies de revitalisation dans l’#Alpujarra granadina (#Andalousie) [Texte intégral]
    Fighting depopulation in moutain areas : new revitalization dyanamics and strategies in the Alpujarra granadina (Andalusia)
    Louis Marrou
    #Insularité et dépeuplement : le cas de l’île de Flores aux #Açores (Portugal) [Texte intégral]
    Human depopulation and insularity : a study case in the Azores (Flores Island)
    Gilles Pestaña
    Du spectre du dépeuplement à celui de l’indépendance [Texte intégral]
    Enjeux et représentations des dynamiques démographiques des #espaces_ruraux de #Nouvelle-Calédonie
    From the Spectre of Depopulation to That of Independence : The Stakes and Representations of Demographic Dynamics in New Caledonia rural areas

    https://eps.revues.org/6101
    #Suisse #démographie #urban_matter

    https://eps.revues.org/6101

    #revue #dépeuplement

  • Assurance maladie : où trouver 10 milliards d’euros ? - Le Nouvel Observateur
    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20140409.OBS3220/assurance-maladie-ou-trouver-10-milliards-d-euros.html

    Parmi les 50 milliards d’euros d’économies budgétaires prévues par François Hollande, 10 milliards porteront sur l’assurance maladie, a annoncé Manuel Valls mardi 8 avril lors de son discours de politique générale. Comment accélérer le rythme ? Le point avec Yann Bourgueil, directeur de l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes).

    Comment sont dégagées les économies de dépense ?

    – Depuis maintenant trois ans, l’objectif national de dépenses d’assurance maladie est respecté. Cela ne veut pas dire que les dépenses n’augmentent pas, mais qu’elles augmentent comme prévu. On peut limiter davantage cette croissance.

    Quelles sont les pistes envisagées ?

    – Le plus rapide est d’agir sur les médicaments. On peut baisser le prix de certains en se basant sur des comparaisons internationales, ce qui génère des économies pour le patient et pour l’assurance maladie, limiter les volumes, augmenter la prescription de génériques. Il faut changer les habitudes des médecins, car ils sont la cible des stratégies marketing des laboratoires pharmaceutiques.

    Et ensuite ?

    – On peut réduire les honoraires des laboratoires d’analyse ou de radiologie ou économiser sur le transport : les ambulances et les taxis peuvent parfois être remplacés, il suffit de dédommager au kilomètre un patient qui accepte d’utiliser son propre véhicule.

    Et à plus long terme ?

    – La Cour des comptes propose de réduire le nombre de caisses primaires, de fusionner certains régimes. La réforme hospitalière est engagée. On ajuste la tarification à l’acte, on tente de fusionner des services entre hôpitaux, d’en supprimer, d’en redéployer là où ils sont le plus nécessaires. L’hôpital représente la moitié des dépenses de l’Assurance maladie. On hospitalise trop.

    Comment peut-on y remédier ?

    – En repensant le parcours de soin. Il faut éviter que les gens viennent aux urgences pour tout. Ce service est trop cher. Il faut développer prévention, action sociale, aide aux personnes âgées, pour détecter les risques de la maladie avant qu’elle ne survienne. Et réserver l’hôpital aux soins les plus techniques et aux séjours plus courts. Il faut aussi repenser la sortie de l’hôpital, renvoyer les patients chez eux plus rapidement, afin de libérer des lits, en proposant des soins à domicile, par exemple des sages femmes après un accouchement. Toutes ces réformes prennent du temps.

    Quels sont les freins ?

    – Il y a d’abord les lobbys, de l’hôpital, des taxis, de la pharmacie, des médecins libéraux. L’écueil est de basculer le financement des soins vers les assurances complémentaires, ce qui crée des inégalités. Il faut aussi éviter de créer une solution de remplacement sans supprimer l’existant. Une meilleure organisation des soins peut aussi signifier moins de liberté pour le patient. Il faut l’accepter.

    Comment accélérer la cadence ?

    – Par les incitations financières. On valorise mieux les activités que l’on souhaite développer, comme la chirurgie ambulatoire. Il faut aussi mettre autour de la table tous les acteurs de la santé : les conseils généraux, l’Etat, la Caisse nationale d’assurance maladie, d’assurance vieillesse, les agences régionales de santé (ARS)... La réforme territoriale pourrait d’ailleurs être un vecteur de simplification du parcours de soin.

    On va aussi vers une décentralisation de l’assurance maladie ?

    – En 1993, Raymond Soubie proposait de créer les ARS dans le « plan santé 2010 ». Il l’a mis en œuvre lorsqu’il était le conseiller de Nicolas Sarkozy à l’Elysée. Entre temps, il y a eu une certaine continuité de la politique de santé, quel que soit le gouvernement. Mais on n’est pas allé jusqu’au bout du plan santé 2010. Les ARS ont des leviers pour réguler les hôpitaux, mais pas suffisamment pour organiser la médecine de ville. Elles pourraient avoir plus de latitude. L’Etat doit fixer les objectifs, mais il doit aussi laisser faire les acteurs de la santé. C’est le prix à payer pour préserver l’utopie qu’est la Sécurité sociale.

    #Hôpitaux
    #Sécurité-Sociale
    #Assurance-maladie
    #dépenses
    #réductions

    • Je reprends ces quelques lignes dans " je vire ma cuti(1) de Bernard Maris ( Charlie Hebdo N°1138 / 9 avril 2014 :

      50 milliards d’euros d’économies .
      À moi tout seul, j’en ai déjà trouvé près de cinq !
      Il suffirait de mettre fin aux partenariats public privé ( PPP).
      Ils ont déjà coûté 18 milliards depuis 2004 et atteindrons 60 milliards d’ici 2020.

      Exemple 1 : la cité judiciaire (Paris Batignolles)
      Construction : 700 millions
      Loyer annuel : 100 millions pendant 27 ans soit 2,7 milliards .
      Si l’état empruntait pour construire, il pourrait rembourser en 8 -9 ans.
      Avec le PPP , c’est Bouygues qui empoche 2 milliards €

      Exemple 2 : le ministère de la défense coût de la construction : 745 millions.
      Coût du loyer sur 27 ans : 3,5 milliards.
      Les promoteurs empochent 2,7 milliards .

      Exemple 3 : le zoo de Vincennes.
      Coût : 167 millions.
      Après 25 ans : 306 millions.
      139 millions pour le promoteur.

      Je ne suis pas loin de 5 milliards !

      On peut compléter la liste avec la fac de Denis Diderot Paris7, le centre hospitalier Sud francilien de Corbeil-Essonnes…..
      texte Oncle Bernard

    • ici les poches sont pleines :

      Banques françaises : les salaires des patrons en forte hausse en 2013.

      Jean-Laurent Bonnafé (BNP Paribas) : 3 440 375 euros.
      Augmentation de 8,1 % par rapport à 2012.

      Frédéric Oudéa (Société Générale) : 2 711 995 euros.
      Augmentation de 8,5 % par rapport à 2012.

      Jean-Paul Chifflet (Crédit Agricole) : 2 140 439 euros.
      Augmentation de 38,8 %. Je dis bien : augmentation de 38,8 %.

      Laurent Mignon (Natixis) : 1 766 120 euros.
      Augmentation de 14,8 %.

      François Pérol (BPCE) : 1 446 286 euros.
      Augmentation de 29,4 %. Je dis bien : augmentation de 29,4 %.

      <> http://yetiblog.org/index.php?post/la-revolution-francaise-n-est-pas-terminee

      #Encore-des-pistes ?