Sabaton chante les exploits, réels mais parfois fantasmés, du poilu Albert Séverin Roche.
« Au cours du conflit, Albert Roche, simple poilu, a multiplié les faits d’armes, ce qui lui valut, à la fin de la guerre une certaine renommée. Puis, la patine du temps aidant, son étoile pâlit, en tout cas jusqu’à ces dernières années. En lui consacrant une chanson, le groupe de métal suédois Sabaton nous donne l’occasion de revenir sur ce parcours singulier. »
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2023/03/sabaton-chante-les-exploits-reels-mais.html
L’ #Anti-Švejk n’échappe pourtant pas à une mort digne d’une anecdote tchèque quand il es fauché par une voiture en temps de paix.
Le 13 avril 1939, alors qu’il descend d’un bus, il est fauché par une voiture. Conduit à l’hôpital, il y décède le lendemain, à l’âge de quarante-quatre ans.
Faut-il que les gilets jaunes, la police ou l’armée tirent sur Luc Ferry ? Maxime VIVAS - 9 Janvier 2019 - Le Grand Soir
▻https://www.legrandsoir.info/faut-il-que-les-gilets-jaunes-la-police-ou-l-armee-tirent-sur-luc-ferr
Luc Ferry est agrégé de philosophie, docteur d’État en sciences politiques, ancien ministre de la Jeunesse, de l’Éducation nationale et de la Recherche. Rien que ça ! Il est l’auteur de nombreux ouvrages philosophiques et chroniqueur au Figaro et à Radio Classique.
Ce n’est donc pas un sous-développé du bulbe comme Aurore Bergé, Eric Brunet, ou Pierre Haski (j’en ai d’autres, mais…).
- Sur Radio Classique, il a déclaré ▻https://www.lci.fr/politique/luc-ferry-se-defend-sur-lci-apres-ses-propos-polemiques-tout-cela-est-ridicule-r , le 7 janvier que les policiers devaient se servir « de leurs armes, une bonne fois » contre les « salopards d’extrême gauche et d’extrême droite ou des quartiers ». Et comme il a eu peur que cela ne suffise pas, il a appuyé : « On a la quatrième armée du monde, elle est capable de mettre fin à ces saloperies. »
Sans même avoir fait une année de philo et un mois à Sciences po, chacun comprend qu’il demande que les policiers, épaulés par l’armée, tirent sur la foule des gilets jaunes. Car, il est évidemment impossible, avant de tirer, de trier entre les idées des manifestants et leur lieu de vie. Impossible de distinguer les gilets jaunes venus pour casser (une infime minorité) et ceux qui s’enragent soudain (comme le boxeur Cristophe Dettinger ▻https://www.facebook.com/La.Tribune.des.Pirates/videos/un-manifestant-boxe-les-gendarmes/2261561470746027 ) au spectacle d’une violence aveugle, déclenchée délibérément par les forces du désordre.
Pour avoir manifesté les samedis à Toulouse, je puis témoigner d’une chose nouvelle et que je ne pouvais imaginer, moi qui arpente le bitume sous banderoles depuis si longtemps : il est désormais impossible d’aller manifester sans être, à un moment, obligé de courir devant les keufs et de respirer des gaz lacrymogènes.
Un excité leur balance une bouteille de bière ? Ils canardent en retour la manifestation d’une pluie de grenades. La riposte est toujours volontairement disproportionnée. Ils sont sûrs de l’#impunité. Ils sont couverts et encouragés.
- « On peut cogner, chef ? ».
- « Mais bien sûr, imbécile, qu’est-ce que tu attends, un ordre écrit de Castagnette ? ».
Personne ne leur balance quoi que ce soit ? Immense frustration ! L’ordre est alors donné de scinder le cortège, de le faire s’égailler dans plusieurs rue et quartiers pour de meilleurs images de foules clairsemées. Les grenades explosent, les vauriens en civil de la BAC cognent au petit bonheur la chance, jettent à terre, ligotent dans le dos avec des Serflex, un genou sur la tête de la victime. Ils l’embarquent en la traînant comme un sac de patates, accélérant le mouvement par des coups de pieds pour lesquels ils n’auront jamais des comptes à rendre (croient-ils. Attendez, mes bonhommes…) et ils déposent plainte au commissariat pour outrage parce que l’innocent a répondu « Ta gueule ! » à « Bougnoul, crouille, Kirikou, enculé de ta vieille pute de mère, je me fais sucer par ta salope de sœur ».
Bref, la manif se disloque façon puzzle. BFMTV en filme un morceau. « Le mouvement s’essouffle », vous le saviez déjà, ou alors n’êtes pas abonnés au #Monde et à #Libé, vous n’avez pas la télé, ni un autoradio, ni une radio, ou vous fermez les yeux en passant devant les kiosques à journaux, ou vous ne fréquentez jamais une salle d’attente, ou vous ne parlez jamais avec vos contemporains, ou vous êtes fâchés avec votre beauf, ou vous avez enfin pu acheter la lointaine petite île perdue où la main de l’homme n’a jamais mis les pieds.
J’ai toujours dans ma poche ce petit masque blanc que distribuaient les
infirmières toulousaines dans les cortèges. Et il m’a souvent servi. Et je ne pars pas en manif sans lui. C’est nouveau, ça vient de sortir. C’est une pratique labellisée « Macron 1er ».
Le président de la République, son premier ministre, le ministre de l’Intérieur, le préfet de police de Paris, la plupart de nos journaleux, Luc Ferry, haïssent et conchient le peuple de France et ils feraient embarquer Maurice Grimaux, préfet de Police de Paris en 1968 ▻https://www.legrandsoir.info/le-prefet-de-police-qui-ne-voulait-pas-que-soient-frappes-les-manifest qui adjurait ses policiers d’être respectueux des lois de la République et de ne pas matraquer un manifestant à terre.
Tous ces lascars sont aussi insensibles que la #Marie-Antoinette, aussi inconscients que #Louis_XVI.
Et il y a du #Adolphe_Tiers en eux.
D’une main nonchalante, ils piochent, dans le saladier en cristal, des friandises achetées chez Fauchon par un domestique, de l’autre ils fouillent dans l’arsenal des lois pour trouver celle qui, en l’interprétant comme il faut, permettrait d’absoudre leurs nervis violents, leurs mercenaires assermentés et sans foi. Ils y puisent la loi qui justifierait qu’on colle au gnouf quiconque risque de nous entraîner sur les chemins où la première capricieuse dépensière de France, Brigitte Macron, casserait ses talons de 10 centimètres : ceux qui conduisent au rétablissement de l’ISF, au RIC, à l’augmentation des salaires de misère. Et la suite.
Ils portent en eux la mort par crime « légal ».
Balancez toutes les grenades que vous pouvez, même celles que les lois internationales interdisent d’utiliser, mitraillez avec vos flash balls équipés de viseurs holographiques qui permettent de ne pas rater l’œil ou la bouche, acharnez-vous en meute sur le malheureux (ne pas tenir compte du sexe, de l’âge ou de la totale innocence) qui passe à votre portée. « Ah les braves sicaires ! » , s’extasie Castaner en regrettant de ne pouvoir les décorer tous de la #Légion_d_honneur, ce hochet galvaudé, indistinctement attribué à des citoyens méritants et à des crapules qui devraient être en prison (trois bols de fayots par jour et c’est tout. A la japonaise !).
14/18. Les malheureux #poilus jaillissaient de la tranchée et les projectiles de l’ennemi en hachaient menu une partie. D’autres perdaient un membre ou un morceau du visage. Ha ! Ha ! se régalent d’avance mes détracteurs en notant avec quelle maladresse je viens de tomber dans une comparaison hasardeuse et scandaleuse. Pourtant, aller manifester aujourd’hui, c’est risquer d’y laisser une main, un œil, la bouche. Et croyez-en Luc Ferry, c’est loin d’être suffisant. Les poilus qui sont retournés intacts dans la tranchée avaient gagné le gros lot à la loterie de la guerre. Nos braves gilets, jaunes qui ont laissé un œil, une joue, un bout des lèvres, leurs gencives, leurs dents, une main, dans une manif, ont tiré le mauvais numéro et c’est tout. La faute à « pas de chance » , ça s’appelle être au mauvais d’endroit au mauvais moment, inutile d’aller embêter Macron avec ces brouilles, il est élu, légitime. Les urnes ont parlé (murmuré, en fait).Vous êtes démocrate, oui ou m… ?
J’ai un jeune fils qui vit bien mieux qu’un gilet jaune, mais qui ne rate pas une manif. Il a l’âge des enthousiasmes et des indignations. Il s’approche trop des #Robocops. Je tremble pour lui. Je lui conseille (lâchement ? En toute logique ?) de laisser jaillir en premier de la tranchée ceux qui ont élu #Macron et qui viennent dire qu’ils le regrettent. Tel qui a mis le feu à la maison par inconscience doit être le premier à lutter contre l’incendie et à s’exposer à une chute de brandon incandescent.
Revenons à Luc Ferry . Les crapules des journaux qui font l’opinion (c’est-à-dire les journaux des milliardaires, subventionnés et gavés de pub), les radios et télés des milliardaires (bénéficiaires du CICE et souvent non contribuables), font exactement le contraire de ce qu’ils auraient fait si #Jean-Luc Mélenchon avait dit le centième du commencement du début d’amorce de ce que préconise #Luc_Ferry.
Et d’abord, pourquoi n’est-il pas en garde à vue, Ferry ?
Pourquoi cent policiers n’ont-ils pas perquisitionné à l’aube dans un des ses domiciles ?
Pourquoi la « classe » politique droitière (je mets « classe » entre guillemets à cause du double sens du mot qui pourrait faire croire que ces enflures sont classieuses) ne rappelle-t-elle pas que la loi républicaine interdit de tirer sur le peuple désarmé et qu’inciter à le faire est un délit (ou un crime ?).
Pourquoi n’est-il pas claironné que la loi n’autorise en aucun cas des tirs de l’armée et de la police sur des foules, au prétexte que la manifestation n’a pas été déclarée à un Préfet qui hait le peuple et lâche ses sbires équipés d’armes qui blessent, estropient et défigurent. Et tuent.
Pourquoi ne connaît-on même pas le nom du flic qui a tué d’un tir bien ajusté le 1er décembre 2018, une octogénaire qui fermait ses volets au 4ème étage d’un immeuble marseillais ? Il a fallu moins de 24 heures pour que tout le pays sache que Cristophe #Dettinger est le boxeur (à mains nus) d’un policier harnaché et, guère plus de temps pour qu’il ne soit plus libre.
Où est-il le #tueur de la mémé ? Toujours dans les manifs, toujours armé ? Il perçoit l’augmentation de salaire offerte par les chient-en-lit du gouvernement (oui, je m’énerve : moi, dès qu’on tue des vieux, je me Cristophe-Dettingerise mentalement).
Pourquoi est-il en liberté Luc Ferry ? Dans tous les cas, ses propos sont mortifères. Soit ils seront suivis d’effet et, adieu la démocratie, bonjour la #guerre_civile, soit ils vont faire monter chez les manifestants des velléités de ne pas se laisser tirer comme à la fête foraine, ce qui induira qu’ils s’équipent.
Luc Ferry leur a lancé un défi : « Venez à poil, petits lapins, nous sortons nos fusils de chasse et nos fusils de guerre ».
Macron prononce des vœux en engueulant et menaçant son peuple, #Edouard_Philipe annonce que les sanctions et la répression seront plus sévères, les #médiacrates s’esbaudissent et applaudissent comme il convient chez les larbins, Ferry en appelle à l’armée.
Ces (comment dit-il l’agrégé, déjà ? Ah oui !) salopards annoncent des crimes et absolvent par avance les tueurs. Ils ont fait le choix de défendre jusqu’au bout leurs privilèges et les intérêts du CAC 40. A combien de millions se monte la fortune de Luc Ferry ? Ira-t-il le dire à un gilet jaune qui se les gèle sur un rond-point et qui se les gèlera en famille en rentrant chez lui ?
« Le Capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A 20%, il devient enthousiaste. A 50%, il est téméraire ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines et à 300%, il ne recule devant aucun crime » (Karl Marx).
Luc Ferry, comme toutes ces « belles gens » , souffre du même complexe de supériorité que Macron et (au hasard) #Gilles_Le_Gendre, ancien élève du collège Sainte-Croix de #Neuilly-sur-Seine, chef d’entreprise, successivement journaliste dans des journaux dont le titre fait rêver le poète que je suis : (Challenge, l’Usine Nouvelle, le Nouvel Economiste, l’Expansion) et patron des députés LREM : « Notre erreur est d’avoir probablement été trop intelligents, trop subtils... ».
Cependant, faut-il que les gilets jaunes, la police ou l’armée tirent sur Luc Ferry ?
Certes pas. D’abord, devant le tollé provoqué par son appel au crime, il a dû se fendre d’une déclaration d’une hypocrisie et d’une bêtise telle que j’ai cru à une analyse de #Jean-Michel_Aphatie. Lisez Luc Ferry, agrégé de rétropédalage : « Je n’ai évidemment jamais appelé à tirer sur les gilets jaune dont je défends le mouvement depuis l’origine. Je demande simplement que les policiers puissent se servir comme ils le demandent de leurs armes NON LÉTALES quand CERTAINS cherchent carrément à les tuer. Clair ? »
Ce qui est clair c’est que « l’armée » a soudain disparu pour faire place à « non létales » dont l’absence nous avait contrariés dans sa controversée diatribe belliciste de bon bourgeois assuré de n’avoir jamais à appuyer lui-même sur la détente et à ramasser des morceaux de cervelle sur le pavé devant sa porte.
Pour finir, jouons au jeu du « Luc Ferry inversé », pour voir si ça passe : « Les gilets jaunes devraient se servir de pavés et de cocktails Molotov, une bonne fois, contre les salopards de keufs fachos (policiers, gendarmes mobiles, #baqueux ) et contre les sièges des #mérdias. Depuis 1968, on a les meilleurs lanceurs du monde, ils sont capables de mettre fin à ces saloperies #flicaillères et #journaleuses. »
Bien entendu, je désapprouve cette conclusion (1) et je préfère de loin (car je suis prudent et douillet) ce qui est dit ici.
Maxime VIVAS *
Note (1). Me croit qui veut.
Le 11 novembre 1918, l’#Armistice met fin à une #guerre totale et meurtrière. Retour sur la vie quotidienne au front à travers les #témoignages des #soldats (carnets de route, lettres, récits écrits...) : vivre et mourir dans les tranchées
►http://sms.hypotheses.org/2615
#guerre, #grande_guerre, #tranchée, #social, #histoire, #poilu, #1914-1918, #quotidien, #ordinaire, #témoins, #témoignage, #témoin, #front, #vivre, #mourir, #militaire
Comme il faut bien commencer...
Relecture du témoignage des années de guerre de Louis Barthas. Le bouquin m’avait marqué une première fois il y a 25 ans. L’adaptation graphique est aussi forte.
Les carnets de guerre de Louis Barthas (1914-1918) - FREDMAN - Éditions La Découverte
▻https://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Les_carnets_de_guerre_de_Louis_Barthas__1914_1918_-978270
Existe-t-il une #vie_quotidienne dans les #tranchées de 1914-1918 ? En s’appuyant sur de nombreux #témoignages de poilus (carnets, lettres, #souvenirs, récits, etc.), il s’agit de tenter d’approcher au plus près de cette épouvantable #expérience.
►http://sms.hypotheses.org/2615
#vie_quotidienne, #tranchée, #première_guerre_mondiale, #guerre, #1914-1918, #témoignage, #poilu, #vie, #social, #histoire, #Grande Guerre, #front, #société_des_tranchées, #mourir, #vivre, #expérience, #corvée, #brassage, #identité, #vécu, #fatalisme, #paix
#Tourisme d’#histoire ou de #mémoire, commémorations... Les sites des guerres sont l’objet de mises en scène à travers des dispositifs pour mettre en images, en mots, en espace et en sens l’histoire et la mémoire.
►http://sms.hypotheses.org/3304
#PremièreGuerremondiale, #guerre, #patrimoine, #miseenscène, #poilu, #ficton, #communication, #touriste
1914-18 : Ce qu’on lisait dans les tranchées - Bibliobs avec Le Nouvel Observateur
▻http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20130927.OBS8895/1914-18-ce-qu-on-lisait-dans-les-tranchees.html?xtor=RSS-15
Quand ils ne se battaient pas, les poilus dévoraient des romans de Laclos, Tolstoï, Zola, Kipling ou Barbusse. Benjamin Gilles a effectué une plongée inédite dans cette incroyable bibliothèque de guerre
L’automne 1914 fut moins littéraire que mortifère. Avec une moyenne de 800 morts par jour pendant quatre ans et demi, il y aurait presque de l’indécence à se demander ce que lisaient les poilus. Un jeune historien s’y est risqué. Et son travail est passionnant. D’abord parce qu’il nous incite à voir cette guerre autrement. A travers les lectures des soldats français, on saisit l’évolution du conflit dans les mentalités. L’attente, la peur et l’assaut se manifestent aussi entre les lignes lues.
« On peine à concevoir que, dans ce contexte, la lecture ait pu trouver une quelconque place. Lire semble en effet éloigné des préoccupations du moment, les soldats cherchant d’abord à informer et à rassurer leurs proches. » A dessein, via les publicités, les commerçants vantent la solidité de leurs stylos, agendas et carnets auprès de cette clientèle particulière qui tient bon parce qu’elle n’a pas le choix.
Mais après avoir dit aux siens que l’on était encore vivant, le souci immédiat du soldat consiste à s’informer. Dans les tranchées, on lit d’abord des journaux, des quotidiens dont les tirages font aujourd’hui rêver, autour de 10 millions d’exemplaires pour toute la France : « A la veille de la Grande Guerre, livres et journaux dominent l’espace culturel. Jamais autant d’ouvrages n’ont été édités en aussi grand nombre, et jamais la presse n’a été autant diffusée. »
« Le Petit Parisien », « le Matin », « le Journal » et « l’Echo de Paris » triomphent sur ce marché où un adulte sur deux lit un journal. Contre la censure - moins radicale qu’on ne le pense - et le « bourrage de crâne », « le Canard enchaîné » fait son apparition en 1915, pour révéler ce que les autres taisent.
Recherche d’un nouveau logiciel de présentation
J’ai fait des tas de présentations avec support informatique et, depuis des années, j’utilise #Beamer pour faire les diapositives (oui, le terme fait un peu vieux mais aussi bien Wikipédia que Google Translate proposent « diapositive » pour « slide »). Beamer est parfait pour des présentations sérieuses avec beaucoup de texte, de maths et de code source. J’ai sur mon agenda deux ou trois présentations où il serait souhaitable de mettre d’avantage l’accent sur l’esthétique et j’aimerai bien essayer autre chose que Beamer. Après tout, il faut sortir de sa zone de confort de temps en temps et voir si le monde a évolué en bien. Je recherche donc des suggestions.
En cherchant un peu, je me rends compte qu’une grande partie des outils modernes de présentation sont écrits en JavaScript et fondés sur HTML et CSS. C’est logique : #CSS a évolué au point de permettre des tas d’effets esthétiques et/ou rigolos et sa gestion par les navigateurs modernes s’est nettement améliorée. Et on trouve un navigateur Web partout.
►http://www.bortzmeyer.org/logiciel-presentation-nouveau.html
Je me suis souvenu d’une présentation originale et dynamique à paris-web. En recherchant c’était basé sur impress.js que tu as dans ta liste.
►http://www.dailymotion.com/video/xvah5r_les-user-agents-c-est-le-mal-par-rudy-rigot_tech
▻https://github.com/cleverage/useragent-conference-parisweb2012
#poilu si on regarde la css
@Ben «poilu», c’est «barbu» en moins sexiste, c’est ça ? :-)
Il y a sozi qui permet de faire des présentations en SVG (et qui fonctionne donc dans un navigateur correct). ▻http://sozi.baierouge.fr/wiki/doku.php
@claudex Oui, Sozi est cité dans l’article (c’est l’un des premiers mentionnés)
@stephane Ah oui, j’ai lu l’article dans mon lecteur mail et du coup, je n’avais pas vu le lien /o\
Chez nous, on disait #velu...
Après, l’idée d’une présentation réellement portable, parce que s’exécutant dans n’importe quel navigateur sur n’importe quelle bécane, me plait énormément.
#open_source #logiciel_libre
Depuis quelques mois j’utilise #prezi (▻http://prezi.com).
J’aime bien, même s’il y a des choses que j’aime pas (pas beaucoup de liberté).
C’est dans la liste, mais il a été écarté. Ceci dit, moi j’aime bien l’idée, centrale dans ce logiciel, du #zoom_in et #zoom_out me plaît beaucoup. Cela permet de créer des présentations non linéaires...
D’ailleurs, si quelqu’un a des idées d’autres logiciels qui proposent la même chose mais qui sont un peu plus souples... je suis preneuse !!
@cdb_77 Prezi écarté car non libre et uniquement en hébergé. Marre des gros silos où on est prisonnier.
@stephane : totally agree with you.
Mais je ne pouvais vraiment plus supporter ppt et je n’ai pas trouvé de mieux pour l’instant !!!!
Et le résultat est quand même bon, il faut le dire...
@monolecte Oui, c’est le principe de tous ces systèmes dont le nom se termine en « .js ». S5 et Slidy ont popularisé le concept et, depuis, il y en a plein d’autres.
Finalement, j’ai choisi reveal.js, à la fois simple à utiliser et qui fait des trucs qui en jettent. Vous verrez à mes prochaines causeries :-)