provinceorstate:kerala

  • Documentaire sur les religieuses abusées, la justice contraint Arte à cesser toute diffusion
    https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/Monde/Documentaire-religieuses-abusees-justice-contraint-Arte-cesser-toute-diffu

    À la suite d’une plainte en référé, le tribunal d’instance de Hambourg (Allemagne) a rendu sa décision le 20 mars dans laquelle il interdit à ARTE de diffuser à nouveau le documentaire Religieuses abusées, l’autre scandale de l’Église dans sa version actuelle. Source : La Croix

    • Voisi le texte àl’origine du sujet mentinonné dans une interview avec l’auteure

      LES BORDELS DU VATICAN
      http://humanoides.free.fr/press-30.html

      lien mort vers le texte original
      http://www.motus.ch/bulletins/no4/bordelsvatican

      LES BORDELS DU VATICAN
      Enrôlées comme religieuses à destination des couvents du monde entier, les jeunes filles du Tiers-monde sont utilisées comme esclaves sexuelles par le corps ecclésiastique.

      Des religieuses-prostituées comme ces filles chrétiennes de l’état du Kerala - "la réserve « christianisée » des jésuites en Inde" sont envoyées au loin pour en faire des nonnes d’un genre spécial. Quelque part en Afrique, en guise de promesse du ciel, c’est l’enfer qu’elles découvrent à l’abri de la sainte Église qui les utilise comme bétail sexuel au service de son corps ecclésiastique. On a bien fait voeu de célibat mais pas de chasteté. Cette hypocrisie empoisonne l’Occident depuis dix-huit siècles, et serait même à l’origine de la prostitution moderne. Durant des siècles, ce commerce fut pris en mains par l’Église qui était à la fois cliente et maquereau. La moitié de la population féminine de Rome "la ville de pèlerinage obligée pour tout sémina-riste" fut réduite à la prostitution à certaines époques de l’histoire.

      Pour que ce scandale puisse être connu, il aura fallu que des religieuses-médecins, débordées par l’ampleur de ce crime organisé, se décident courageusement à publier des rapports. Mais, immanquablement, ces rapports destinés au Saint-Siège finissent aux oubliettes avec celles qui les ont rédigés.

      Selon l’agence Reuters, « accusé d’entretenir une conspiration du silence autour des cas d’abus sexuels dans les couvents, notamment en Afrique, le Vatican a reconnu l’existence d’une série de scandales, tout en assurant qu’ils étaient limités. » Selon un rapport, des prêtres et des missionnaires ont contraint des religieuses à avoir des relations sexuelles avec eux, en les violant. Certaines victimes ont été obligées de prendre la pilule, d’autres d’avorter. L’ampleur du scandale a amené Joaquin Navarro-Valls, porte-parole du Vatican, à déclarer que le Saint-Siège était « au courant du problème », mais que celui-ci était « limité à certaines zones géographiques » non précisées.

      Conspiration du silence.

      Le rapport, qui a été soumis il y a six ans au cardinal Martinez Solamo, préfet de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et pour les sociétés de vie apostolique, a été rédigé par une religieuse et médecin, Maura O’Donohue. Celle-ci a recensé des cas d’abus dans 23 pays, y compris les Etats-Unis, l’Italie et l’Irlande. Mais elle écrit que la plupart des violences sexuelles commises par des prêtres et missionnaires se sont produites en Afrique, où les religieuses présentent, aux yeux de leurs partenaires potentiels, l’avantage de passer pour être exemptes du virus du sida qui ravage le continent noir.

      L’auteur du rapport, qui mentionne des noms, cite le cas d’un prêtre qui avait mis enceinte une religieuse. Après l’avoir forcée à avorter, ce dont elle est morte, c’est lui qui a célébré la messe d’enterrement.

      Maura O’Donohue rapporte des cas de nombreuses religieuses tombées enceintes en même temps dans des communautés religieuses africaines, notamment celui d’une supérieure relevée de ses fonctions par son évêque après avoir signalé "la grossesse simultanée de 29 de ses soeurs" sans qu’aucune mesure ne soit prise par ailleurs. Selon Marco Politi, correspondant de la Republica au Vatican, ces scandales, qui n’ont commencé à transpirer hors des murs du Vatican qu’il y a peu de temps, ont été portés à l’attention du Saint-Siège à plusieurs reprises au cours de la décennie passée. Sans résultat.

      Une autre religieuse, Marie McDonald, supérieure des Missions de Notre-Dame d’Afrique, avait à son tour soumis en 1998 un rapport sur les « abus sexuels et viols commis par des prêtres et évêques ». « Que je sache, aucune inspection n’a eu lieu. La conspiration du silence aggrave le problème », a t-elle déclaré. Le Vatican observe la situation mais n’a pris aucune mesure concrète.

      Cherchez la secte.

      L’Église est beaucoup plus loquace en ce qui concerne les dérives des prétendues « sectes » qui lui font de la concurrence. Il y a environ 25 ans, un prêtre français au sourire immuable, manipulateur et ambitieux, le père Jean Vernette, fut chargé de répandre l’idéologie antisecte par une propagande extrêmement habile et efficace. Selon l’adage « hors de l’Église, point de salut », Jean Vernette et ses amis inquisiteurs ont fourni à l’association antisecte ADFI toute une panoplie d’armes intellectuelles et logistiques pour traquer les « sectes ». Après avoir quitté l’ADFI, trop virulente, il peaufine son image de saint homme qui prêche la « tolérance » et « l’évangélisation des sectes ».

      En réalité, derrière cette langue de bois onctueuse, « évangélisation » signifie guerre totale. Pour l’ADFI, Vernette rédigea la liste des « symptômes de sectarisme » qui est à l’origine de la persécution de milliers de non-conformistes (long temps de lecture et de méditation, changement de régime alimentaire...).

      Par cette manipulation, l’épiscopat de France nous a fait croire que la secte c’est l’autre, que la pédophilie c’est chez les autres, et que les pratiques mafieuses c’est chez ceux d’en face. Pourtant, dans le seul registre des moeurs, chaque semaine apporte un nouveau cas de pédophilie ecclésiastique en France.

      En bon jésuite, le porte-parole du Vatican a trouvé la parade : « Certaines affaires négatives ne doivent pas nous faire oublier la foi souvent héroïque manifestée par une grande majorité de ces hommes et femmes des ordres religieux et du clergé », a- t-il plaidé.

      Certes, mais lorsqu’un enfant attrape un mauvais rhume dans une « secte » pas très catholique, le journal La Croix et les bons cathos de l’ADFI n’hésitent pas à crier au « crime contre l’humanité ».

      Quant à « la foi souvent héroïque », si c’est de l’évangélisation planétaire dont on parle, il aurait mieux fallu pour l’humanité souffrante que les hordes de missionnaires incultes et arrogants qui ont la prétention de sauver l’âme des païens, restent tranquillement à la maison en s’exerçant à un métier honnête.

      #religion #catholicisme #abus_sexuel #église

    • « Religieuses abusées, l’autre scandale de l’Église » : une enquête choc qui rompt l’omerta
      https://information.tv5monde.com/terriennes/religieuses-abusees-l-autre-scandale-de-l-eglise-une-enquete-c

      Pendant deux ans, les documentaristes Marie-Pierre Raimbault et Éric Quintin, épaulé.e.s par la journaliste Élizabeth Drévillon, ont enquêté à travers le monde sur des faits d’abus sexuels commis par des prêtres sur les religieuses. Abusées pendant des années pour certaines, violées et avortées de force ... Ce documentaire permet aux victimes de sortir d’un trop long silence.

      Pourquoi ce phénomème est resté secret

      Ces rapports avaient été envoyés au Vatican par Maura O’Donohue et Mary Mac Donald, deux religieuses gynécologues, dans les années 1990. Elles étaient dignes de confiance puisqu’elles se sont retrouvées plusieurs fois confrontées à des religieuses violées, et parfois même, enceintes à la suite de ces viols. Au-delà de la thèse culturelle et des stéréotypes, puisqu’il était coutumier de renvoyer l’existence de ces abus sexuels à l’Afrique, les rapports faisaient mention du nombre de religieuses violées par des prêtres, dans 23 pays à travers le monde. C’était donc un mode de fonctionnement systémique dans l’Eglise catholique et le Vatican en avait connaissance. D’ailleurs, Rome n’a jamais répondu à ces religieuses. Elle demandaient une intervention de la part des autorités du clergé et réclamaient justice. Elles n’ont été entendues sur aucun de ces deux points.

      A ceci s’ajoute souvent une dualité de la part de ces lanceuses d’alertes. Elles ont certes dénoncé les abus des prêtres sur leurs consœurs religieuses, mais voulaient aussi protéger l’institution, en laquelle elles ont placé leurs croyances et à laquelle elles se sont dévouées. Pour ces raisons, elles n’ont pas osé en parler publiquement. Et si quelqu’un n’avait pas fait fuiter le contenu de ces rapports, l’opinion publique n’en aurait jamais rien su.

    • Religieuses abusées : une censure inexplicable
      Par Bernadette Sauvaget, Journaliste au service Société
      https://www.liberation.fr/planete/2019/04/29/religieuses-abusees-une-censure-inexplicable_1724080

      Personne ne s’attendait à cette censure. Et pour l’heure, rien n’indique qu’elle sera levée, ni, si c’est le cas, à quelle échéance. Le 20 mars, le tribunal de Hambourg, en Allemagne, a estimé - mais sans que cela ne soit rendu public à ce moment-là - qu’Arte devait suspendre illico la diffusion du documentaire Religieuses abusées, l’autre scandale de l’Eglise. Une enquête approfondie qui a provoqué un immense choc, particulièrement dans les milieux catholiques.

      Aucune voix ne s’était pourtant élevée pour remettre en cause la véracité des accusations, ni la réalité des abus sexuels subis par les religieuses catholiques, un tabou qui commence à se lever. Personne, sauf un prêtre qui estime pouvoir être reconnu comme l’un des abuseurs ! Pensant être en mesure d’arrêter la marche de l’histoire, il s’est adressé à la justice qui lui a donné, pour l’heure, gain de cause. Seul contre tous. Même contre le pape, qui a pris acte de ces abus. « C’est une procédure inique, dénonce à Libération le producteur Eric Colomer. L’objectif du film est de donner la parole aux victimes, pas de jeter en pâture tel ou tel. » A Hambourg, la défense, conformément aux règles de la procédure, n’a pas pu faire valoir ses droits mais prépare sa contre-attaque. La bataille ne fait que commencer. Doris, l’une des ex-religieuses qui témoignent, a déjà publié un livre et s’est largement exprimée dans la presse. Sans jamais subir les foudres de la justice. A l’aune du succès du documentaire (plus de 2 millions de personnes l’ont visionné), la peur pourrait bien avoir changé de camp.

  • Record High #Remittances Sent Globally in #2018

    Remittances to low- and middle-income countries reached a record high in 2018, according to the World Bank’s latest Migration and Development Brief.

    The Bank estimates that officially recorded annual remittance flows to low- and middle-income countries reached $529 billion in 2018, an increase of 9.6 percent over the previous record high of $483 billion in 2017. Global remittances, which include flows to high-income countries, reached $689 billion in 2018, up from $633 billion in 2017.

    Regionally, growth in remittance inflows ranged from almost 7 percent in East Asia and the Pacific to 12 percent in South Asia. The overall increase was driven by a stronger economy and employment situation in the United States and a rebound in outward flows from some Gulf Cooperation Council (GCC) countries and the Russian Federation. Excluding China, remittances to low- and middle-income countries ($462 billion) were significantly larger than foreign direct investment flows in 2018 ($344 billion).

    Among countries, the top remittance recipients were India with $79 billion, followed by China ($67 billion), Mexico ($36 billion), the Philippines ($34 billion), and Egypt ($29 billion).

    In 2019, remittance flows to low- and middle-income countries are expected to reach $550 billion, to become their largest source of external financing.

    The global average cost of sending $200 remained high, at around 7 percent in the first quarter of 2019, according to the World Bank’s Remittance Prices Worldwide database. Reducing remittance costs to 3 percent by 2030 is a global target under Sustainable Development Goal (SDG) 10.7. Remittance costs across many African corridors and small islands in the Pacific remain above 10 percent.

    Banks were the most expensive remittance channels, charging an average fee of 11 percent in the first quarter of 2019. Post offices were the next most expensive, at over 7 percent. Remittance fees tend to include a premium where national post offices have an exclusive partnership with a money transfer operator. This premium was on average 1.5 percent worldwide and as high as 4 percent in some countries in the last quarter of 2018.

    On ways to lower remittance costs, Dilip Ratha, lead author of the Brief and head of KNOMAD, said, “Remittances are on track to become the largest source of external financing in developing countries. The high costs of money transfers reduce the benefits of migration. Renegotiating exclusive partnerships and letting new players operate through national post offices, banks, and telecommunications companies will increase competition and lower remittance prices.”

    The Brief notes that banks’ ongoing de-risking practices, which have involved the closure of the bank accounts of some remittance service providers, are driving up remittance costs.

    The Brief also reports progress toward the SDG target of reducing the recruitment costs paid by migrant workers, which tend to be high, especially for lower-skilled migrants.

    “Millions of low-skilled migrant workers are vulnerable to recruitment malpractices, including exorbitant recruitment costs. We need to boost efforts to create jobs in developing countries and to monitor and reduce recruitment costs paid by these workers,” said Michal Rutkowski, Senior Director of the Social Protection and Jobs Global Practice at the World Bank. The World Bank and the International Labour Organization are collaborating to develop indicators for worker-paid recruitment costs, to support the SDG of promoting safe, orderly, and regular migration.

    Regional Remittance Trends

    Remittances to the East Asia and Pacific region grew almost 7 percent to $143 billion in 2018, faster than the 5 percent growth in 2017. Remittances to the Philippines rose to $34 billion, but growth in remittances was slower due to a drop in private transfers from the GCC countries. Flows to Indonesia increased by 25 percent in 2018, after a muted performance in 2017.

    After posting 22 percent growth in 2017, remittances to Europe and Central Asia grew an estimated 11 percent to $59 billion in 2018. Continued growth in economic activity increased outbound remittances from Poland, Russia, Spain, and the United States, major sources of remittances to the region. Smaller remittance-dependent countries in the region, such as the Kyrgyz Republic, Tajikistan, and Uzbekistan, benefited from the sustained rebound of economic activity in Russia. Ukraine, the region’s largest remittance recipient, received a new record of more than $14 billion in 2018, up about 19 percent over 2017. This surge in Ukraine also reflects a revised methodology for estimating incoming remittances, as well as growth in neighboring countries’ demand for migrant workers.

    Remittances flows into Latin America and the Caribbean grew 10 percent to $88 billion in 2018, supported by the strong U.S. economy. Mexico continued to receive the most remittances in the region, posting about $36 billion in 2018, up 11 percent over the previous year. Colombia and Ecuador, which have migrants in Spain, posted 16 percent and 8 percent growth, respectively. Three other countries in the region posted double-digit growth: Guatemala (13 percent) as well as Dominican Republic and Honduras (both 10 percent), reflecting robust outbound remittances from the United States.

    Remittances to the Middle East and North Africa grew 9 percent to $62 billion in 2018. The growth was driven by Egypt’s rapid remittance growth of around 17 percent. Beyond 2018, the growth of remittances to the region is expected to continue, albeit at a slower pace of around 3 percent in 2019 due to moderating growth in the Euro Area.

    Remittances to South Asia grew 12 percent to $131 billion in 2018, outpacing the 6 percent growth in 2017. The upsurge was driven by stronger economic conditions in the United States and a pick-up in oil prices, which had a positive impact on outward remittances from some GCC countries. Remittances grew by more than 14 percent in India, where a flooding disaster in Kerala likely boosted the financial help that migrants sent to families. In Pakistan, remittance growth was moderate (7 percent), due to significant declines in inflows from Saudi Arabia, its largest remittance source. In Bangladesh, remittances showed a brisk uptick in 2018 (15 percent).

    Remittances to Sub-Saharan Africa grew almost 10 percent to $46 billion in 2018, supported by strong economic conditions in high-income economies. Looking at remittances as a share of GDP, Comoros has the largest share, followed by the Gambia , Lesotho, Cabo Verde, Liberia, Zimbabwe, Senegal, Togo, Ghana, and Nigeria.

    The Migration and Development Brief and the latest migration and remittances data are available at www.knomad.org. Interact with migration experts at http://blogs.worldbank.org/peoplemove

    http://www.worldbank.org/en/news/press-release/2019/04/08/record-high-remittances-sent-globally-in-2018?cid=ECR_TT_worldbank_EN_EXT
    #remittances #statistiques #chiffres #migrations #diaspora

    #Rapport ici :


    https://www.knomad.org/sites/default/files/2019-04/MigrationandDevelopmentBrief_31_0.pdf

    ping @reka

    • Immigrati, boom di rimesse: più di 6 miliardi all’estero. Lo strano caso dei cinesi «spariti»

      Bangladesh, Romania, Filippine: ecco il podio delle rimesse degli immigrati che vivono e lavorano in Italia. Il trend è in forte aumento: nel 2018 sono stati inviati all’estero 6,2 miliardi di euro, con una crescita annua del 20, 7 per cento.
      A registrarlo è uno studio della Fondazione Leone Moressa su dati Banca d’Italia, dopo il crollo del 2013 e alcuni anni di sostanziale stabilizzazione, oggi il volume di rimesse rappresenta lo 0,35% del Pil.

      Il primato del Bangladesh
      Per la prima volta, nel 2018 il Bangladesh è il primo Paese di destinazione delle rimesse, con oltre 730 milioni di euro complessivi (11,8% delle rimesse totali).
      Il Bangladesh nell’ultimo anno ha registrato un +35,7%, mentre negli ultimi sei anni ha più che triplicato il volume.

      Il secondo Paese di destinazione è la Romania, con un andamento stabile: +0,3% nell’ultimo anno e -14,3% negli ultimi sei.
      Da notare come tra i primi sei Paesi ben quattro siano asiatici: oltre al Bangladesh, anche Filippine, Pakistan e India. Proprio i Paesi dell’Asia meridionale sono quelli che negli ultimi anni hanno registrato il maggiore incremento di rimesse inviate. Il Pakistan ha registrato un aumento del +73,9% nell’ultimo anno. Anche India e Sri Lanka sono in forte espansione.

      Praticamente scomparsa la Cina, che fino a pochi anni fa rappresentava il primo Paese di destinazione e oggi non è nemmeno tra i primi 15 Paesi per destinazione delle rimesse.
      Mediamente, ciascun immigrato in Italia ha inviato in patria poco più di 1.200 euro nel corso del 2018 (circa 100 euro al mese). Valore che scende sotto la media per le due nazionalità più numerose: Romania (50,29 euro mensili) e Marocco (66,14 euro). Tra le comunità più numerose il valore più alto è quello del Bangladesh: ciascun cittadino ha inviato oltre 460 euro al mese. Anche i senegalesi hanno inviato mediamente oltre 300 euro mensili.

      https://www.ilsole24ore.com/art/notizie/2019-04-17/immigrati-boom-rimesse-piu-6-miliardi-all-estero-strano-caso-cinesi-spa
      #Italie #Chine #Bangladesh #Roumanie #Philippines

  • Gender Justice : Over 3 million Women Form a ‘Women’s Wall’ Across Kerala
    https://www.cetri.be/Gender-Justice-Over-3-million

    The call for the mobilisation was given by 176 progressive organisations and was successfully aided by the LDF government in the state. More than three million women formed an over 600-km long unbroken human chain ‘Vanitha Mathil’ (Women’s Wall) on Tuesday linking Kasargode in North Kerala to Ayyanakali square near the Governor’s residence in Thiruvananthapuram, to defend gender justice and values of renaissance in the society. Men formed another human chain parallel to the Women’s Wall (...)

    #Southern_Social_Movements_Newswire

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Inde, #Genre, #newsclick.in

  • La menstruation, #tabou tenace en #Inde

    Pour le Nouvel An, l’hebdomadaire Outlook a publié un numéro spécial dédié à un problème tenace en Inde, celui du tabou qui entoure la #menstruation. Comme l’illustre la bagarre autour de l’accès au #temple hindou de #Sabarimala, dans le Kerala, les règles rendant les femmes “impures” et donc indignes d’entrer dans le sanctuaire aux yeux des extrémistes de cette religion, beaucoup de fantasmes continuent de circuler.

    “En dehors de ce festival d’anxiétés, le paysage des deux dernières années a été marqué par une série de détonations visuelles”, rappelle Outlook, en référence à des manifestations où des serviettes hygiéniques avaient été brandies par des étudiantes. “Des codes inconscients régissent ce qui est ou non acceptable”, dénonce le magazine. Résultat, “ce sujet universel du vivant” suscite la répression et génère, en retour, de “mini-insurrections” jouant dans le registre de la provocation.


    https://www.courrierinternational.com/une/la-menstruation-tabou-tenace-en-inde
    #menstruations #femmes

  • Understanding the 42-year-old Idukki dam which is now saving Kerala
    https://theprint.in/opinion/in-monsoon-battered-kerala-idukki-dam-has-stood-tall-to-prevent-floods/97579

    (article publié avant la catastrophe, d’où le titre…)

    In #Kerala, 14 dams, two weirs and a barrage have been constructed to tap the potential of this river, while Tamil Nadu has built a dam and a weir.

    • « Mon silence blesse ma conscience. Nous avons plus de 23 sœurs qui, en un an, ont été renvoyées de la congrégation car elles ont été abusées sexuellement, il y a eu un abus d’autorité. » Le 24 juillet, sur le plateau de la TVN, la chaîne de télévision nationale du Chili, sœur Yolanda Tondreaux et cinq religieuses de la congrégation du Bon samaritain ont dénoncé la série d’abus sexuels commis par les prêtres qui rendaient visite à leur communauté de Molina, rattachée au diocèse chilien de Talca.

      De l’autre côté de l’Atlantique, c’est une autre religieuse qui brise le silence, vingt ans après son agression. Dans un article d’Associated Press publié le 28 juillet, une sœur italienne raconte l’abus sexuel dont elle a été victime alors qu’elle se confessait auprès d’un prêtre à Bologne. « Cela a ouvert une blessure en moi, raconte-t-elle. J’ai fait comme si rien ne s’était produit. » Le 29 juin, en Inde, une sœur indienne a porté plainte pour viol et plusieurs agressions sexuelles contre un évêque du diocèse de Jalhandar qui, pour sa part, nie les faits.
      Depuis quelques mois, des cas d’abus commis par des membres du clergé sur des religieuses émergent de tous les continents. La libération de la parole due au mouvement #MeToo, né dans le sillage de l’affaire Weinstein en octobre 2017, se répandrait dans les ordres. Ces religieuses témoignent aussi de l’inaction et du silence de l’Église face à des pratiques qui seraient connues depuis une vingtaine d’années.

      À la fin des années 1990, des rapports avaient été présentés au Vatican. Parmi eux, celui de la sœur Maura O’Donohue, médecin et coordinatrice pour le sida au sein du Fonds catholique de développement outre-mer de la Caritas. Elle avait réalisé un sondage auprès de religieuses dans 23 pays en 1994. Elle y dénonçait, au milieu d’autres situations tragiques, les viols commis par des prêtres sur des religieuses, considérées comme des partenaires « sûres », dans les pays gravement atteints par l’épidémie de sida. Ces enquêtes devaient rester privées, mais le journal américain National Catholic Reporter les avait mises en ligne en 2001.

      #viol #catholicisme

      ____

      La révolte des nonnes au Kerala
      https://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/09/21/la-revolte-des-nonnes-au-kerala_5358317_4497186.html

      Les religieuses de la Congrégation des missionnaires de Jésus-Christ dénoncent l’inertie de l’Eglise et des autorités face aux accusations de viols d’une congréganiste par un évêque.

      Samedi 8 septembre, cinq religieuses vêtues de robes marron et coiffées d’un voile se sont installées sur une place de Kochi (Inde), dans l’Etat du Kerala, avec des pancartes sur les genoux et un micro.

      Jusqu’alors, personne n’avait voulu les entendre. Ni les responsables politiques, ni les médias, ni les autorités ecclésiastiques indiennes, et encore moins le Vatican. Alors depuis deux semaines, les cinq nonnes de la Congrégation des missionnaires de Jésus-Christ se relaient pour dénoncer l’inertie de l’Eglise et des autorités indiennes après les accusations de viol d’une congréganiste à l’encontre d’un évêque.
      « Nous nous battrons à l’intérieur de l’Eglise et de la congrégation. Nos supérieurs ont coupé tous les liens avec nous dès le moment où nous les avons questionnés. Mais nous continuerons à nous battre. » sœur Anupama

      Une religieuse de 44 ans accuse l’évêque Franco Mullackal de treize agressions sexuelles, entre 2014 et 2016. Après avoir alerté sa hiérarchie à plusieurs reprises, en vain, elle a finalement décidé de porter plainte, fin juin. La police a attendu près d’un mois et demi avant d’interroger le prélat qui est à la tête de la congrégation, basée à Jalandhar, dans l’Etat du Pendjab. Un délai inhabituellement long.
      Un geste de colère inouï en Inde

      L’évêque a finalement donné, le 16 septembre, sa démission temporaire au pape François pour se consacrer à sa défense, après avoir rejeté les accusations. Il a été arrêté et inculpé pour « viol », vendredi 22 septembre.

      La congrégation, de son côté, accuse la religieuse d’avoir « enfreint la discipline » de sa communauté et d’« avoir eu une liaison avec un chauffeur de taxi ».
      Monseigneur Franco Mullackal (en blanc), évêque de Jalandhar, est escorté par la police, près de Kochi, dans l’Etat du Kérala, le 21 septembre.

      Ce scandale éclate quelques semaines seulement après la publication, en août, d’une lettre du pape François dans laquelle ce dernier exprime « la honte et la repentance » de l’Eglise concernant les abus sexuels commis par des membres du clergé, et la passivité des responsables qui les ont couverts.

      Lire aussi : Violences sexuelles : le pape François condamne, les victimes demandent des actes

      « Nous nous battrons à l’intérieur de l’Eglise et de la congrégation, a déclaré la sœur Anupama, l’une des cinq religieuses à l’initiative du sit-in. Nos supérieurs ont coupé tous les liens avec nous dès le moment où nous les avons questionnés. Même les prêtres ont cessé de venir au couvent pour célébrer la messe. Mais nous continuerons à nous battre. »

      Ce geste de colère est inouï dans un pays où les nonnes n’ont pas l’habitude d’organiser des protestations, encore moins de dénoncer les agressions sexuelles. L’audace des cinq religieuses a pris de court le pays tout entier et, au fil des jours, le mouvement de soutien s’est amplifié. Des poètes, des acteurs de cinéma, des associations de résidents, des syndicats étudiants, de toutes les confessions, les ont rejointes sur le square de Kochi. « C’est le combat d’une religieuse sans argent ni pouvoir ni influence contre la puissante Eglise », explique Shyju Antony, l’un des leaders du mouvement.
      Le silence des responsables politiques

      Seuls absents : les responsables politiques de tous bords. Sauf un, P. C. George, député régional indépendant, qui a qualifié la religieuse de « prostituée ». « Douze fois, elle y a pris plaisir, et la treizième fois c’est un viol ? Pourquoi n’a-t-elle pas porté plainte la première fois ? », a-t-il déclaré à la presse locale.

      Dans un Etat où les chrétiens forment près de 19 % de la population, les partis hésitent à critiquer l’Eglise, y compris les communistes au pouvoir dans l’Etat du Kerala : « Même eux sont sous l’influence de l’Eglise », maugrée Shyju Antony.

      Des catholiques se sont pourtant mobilisés. Le père Augustine Vattoli, de l’Eglise catholique syro-malabare, a fondé le mouvement Save Our Sisters (SOS, Sauvez nos sœurs) pour venir en aide à la victime présumée de viols. « Bien sûr que ce scandale entache la réputation de l’Eglise, mais nous espérons qu’il va réveiller les consciences, explique-t-il. Le silence de l’Eglise est insupportable. »

      Sur le site d’informations India Currents, le prêtre capucin Suresh Mathew a également dénoncé en août les conditions de vie des religieuses. « En Inde, les nonnes de nombreuses congrégations ne sont pas autorisées à utiliser leur téléphone portable ou à envoyer des e-mails pour être en contact avec leurs proches », écrit-il, ajoutant qu’elles doivent « utiliser des vêtements pendant leurs règles car les serviettes hygiéniques sont interdites. »

      Par crainte que la révolte des sœurs ne se propage, plusieurs congrégations, dont celle de la mère du Carmel, ont demandé à leurs nonnes de ne surtout pas prendre part au débat, y compris sur Whatsapp ou sur les réseaux sociaux.

  • This region in India is full of churches that look nothing like churches
    https://www.lostateminor.com/2018/07/09/region-india-full-churches-look-nothing-like-churches

    They don’t build churches like they do in Kerala, India.

    In their series, entitled Postcolonial Epiphany, art studio ‘Haubitz + Zoche’ document the extravagantly-ornamented churches commonly found in the region of Kerala in South India.

    An extension of the firm’s 2014 work wherein they captured equally-flamboyant movie theatres, the series shows the strange yet fascinating local architectural style brought forth by Western and socialist influences.

    Postcolonial Epiphany by ‘Haubitz + Zoche’

    Many of these religious structures were built after the country’s independence in 1947, and were largely influenced by Swiss-French architect Le Corbusier. Known for their bright colours and striking decor, these places of worship often feature sculptures of bibles and globes, images of glowing stars, and statues of giant candles.

  • Alerte #santé_publique
    https://www.globalhealthnow.org

    Je me suis abonné avec le temps à des tas de newsletters et de flus rss pour suivre les questions de santé publique. Beaucoup trop, et désormais la newsletter GHN semble me donner tout ce dont j’ai besoin (et même sans doute trop).

    Exemple ce matin :

    Reservoir Dogs
    A vaccine used to treat dogs with leishmaniasis could help stop the disease’s spread to humans, University of Iowa researchers found.

    The strain of Uganda’s cholera outbreak is compounded by the flood of 70,000 Congolese refugees who’ve arrived this year, sharing crowded quarters where disease spreads easily. The International Federation of Red Cross

    Some recruiters make birth control mandatory for Sri Lankan women seeking work in the Middle East, desperate to support their families amid civil war at home. The Guardian

    Ireland’s measles outbreak has swelled to 40 confirmed cases after beginning in Limerick in January; an outbreak control team has been deployed. TheJournal.ie

    Over 200 previously unknown viruses found in fish, frogs and reptiles have been unveiled by researchers; they date back hundreds of millions of years to the advent of modern animals. Nature

    A Harder Death for People with Intellectual Disabilities – The New York Times

    Facebook sent a doctor on a secret mission to ask hospitals to share patient data – CNBC

    2018 March for Science will be far more than street protests – Science

    Clinical trials may be based on flimsy animal data – Science

    How The NRA Worked To Stifle Gun Violence Research – NPR’s Here & Now

    Negative fateful life events and the brains of middle-aged men – University of California - San Diego via ScienceDaily

    Solving Japan’s Fertility Crisis – IPS

    In Detroit, Baby Steps to Better Births – US News

    Why I did a vasectomy: Kerala man’s post on family planning is a must-read – The News Minute

    Taboo talk in Mali marriages overlaps with healthy choices – Futurity

    The Controversial Process of Redesigning the Wheelchair Symbol – Atlas Obscura

    #veille #ressources

  • Montagnes et montagnards des Suds dans la mondialisation touristique : imaginaires et pratiques
    Isabelle Sacareau
    Montagnes et montagnards des Suds dans la mondialisation touristique : imaginaires et pratiques [Texte intégral]
    Mountains and Mountain Dwellers of the Global South and the Globalisation of Tourism : Imaginaries and Practices [Texte intégral | traduction]
    Etienne Jacquemet
    Pourquoi vient-on voir l’#Everest ? Représentations collectives et pratiques touristiques dans la région du #Khumbu [Texte intégral]
    Why Do People Come to See Mount Everest ? Collective Representations and Tourism Practices in the Khumbu Region [Texte intégral | traduction]
    Lucie Dejouhanet
    Le tourisme dans les montagnes du centre du #Kérala (#Inde du Sud) : à la croisée des regards posés sur les populations forestières [Texte intégral]
    Tourism in the Mountains of Central Kerala (South India) : at the Crossroads of Attitudes Towards Forest Populations [Texte intégral | traduction]
    Evelyne Gauché
    Mise en tourisme d’un village shui dans la province montagneuse du #Guizhou (sud de la #Chine) : imaginaires et instrumentalisation politique du paysage [Texte intégral]
    Tourismification of a Shui Village in the Mountainous Province of Guizhou (South China) : Imaginaries and the Use of Landscape for Political Ends [Texte intégral | traduction]


    https://journals.openedition.org/rga/3827
    #revue #montagnes #montagnards #tourisme

  • India’s Hindu Right-Wing Extremists Are Increasingly Turning to Violence | Alternet
    https://www.alternet.org/world/hindu-far-right-turns-violent

    Deep roots of social democratic and left culture in Kerala have made this state difficult terrain for the Hindu right. None of its appeals seem to work here, where the population is almost entirely literate and where social progress is seen to be more important than religious division. That is what gives Vijayan the confidence to speak so forthrightly against the Hindu right. More than the power of his state, he has his society behind him.

    One of the architects of the Hindu right’s electoral victory in 2013, Amit Shah, and the Chief Minister of the largest state in India, Uttar Pradesh’s Yogi Adityanath, were called upon by the Hindu right’s high command to make mischief in Kerala. They were to inaugurate the Jana Raksha Yatra (Save the People March) in the state in early October to call attention to what Shah claimed is ‘Marxist-Jihadist violence’ against the activists of the Hindu right. The Hindu right has led no such march to defend the hundreds of Indians killed this year by their own fascist hordes. Their eyes are fixed on Kerala, and with laser intensity, against the communists.

    #Inde #fascisme

  • Une réforme fiscale en Inde menace l’accès des plus précaires aux serviettes hygiéniques · Global Voices en Français
    https://fr.globalvoices.org/2017/08/18/214319

    Avec cette réforme, les protections hygiéniques (serviettes et tampons) sont désormais taxées au même titre que les produits de luxe. En revanche, le bindi [fr] (le pigment rouge utilisé par les femmes sur leur front indiquant leur statut d’épouse), le mangala sutra et les bracelets ne contenant pas de métaux précieux (tous deux portés par les femmes mariées) n’ont pas été taxés. Si cette décision visait à apaiser la colère des femmes, elle a plutôt mis le feu aux poudres. L’imposition des protections hygiéniques a soulevé une vague d’indignation sur internet, et des pétitions ont été mises en ligne pour appeler à abroger cette mesure. Des étudiantes de Thiruvananthapuram [fr], capitale de l’État du Kerala, ont décidé d’envoyer au ministre des finances des boîtes remplies de protections hygiéniques, accompagnées du message “saigne sans peur, saigne sans impôts”.

  • Menstrual Hygiene Products Are Not Luxury Goods: Indian Rural Women Speak Out · Global Voices

    https://globalvoices.org/2017/07/26/menstrual-hygiene-products-are-not-luxury-goods-indian-rural-women-spe

    This post was written by Madhura Chakraborty and Shradha Shreejaya and originally appeared on Video Volunteers, an award-winning international community media organization based in India. An edited version is published below as part of a content-sharing agreement.

    At the stroke of midnight on July 1, the Indian government rolled out what is being touted as the biggest tax reform in 70 years of independence — the Goods and Services Tax (GST), an indirect tax applicable throughout India that aims to replace multiple taxes levied by the state and central governments. With this, menstrual hygiene products will be taxed in the same category as ‘luxury’ commodities, while Vermilion (applied to the forehead of Hindu women to indicate married status), mangala sutra (a necklace worn by married women) and bangles not made out of precious metal (also a sign of marriage) will not be taxed. If this was a move to appease women, it backfired massively. There has been a surge on social media of articles and online petitions regarding the taxing of sanitary napkins. Female students in Thiruvananthapuram, the capital of Kerala, even mailed crate loads of sanitary napkins with the message ‘bleed without fear, bleed without tax’ to the finance minister.

    #règles #inde #discrimination

  • ‘Cyber Warrior’ Group Threatens to Extort Indian Women on Facebook · Global Voices

    https://globalvoices.org/2017/05/18/cyber-warrior-group-threatens-to-extort-indian-women-on-facebook

    Isha Ishika, a university student in the southern Indian state of Kerala, was threatened a few days ago by a members of a Facebook group called Kerala Cyber Warriors.

    The Malayalam-speaking group of predominantly male members says that it aims to protect Indians online, especially Malayalee women, by hacking into pages where explicit images and content related to sexuality are shared.

    They describe their activities on their group page, saying that they seek to ‘expose’ people and preserve the ‘honor’ of Malayalee women. They claim to have hacked Pakistan websites and to protect Indian soldiers. They also claim to have to brought down revenge porn groups on Facebook. It is not clear precisely what technical methods they use to gain access to these pages.

    #inde #droit_des_femmes #droits_humains #viols #culture_du_viol

  • PepsiCo, Coca-Cola Fight Patriotism in Parched Indian State - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-03-16/pepsico-coca-cola-fight-patriotism-in-drought-hit-indian-state

    A potent blend of pride, economic nationalism and mounting concern over water security have the world’s two biggest cola brands in a bind in southern India.

    Shopkeepers in drought-hit Kerala state decided Wednesday to promote local brands over Coca-Cola Co. and PepsiCo Inc. beverages after counterparts in neighboring Tamil Nadu boycotted the multinational drinks. While retail groups claim the companies are siphoning off groundwater and selling products tainted with pesticides, academics and analysts say the soda giants have become scapegoats for a water crisis that’s become mired in politics and patriotism.

    #inde #eau #coca-cola #multinationales

  • Au Kerala, les nationalistes hindous grignotent la terre marxiste
    https://www.mediapart.fr/journal/international/260217/au-kerala-les-nationalistes-hindous-grignotent-la-terre-marxiste

    Aux élections régionales de mai 2016, le BJP a remporté pour la première fois un siège au parlement de Trivandrum. Le parti de Modi fait le pari de la troisième voie pour conquérir la classe moyenne. Deuxième volet de notre reportage.

    #International #Asie #communistes #démocratie #emigrants #Inde #Narendra_Modi

  • Etre communiste dans l’Inde de Modi
    https://www.mediapart.fr/journal/international/220217/etre-communiste-dans-linde-de-modi

    Dans le village de Karavaram, au Kerala, le 4 février 2017 © GD Revenus au pouvoir en 2016, les marxistes du Kerala affichent des résultats brillants en matière de sécurité, d’éducation et de santé. Mais leur succès trouve ses racines dans l’histoire d’un territoire qui, depuis le XIXe siècle, a toujours été un peu à part. Premier volet de notre reportage.

    #International #Asie #Inde #Narendra_Modi #parti_communiste

  • Vandana Shiva : « Gandhi est plus pertinent qu’il ne l’a jamais été »
    http://www.revue-ballast.fr/vandana-shiva-gandhi-plus-pertinent-quil-ne-jamais-ete

    Son grand-père avait, dans les années 1950, fait une grève de la faim pour défendre l’enseignement scolaire pour les filles de son village. Il en mourut. Vandana Shiva avait quatre ans, et cette expérience fut déterminante. « Il faut que l’Europe comprenne qu’elle souffre des privilèges qu’elle s’est créés elle-même : son train de vie, notamment. Les processus qui alimentent la crise en Europe provoquent une crise pire encore en Inde. L’Europe ne fabrique quasiment rien », lança-t-elle un jour1. Celle qui invite à la « désobéissance des graines » et à la reconquête de la souveraineté alimentaire par le partage des semences ancestrales (via son important projet de banques de graines) ne cesse d’affronter les multinationales, à l’instar de Monsanto — dont elle est la bête noire — ou de Coca-Cola — qui dut fermer son usine du Kerala en 2010, suite à une immense mobilisation non-violente. La militante éco-féministe, qui ne fait pas l’unanimité parmi les rangs écologistes et féministes2, s’échine aussi à sensibiliser les paysans aux pratiques agro-écologiques et à replacer les femmes au centre de cette transmission. Et la fondatrice du mouvement Nadanya d’alerter : « La paix en Inde dépend en partie de la capacité des Occidentaux à relocaliser leur économie. Les emplois locaux doivent être soutenus par des ressources de proximité et pourvoir aux besoins locaux. Cette démarque reconstruirait l’Europe, la sortirait de la crise, et ferait redescendre la pression chez nous. » Nous l’avons rencontrée de passage à Paris.

    #Vandana_Shiva

  • Vandana Shiva : « Gandhi est plus pertinent qu’il ne l’a jamais été »
    http://www.revue-ballast.fr/vandana-shiva-gandhi-plus-pertinent-quil-ne-jamais-ete

    Rencontre avec l’éco-féministe indienne. Son grand-père avait, dans les années 1950, fait une grève de la faim pour défendre l’enseignement scolaire pour les filles de son village. Il en mourut. Vandana Shiva avait quatre ans, et cette expérience fut déterminante. « Il faut que l’Europe comprenne qu’elle souffre des privilèges qu’elle s’est créés elle-même : son train de vie, notamment. Les processus qui alimentent la crise en Europe provoquent une crise pire encore en Inde. L’Europe ne fabrique quasiment rien », lança-t-elle un jour. Celle qui invite à la « désobéissance des graines » et à la reconquête de la souveraineté alimentaire par le partage des semences ancestrales (via son important projet de banques de graines) ne cesse d’affronter les multinationales, à l’instar de Monsanto — dont elle est la bête noire — ou de Coca-Cola — qui dut fermer son usine du Kerala en 2010, suite à une immense mobilisation non-violente. La militante éco-féministe, qui ne fait pas l’unanimité parmi les rangs écologistes et féministes, s’échine aussi à sensibiliser les paysans aux pratiques agro-écologiques et à replacer les femmes au centre de cette transmission.

  • B. R. Ambedkar
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/B._R._Ambedkar


    B. R. Ambedkar est toujours admiré par les pauvres d’Inde qui n’ont que peu d’estime pour le Mahātmā Gandhi vénéré par les hindous modérés des classes moyennes.

    Bhimrao Ramji Ambedkar ([14 April 1891 – 6 December 1956), popularly known as Babasaheb, was an Indian jurist, economist, politician and social reformer who inspired the Modern Buddhist Movement and campaigned against social discrimination against Untouchables (Dalits), while also supporting the rights of women and labour. He was Independent India’s first law minister and the principal architect of the Constitution of India.

    His later life was marked by his political activities; he became involved in campaigning and negotiations for India’s independence, publishing journals advocating political rights and social freedom for Dalits, and contributing significantly to the establishment of the state of India.

    In 1956 he converted to Buddhism, initiating mass conversions of Dalits.

    Mahātmā
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Mahatma

    This epithet is commonly applied to prominent people like Mohandas Karamchand Gandhi, Munshiram (later Swami Shraddhananda), Lalon Shah, Ayyankali and Jyotirao Phule.

    Manusmriti Dahan Din (Manusmriti Burning Day)
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Manusmriti_Dahan_Din

    The Manusmṛti Dahan Diwas (Manusmriti Burning Day) during Maha-Sangharsha of Mahad Satyagraha, was day on 25 December 1927 that Manusmṛti was publicly burned by Dr. B. R. Ambedkar is an important mile stone in Dalit struggle against Brahminism. Manusmṛti is probably the most burnt book in India every year by Dalits and Ambedkarites.

    Dr. Ambedkar came from Bombay by boat “Padmavati” via Dasgaon port, instead of Dharamtar, though it is longer distance, because in the event of boycott by bus owners, they could walk down five miles to Mahad. A pit six inches deep and one and half foot square was dug in, and filled with sandle wood pieces. On its four corners, poles were erected, bearing banners on three sides. Banners said,

    “Manusmṛti chi dahan bhumi”, i.e. Crematorium for Manusmṛti.
    Destroy Untouchability and
    Bury the Brahmanism.

    Dalit Buddhist movement
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Dalit_Buddhist_movement

    Twenty-two vows of Ambedkar
    Inscription of 22 vows at Deekshabhoomi, Nagpur

    After receiving ordination, Ambedkar gave dhamma diksha to his followers. The ceremony included 22 vows given to all new converts after Three Jewels and Five Precepts. On 14 October 1956 at Nagpur, Ambedkar performed another mass religious conversion ceremony at Chandrapur.

    He prescribed 22 vows to his followers:

    I shall have no faith in Brahma, Vishnu and Maheshwara, nor shall I worship them.
    I shall have no faith in Rama and Krishna, who are believed to be incarnation of God, nor shall I worship them.
    I shall have no faith in Gauri, Ganapati and other gods and goddesses of Hindus, nor shall I worship them.
    I do not believe in the incarnation of God.
    I do not and shall not believe that Lord Buddha was the incarnation of Vishnu. I believe this to be sheer madness and false propaganda.
    I shall not perform Shraddha nor shall I give pind.
    I shall not act in a manner violating the principles and teachings of the Buddha.
    I shall not allow any ceremonies to be performed by Brahmins.
    I shall believe in the equality of man.
    I shall endeavour to establish equality.
    I shall follow the Noble Eightfold Path of the Buddha.
    I shall follow the ten paramitas prescribed by the Buddha.
    I shall have compassion and loving-kindness for all living beings and protect them.
    I shall not steal.
    I shall not tell lies.
    I shall not commit carnal sins.
    I shall not take intoxicants like liquor, drugs, etc.

    (The previous four proscriptive vows [#14–17] are from the Five Precepts.)

    I shall endeavour to follow the Noble Eightfold Path and practice compassion and loving-kindness in everyday life.
    I renounce Hinduism, which disfavors humanity and impedes the advancement and development of humanity because it is based on inequality, and adopt Buddhism as my religion.
    I firmly believe the Dhamma of the Buddha is the only true religion.
    I consider that I have taken a new birth.
    I solemnly declare and affirm that I shall hereafter lead my life according to the teachings of Buddha’s Dhamma.

    Democracy and Class Struggle : Bhagat Singh On Dalit Question by Ashok Yadav
    http://democracyandclasstruggle.blogspot.de/2015/06/bhagat-singh-on-dalit-question-by-ashok.html?m=1

    “Bring revolution through social movements and then be prepared for political and economic revolutions.” This is yet another important formulation of Bhagat Singh. Right from Jotiba Phule to Dr Ambedkar all have stressed upon the importance of social revolution in bringing about the final revolutions in political and economic sectors. Bhagat Singh who otherwise devoted major part of his short life for socialism and national liberation did not digress much from India’s great social revolutionaries in prescribing the trajectory of revolution. Bhagat Singh had started off his revolutionary life by making national liberation from subjugation of British rule the sole preoccupation. In a very short span of time he had realised that the ground for political-economic revolution in India cannot be prepared unless social revolution is effected. This was a great and stirring journey of Bhagat Singh in the realm of philosophy.

    (Note: All the quotations of Bhagat Singh from the article have been translated in English by this writer from the Hindi version. The article in question has been taken from Bhagat Singh’s collected works published by Rajkamal Prakashan)

    Source : http://www.countercurrents.org/yadav231209.htm

    Graham Staines
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Graham_Staines

    Graham Stuart Staines (1941 – 22 January 1999) was an Australian Christian missionary who, along with his two sons Philip (aged 10) and Timothy (aged 6), was burnt to death by a gang while sleeping in his station wagon at Manoharpur village in Keonjhar district in Odisha, India on 22 January 1999. In 2003, a Bajrang Dal activist, Dara Singh, was convicted of leading the gang that murdered Graham Staines and his sons, and was sentenced to life in prison.

    Communist Party of India (Marxist)
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Communist_Party_of_India_%28Marxist%29

    The party emerged from a split from the Communist Party of India in 1964. The CPI(M) was formed at the Seventh Congress of the Communist Party of India held in Calcutta from October 31 to November 7, 1964.

    The strength of CPI(M) is concentrated in the states of Kerala, West Bengal and Tripura. As of 2015, CPI(M) is leading the state government in Tripura. It also leads the Left Front coalition of leftist parties. As of 2013, CPI(M) claimed to have 1,065,406 members.

    Tripura
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Tripura

    In the last elections held in February 2013, the Left Front won 50 out of 60 seats in the Assembly, 49 of which went to the Communist Party of India (Marxist) (CPM).[61] As of 2013, Tripura is the only state in India where the communist party is in power. Formerly, two more states—West Bengal and Kerala—had democratically elected communist governments.

    Kerala
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Kerala

    West Bengal
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/West_Bengal

    #Inde #hindouisme #bouddhisme #communisme #dalit #Ambedkar

  • Représentation du territoire national et circulation des grains : le Système de distribution publique indien - Cairn.info
    https://www.cairn.info/revue-annales-de-geographie-2011-1-page-26.htm

    Plusieurs fois par an, aux moments des récoltes de blé, de riz, mais aussi de canne à sucre, les campagnes de l’Inde sont traversées d’un fourmillement de charrettes, de camions, de négociants en grains, de trains remplis de sacs de jute bourrés de céréales. Marchés « réglementés » au Punjab, huttes construites pour la pesée des grains au Tamil Nadu abritent portefaix, paysans, marchands, transactions multiples, commissions plus ou moins légales, couture à gros fil de sacs de 70 kg. Rien de plus normal, pourrait-on dire, dans un pays où l’agriculture est encore pratiquée par la moitié de la population active. Pourtant, une bonne partie de cette agitation ne reflète nullement les activités du commerce privé et les logiques classiques de l’offre et de la demande : il s’agit en effet, pour un cinquième parfois de la production de blé et de riz, de flux institués à l’instigation de l’État. Une bonne partie des acteurs privés travaille de fait pour constituer des #stocks_publics de sécurité, qui puissent être redistribués à des prix subventionnés à la population indienne. Le système fonctionne parallèlement comme un soutien aux agriculteurs dans les zones de surproduction, qui ont grâce à l’État l’assurance de prix garantis. Certains trains circulent ainsi sur 3 000 km, du Punjab au Kerala, selon des itinéraires rendus complexes par la saturation saisonnière des infrastructures de transport (Landy, 2006).
    2

    #grains #alimentation #sécurité_alimentaire #redistribution #agriculture

  • India, State of Kerala : Crime mapping system being installed in police vehicles, Latest News - Mathrubhumi English News Online
    http://www.mathrubhumi.com/english/news/latest-news/crime-mapping-system-being-installed-in-police-vehicles-164693.html

    Thiruvananthapuram: A crime mapping system, which will help the police to document various details from the scene of the crime itself, is being installed in police vehicles in the state.

    On an experimental basis, the system has been installed in one vehicle each of all police stations. The crime mapping system has been developed by Keltron.

    When a button is pressed, a list of incidents such as crime, accident etc will appear. If the incident is a crime, the details will reach the server though GPRS and it can be accessed by those concerned anywhere at any time.

    Other than the machine connected to the vehicles, mapping can be done using a specially developed android application.

    Since it is a digital system, the risk of losing of documents is nil. Besides, crime mapping is considered as easy as Google mapping.

    #criminalité #crime_mapping #inde #police #surveillance #contrôle

  • Saudi pumping millions to promote Wahhabism in India
    http://www.indiatvnews.com/news/india/saudi-pumping-millions-to-promote-wahhabism-in-india-52171.html

    The diplomatic documents released by WikiLeaks last week have revealed that Saudi Arabia is pumping in millions of rupees into India for opening of religious trusts and non-governmental organisations.

    WikiLeaks have disclosed an undated document that contains a list of Indian institutions and societies that have applied for financial assistance from the Arab nation.

    The document suggests that the government of Saudi Arabia itself pledged donations to nine such institutions located across different states, including Uttar Pradesh, West Bengal, Kerala and Maharashtra.

    Saudi Arabia pledged 4.5 million Saudi Riyal (SR) to different institutions in Kerala only.

    Similarly, In Uttar Pradesh, 75,000 SR were pledged to two different societies for establishing a Madrasa building and a vocational centre for girls.

    The documents also reveal that the Secretariat General of the Muslim World League in Mecca, a controversial organisation with alleged links to terror funding, had requested Saudi Arabia to establish the organisation’s Salafi or Wahhabi centres in India.

    #saudileaks