provinceorstate:queensland

  • ’Mistake Creek’ declared a mistake after 165 years, scrubbed from maps
    http://www.brisbanetimes.com.au/queensland/mistake-creek-declared-a-mistake-after-165-years-scrubbed-from-map
    https://img-s-msn-com.akamaized.net/tenant/amp/entityid/AABuieF.img?h=315&w=600&m=6&q=60&o=t&l=f&f=jpg

    The central Queensland community of Mistake Creek was officially declared a mistake by the state government on Friday and scratched from Queensland maps.

    In 1854, settler Jeremiah Rolfe believed his station was on the Belyando River, but later discovered it was actually on a tributary, which he called Mistake Creek.

    According to the 2016 census, the locality had a population of 38 and according to Google Maps, was located about 100 kilometres west of Clermont.

    The community boasts the only school for at least 70 kilometres in the state’s centre.

    #cartographie #erreur-cartographique

  • Australie : un tout petit oiseau bloque un projet minier controversé - Magazine GoodPlanet Info
    https://www.goodplanet.info/actualite/2019/05/08/australie-un-tout-petit-oiseau-bloque-un-projet-minier-controverse

    Un minuscule passereau a volé dans les plumes de la mine de charbon géante du conglomérat indien Adani en Australie, le gouvernement local ayant décidé de bloquer le projet controversé tant que l’oiseau en danger ne sera pas protégé.

    Le projet Carmichael, situé près de la Grande barrière de corail dans le nord-est du pays, est depuis son origine plombé par des problèmes judiciaires et réglementaires ainsi que par l’activisme d’organisations dénonçant sans relâche son impact environnemental.

    La mine accuse de nombreuses années de retard. Elle est également devenue un sujet électoral extrêmement sensible en amont des législatives du 18 mai, symbolisant pour l’opposition le manque de conviction environnementale du gouvernement fédéral conservateur.

    Après des mois de débats, le gouvernement de l’Etat du Queensland a déclaré vendredi que le projet Adani serait bloqué tant que des mesures de protection du diamant à bavette ne seraient pas en place.

    Le diamant à bavette


    http://www.oiseaux.net/oiseaux/diamant.a.bavette.html

  • #privacy : What You Need To Know
    https://hackernoon.com/privacy-what-you-need-to-know-e183ef3563c1?source=rss----3a8144eabfe3---

    If you share something with more than 5 people, you should not consider it private anymore. This is Entropy’s Law of Privacy, known as gossip.Here is how it works. Researcher and social psychologist, Dr. Cazzell (Stanford, Queensland, BYU, Yale), excellently described this in her Behavioral #economics article with the Game of Clue. Here is how it works:When you reveal your card, that Professor Plum did not commit the murder, then the other person also learns that information. This seems obvious, but when you contrast that with physical things, it is oddly different. If I give you money, a cake, a car, or anything else, then I lose it and you gain it. This is not true with information, both people gain knowledge win+win — at no loss. Think how silly it would be if your brain forgot the card (...)

    #cybersecurity #crypto #security

  • Quand le foot se conjuguait au féminin Jonathan Lefèvre - 22 Juin 2018 - Solidaire
    https://solidaire.org/articles/quand-le-foot-se-conjuguait-au-feminin

    Et si au lieu de crier après Eden, Cristiano ou Lionel, nous encouragions Helen, Nadia ou Rose ? Durant quelques années, des ouvrières britanniques ont défié la domination masculine. Retour sur cette (trop) brève période.


    Latrobe Ladies’ football Club, 1921 (State Library of Queensland / Flickr)

    « La maternité, c’est aussi un sport, le vrai sport de la femme. » Alors que les femmes tentent de participer à l’émergence du football à la fin du 19è siècle, cette phrase du sportif Robert Miles résume la perception masculine de l’époque. À ce moment, le football a déjà gagné une bonne partie des cœurs de la classe ouvrière britannique, berceau du jeune football moderne.

    Cette classe ouvrière est en pleine expansion et si les premiers clubs de football sont fondés par le patronat afin de contenir les velléités de conquêtes sociales des travailleurs, ces derniers retournent l’« arme » contre l’agresseur en fondant eux-mêmes leurs clubs.

    Et les femmes ? Elles sont parties prenantes dans la lutte pour l’émancipation. Une lutte qui passera, entre autres, par le gazon. En 1894, le British Ladies’ Football Club est fondé par une militante féministe, Nettie Honeyball, et une écrivaine politique, Florence Dixie. Ce premier club féminin de foot joue son premier match en mars de l’année suivante. « Il n’y a rien de grotesque à propos du British Ladies’ Football Club. J’ai fondé l’association l’an dernier avec la ferme résolution de prouver au monde que les femmes ne sont pas ces créatures “ornementales” et “inutiles” que les hommes imaginent. Je dois avouer qu’en ce qui concerne les questions où la division des sexes est encore prégnante, toutes mes convictions penchent du côté de l’émancipation et j’attends avec impatience le temps où les femmes seront présentes au Parlement pour faire entendre leur voix dans les affaires qui les concernent », déclarait la secrétaire du club, Nettie Honeyball, quelques jours avant le match qui va rassembler 10 000 spectateurs.


    Le British Ladies’ Football Club

    La presse, présente en nombre pour couvrir cette « bizarrerie », traite plus des tenues des joueuses que du match même. Mais le mépris ne durera pas longtemps…

    « Enchainant plus de 150 matchs entre 1895 et 1897, drainant des milliers de spectateurs, les footballeuses cristallisent malgré leur popularité sportive l’anxiété masculine d’une remise en cause de la hiérarchie sexuelle », note le journaliste Mickaël Correia dans son livre « Une histoire populaire du football ». L’« anxiété masculine » grandit à la mesure de l’enchainement des victoires du club féminin. Surtout quand ces victoires ont lieu contre des hommes… De plus, le club a l’idée subversive d’aligner une joueuse noire. Bref, pour l’establishment local, c’en est trop. En 1902, la Fédération anglaise de football interdit à tous ses joueurs de jouer contre des femmes. En 1903, le British Ladies’ Football Club cesse ses activités

    Entre cette année et le début da Première Guerre mondiale, la lutte pour les droits des femmes fait rage. C’est le conflit qui va marquer le retour des joueuses sur les terrains.

    Alors qu’elles sont engagées par milliers dans l’industrie de munitions (« au plus fort de la guerre, près d’un million d’ouvrières produisent 80 % de l’armement militaire britannique dont 700 000 uniquement dans l’industrie des munitions », relève encore Correia), ces « Munitionnettes » travaillent 12 heures par jour et sont exposées à de gros risques vu qu’elles manipulent de l’explosif. Afin de contenir leurs revendications sociales, le patronat utilise la même stratégie que pour les ouvriers quelques décennies auparavant. Mais, comme lors de la première tentative d’utilisation du foot comme « opium » du peuple ouvrier, cela va se retourner contre l’establishment.

    Le foot, les ouvrières connaissent : leurs frères, leur père, leur mari parlaient du dernier match en rentrant à la maison le dimanche. Entre 1915 et 1918, 150 équipes se forment. La fédération ne s’inquiète pas trop, jugeant que cet épiphénomène cessera dès que la guerre sera gagnée…

    En 1917, la « Munitionnettes’ Cup », première compétition exclusivement féminine est créée. Elle rassemble 14 équipes. La finale de la coupe se joue devant 22 000 spectateurs.

    L’armistice sonne la fin du travail dans les industries de munitions. Mais, contrairement aux vœux de l’establishment, les footballeuses-ouvrières ne sortent pas du terrain. Elles commencent même à jouer des matchs à l’étranger (en France, aux États-Unis…). Le 26 décembre 1920, 53 000 personnes envahissent le stade d’Everton (Liverpool) pour un match entre les Dick, Kerr Ladies, l’équipe la plus populaire du moment, et le St Helen’s Ladies. L’année suivante, les Dick, Kerr Ladies jouent 67 matchs, dont plusieurs en soutien aux grèves des mineurs débutées en avril, devant 13 000 spectateurs en moyenne.

    La presse suit l’avis du public : « Si les joueurs de la ligue irlandaise pouvaient jouer un football de l’habileté et d’un caractère aussi attractif que celui joué par les dick, Kerr Ladies à Windsor Park la semaine dernière, il y aurait plus de foule et un plus grand nombre d’entrées. Les femmes étaient aussi rapides et habiles que les internationaux le week-end précédent et de bien meilleurs frappeuses », relate ainsi le journal irlandais « Sport of Dublin ».

    Cette popularité et cette reconnaissance sportive ne plait évidemment pas à la fédération qui y voit une concurrence inattendue avec « son » championnat. Et voit le risque que le football pratiqué par des femmes s’implante durablement. Résultat ? Les décideurs interdisent le foot s’il n’est pas pratiqué par des hommes : le 5 décembre 1921, la fédération interdit officiellement à ses clubs affiliés de prêter leurs infrastructures et empêche toute assistance technique et arbitrale. Les clubs qui ne respectent pas cette règle sont sanctionnés. Pour la fédération, « le football n’est pas adapté aux femmes et ne devrait jamais être encouragé ».

    Il faudra attendre 50 ans et de nombreux combats pour l’égalité des droits avant de revoir des femmes dans une compétition de football.

    Entre-temps, les femmes ont brisé le cliché qui dit que le foot est un sport masculin. Même si beaucoup doit encore être fait pour arriver à l’égalité devant le but.

    #Femmes #Emancipation #Sport #Football #Histoire #Angleterre #combats #Munitionnettes

  • Accor takes on rampant Airbnb in Australia with onefinestay | afr.com
    https://www.afr.com/real-estate/commercial/hotels-and-leisure/accor-takes-on-rampant-airbnb-in-australia-with-onefinestay-20180501-h0zinu

    Accor, the country’s biggest hotel operator, is taking on the rampant growth of Airbnb and the unregulated shadow accommodation sector in Australia with the launch in Australia and New Zealand of its luxury private rental business onefinestay.

    Offering stays in more than 10,000 high-end homes, penthouse apartments, beachside villas and grand country mansions around the world, onefinestay will initially launch in Sydney, Melbourne and Queensland before rapidly expanding nationally.

    “Private rentals are part of Accor’s global portfolio and have become a major part of the tourism sector,” Accor Pacific boss Simon McGrath told hotel industry conference AHICE on Wednesday.

    “With the amount of tourism happening worldwide, clients are inclined to not just stay in one sector. They will stay in different hotels at different times of the year for different reasons, so offering the breadth of brand and experience is very important,” he said.
    Accor, the country’s biggest hotel operator, is taking on the rampant growth of Airbnb.
    Accor, the country’s biggest hotel operator, is taking on the rampant growth of Airbnb. Josh Robenstone

    Last year, at the same conference, Accor’s visionary global CEO Sebastian Bazin described described Airbnb as a “formidable concept”.

    But he also said Accor, which is set to acquire its major Australian rival Mantra Group for $1.2 billion later this year, was tapping into Airbnb territory by acquiring a host of digital businesses and adapting its own business model to compete.

    “I am trying to adapt. I am saying what they do is nice and it’s growing, so why not tap into their territory. They are tapping into mine, so I might as well do it to them,” Mr Bazin said.

    Accor’s Australia and NZ launch of onefinestay, which it acquired in 2016 for €147 million, comes as the local hotel industry battles to keep up with the growth of Airbnb, which now exceeds 141,000 listings in Australia.

    Deloitte tourism and hospitality’s Bryon Merzeo told AHICE conference delegates that in 2017 growth in private rentals –Airbnb and others – was at 9.6 per cent, almost double the rate of growth in new hotels rooms (5.6 per cent).
    A major issue for Airbnb globally has been inconsistent or non-existent service for guests.
    A major issue for Airbnb globally has been inconsistent or non-existent service for guests. Stocksy

    Accor’s decision to bring onefinestay to Australia will provide an alternative platform for wealthy property owners and investors to rent out their villas, mansions and penthouses.

    For investors, it will give them access to the marketing power of one of the world’s biggest hotel networks and a platform while onefinestay guests will enjoy hotel-like services through Accor’s 24/7 mobile concierge business John Paul.

    A major issue for Airbnb globally has been inconsistent or non-existent service for guests, though a number of property management companies have sprung up to provide services such as housekeeping for investors.

    The hotel industry continues to push for regulation of Airbnb with Accommodation Association of Australia chief executive Richard Munro telling the conference that Airbnb and online travel agents (which take hefty commissions on room sales) were now the two biggest issues for its members.

    “Our role is to bring to the attention of government non-compliant accommodation providers. It’s a challenge because there’s three levels of government, including 547 local councils,” he said.

    Alongside the launch of onefinestay, Mr McGrath said Accor was also having “discussions” on bringing brands like Mama Shelters, 25Hours, Banyan Tree, Raffles and Fairmount to Australia amid a buoyant market.

    “We are having four or five discussions on each of those brands,” he said.

    Speaking at AHICE, Savills global head of hotels, George Nicholas, said he expected Australia to continue to punch above its weight as an investment destination with most of the demand coming from Asia along with some interest from the US and Germany.

    “We’re estimating there will be about 50 transactions in 2018 worth around $2 billion or more,” Mr Nicholas said. "This compares with just over 40 transactions in 2017 and more than 70 in both 2015 and 2016.

    #Airbnb #tourisme #logement #commerce #concurrence

  • The indispensable economy ? | The Economist

    http://www.economist.com/node/17363625

    On peut discuter de la pertinence de la représentation cartographique et du choix de la projection (les exportations US vers la chine, par quels chemins ?), mais le thème est intéressant.

    THE town of Alpha in Queensland, Australia, has only 400 residents, including one part-time ambulance driver and a lone policeman, according to Mark Imber of Waratah Coal, an exploration firm. But over the next few years it should quintuple in size, thanks to an A$7.5 billion ($7.3 billion) investment by his company and the Metallurgical Corporation of China, a state-owned firm that serves China’s mining and metals industry. This will build Australia’s biggest coal mine, as well as a 490km (300-mile) railway to carry the black stuff to the coast, and thence to China’s ravenous industrial maw.

    #chine #commerce_international #états-unis #europe

  • The carbon footprint of tourism revealed (it’s bigger than we thought)
    http://theconversation.com/the-carbon-footprint-of-tourism-revealed-its-bigger-than-we-thought

    The carbon footprint of tourism is about four times larger than previously thought, according to a world-first study published today in Nature Climate Change.

    Researchers from the University of Sydney, University of Queensland and National Cheng Kung University – including ourselves – worked together to assess the entire supply chain of tourism. This includes transportation, accommodation, food and beverages, souvenirs, clothing, cosmetics and other goods.

    Put together, global tourism produces about 8% of global greenhouse gas emissions, much more than previous estimates.

    #climat #tourisme #co2

  • Indigenous people are being displaced again – by gentrification | Jack Latimore | Cities | The Guardian

    https://www.theguardian.com/cities/2018/apr/09/indigenous-people-are-being-displaced-again-by-gentrification-aborigina

    Walking into the inner-city Brisbane suburb of West End one morning, I witnessed a group of Aboriginal “parkies” being moved on from a corner of the main road. “So nothing’s really changed for blackfellas in Brisbane,” I thought as I continued along Boundary Street, named for the city’s racist 19th-century policies of urban segregation.
    Australian Cities Week: what it is and how you can get involved
    Read more

    I saw the same sort of discrimination when I lived in the area in 1995: local Aboriginal people being shadowed by police vans as they walked the streets, singled out for questioning, harassed with gratuitous warrant checks or body searches. In 1993, two years prior to my arrival, the death in custody of an 18-year-old Aboriginal dancer had incited open violence between the city’s Indigenous community and the Queensland police.

    #australie #aborigènes #premières_nations #peuples_autochtones

  • Toujours dans l’art paréital mais cette fois-ci à l’autre bout du globe.

    L’art rupestre d’il y a 40 000 ans en Indonésie ressemble étonnamment à celui d’Europe (janvier 2017)
    nota : l’article parle d’art rupestre mais il s’agit d’art pariétal. Les exemples ci-dessous, extraits de ce même article, présentent des exemples d’art pariétal et d’art rupestre.

    http://www.epochtimes.fr/lart-rupestre-dil-y-40-000-ans-en-indonesie-ressemble-etonnament-a-celui-

    https://www.youtube.com/watch?v=ZVEqkVDn6Y4

    En 2014, des archéologues de l’université de Wollongong en Nouvelle-Galles du Sud et du Centre National d’Archéologie d’Indonésie ont été surpris par la découverte d’un art rupestre préhistorique indonésien. Cet art sophistiqué a été découvert dans les grottes de Maros sur l’île indonésienne de Sulawesi, ou Célèbes.

    Les chercheurs ont découvert des dessins et des gravures sur des surfaces de pierre vieux de 40 000 à 35 000 ans. Ils auraient ainsi été faits à la même période que les peintures rupestres en Europe selon les dernières datations, comme le souligne les chercheurs M. Aubert et A. Brumm de l’université de Wollongong, dans leur étude publiée dans Nature en 2014.

    De manière générale « la composition de la peinture de la préhistoire n’a pas changé pendant des milliers d’années.

    Espagne

    Des scientifiques espagnols ont découvert dans la grotte de Nerja en Andalousie un vestige du plus ancien art rupestre créé par l’homme de Néandertal, il y a entre 43 500 et 42 300 ans, et n’ayant pas été fait pas l’homme moderne que nous connaissons...

    Inde

    En 2014, le géologue indien Nitish Priyadarshi a décrit à Epoch Times ses découvertes d’art rupestre dans les collines de Ranchi dans l’État de Jharkand en Inde. Selon le rouge ocre utilisé, le géologue suggère qu’il correspondrait à un art vieux de 5 000 à 30 000 ans...

    Australie

    Le plus ancienne œuvre sur pierre d’Australie a été datée de 28 000 ans. Elle est située sous le fameux site de Narwala Gabammang dans le nord du pays, et est décrite comme la chapelle Sixtine de l’art préhistorique, selon l’université de Queensland du Sud...

    Colombie

    L’art rupestre de Colombie dans le Chiribiquete pourraient dater d’il y a 17 000 ans, selon les archéologues du pays. Un groupe interdisciplinaire de scientifiques est allé dans ce massif montagneux en 1992 et a fait la découverte surprenante « d’un nombre significatif de sites pictographiques d’une beauté stupéfiante et majestueuse consistant en 36 abris de pierre, avec plus de 200 000 dessins, ce qui en fait la plus grande découverte de pictographes amazoniens jusqu’à présent rapporté dans le monde scientifique », selon la description donnée dans le livre Serranías y Sierras.

    Lybie

    L’art de la pierre préhistorique réalisé sur les masses rocheuses du Tadrart Acacus dans le sud de la Lybie, à la frontière du Tassili n’Ajjer algérien, a plus de 14 000 ans et est considéré par l’UNESCO comme « d’une valeur universelle extraordinaire ».

    Argentine

    L’art rupestre en Argentine a au moins 9 000 ans. Parmi les rochers faisant jusqu’à 200 mètres de hauteur près du Río Pinturas à Santa Cruz dans le sud du pays, se trouvent des peintures faites par un groupe de natifs du pays, les ancêtres des Tehuelches, qui ont vécu il y a entre 9300 ans et 1000 ans, en restant protégés du vent, de la neige et de la pluie dans des conditions incomparables.

    Égypte

    L’archéologue Giulio Lucarini a présenté en 2014 son étude sur le désert occidental égyptien, à Farafra, en montrant des photographies de dessins du Néolitique remontant à il y a 6000 à 7000 ans.

    #préhistoire #art_pariétal #art_rupestre #néandertal #université_de_Wollongong #Centre_National_d’Archéologie_d’Indonésie #Asie #39900BP #grottes_de_Maros #Sulawesi #Célèbes

  • #Pollution & #poissons


    Islande : 30.000 tonnes de poissons morts dans un lac
    (lien modifié car issu de la fachosphère par mégarde de ma part et qui n’a pas échappé à la vigilance de @colporteur - Merci à toi)


    https://img.20mn.fr/1ITG9GbsRBep6gB9bvMHzQ/1200x768_tonnes-poissons-morts-ete-ramasses-lagoa-rodrigo-freitas-a-rio-jan
    Les poissons du lac Rodrigo de Freitas, en plein cœur de Rio de Janeiro, ont été victimes d’une désoxygénation…
    https://www.20minutes.fr/planete/1118961-20130315-20130315-jo-2016-dizaines-tonnes-poissons-morts-lac-desti


    Mexique : 50 tonnes de poissons morts extraits d’un lac
    http://www.linfo.re/monde/amerique/650702-mexique-50-tonnes-de-poissons-morts-extraits-d-un-lac


    Morts massives de poissons à travers l’Europe ! (2013)
    http://enattendant-2012.blogspot.fr/2013/07/morts-massives-de-poissons-travers.html

    Mort massive de poisson en 2016
    http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/de-la-terre/hecatombes-animales/morts-massives-danimaux-en-2016-plus-de-60-cas-entre-en-s

    16 Février 2016 – 445 tortues retrouvés mortes échouées le long des plages de Guerrero au MEXIQUE Lien
    16 Février 2016 – Grande mortalité de poissons le long des voies d’eau de Karatay en TURQUIE Lien
    15 Février 2016 – Des milliers de poissons meurent le long de la rivière Porce en COLOMBIE Lien
    poissons-morts-colombie-2016
    11 Février 2016 – Des centaines de poissons morts s’échouent sur les plages de l’ÎLE MAURICE Lien
    poissons-morts-plage-maurice
    11 Février 2016 – Des milliers de poissons continuent de mourir le long du delta du Nil en EGYPTE Lien
    11 Février 2016 – Des dizaines de singes sont en train de mourir « un mystère » dans les forêts du NICARAGUA Lien
    11 Février 2016 – Des milliers de poissons morts retrouvés sur les plages des FIDJI Lien
    11 Février 2016 – Des centaines de poissons morts dans les eaux de Oosterhout aux PAYS-BAS Lien
    11 Février 2016 – Des masses de poissons morts s’échouent sur les plages de Montevideo en URUGUAY Lien
    peces-montevideo1
    10 Février 2016 – Des milliers de poissons morts retrouvés dans les eaux de NOUVELLE-CALÉDONIE Lien
    10 Février 2016 – Des centaines d’anguilles mortes retrouvés dans un ruisseau de Marlborough en NOUVELLE-ZÉLANDE Lien
    10 Février 2016 – Des dizaines d’oiseaux de mer ainsi que d’autres créatures marines retrouvés morts sur une plage de Malibu en AMÉRIQUE lien
    7 février 2016 – +630 tonnes de poissons sont morts dans les fermes piscicoles le long du delta du Mékong au VIETNAM Lien
    6 Février 2016 – Des centaines de poissons retrouvés morts « à cause d’une marée rouge » en FLORIDE, Amérique lien
    5 Février 2016 – Des millions d’huîtres sont mortes à cause d’une maladie dans le sud de la Tasmanie en AUSTRALIE Lien
    4 Février 2016 – Des dizaines d’oiseaux meurent subitement à Wichita au KANSAS, Etats-Unis Lien
    Capture d’écran 2016-04-15 à 15.38.02
    4 Février 2016 – Des dizaines de pélicans morts d’une cause inconnue sur Grand Isle en LOUISIANE, Amérique Lien
    4 Février 2016 – 6 baleines mortes se sont échouées le long de la côte de l’Est de l’ANGLETERRE Lien
    4 Février 2016 – Des centaines de poissons retrouvés morts « suscitent la peur » à La Brea, TRINITÉ-ET-TOBAGO Lien
    4 Février 2016 – Mortalité massive de poissons dans une lagune de Marica au BRÉSIL Lien
    3 février 2016 – 8 autres baleines mortes retrouvés le long de la côte de Friedrichskoog en ALLEMAGNE Lien
    3 Février 2016 – 41.000 poulets sont morts d’une maladie de Newcastle à Luzon aux PHILIPPINES Lien
    3 février 2016 – 36 tonnes de poissons sont morts dans les exploitations agricoles, « à cause d’une marée » à HONG KONG Lien
    3 Février 2016 – Des dizaines de tortues mortes retrouvées le long des plages de Tecpan de Galeana au MEXIQUE Lien
    3 Février 2016 – Des centaines de poissons retrouvés morts dans les étangs du Queensland en AUSTRALIE Lien
    1er Février 2016 – Des centaines de poissons retrouvés morts dans un lac du TEXAS en Amérique lien
    1er Février 2016 – Mortalité massive de poissons dans la rivière Shing Mun à HONG KONG Lien
    1er Février 2016 – Des masses de poissons morts découverts le long d’1 km de rivière dans la province de Hubei en CHINE Lien
    31 Janvier 2016 – Grande mortalité de poissons « du jamais vu » dans la rivière Snake à WASHINGTON aux États-Unis Lien
    30 Janvier 2016 – +500 chameaux sont morts d’une « maladie mystérieuse » à Marsabit au KENYA Lien
    30 Janvier 2016 – +19 tonnes de poissons morts retrouvés dans un lac de Goias au BRÉSIL Lien
    28 janvier 2016 – +22,000 oiseaux marins retrouvés morts « la plus grande mortalité jamais enregistrée » le long des plages de l’ALASKA en AmériqueLien
    Common Murre on beach 3
    28 Janvier 2016 – Des centaines d’oiseaux de mer retrouvés morts sur une plage de la mer de Galilée en ISRAËL Lien
    28 Janvier 2016 – Des centaines de tonnes de poissons sont morts dans les exploitations agricoles de la province de Ha Tinh au VIETNAM Lien
    27 Janvier 2016 – 400 tonnes de poissons sont morts à cause du froid à Ubon Ratchathani en THAÏLANDE Lien
    27 Janvier 2016 – Des milliers de poissons sont morts dans une réserve du NEVADA aux Etats-Unis Lien
    26 Janvier 2016 – Des milliers de poissons retrouvés morts échoués à Martha Vineyard dans le MASSACHUSETTS aux États-Unis. Lien
    25 Janvier 2016 – Des milliers de poulets morts d’une « maladie mystérieuse » à Kampong Thom au CAMBODGE Lien
    25 Janvier 2016 – Des milliers d’étoiles de mer retrouvées mortes échouées à Port St. Joe en FLORIDE, Amérique. Lien
    25 Janvier 2016 – Des centaines de milliers de poissons retrouvés morts dans un lac de Samut Prakan en THAÏLANDE Lien
    21 Janvier 2016 – 300 tortues retrouvées mortes sur une plage de Odisha en INDE Lien
    18 Janvier 2016 – Hécatombe massive de poissons dans la rivière Eloor en INDE Lien
    17 Janvier 2016 – 12 cachalots retrouvés morts sur des îles des PAYS-BAS et d’ALLEMAGNE Lien
    17 Janvier 2016 – Grande mortalité de poissons repérés le long du Nil à Rosetta en l’EGYPTE Lien
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    15 Janvier 2016 – +10.000 calmars morts retrouvés échoués « cause inconnue » à Arauco au CHILI Lien
    15 Janvier 2016 – Des centaines de poissons morts flottant dans une rivière de Kuala Lumpur en MALAISIE. Lien
    13 Janvier 2016 – Des milliers de poissons retrouvés morts dans la baie de Guanabara au BRÉSIL Lien
    13 Janvier 2016 – Des centaines de milliers de poissons retrouvés morts ou mourants dans la rivière Hunter, NSW en AUSTRALIE Lien
    12 janvier 2016 – plus de 100 baleines échouées dont 45 mortes sur la côte de Tamil Nadu en INDE Lien
    10 Janvier 2016 – Des centaines de poissons et d’anguilles morts dans un lac de la baie de Hawke en NOUVELLE-ZÉLANDE Lien
    8 Janvier 2016 – Des milliers de poissons morts retrouvés à Gulfport en FLORIDE aux États-Unis. Lien
    1452695255643
    8 Janvier 2016 – Des dizaines de milliers d’étoiles de mer et méduses retrouvées mortes le long du Sussex et du Hampshire en ANGLETERRE Lien
    7 Janvier 2016 – 2000 poissons retrouvés morts sur les rives d’une rivière d’Amalfi en COLOMBIE Lien
    6 Janvier 2016 – Des milliers d’oiseaux retrouvés morts au bord de la mer le long d’une plage de Prince William Sound en ALASKA, Amérique Lien
    6 Janvier 2016 – +100 tonnes de poissons retrouvés morts dans une rivière de la province de Dong Nai au VIETNAM Lien
    6 Janvier 2016 – Des centaines d’oiseaux retrouvés morts à Cuerámaro au MEXIQUE Lien
    6 janvier 2016 – 25.000 oiseaux tués à cause de la grippe aviaire à Accra au GHANA Lien
    5 Janvier 2016 – Mortalité massive de poissons dans un lac de Marica au BRÉSIL Lien
    5 Janvier 2016 – Des centaines de poissons retrouvés morts le long d’une rivière de Gebeng en MALAISIE Lien
    2 Janvier 2016 – Des milliers de poissons morts dans une rivière « à cause de la pollution » à Pelalawan Regency en INDONÉSIE Lien
    2 Janvier 2016 – Des centaines d’étoiles de mer mortes retrouvées échouées sur une plage de Portsmouth en ANGLETERRE Lien

    #nos_ennemis_les_bêtes #mots_massive #animaux

    • Bunnies by the boxful
      https://pateblog.nma.gov.au/2016/03/27/bunnies-by-the-boxful

      Opened in 1916, the freezing works supplied rabbit meat to markets around southern Queensland (Brisbane, Toowoomba, and Warwick), while pelts were sent to Sydney for auction and to hat factories in Melbourne. In 1917 the works processed over 110,000 rabbits. This success led to plans to expand capacity and establish exports.

      ‘The plant which did the freezing was small at first, supplying mainly Brisbane markets, but this grew until it was supplying a large city in Indonesia, then as the years went by, a firm in England…’

      Bert Wright, 1992

      Bert Wright was one of many locals who found employment at the works, operated in the 1920s by local businessmen Bill Wilkinson and Ted Maher.

      ‘I worked for the Yelarbon chiller for years on and off. The rabbit kept me in good work whenever I needed it. … I drove for them … from Yelarbon to Stanthorpe – 90 odd miles. Of course you were all over the place picking up, grading and buying rabbits. A docket was issued – so many pair of large, medium and small – all at different prices.’

      Bert Wright, 1992

      Bert recalled that in the interwar years (1919-1938) Yelarbon was known as a ‘rabbit town’. Over 20 tons of rabbits were trucked to Brisbane each week in peak periods and 151 trappers were on the freezing works’ books. During the 1930s Depression prices for rabbits were very low but trappers were able to make a little over £1 a week, enough for their families to survive the difficult times.

      With the start of the Second World War in 1939, most of the young trappers enlisted for the Army and the flow of rabbit carcasses to the freezing works dropped significantly, but the company remained in business. Bert explained the impact that the absence of trappers had on rabbit populations: when the war finished ‘… there were rabbits everywhere – even living under the freezing works itself.’ The trappers came back and shipments of rabbits started coming from as far away as St George, approximately 250 km west of Yelarbon. The record catch Bert remembers was 4007 pairs delivered by one trapper in 1947-48. The works closed in 1955.

      https://patenma.files.wordpress.com/2016/03/naa-a1200-l2648.jpg?w=425&zoom=2

      https://patenma.files.wordpress.com/2016/03/naa-a1200-l2650.jpg?w=323&zoom=2

    • Louis Pasteur and the $10m rabbit reward
      http://www.abc.net.au/radionational/programs/earshot/louis-pasteur-and-the-$10m-rabbit-reward/6703072

      Image: Plague proportions: farmers with one evening’s cull in central Victoria, 1949. (State Library of Victoria’s Pictures Collection/ Accession no H19019)

      In the 1880s, the greatest threat to Australia’s political and economic future was the rabbit, and our desperate struggle with the bunny resembled a Looney Tunes plot, involving biological warfare, a scientific genius, a world famous actress and a $10 million reward. Lorena Allam reports.

      Rabbits arrived in Australia with the First Fleet but didn’t thrive initially. The great bunny plague is commonly blamed on Thomas Austin of Barwon Park near Geelong, who decided in 1859 to organise a ’spot of hunting’ by releasing two dozen rabbits into the wild.

      ’Those two dozen rabbits went on to multiply, as rabbits do, to be a plague of a billion rabbits by the 1880s,’ says historian and author Stephen Dando-Collins.

      The speed of the invasion was astonishing.

      Some of the strong contenders were people who thought, “Well, let’s bring in something that will eat the rabbits.” In fact, some animals were brought in ... mongooses, cats.
      Brian Coman, author and research scientist

      ’In the west of NSW in particular, properties were quite marginal to begin with,’ says Dando-Collins. ’Once the rabbits arrived and stripped them of all the crops and stock feed, these places became dustbowls and totally useless to farmers.’

      Next the rabbits invaded politics.

      ’At that time there was no income tax, no company tax and the colonial government’s single biggest source of income was from the lease of crown lands,’ says Dando-Collins. ’By the late 1880s a lot of these leases were coming up for renewal, and farmers said to the government, “If you don’t sort out this rabbit problem, we’ll just walk away. We will not renew our leases.”’

      Under the Rabbit Nuisance Act, the NSW government paid a rebate for rabbit scalps. The act spawned an entire industry.

      ’In just 12 months near Wilcannia 782,510 rabbits were caught, and they were still saying the property was useless,’ Dando-Collins says.

      ’Near Menindee 342,295 were scalped over three months. Word came back to the government in Sydney: “It’s just not working!”’

      In 1887, the premier of NSW, Sir Henry Parkes, appointed an Inter-Colonial Rabbit Commission made up of prominent graziers, men of science and government administrators. The commission’s task was to find a biological solution to the rabbit problem. It sent out a global call for entries, with prize money of £25,000 ($10 million in today’s terms) for ’any method or process not previously known in the colony for the effectual extermination of rabbits’.
      Rabbit plague Image: Plague proportions: farmers with one evening’s cull in central Victoria, 1949. (State Library of Victoria’s Pictures Collection/ Accession no H19019)

      The Rabbit Commission received more than 1,500 suggestions, most of them ’pretty insane’ according to author and research scientist Brian Coman.

      Coman worked for the Victorian Department of the Environment for 23 years, battling rabbits for much of that time.

      ’Some of the strong contenders were people who thought, “Well, let’s bring in something that will eat the rabbits.” In fact, some animals were brought in ... mongooses, cats. There was a whole trainload of cats dispatched into outback Australia and let loose at various points along the line,’ he says.

      The NSW government and pastoralists sought a ’magic bullet’ because keeping rabbit numbers down was (and still is) expensive, backbreaking and unrelenting work. Coman, who grew up in the Western Districts of Victoria, can relate.

      ’Back then the first sort of crude methods—other than trapping and bounties, which were totally ineffectual—were broad-spectrum poisons like arsenic and phosphorous. These were terrible poisons to use in the bush because they were non-specific. A lot of other animals got killed as well,’ he says.

      ’They were also very dangerous. My father has a recollection, as a little boy, of coming home at night after he’d been with his uncle poisoning on a farm up near Euroa, and rubbing his hands and they glowed in the dark. That was the phosphorous all over his hands.’

      The Rabbit Commission did receive a few useful suggestions, including one from a great man of science: Louis Pasteur.

      Pasteur claimed he could eradicate rabbits with chicken cholera—something he’d trialled with some success in France. Pasteur dispatched his nephew, the scientist Adrien Loir, on a steamer from Paris to Australia with vials of chicken cholera in his luggage.

      The Rabbit Commission agreed to allow Loir’s team to conduct experiments and built them a laboratory and accommodation on tiny Rodd Island, which sits in a quiet bend of the Parramatta River, a safe distance from civilisation.

      Loir’s plan was to ’inject nine rabbits with food containing microbes of chicken cholera, placed in equal numbers in wooden hutches, wire-bottomed cages, and artificial burrows with healthy rabbits, and to place two healthy rabbits in a hutch with the excrement of diseased rabbits.’

      They would also ’feed sheep, cattle, calves, lambs, horses, pigs, goats, dogs, cats, rats and mice once a day for six days with cholera-tainted food. Various birds, including nearly all kinds of poultry and the principal native birds, are also to be fed and inoculated.’

      It soon became clear that chicken cholera killed the rabbits, but only those who ate the tainted food. It was not contagious for them but—and perhaps the clue was in the name—chicken cholera killed all the birds.

      The Rabbit Commission retired to consider its decision, and Adrien Loir was left to wait. Over the next few months he used the lab on Rodd Island to research the mysterious Cumberland disease which at the time was devastating Australia’s sheep and cattle. Loir established that Cumberland disease was actually anthrax and—better still—he had a vaccine.

      The Rabbit Commission eventually decided against ’recommending any further expenditure by government on testing the efficacy of this disease’. Nobody won the £25,000 prize. Instead, Loir and The Pasteur Institute made a healthy profit manufacturing anthrax vaccine on Rodd Island for the next four years.

      In 1891 Loir’s island life took a dramatic turn, thanks to a visiting actress and her two dogs.
      Sarah Bernhardt Image: The greatest actress of her age, Sarah Bernhardt (Photographed by Felix Nadar, 1864; Licensed under Public Domain via Commons)

      ’Sarah Bernhardt was the superstar of her age, and she brought her entire acting troupe to Australia for a tour,’ Stephen Dando-Collins explains. ’She arrived with her two dogs, and just as Johnny Depp ran afoul of quarantine regulations, she had her dogs taken off her, and she too was threatening to leave the country.

      ’Young Loir had bought tickets to all her shows, he was such a huge fan, and he approached her and said, “I think I can convince the NSW government to declare Rodd Island a quarantine facility and I’ll look after your dogs while you’re in Australia.”’

      Dando-Collins says the pair dined in her hotel each evening and Bernhard spent her weekends on Rodd Island ’visiting her dogs’. After one particularly boisterous party, Bernhard and her entourage were ’found on the laboratory roof’ drinking champagne.

      Loir eventually returned to France and Rodd Island is now a public recreation space.
      Rodd island Image: The view from Loir’s balcony on Rodd Island on a sunny winter’s day (Lorena Allam)

      So, what about that pesky plague of a billion rabbits?

      Australia had to wait another 60 years before the magic bullet was found.

      In 1950, after years of research, scientists released myxomatosis—and it was devastating. The rabbit population dropped from 600 million to 100 million in the first two years. The change was immediate.

      Brian Coman remembers walking in a field with his father as a boy and looking at a hill, part of which was covered with bracken fern.

      ’He clapped his hands, and it was almost as if the whole surface of the ground got up and ran into the bracken fern. There were hundreds upon hundreds, perhaps thousands of rabbits. It was a sight I’ll never forget.’

      But after myxomatosis ’the grey blanket’ disappeared.

      ’You could walk all day and not see a rabbit,’ says Coman.

      Even scientists were shocked by the cruel effectiveness of the disease.

      ’I had a friend, Bunny Fennessy, who was of course fortuitously named,’ says Coman.

      ’He remembers walking to the crest of this hill. There was a fence line there and a gate. He leaned over the gate and looked down. In front of him was this mass of dead and dying rabbits, blind rabbits moping around, birds of prey flying in the air, flies everywhere, a stench in the air—he was simply overawed. He had never seen sick rabbits before.’

      Genetic resistance to myxomatosis has been increasing since the 1970s and even after the release of the virulent rabbit haemorrhagic disease (RHD, or calicivirus) in 1991, the search for a biological solution continues.

      In the meantime, the ’traditional’ means of keeping rabbits under control—poisoning, and warren destruction—are still necessary. Coman says it’s a war that doesn’t end.

      ’You’ve got a situation here where an animal is causing immense ecological damage, not to mention economic damage, and you simply cannot let that go on. You have to act.

      ’We simply can’t allow them to gain a foothold again; the cost environmentally and economically would be enormous.’

    • La myxomatose c’est vraiment sale, le lapin souffre beaucoup avant d’en mourir. Cet enflure de français d’Armand-Delille est allé l’inoculer aux lapins de sa propriété d’Eure-et-Loir et ça a finit par gagner toute la France puis l’Angleterre et à la fin des années 1950, toute l’Europe était touchée. Ce ne sont pas seulement les lapins sauvages qui en sont morts, mais aussi les domestiqués ou dans les élevages familiaux. WP note Entre 1952 et 1955, 90 à 98 % des lapins sauvages sont donc morts de la myxomatose en France.

      Aujourd’hui le lapin élevé industriellement a moins de considération qu’une poule, c’est dire les conditions de vie infectes dans lesquelles il est maintenu.

      #épizootie

    • Nouvelle-Zélande : les autorités répandent un virus pour décimer les lapins nuisibles RTBF - Antoine Libotte - 28 Février 2018
      https://www.rtbf.be/info/monde/detail_nouvelle-zelande-les-autorites-repandent-un-virus-pour-decimer-les-lapin

      Le ministère néo-zélandais de l’Agriculture a annoncé le déploiement à travers le pays d’une nouvelle souche du virus de la maladie hémorragique virale du lapin. Il s’agit du RHDV1-K5, provenant de Corée.

      Les lapins, qui ont été introduits dans l’archipel au début du 19ème siècle, causent beaucoup de soucis aux agriculteurs du pays. Selon la BBC, ils « entrent en concurrence avec le bétail pour le pâturage et causent aussi des dégâts en creusant des terriers. »

      Selon le ministère de l’Agriculture, les pertes de production imputées aux lapins s’élèvent à 50 millions de dollars néo-zélandais (soit un peu plus de 29,5 millions d’euros), à quoi il faut ajouter 25 millions (environ 14,8 millions d’euros) pour la lutte contre les lapins.

      La population divisée
      Si la Fédération des fermiers néo-zélandais (FF) se réjouit de cette décision, la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) aurait préféré une autre solution au problème.

      Andrew Simpson, porte-parole de la FF, explique à la BBC que certains agriculteurs sont désespérés : « Si une autre année s’écoule sans le virus, les dégâts écologiques causés à certaines propriétés seraient effrayants. »

      Pour Arnja Dale, de la SPCA, cette décision est décevante, vu « les souffrances que le virus causera aux lapins touchés et le risque potentiel pour les lapins de compagnie. Nous préconisons l’utilisation de méthodes plus humaines. »

      La SPCA pointe également du doigt le vaccin conçu pour protéger les lapins domestiques et dont l’efficacité n’aurait pas été suffisamment prouvée. Or, pour le ministère de l’Agriculture, la souche RHDV1-K5 a été déployée en Australie en 2017 et aucun lapin domestique n’a été touché par la souche virale.

      Vidéo : An introduction to the rabbit problem in Australia
      https://www.youtube.com/watch?v=xieW62u2bZQ

      #Nouvelle_Zélande #Australie #virus

  • One in five women suicide because they saw domestic violence as children
    http://www.smh.com.au/nsw/one-in-five-women-suicide-because-they-saw-domestic-violence-as-children-201

    The report also found nearly half of all people who committed suicidehad experienced domestic violence, either as victims or as perpetrators. http://dvvic.org.au/publications/today-is-a-day-for-victoria-to-be-proud

    Domestic Violence Victoria CEO Fiona McCormack said the research was heart-breaking.

    “This is a critical national emergency. More than one woman is murdered every week and these family violence deaths are on top of that. The federal government must make this a priority because what they are doing is just not enough.”

    The research used data from police to examine both reported and unreported histories of domestic violence in the lives of those who took their own lives from July to December 2013.

    Previous research showed a clear connection between those who think about suicide and their experience of family violence but this is the first study in Australia to show the link. Researchers said there was no reason to believe this pattern was any different across Australia.

    Domestic violence researcher Michael Flood, associate professor at Queensland University of Technology, said the reasons men assault their partners and the reasons they kill themselves overlapped.

    "From those numbers, it’s clear that if we fix family violence

  • What the global history of street renaming can teach us about America’s monument battle

    Like the Charleston Massacre of 2015 before it, the white supremacist violence in Charlottesville earlier this month has served as a catalyst that is reigniting the movement to dismantle the symbols of white supremacy in the United States. From Baltimore to Lexington, cities across the U.S. have either removed Confederate monuments from public spaces already or are currently considering such proposals. Yet many Confederate memorials across the country remain in place despite calls for their removal.
    According to a recent study conducted by the Southern Poverty Law Center, there are more than 1,500 symbols of the Confederacy in public spaces throughout the U.S., and the actual figure is likely much higher if street names are added to the list. In fact, one recent study found that there were at least 1,417 streets named in honor of Confederate leaders nationwide. (Interestingly, the same study documented 1,426 streets named after Civil Rights leaders as well.)


    https://www.citylab.com/equity/2017/08/what-the-history-of-street-renaming-can-teach-us-about-americas-confederate-monument-battle/538161
    #mémoire #toponymie #USA #Etats-Unis #statue #monument #noms_de_rue #États_confédérés_d'Amérique

    Lien vers l’étude:
    https://www.splcenter.org/sites/default/files/whoseheritage_splc.pdf


    #héritage #symboles #espace_public #cartographie #visualisation #infographie #database #base_de_données #liste (LIST OF PUBLICLY SUPPORTED SPACES DEDICATED TO THE CONFEDERACY, pp.17-35)

  • Australia says Chinese spy ship near war games
    http://www.reuters.com/article/us-australia-usa-china-idUSKBN1A7047

    A Chinese spy ship has been detected off the Australian coast near joint war games underway between the United States, New Zealand and Australian militaries, the Australian Defense Force (ADF) said on Saturday.

    The Chinese People’s Liberation Army-Navy Type 815 Dongdiao-class auxiliary general intelligence vessel was operating off the northeast coast during the Talisman Sabre war games, the ADF said in a statement.

    The Chinese ship remained outside Australian territorial waters but was inside the Australian Exclusive Economic Zone in the Coral Sea, it said.

    “The vessel’s presence has not detracted from the exercise objectives. Australia respects the rights of all states to exercise freedom of navigation in international waters in accordance with international law,” the statement said.

    More than 30,000 troops from the United States, New Zealand and Australia are taking part in biennial war games, which end in late July.

  • Quatre questions sur les plantes anciennes du #Muséum d’#histoire_naturelle de Paris détruites par les douanes australiennes
    http://www.francetvinfo.fr/sciences/quatre-questions-sur-les-plantes-anciennes-du-museum-d-histoire-naturel

    Des plantes appartenant au Muséum d’histoire naturelle de Paris ont été détruites par les #douanes australiennes chargées de la #biosécurité, révèle le Guardian (en anglais), lundi 8 mai. Ces #plantes, qui dataient du XIXe siècle, avaient été envoyées à l’herbarium de #Brisbane (Queensland, Australie) en mars dernier. Au total, 105 spécimens ont ainsi disparu. « Une perte irréparable », déplore Michel Guiraud, directeur des collections du Muséum, contacté par franceinfo.

    #Australie

  • La nuit d’Iguala

    Georges Lapierre

    http://lavoiedujaguar.net/La-nuit-d-Iguala

    Au sujet de la disparition forcée des 43 élèves de l’école normale rurale Rául Isidro Burgos d’Ayotzinapa, le gouvernement mexicain revient à sa thèse initiale : les 43 élèves ont été assassinés par les hommes de main du cartel Los Guerreros Unidos puis incinérés dans la décharge publique de Cocula, leurs cendres ayant ensuite été jetées dans la rivière qui passe à proximité, le río San Juan. Cette version des faits, présentée comme définitive le 27 janvier 2015 lors d’une conférence de presse par le procureur de la République d’alors, Murillo Karam, ne tient pas la route. Et la « Vérité historique » est bel et bien un « Mensonge historique », avec toujours une majuscule.

    Dès le début, elle avait été critiquée par un professeur de l’Université nationale, puis par l’Équipe argentine d’anthropologie légiste, agissant, depuis le 5 octobre 2014, en tant que groupe d’experts indépendants reconnu par les familles, enfin par le docteur José Toredo, professeur de l’université de Queensland en Australie, expert en feu, désigné par le Groupe interdisciplinaire d’experts indépendants (...)

    #Mexique #Ayotzinapa #43_disparus #crime_d'État

  • Language Legends Help Create a Colorful Snapshot of Australia’s Linguistic Diversity · Global Voices
    https://globalvoices.org/2017/01/31/language-legends-help-create-a-colorful-snapshot-of-australias-linguis

    What better way to visualize the diversity of Australia’s Aboriginal and Torres Strait Islander languages than with a multimedia online map?

    “Gambay,” which means “together” in the Butchulla language of the Harvey Bay region in Queensland is a colorful resource map that provides information on more than 780 of the country’s native languages. Each dot on the map represents a different language region, and those dots showing similar colors indicate those languages that may have characteristics in common. Only around 20 of these languages are used on a daily basis by fluent speakers, so being able to establish links between similar languages is an important strategy to establish mutual support.

    https://gambay.com.au/map

    #cartographie #langue #langage #Australie #aborigènes #peuples_autochtones

  • Année noire pour la Grande Barrière de corail

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/11/30/annee-noire-pour-la-grande-barriere-de-corail_5040729_3244.html

    Dans sa partie nord, le joyau australien a perdu 67 % de ses coraux sous l’effet du réchauffement des eaux.

    L’année 2016 s’est avérée catastrophique pour la Grande Barrière de corail, au large de l’Etat du Queensland, dans le nord-est de l’Australie. En mars et avril, elle a été victime du pire épisode de blanchissement de coraux jamais enregistré. Un phénomène provoqué par la hausse de la température de l’eau. Les scientifiques étaient peu optimistes, mais espéraient que des coraux pourraient s’en remettre et survivre. On sait désormais que la partie nord de la Grande Barrière a été dévastée sur 700 kilomètres : elle a perdu en moyenne 67 % de ses coraux en quelques mois, selon le Centre d’excellence pour les études sur les récifs coralliens de l’université James-Cook dans le Queensland.

    La Grande Barrière de corail attire jusqu’à 2 millions de touristes par an et rapporte environ 5 milliards de dollars australiens (3,5 milliards d’euros) chaque année. L’Australie s’est engagée en 2015 à protéger ce joyau dans un plan qui prévoit toute une série d’actions d’ici à 2050. Plus de 2 milliards de dollars devraient être investis avant 2025, notamment pour améliorer la qualité de l’eau. Mais cela ne satisfait pas les scientifiques et les ONG.

    Ils reprochent à ce plan de ne pas répondre à la première menace pesant sur la Grande Barrière : le changement climatique. « Nous pensons qu’un plan crédible doit d’abord s’attaquer au réchauffement climatique. Cela commence par une interdiction des mines de charbon », a déclaré Shani Tager, de Greenpeace. Mais l’Australie, deuxième exportateur mondial de charbon, continue de défendre la plus polluante des énergies fossiles. Canberra devrait exposer son plan à l’Unesco, jeudi 1er décembre, pour informer l’agence onusienne des progrès réalisés. En juillet 2015, la Grande Barrière de corail avait évité de justesse un classement dans le « patrimoine en péril » de l’Unesco. Mais c’était avant cette année noire.

  • Adding seaweed to cattle feed could reduce #methane production by 70%
    http://www.sciencealert.com/adding-seaweed-to-cattle-feed-could-reduce-methane-production-by-70

    While researchers have been looking into seaweed’s potential for curbing livestock emissions for a couple of years now, the most exciting result came out in late 2015, when a team from Australia found that a particular type of local seaweed, called Asparagopsis taxiformis, reduces methane production by more than 99 percent in the lab.

    That’s an impressive figure, but doesn’t really mean much until it’s applied to real animals, right? Well, researchers from James Cook University in Queensland did just that, and found that they could cut a significant amount of methane emissions - and with a very small amount of seaweed.

    “We have results already with whole sheep; we know that if Asparagopsis is fed to sheep at 2 percent of their diet, they produce between 50 and 70 percent less methane over a 72-day period continuously, so there is already a well-established precedent,” one of the team, Rocky De Nys, told ABC News.

    As agriculture researcher Michael Battaglia from Australia’s CSIRO explains over at The Conversation, the reason this particular type of seaweed is so effective is because it produces a compound called bromoform (CHBr3), which blocks methane production by reacting with vitamin B12 at the last step.

    “This disrupts the enzymes used by gut microbes that produce methane gas as waste during digestion,” he says.

    #algues #climat #effet_de_serre #microbiote

  • Efficacité douteuse pour un robot médical à 2 millions utilisé en Suisse RTS Cab 3 Octobre 2016
    http://www.rts.ch/info/suisse/8061458-efficacite-douteuse-pour-un-robot-medical-a-2-millions-utilise-en-suisse

    Un robot chirurgical coûtant 2 millions de francs pièce et présent à 28 exemplaires en Suisse serait d’une utilité très relative, selon une étude relayée lundi par le Tages-Anzeiger.

    Depuis 15 ans sur le marché, le robot Da Vinci est utilisé en Suisse pour opérer de manière moins invasive, en particulier les cancers de la prostate, indique le journal alémanique.

    Mais une étude publiée dans la revue scientifique Lancet et menée sur 308 patients opérés pour un cancer de la prostate remet en cause la supériorité du robot sur l’être humain.

    Machine pas supérieure à l’homme
    Selon l’étude de l’Université de Queensland, en Australie, 3 mois après leur traitement, les patients qui ont bénéficié du robot ne souffrent pas moins d’incontinence ou de troubles de l’érection, effets secondaires classiques.
    Tullio Sulser, directeur du département d’urologie de l’hôpital universitaire de Zurich est d’accord avec les auteurs de l’étude : « c’est le chirurgien et non la machine qui fait la différence ».

    Parmi les avantages objectifs du robot : un temps d’opération plus court d’environ 30 minutes, une durée d’hospitalisation raccourcie d’un jour à un jour et demi et une fatigue moindre pour le chirurgien.

    Un outil peu rentable
    Le Tages-Anzeiger relève que l’utilisation du robot Da Vinci est peu rentable pour les hôpitaux.

    Tulio Sulser , directeur du département d’urologie de l’hôpital universitaire de Zurich, estime que l’outil, utilisé dans 80 à 90% des cas de prostatectomie en Suisse, entraîne des surcoûts de 1500 à 3000 francs par opération.

    Une somme à charge de l’hôpital, car l’assurance de base rembourse un montant identique, quelle que soit la méthode utilisée. Mais Tulio Sulser relève que le robot est indispensable pour attirer des patients.

    http://www.rts.ch/2016/10/03/10/40/8061517.image?w=900&h=506
    Utilisé en Suisse, un robot chirurgical aurait provoqué 200 décès aux USA RTS Isabelle Ducret, Sophie Badoux 19 mars 2015
    http://www.rts.ch/info/suisse/6634000-utilise-en-suisse-un-robot-chirurgical-aurait-provoque-200-deces-aux-usa

    Le nombre d’incidents liés aux robots chirurgicaux Da Vinci a explosé aux Etats-Unis en 10 ans. En Suisse, où l’on recense 22 appareils, Swissmedic indique jeudi dans l’émission Temps Présent ne pas être inquiet.

    Selon la base de données de la Food and Drug Administration américaine (FDA), en 10 ans, plus de 200 morts ont été liés à une opération où un robot da Vinci a été utilisé. Celui-ci permet, grâce à ses quatre bras articulés, sa caméra et ses outils chirurgicaux, une intervention non-invasive de plus en plus utilisée pour opérer la prostate ou effectuer des hystérectomies. Et avec des promesses de rétablissement pour le patient incomparables à ce que peut proposer une chirurgie invasive.

    Mais récemment, le nombre d’incidents annoncés aux Etats-Unis a explosé, passant de quelque 1600 cas recensés en 2012 à plus de 6000 en 2013 et en 2014. La justice américaine est aussi saisie de 3000 plaintes actuellement. Et les cas rapportés à la FDA ne seraient que la pointe de l’iceberg, analyse le professeur de chirurgie américain Marty Makary dans Temps Présent jeudi.

    Si le robot propose une technologie révolutionnaire et suscite un grand engouement en Europe, certains points posent problème. Outre l’importance de la formation et de l’expérience des chirurgiens qui utilisent cet outil, des défaillances techniques ont été pointées du doigt par des plaignants américains. L’isolation d’un instrument pose notamment problème, un dysfonctionnement aussi annoncé en Suisse en février dernier.

    Malgré cela, Swissmedic, l’autorité fédérale en charge de la matériovigilance, n’est pas inquiète.

    Genève, capitale mondiale par tête d’habitants du Da Vinci
    En Suisse, vingt-deux robots Da Vinci sont en fonction dans les hôpitaux, dont 6 à Genève, ce qui représente la plus grande concentration au monde par rapport à sa population. L’Europe en compte un peu plus de 500, alors que les Etats-Unis où la technologie est apparue en l’an 2000 en recense quelque 1700.

    Selon Swissmedic, seule une « poignée d’incidents » annoncés par le fabricant Intuitive Surgical, dont le siège européen est à Aubonne (VD), auraient été répertoriés. Mais ces données sont strictement confidentielles et il est donc impossible d’y avoir accès.

    Swissmedic comptabilise les annonces mais ne va pas sur le terrain. « C’est le fabricant qui nous fournit un rapport, cela fonctionne sur le principe de responsabilité », poursuit Karoline Mathys de Swissmedic.

    En effet, en Europe et en Suisse, un accord de confidentialité sur la déclaration d’incidents médicaux est en vigueur. Les problèmes doivent être signalés par les utilisateurs du robot ou par la société qui commercialise l’appareil. Seules les mesures correctives proposées par la compagnie sont publiées.

    Le problème : la FDA a constaté en 2013 que la société américaine n’avait pas annoncé tous les cas d’incidents. Ce rapport, et la médiatisation des premières plaintes, ont notamment conduit à l’explosion du nombre de cas répertoriés en 2013 et 2014 aux Etats-Unis.
    Mais en Suisse, Swissmedic ne s’en alarme pas. « Il n’y a aucun indice qui montre que nous n’obtenons pas assez d’informations de la part du fabricant ou qu’il y ait un problème avec
    le Da Vinci », conclut Karoline Mathys.

    Formation et expérience du chirurgien déterminante
    Si l’outil représente toutefois sans conteste un progrès pour le monde de la chirurgie, il reste aussi très onéreux pour les hôpitaux. Sans compter son acquisition et son entretien, les coûts de formation des chirurgiens et de leurs équipes sur l’appareil sont importants.

    Et c’est d’ailleurs là le plus important. Dans une interview à la chaîne américaine Fox 5 en 2013, le chirurgien David Samadi, qui a réalisé avec succès plus de 4500 opérations de la prostate avec le Da Vinci, rappelait que « le système en lui-même n’est pas problématique » mais que ce sont la formation et l’expérience du chirurgien qui sont essentielles pour le bon déroulement d’une opération.

    #robot #IA #intelligence #artificielle #chirurgie #santé

  • First Contact | Documentaire sur grand écran
    http://www.docsurgrandecran.fr/film/first-contact

    FILM
    First Contact
    Réalisateur(s) :
    Bob CONNOLLY
    Robin ANDERSON
    Producteur :
    Arundel Production
    Montage :
    Stewart YOUNG
    Martyn DOWN
    Image :
    Tony WILSON
    Dennis O’ROURKE
    Distributeur :
    Documentaire sur grand écran
    Australie
    N&B + Couleur
    1982, 52 minutes

    En 1930, trois jeunes chercheurs d’or, Michael, Daniel et James Leahy quittent le Queensland, en Australie, pour la Nouvelle-Guinée. Ils y découvrent dans des régions reculées et inhospitalières de l’île une population jusqu’alors ignorée du reste du monde : les Papous du centre de la Nouvelle-Guinée. Les trois frères, caméra à la main, ont filmé les réactions extraordinaires de ce peuple confronté pour la première fois à l’homme blanc. Cinquante ans plus tard Bob Connolly et Robin Anderson partent pour la Nouvelle-Guinée et montrent aux Papous, en jeans et baskets, et à Daniel Leahy, le film de ce premier contact. Chacun commente le souvenir de ce face à face insolite... L’exclusivité et la qualité des archives mais aussi les témoignages recueillis un demi-siècle plus tard par Bob Connolly et Robin Anderson font de First contact un document ethnographique exceptionnel.

    First contact (1983) est le premier volet de la « trilogie papoue » de Bob Connolly et Robin Anderson, composée également de Joe Leahy’s neighbours (1988) et Black Harvest (1991)

    Un documentaire étudié à la fac … avec des films de 1930 à 1980 #a_voir_vraiment #papous #Nouvelle_Guinée #colonialisme #chercheurs_d'or #documentaire

    • Le documentaire s’inscrit dans "la trilogie Papoue".
      1
      First Contact, 1982, 52 mn
      https://www.youtube.com/watch?v=Kvt9F0KqelM

      2
      Black Harvest, 1992, 90 mn
      https://www.youtube.com/watch?v=Ki49y8_sGTo


      "« Black Harvest » (« Récolte sanglante », en français) est un film qui a marqué l’histoire récente du cinéma documentaire. Réalisé en 1991 en Papousie Nouvelle-Guinée par Bob Conolly et Robin Anderson (mari et femme, caméra et son), « Black Harvest » est une tragédie moderne, la rencontre fracassante d’une société traditionnelle avec le libéralisme économique, ainsi que le portrait d’un homme tiraillé entre deux cultures." http://leblogdocumentaire.fr/black-harvest-robin-anderson-et-bob-connolly

      3
      Joe Leahy’s Neighbours
      Extrait :https://www.youtube.com/watch?v=gU94HvYwn7M


      "En 1988, en Papouasie Nouvelle-Guinée, Joe Leahy, propriétaire d’une plantation de café, vit seul au milieu des tribus papoues. Ce riche métis, fils d’une aborigène et d’un explorateur australien, doit son ascension sociale à l’habileté avec laquelle il manipule ses voisins ganiga (une des tribus papoues). Les Papous, près de cinquante ans après l’arrivée des Blancs, sont encore dépendants du système tribal traditionnel mais également tentés par le bien-être matériel et la consommation. À travers les démêlés de Joe Leahy et de ses voisins, se joue de façon cocasse mais souvent explosive, le scénario de la colonisation... Bob Connolly et Robin Anderson récidivent et tournent en Papouasie un documentaire deuxième génération. Après "First Contact" (1983) qui narrait la découverte par les trois frères Leahy d’une population inconnue à l’intérieur des terres de Nouvelle-Guinée, les Papous, Bob Connolly et Robin Anderson s’attachent au fils naturel d’un des trois frères, Joe Leahy. Un tournage de dix-huit mois pendant lesquels ils ont partagé le quotidien de Joe et de ses voisins ganiga." http://www.docsurgrandecran.fr/film/joe-leahys-neighbours

  • Un mammifère s’éteint à cause du changement climatique
    http://www.journaldelenvironnement.net/article/un-mammifere-s-eteint-a-cause-du-changement-climatique,7147 ?

    Une alimentation difficile à trouver dans un habitat réduit par des inondations causées par la montée des eaux et de violentes et fréquentes tempêtes. Un petit rongeur endémique d’une minuscule île australienne serait le premier mammifère officiellement éteint pour cause de changement climatique.

    Melomys rubicola, premier mammifère victime du changement climatique anthropogénique ? C’est la conclusion à laquelle sont parvenus des scientifiques de l’université de Queensland (Australie)

    #paywall
    #extinction #changement_climatique #biodiversité

  • VIDEO. Australie : Un député écologiste met le feu à une rivière gorgée de méthane
    https://fr.news.yahoo.com/video-australie-député-écologiste-met-feu-à-rivière-082237408.html

    https://www.youtube.com/watch?v=NvJAKVnK4qM

    Jeremy Buckingham, député écologiste australien, a mis le feu à la rivière Condamine pour dénoncer ce qu’il présente comme « des rejets de méthane dans l’eau ».

    Dans une vidéo postée vendredi sur son compte Facebook et vue plus de deux millions de fois depuis, la rivière, visiblement gorgée de méthane, s’enflamme en quelques secondes.

    Un exploitant de gaz de charbon montré du doigt

    Le politicien a utilisé un allume-gaz pour « allumer » des bulles de méthane qui émanent de la rivière traversant l’Etat du Queensland (ouest de l’Australie). « Une rivière en feu ! C’est la chose la plus incroyable que j’ai vue, une tragédie pour le bassin Murray-Darling », lance alors Jeremy Buckinghamen, référence au plus vaste bassin-versant australien.

    Le député attribue cette pollution au méthane à la fracturation hydraulique pratiquée par Origin Energy, un groupe exploitant non loin du gaz de couche.

  • Satellite eye on Australia’s vegetation
    TERN - Terrestrial Ecosystem Research Network: Newsletter 2016 Mar AusCover Biomass
    http://www.tern.org.au/Newsletter-2016-Mar-AusCover-Biomass-pg31410.html

    Australia is a vast country with a wide range of diverse ecosystems. To gain an understanding of their values in terms of, for example, carbon stocks and biodiversity, and how these change over time, we need to make use of our extensive archive of satellite remote sensing data. By exploiting these data, we can quantify the state of ecosystems, their dynamics and the impacts of different land use and management policies and practices.

    TERN’s AusCover facility is taking a leading role in working with state, national and international stakeholders to improve access to satellite sensor data and facilitate the generation of products relevant to the Australian environment.

    In conjunction with TERN AusCover, the Joint Remote Sensing Research Program (JRSRP), which is run out of the University of Queensland, has been working with Australian and international scientists to generate detailed national maps of the structure (height and cover) and biomass of woody vegetation and to construct a National Biomass Library. These datasets and repositories provide essential baselines against which future changes in the biomass and structure of vegetation can be quantified.The team, which includes Dr. John Armston and Dr. Peter Scarth (QLD Department of Science, Information Technology and Innovation and the University of Queensland), Professor Richard Lucas (University of New South Wales), Dr. Peter Bunting (Aberystwyth University, UK) and Dr. Dan Clewley (Plymouth Marine Laboratory, UK) have been collaborating with the Japanese Aerospace Exploration Agency (JAXA) on their Kyoto and Carbon (K&C) Initiative for over a decade.


    #Australie #image_satelitte #biomasse #végétation #cartographie

  • Ecouter du metal permet de se détendre - Libération
    http://next.liberation.fr/next/2015/06/23/ecouter-du-metal-permet-de-se-detendre_1335202

    Une étude australienne vient casser l’image d’une musique d’énervés.

    A croire que le metal adoucit les mœurs. Une étude de l’université du Queensland, en Australie, relayée par le Guardian, s’est penchée sur les effets de la musique « extrême » sur la colère : heavy metal, emo, hardcore, punk, screamo... Trente-neuf amateurs de ces styles âgés de 18 à 34 ans ont été soumis durant 16 minutes à une situation provoquant leur colère, puis certains ont dû écouter durant 10 minutes des morceaux de leur propre playlist « extrême », quand d’autres ont été soumis à 10 minutes de silence. Résultat : loin d’augmenter leur énervement, le metal a apaisé les cobayes et favorisé leurs émotions positives. « Ecouter de la musique extrême peut être un moyen sain de calmer la colère pour ces écoutants », explique l’étude. Les bienfaits de cette musique sont les mêmes que ceux du silence, les sujets étant moins hostiles, moins irritables et moins stressés, et se sentant plus « inspirés ».