provinceorstate:sichuan

  • #Huang_Qi, Online Dissident and Rights Advocate in China, Faces Trial

    One of China’s most prominent human rights activists, the blogger Huang Qi, went on trial on Monday on charges of leaking state secrets, and American diplomats seeking to attend the proceedings said they had been denied access.

    The trial has drawn intense international attention, in part because Mr. Huang, 55, has nephritis, a potentially fatal kidney disease. In addition, Mr. Huang’s 85-year-old mother recently traveled from their home in Sichuan Province to Beijing to ask foreign embassies there for help in obtaining his release, but she was reportedly beaten and is now detained in a hospital.


    https://www.nytimes.com/2019/01/14/world/asia/china-trial-huang-qi.html?rref=collection%2Fsectioncollection%2Fworld&actio
    #Chine #répression #procès #persécution #droits_humains

  • Au #Tibet, la plaie ouverte des mines de lithium
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/08/14/au-tibet-la-plaie-ouverte-des-mines-de-lithium_5172215_3244.html

    La piste cahoteuse longe la rivière Liqi puis bifurque vers une retenue d’eau. L’altimètre indique 4 200 mètres. Le dernier village et son monastère sont à quinze kilomètres. Un gardien débonnaire nous laisser passer sans ciller à travers la zone minière de Jiajika, sur les hauts plateaux tibétains de Garzê, dans la province chinoise du Sichuan. Jiajika est le plus vaste gisement de spodumène d’Asie, un minerai présent dans les roches magmatiques dont l’on extrait du lithium, avec lequel sont fabriquées les batteries électriques rechargeables.

    L’exploitation de mine, plus coûteuse que celle de lacs asséchés en altitude, intéresse de plus en plus les producteurs chinois. Deux d’entre eux sont présents à Jiajika : Rongda, qui appartient au même groupe que le géant chinois de la voiture électrique BYD ; et, à quelques kilomètres, Tianqi, exploitant de la mine de Greenbushes en Australie, en passe de devenir l’un des plus gros producteurs mondiaux de lithium. La mine de Tianqi est encore en chantier. Tout est comme figé : des passerelles couvertes qui montent ou descendent entre les vastes bâtiments neufs signalent le circuit des blocs de pierre après leur extraction. Vers l’est, les pics enneigés du Zhakra, une montagne sacrée, se découpent sur l’horizon.

    L’ennui, c’est que Rongda, la seule mine opérationnelle à ce stade, a par deux fois déjà provoqué des épisodes de pollution – en 2013, puis en mai 2016, deux jours après avoir redémarré. « La rivière est devenue noire, ça puait, puis on a retrouvé des yaks morts. Ils buvaient, ils marchaient puis ils s’écroulaient après. Il y avait beaucoup de poissons morts aussi », nous dit un jeune Tibétain croisé en voiture sur le site de Jiajika avec un compagnon.

    #paywall

    • Jiajika Mine, Kangding pegmatite field, Kangding Co., Garzê Autonomous Prefecture (Ganzi Autonomous Prefecture), Sichuan Province, China
      https://www.mindat.org/loc-146947.html

      Jiajika Mine, Kangding pegmatite field, Kangding Co., Garzê Autonomous Prefecture (Ganzi Autonomous Prefecture), Sichuan Province, China
      Latitude & Longitude (decimal) : 30.3333333333, 101.316666667

      Tianqi Shenghe
      http://www.tianqilithium.com/en/resinfo.aspx?ContentID=5&t=56

      Tianqi Shenghe, a wholly owned subsidiary of Tianqi Lithium , owns the mining license of Cuola Spodumene in Yajiang County, which is located in theWest Block of the largest Jiajika Spodumene Mine in Asia, with over 200,000metric tonnes in lithium reserves. Tianqi Shenghe is mainly engaged in the exploitation, production and sales of lithium ore products. Following operational start up of this asset, Tianqi Lithium will increase the diversity of its lithium resources, ensuring customer supply security and sustainable and efficient resource development.

    • La piste cahoteuse longe la rivière Liqi puis bifurque vers une retenue d’eau. L’altimètre indique 4 200 mètres. Le dernier village et son monastère sont à quinze kilomètres. Un gardien débonnaire nous laisser passer sans ciller à travers la zone minière de Jiajika, sur les hauts plateaux tibétains de Garzê, dans la province chinoise du Sichuan. Jiajika est le plus vaste gisement de spodumène d’Asie, un minerai présent dans les roches magmatiques dont l’on extrait du lithium, avec lequel sont fabriquées les batteries électriques rechargeables.

      L’exploitation de mine, plus coûteuse que celle de lacs asséchés en altitude, intéresse de plus en plus les producteurs chinois. Deux d’entre eux sont présents à Jiajika : Rongda, qui appartient au même groupe que le géant chinois de la voiture électrique BYD ; et, à quelques kilomètres, Tianqi, exploitant de la mine de Greenbushes en Australie, en passe de devenir l’un des plus gros producteurs mondiaux de lithium. La mine de Tianqi est encore en chantier. Tout est comme figé : des passerelles couvertes qui montent ou descendent entre les vastes bâtiments neufs signalent le circuit des blocs de pierre après leur extraction. Vers l’est, les pics enneigés du Zhakra, une montagne sacrée, se découpent sur l’horizon.

      L’ennui, c’est que Rongda, la seule mine opérationnelle à ce stade, a par deux fois déjà provoqué des épisodes de pollution – en 2013, puis en mai 2016, deux jours après avoir redémarré. « La rivière est devenue noire, ça puait, puis on a retrouvé des yaks morts. Ils buvaient, ils marchaient puis ils s’écroulaient après. Il y avait beaucoup de poissons morts aussi », nous dit un jeune Tibétain croisé en voiture sur le site de Jiajika avec un compagnon.

      « Tout le monde est inquiet »

      Le jeune homme, qu’on appellera Dorje, est vêtu de la veste fourrée tibétaine. Il sort du coffre un appareil photo et montre la mine prise au téléobjectif. Plus d’un an après l’incident, les nomades des environs se relaient pour observer ces dinosaures de tôle et de ciment endormis, guettant le moindre regain d’activité. « On ne sait pas s’ils vont reprendre l’exploitation, ni quand », dit Dorje. La société leur a vaguement promis de l’argent. « On a beau être pauvres, on s’opposera aux projets miniers même s’ils partagent leurs profits avec nous, insiste-t-il. On veut juste que l’on nous rende nos terres et notre nature. » Malgré sa détermination, il dit avoir peur : « Les gens du gouvernement nous disent de nous occuper de nos affaires. » Deux hommes de son village ont été condamnés à deux et trois ans de prison pour avoir protesté lors du premier cas de pollution de 2013.

      Ces fuites toxiques ne sont pas le moindre des paradoxes pour un élément clé des énergies de demain comme le lithium. Dans les régions tibétaines, elles affectent un écosystème fragile et vulnérable. Elles perturbent aussi une nature que les Tibétains tiennent pour sacrée. La rivière Liqi coule à travers pâturages et habitations d’éleveurs. Elle traverse la petite ville de Lhagang (Tagong en chinois) – un haut lieu de l’écotourisme –, puis se jette dans le Yalong, le plus gros affluent du fleuve Yangzi.

      La pollution minière touche un nerf sensible chez les Tibétains, tant elle est liée à cette dynamique de développement à tout-va que la Chine déploie dans ces régions rétives à l’emprise de l’Etat-parti chinois. La préfecture de Garzê, qui borde la Région autonome tibétaine, fut l’épicentre du soulèvement tibétain de 2008. Une immolation par le feu y a encore eu lieu le 15 avril, la 148e depuis 2009. Or les éleveurs ne sont pas les seuls à avoir réagi après la dernière pollution de 2016 : « Tout le monde est inquiet. Les clans qui sont souvent en conflit se sont réconciliés. Il y a eu des manifestations de nomades mais aussi des habitants de Lhagang », rapporte une riveraine qui a suivi les événements.

      Quand l’incident s’est produit, la population a déversé sur la route des bacs de poissons morts. Les autorités ont parlementé. Et envoyé la police paramilitaire. Le gouvernement local a toutefois promis par écrit la suspension des activités de la mine Rongda « en raison de la contamination ». Cependant personne n’en a à ce stade expliqué les raisons ni précisé quelles substances étaient à l’origine de la pollution. Dorje croit savoir qu’un bassin de résidus miniers a débordé. Un porte-parole de Youngy, le groupe du milliardaire Lu Xiangyang, le cofondateur de BYD qui possède Rongda, maintient que la pollution est « un acte malveillant » indépendant de Rongda et « qu’une enquête est en cours ». Les autorités de Garzê n’ont pas donné suite à nos questions.

      1,88 million de tonnes de réserves de lithium

      A Lhagang, un entrepreneur tibétain accuse les sociétés minières d’avoir « arrosé » le gouvernement mais aussi une figure religieuse locale chargée d’inciter la population au calme. Lui aussi oscille entre colère et résignation. Un nomade de ses amis nous apporte un paquet soigneusement enveloppé de photographies de la pollution de 2013. Cette année-là, 12 000 signatures furent collectées en signe de protestation. L’homme affirme qu’en 2016, les enfants d’une école primaire ont été intoxiqués par l’eau, mais que les parents ont été réduits au silence. « Notre premier souhait, c’est qu’ils cessent d’exploiter la mine. Mais s’ils le font, il n’y aura plus qu’à partir », explique-t-il.

      Les communautés tibétaines savent le peu d’espace de négociation que leur laisse le système chinois. « Quand il y a des mines au Tibet, une compensation va en général aux utilisateurs de la terre mais pas au-delà. Les royalties vont au gouvernement central. Les communautés locales en bénéficient très peu », nous explique le chercheur Gabriel Lafitte, basé en Australie et auteur d’un livre sur l’accaparement des ressources naturelles du Tibet par la Chine, La Spoliation du Tibet (Spoiling Tibet, Zed Books, non traduit, 2013). « Les Tibétains ne sont de toute façon pas autorisés à s’organiser », souligne-t-il.

      La mine de Tianqi est encore en chantier. Tout est comme figé.
      Le 1,88 million de tonnes de réserves de lithium de Jiajika reste promis à un bel avenir. L’agence de planification de la préfecture de Garzê l’a confirmé début 2017 : Lhagang est décrite comme future « capitale chinoise du lithium ». Pour l’instant, les échantillons de matériau sont envoyés à Chengdu, la capitale du Sichuan, à quelque 450 kilomètres, précise un géologue chinois de Rongda. Les deux mines ouvriront selon lui en 2020 : « L’autoroute et le chemin de fer seront terminés et les coûts du transport auront baissé. »

      « Politique de développement à outrance »

      Viaducs et tunnels sont en effet partout en chantier sur les deux grandes voies d’accès à la préfecture tibétaine de Garzê depuis Chengdu. La région vivra le grand bond en avant des énergies renouvelables qui, outre le lithium, prévoit la construction de nombreux barrages sur la rivière Yalong, ainsi qu’une dérivation vers le fleuve Jaune. Des milliards d’euros d’investissements sont programmés pour les cinq ans à venir.

      Si la population locale (1,2 million de personnes, à 70 % des Tibétains) profite en partie du développement économique, le gouvernement chinois semble peu soucieux d’atténuer ou même de comprendre les perturbations de ces changements sur l’humain et l’environnement. « Cette politique de développement à outrance a pour but d’amener les Tibétains à se considérer comme des citoyens chinois. Or, elle ne prend pas en compte leur mode de vie, leur rapport avec la nature. Elle fait de l’urbanisation une fin en soi alors que ce doit être un processus progressif, choisi », estime Gabriel Lafitte.

      Le jour de notre passage, bien en aval des mines de lithium, un éleveur tibétain dont la maison est accrochée à la pente s’acharne à planter un pieu sur chaque rive de la Liqi. Il tend au-dessus de l’eau un filin d’où pendent des loungta (drapeaux de prière). Ce geste en apparence futile a son importance, avant qu’il ne soit trop tard : obtenir les faveurs des divinités aquatiques envers tous ceux, hommes, animaux et plantes, qui dépendent d’elles.

  • China launches replica Titanic project, with Peter Mandelson in tow | Politics | The Guardian
    https://www.theguardian.com/politics/2016/dec/01/china-launches-replica-titanic-project-with-peter-mandelson-in-tow

    He was one of the key salesmen of New Labour, a Westminster wheeler-dealer whose backstage machinations and silver tongue saw him nicknamed Britain’s svengali of spin.

    Now, Tony Blair’s former communications chief Peter Mandelson is pushing a rather different project: the #New_Titanic, a 1bn yuan (£116m) bid to rebuild the doomed passenger liner in a landlocked Chinese county more than 1,200km from the sea.
    […]
    The 269-metre New Titanic is the centrepiece of a high-end tourist resort being built in Daying, about 115km east of Sichuan’s capital, Chengdu.

    Le #Sichuan ne sera plus seulement célèbre pour sa gastronomie et son piment…

  • CRISPR gene-editing tested in a person for the first time
    http://www.nature.com/news/crispr-gene-editing-tested-in-a-person-for-the-first-time-1.20988

    A Chinese group has become the first to inject a person with cells that contain genes edited using the revolutionary #CRISPR–Cas9 technique.

    On 28 October, a team led by oncologist Lu You at Sichuan University in Chengdu delivered the modified cells into a patient with aggressive lung cancer as part of a clinical trial at the West China Hospital, also in Chengdu.

    Earlier clinical trials using cells edited with a different technique have excited clinicians. The introduction of CRISPR, which is simpler and more efficient than other techniques, will probably accelerate the race to get gene-edited cells into the clinic across the world [...].

    [...]

    The researchers removed immune cells from the recipient’s blood and then disabled a gene in them using CRISPR–Cas9, which combines a DNA-cutting enzyme with a molecular guide that can be programmed to tell the enzyme precisely where to cut. The disabled gene codes for the protein PD-1, which normally puts the brakes on a cell’s immune response: cancers take advantage of that function to proliferate.

    Lu’s team then cultured the edited cells, increasing their number, and injected them back into the patient, who has metastatic non-small-cell lung cancer. The hope is that, without PD-1, the edited cells will attack and defeat the cancer.

    #biologie #gènes #ADN

  • Doubling down | The Economist

    http://www.economist.com/news/china/21699167-plans-new-railway-line-tibet-pose-huge-technological-challengean

    “A COLOSSAL roller-coaster” is how a senior engineer described it. He was talking about the railway that China plans to build from the lowlands of the south-west, across some of the world’s most forbidding terrain, into Tibet. Of all the country’s railway-building feats in recent years, this will be the most remarkable: a 1,600-kilometre (1,000-mile) track that will pass through snow-capped mountains in a region racked by earthquakes, with nearly half of it running through tunnels or over bridges. It will also be dogged all the way by controversy.

    Chinese officials have dreamed of such a railway line for a century. In 1912, shortly after he took over as China’s first president, Sun Yat-sen called for a trans-Tibetan line, not least to help prevent Tibet from falling under the sway of Britain (which had already invaded Tibet from India a decade earlier). Mao Zedong revived the idea in the 1950s. In the years since, many exploratory surveys have been carried out.

    #tibet #chine

    • In Litang, a town high up in Sichuan on that difficult stretch, a Tibetan monk speaks approvingly of the project, which will bring more tourists to the remote community and its 16th-century monastery (rebuilt since the Chinese air force bombed it in 1956 to crush an uprising). But the impact on Tibet of the Golmud-Lhasa line still reverberates. It fuelled a tourism boom in Lhasa that attracted waves of ethnic Han Chinese from other parts of China to work in industries such as catering and transport. The resentment it created among Tibetans, who felt excluded from the new jobs, was a big cause of rioting in Lhasa in 2008 that ignited protests across the plateau. The new line will cut through some of the most restive areas. Since 2011 more than 110 Tibetans are reported to have killed themselves by setting themselves on fire in protest at China’s crackdown after the unrest. Some of the self-immolations have happened in Tibetan-inhabited parts of Sichuan, including near Litang.

      Cité aussi, mais brièvement, l’évident rôle stratégique d’une telle liaison. Ça ne va pas vraiment faire baisser la tension.

      It will also, to India’s consternation, pass close to the contested border between the two countries. (China says India occupies “south Tibet”, and launched a brief invasion of India there in 1962.) A Chinese government website, China Tibet News, said in 2014 that building the Sichuan-Tibet railway had become “extremely urgent”, not just for developing Tibet but also to meet “the needs of national-defence-building”.

  • China develops face-scanning police cars
    http://news.xinhuanet.com/english/2016-03/25/c_135221002.htm

    A Chinese university has developed a police car capable of face scanning during patrols. The intelligent vehicles, developed by University of Electronic Science and Technology of China in Sichuan Province, will be first tested in east Zhejiang Province in June, according to the university. China’s police cars are mostly refitted from commercial car models according to the needs of local authorities. The new cars will address many problems resulting from this poor standardization, said Yin (...)

    #IMSI-catchers #reconnaissance_faciale #biométrie #surveillance

  • The Untold Story - Wikipedia, the free encyclopedia
    https://en.wikipedia.org/wiki/The_Untold_Story

    The Eight Immortals Restaurant: The Untold Story (Chinese: 八仙飯店之人肉叉燒包) is a 1993 Hong Kong crime-thriller film directed by Herman Yau and starring Danny Lee and Anthony Wong. The film is allegedly based on a true crime that took place in 1985 in Macau.

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    3.

    Après avoir vu ce film vous n’irez plus jamais au restaurant chinois ;-)

    Au fait ce film et excellent, un comme les plats du Sichuan (四川菜) qui sont si pimentés qu’on passe un moment de douleur intense avant d’en saisir les nuances.

    Déconseillé aux enfants quand même.

    Déconseillé aussi : The Untold Story 2
    http://cine-hk.chez-alice.fr/Hkcine/SITE/DOSSIERS/categorie-III/categorie-III-des-films/The-Untold-Story-2.htm

    http://fromblacktoredfilmreviews.blogspot.de/2011/08/untold-story-1993.html

    http://unserekleinefilmwelt2012.phpbb8.de/asiamania-filme-aus-dem-asiatischen-raum-f16/the-untold-story-1993-t68.html

    https://en.wikipedia.org/wiki/Sichuan_cuisine

    #Hong_Kong #Chine #cinéma #gore #policier

  • #Chine : la déchéance des « tigres »

    Cette grande #purge, dont le premier acte remonte à l’ #arrestation, en décembre 2012, du numéro deux du parti de la province du Sichuan, Li Chuncheng, prend aujourd’hui des proportions gigantesques, au gré des #dénonciations et des allégeances réelles ou soupçonnées.

    L’un des plus gros projet de lutte contre la #corruption en Chine s’intensifie de mois en mois....

    http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2014/04/15/chine-la-decheance-des-tigres_4401885_3208.html

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 14/04/2014

  • Michelle Obama gets a taste of Tibet in China
    http://www.usatoday.com/story/news/world/2014/03/26/michelle-obama-tibet-beijing-food-china/6904327


    First lady Michelle Obama receives a Tibetan scarf as she arrives at a Tibetan restaurant for lunch in Chengdu in southwest China’s Sichuan province on March 26, 2014.
    (Photo : Andy Wong AFP/Getty Images)

    Among all the superlatives and breathless praise visitors lavish on Tibet, few involve its largely forgettable food. In a tough climate, on the roof of the world, most meals comprise tsampa, a tasteless dough made from roasted barley flour and yak butter.

    But Michelle Obama, accompanied by her mother and daughters, was not only promoting a little-known cuisine Wednesday lunchtime with her controversial choice of a Tibetan restaurant as the final stop of the first ever solo trip to China by a U.S. First Lady.

    L’auteur semble ne pas trop apprécier la gastronomie tibétaine…
    Rien à dire pour le gouvernement chinois, tout se passe sous sa bienveillante égide…

    The state-owned restaurant, opened last year, sits inside a hotel founded in 1956 by the Chinese government of Tibet. “I have a deep feeling towards Tibet, I am half Tibetan,” said Shi. “I like Tibetan food, especially butter tea. I am glad Michelle also likes it.

  • #Leshan, temple chinois du solaire

    En quelques années, la #Chine a raflé la première place mondiale du #photovoltaïque. Des villes entières se sont converties au #solaire, comme Leshan, dans la province du #Sichuan.

    Petite rediff d’un excellent article de @JordanPouille sur l’ #industrie photovoltaïque en Chine

    http://www.usinenouvelle.com/article/leshan-temple-chinois-du-solaire.N164504

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 03/06/2013

  • Et s’il y avait un lien entre le nouveau virus grippal #H7N9 et les cadavres de cochons (20 000) de canards et de cygnes (dizaines de milliers) à la rivière

    Bird Flu China : Dead pigs, swans and ducks linked to three new fatalities | Mail Online
    http://www.dailymail.co.uk/news/article-2303514/Bird-Flu-China-Dead-pigs-swans-ducks-linked-new-fatalities.html?ito=fee

    A leading science writer has speculated that the unexplained deaths of thousands of pigs, ducks and swans in China is linked with the recent human bird flu fatalities and heralds the start of a pandemic.

    Residents in Shanghai began to spot dead pigs floating down Huangpu River on March 10. Days later dead ducks were found in the Nanhe river in the southwestern Chinese province of Sichuan.

    By the end of the month, the carcasses of at least 20,000 pigs as well as tens of thousands of ducks and swans had been washed up on riverbanks across China.

    (…)

    In an intriguing piece, Pulitzer Prize-winning science writer Laurie Garrett has now suggested that the virus that killed the pigs could be linked to the new strain of bird flu.

    Writing for the highly respected foreignpolicy.com website, she said: ’One very plausible explanation for this chain of Chinese events is that the H7N9 virus has undergone a mutation — perhaps among spring migrating birds around Lake Qinghai.
    ’The mutation rendered the virus lethal for domestic ducks and swans.
    ’Because many Chinese farmers raise both pigs and ducks, the animals can share water supplies and be in fighting proximity over food — the spread of flu from ducks to pigs, transforming avian flu into swine flu, has occurred many times.
    ’Once influenza adapts to pig cells, it is often possible for the virus to take human-transmissible form.
    ’That’s precisely what happened in 2009 with the H1N1 swine flu, which spread around the world in a massive, but thankfully not terribly virulent, pandemic.’

    of course…

    Today Chinese authorities dismissed such speculation and insisted that the H7N9 outbreak was not linked to the animal deaths.

  • #Immolation de deux #adolescents au #Tibet :

    Deux adolescents tibétains de 17 et 18 ans se sont immolés ensemble par le feu dans une région tibétaine de la Chine. Rinchen, 17 ans, et Sonam Dargye, 18 ans, anciens camarades de classe à l’école primaire, ont mis le feu à leurs vêtements mardi dans la ville de Dzorge (Ruergai en chinois), dans la province du Sichuan, selon l’association de défense des Tibétains International Campaign for Tibet (ICT). [...] Cette double immolation porte à au moins 104 le nombre de Tibétains qui depuis 2009 se sont suicidés par le feu en Chine, ou ont tenté de le faire, pour protester contre la tutelle de Pékin et la répression de leur religion et de leur culture. Sur l’ensemble de ces immolations, 22 ont été accomplies par des adolescents âgés de 18 ans ou moins, a souligné ICT. [...] La #Chine affirme avoir « libéré pacifiquement » le Tibet et amélioré le sort de sa population en finançant le développement économique de cette région pauvre et isolée. Mais de nombreux Tibétains ne supportent plus ce qu’ils considèrent comme une domination grandissante des Han, l’#ethnie ultra-majoritaire en Chine, et la répression de leur #religion et de leur #culture. Par ailleurs, le développement profite surtout aux #Han.

    Source : http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/02/21/deux-adolescent-tibetains-s-immolent_1835899_3216.html

    #Suicide

  • Chine Infrastructure Industrie Economie

    Mass protests force Chinese authorities to scrap industrial project

    http://www.wsws.org/articles/2012/jul2012/chin-j11.shtml

    By John Chan
    11 July 2012

    The Chinese government last week promised to abandon the construction of a $1.6 billion industrial plant in Sichuan province’s Shifang city following mass protests.

    Hongda Chemical, a subsidiary of the privately-owned Chinese resources conglomerate, Hongda Group, planned to refine copper ore from Tibet and Australia. The project consisted of a molybdenum processor with an annual capacity of 40,000 tonnes and a 400,000-tonnes-a-year copper cathode production line.

    Like many industrial projects in China, the plant had been approved with little consideration for the wellbeing of the local population or the impact on the environment. Fears that the plant’s emissions would destroy limited local water supplies or cause cancers made it a focal point of anger against the government.