La gueule de sérial_killer... #Argentine
En #France, avec #Macron, on a plus de maintien, d’#apparence... #politique #enculés #bâtards #racailles #hypocrites #double_langage #sans_parole #gibier_de_potence
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▻http://www.racailles.info/2017/08/apb-tirage-au-sort-baisses-budgetaires.html - Racailles
APB, tirage au sort, baisses budgétaires… La grande casse des facs
A chaque été sa polémique. Cette année, c’est l’Éducation qui s’en est pris plein la gueule. Entre coupes budgétaires, déboires de la plate-forme Admission Post Bac (APB), tirage au sort, méritocratie… L’idéal d’un enseignement libre, accessible et universel s’éloigne encore un peu plus, défiguré par une idéologie libérale qui n’accepte pas qu’un marché lui échappe.
#Racailles #Caen #AdmissionPostBac #APB #FAC #Université #TirageAuSort
▻http://www.racailles.info/2017/09/les-salaries-de-monoprix-caen-en-greve.html - Racaille
Les salariés de Monoprix Caen en grève pour leurs conditions de travail
Les affiches promotionnelles ont fait place aux banderoles revendicatives vendredi 1er septembre au magasin Monoprix du centre-ville de Caen. Et pour cause : la direction du groupe vient d’annoncer des coupes sans précédent au niveau national dans les frais de personnels. Pour vous traduire la chose, elle souhaite faire plus de bénéfices en payant moins de personnels pour faire un boulot (au moins) identique.
Le remède, c’est la pauvreté
▻http://dormirajamais.org/parise
Cette fois je ne répondrai pas ad personam, je parlerai à tous, en particulier cependant à ces lecteurs qui m’ont âprement reproché deux de mes phrases : « Les pauvres ont toujours raison », écrite il y a quelques mois, et cette autre : « le remède c’est la pauvreté. Revenir en arrière ? Oui, revenir en arrière. » écrite dans mon dernier article. [Article paru sur le Corriere della Sera le 30 juin 1974, repris dans l’anthologie Dobbiamo disobbedire, Adelphi 2013.] Source : Corriere della Sera via Dormira jamais
La pauvreté, c’est surtout le manque de choix et de perspectives, ce sont des arbitrages à la con entre se chauffer et bouffer correctement.
La #consommation_ostentatoire de camelote plus ou moins luxueuse a lassé bien du monde en se banalisant, y compris des #riches dont certains se débarrassent au maximum d’objets dont l’accumulation est considérée comme vulgaire et dégradante, et qui choisissent avec soin des objets peu nombreux et durables. Sur cet axe, divers commerces prolifèrent niches par niches, cible par cible, on peut louer partout où on veut aller plutôt que de s’embarrasser d’une iou de plusieurs propriétés, aimer le « vintage », les chaines hifi et leurs vynils sont remplacées par des disques durs branchées sur des enceintes audiophiles haut de gamme qu’on ne confondra pas avec de grosses colonnes encombrantes, passer à la tablette pour mettre fin à une accumulation de livres, créer des marques pour friqués qui s’appellent « clochard ». Tout pour ne pas ressembler aux « nouveaux riches » comme aux #prolos voire aux #racailles (qui ont bouffé l’image de Lacoste, quelle tristesse), devenir imperceptibles aussi (pas de logo, pas de frime, etc), (pas tout à fait) comme disait l’autre, ce qui ne gâte rien en termes de sécurité (il y’a plein de pauvres, faut pas être lisible, ça peut craindre).
Ces jeux d’allure rendent pour partie inopérationnelle une efficace sociologie spontanée dont chacun savait faire preuve sans même passer par une quelconque intellection, la saisie instantanée, un simple regard, enregistrant la posture, le type de chaussures, avant toute parole.
On vend aussi beaucoup aux cadres sup sup, des échappées hors de la trépidante vie mondaine impliquée par leur travail (retraites en monastères, sports dit extrêmes).
Et pendant ce temps, la #dépense et la dilapidation peuvent rester des instants de joie collective, y compris du fait de n’en avoir rationnellement pas les moyens.
Ce discours sur la pauvreté rejoins celui de Pasolini contre l’#embourgeoisement des prolos. Aujourd’hui, il peut prendre effet chez une partie des hauts revenus à patrimoine (pour bien faire comprendre que le pouvoir est anonyme, soyons le), comme chez nombre assistés et autres smicards pour qui la fièvre acheteuse comme les besoins élémentaires sont inassumables.
Aucune pauvreté n’est acceptable sans que puisse lui correspondre une pratique positive du #luxe.
#Goffredo_Parise #littérature #obsolescence_de_l'accumulation ?
« Pratique positive du luxe », je veux dire par là qu’il est hors de question de laisser le luxe aux bourgeois, au capital. Le luxe n’implique pas l’accaparement et Marie Antoinette avait raison :) : pas seulement du pain, aussi de la brioche. Luxe pour tous, ou pour personne. On nous a bassiné avec la supériorité morale de la pauvreté pour mieux nous faire attendre le paradis.
C’est très concret. Par ex. lors d’autoréductions négociées dans des supermarchés, les responsables de mags râlent toujours qu’il y’a ait autre chose que des pâtes et des couches culottes. Faut parfois planquer les bons fromages, le whisky ou les pinards pas pourris. Potlacher, c’est un luxe. On nous fait comprendre que « ça se mérite ». Moi pas comprendre.
Sinon, bien d’accord pour dire qu’"on" est empêtré dans la conso. Sans doute aurais-je du mieux trier les exemples d’écarts qui se cherchent, du côté des bourgeois pour s’en dépêtrer.
Oui, son texte paradoxal nous dit qu’une certaine pauvreté peut être riche, sensible. Les moines le montraient eux aussi, pendant que l’église amassait des biens. Une des vulgates actuelles est que la richesse « intérieure », l’authenticité ne peut pas tolérer l’amassement (voir le sens péjoratif courant du mot « matérialiste »). Point de vue qui, j’essayais de le dire, peut orienter les gavés dans le trop plein (à la recherche d’un art de vivre) comme les pauvres, dans le trop plein de fausse richesse, ou dans le manque de richesse. Mais il y a manifestement là trop de morale et d’esthétique, trop de phénomènes variés et de différences sociales solides pour conclure quoi que ce soit, manque une ou des enquêtes sur les pratiques.
les riches aussi savebnt apprécier le dénuement
#ok_je_sors (non sans préciser que le yacht en question porte le nom, véridique, de « VDM »)
Pas besoin d’un yacht, voilà le genre de produit à 2000 boules qui se banalisent pour le chez soi : "L’équipement audio vidéo tout-en-un : serveur de stockage et lecteur multimedia HD. Disque dur de 2 à 4 To en RAID 5 - Rip CD, DVD, Blu-ray - Diffusion multiroom et partage en réseau - Compatible tuner TNT HD"ajouter un ampli bien cher et des enceintes itou, et on gagne en simplicité et dépouillement. En option une consultations Feng shui à domicile (vous savez là où les toubibs vont plus, et là où déboulent les contrôles Caf) sont pas à négliger
Le frère de Bernadette Chirac occupe un HLM parisien
▻http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/12/11/le-frere-de-bernadette-chirac-occupe-un-hlm-parisien_4538677_823448.html
(...)Leur bailleur est la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP), un des bailleurs sociaux de la capitale. Ici, les locataires sont fidèles. Jérôme Chodron de Courcel, frère de Bernadette Chirac, y loue un appartement spacieux à prix modique depuis 1984, (...) un de ses voisins est également un chiraquien de longue date : Pierre Mazeaud, ancien secrétaire d’Etat du gouvernement Chirac entre 1974 à 1976 et ancien président du Conseil constitutionnel.
(...), le commissaire Yves Jobic, ancien patron de l’antigang, loue dans le même ensemble une surface similaire depuis 1987.
(...)Leurs loyers se tiennent dans une fourchette de 11 à 15 euros par mètre carré (charge non comprise), soit plus de deux fois moins que ce à quoi le commun des Parisiens doit s’attendre à débourser pour se loger dans l’arrondissement.
L’immeuble a longtemps été sous administration de la SAGI (Société anonyme de gestion immobilière). (...) En 2013, 139 985 ménages ont renouvelé ou déposé une demande de logement auprès de la Ville de Paris. En 2012, seulement 11 399 ont obtenu satisfaction. (...)
Pierre Mazeaud (...) a été à plusieurs reprises député, vice-président de l’Assemblée nationale, secrétaire d’État. Il a été conseiller d’État, membre, puis président du conseil constitutionnel jusqu’en mars 2007. Il est aussi vice-Président du comité d’honneur de l’UNI, syndicat étudiant. (...) Membre de la composition arbitrale en qualité de président du tribunal arbitral, avec Jean-Denis Bredin [PS, ndc], avocat et académicien, et Pierre Estoup, ancien magistrat, dans l’affaire Bernard Tapie contre le Crédit lyonnais5. [Il perçoit 300 000 € pour le rapport de cette commission, ndc]