• #Essais_cliniques : quand la #science recrute ses doublures en #Afrique ou chez les #pauvres

    Alors qu’il est question sur LCI de vérifier une molécule en Afrique avant d’en faire bon usage face au Covid-19 ou que le protocole du professeur Raoult est mis en question, retour sur l’histoire des essais cliniques : quand le progrès médical faisait bombance des corps de peu d’importance.

    C’était sur LCI la semaine dernière, et la scène en a cueilli plus d’un devant le direct :

    Si je peux être provocateur, est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitements, pas de réanimation ? Un peu comme c’est fait d’ailleurs pour certaines études sur le Sida. Chez les prostituées, on essaye des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées et qu’elles ne se protègent pas.

    En plateau, c’est #Jean-Paul_Mira, chef de la réanimation à l’hôpital Cochin de Paris, qui prononce cette phrase. En duplex, Camille Locht, directeur de recherche à l’Inserm, acquiesce :

    Vous avez raison, on est d’ailleurs en train de réfléchir à une #étude en parallèle en Afrique.

    Soigner ou punir, pourquoi choisir ?

    L’idée n’a pas choqué ce microbiologiste parce qu’elle est banale : la #délocalisation des essais cliniques, notamment en Afrique, et/ou sur des prostituées, relève au fond d’une pratique ordinaire de la #recherche_médicale. Mais elle a heurté de nombreux spectateurs parce qu’elle embarque tout un chapelet de représentations qui ne ressortent pas seulement de l’#histoire_de_la_médecine mais aussi de l’#histoire_sociale et de l’#histoire_coloniale. Car l’histoire des essais cliniques est l’histoire d’un #rapport_de_pouvoir, et plus précisément d’un rapport profondément inégalitaire. Longtemps, c’est sur cette inégalité-là que s’est juché le progrès scientifique. A bien des égards, c’est toujours vrai.

    L’exemple des prostituées (celles qui “ne se protègent pas”), que prend le médecin sur LCI, ne vient pas de nulle part : dans l’histoire de la médecine clinique, de nombreuses expérimentations ont été pratiquées sur les travailleuses du sexe. Et souvent, de façon coercitive. Leur marginalité par rapport à la société y a souvent été pour beaucoup, au XIXe siècle, à une époque où justement l’expérimentation médicale se stabilisait. Ces femmes n’étaient pourtant pas hors la loi : ni le tout premier code pénal français (qu’on doit aux révolutionnaires, en 1791), ni celui de 1810 (qui restera en vigueur jusqu’en 1994), n’interdiront la prostitution, qui d’ailleurs est aussi pratiquée de façon ordinaire par les femmes de classes populaires, mariées ou non. Mais même si on appelait ça “le cinquième quart”, c’est-à-dire, celui qui met du beurre dans les épinards et souvent sauve le ménage de la misère, la pratique est stigmatisée par les autorités en dépit de ce que l’historienne Clyde Plumauzille appellera une “dépénalisation silencieuse”. Et c’est depuis ce stigmate-là, et aussi parce qu’elles peuvent propager les maladies, qu’on décidera régulièrement de tester sur elles des remèdes.

    A la fin des années 1820, par exemple, on décide de créer un dispensaire spécialement pour elles, géré par les médecins de la Préfecture de police, qui obligent les filles, prostituées officielles ou non (on dit "soumises" ou "insoumises"), à se faire soigner. A partir de 1836, à Paris, les filles soumises (celles qui se sont déclarées) qui pensent être touchées par des maladies vénériennes comme la syphilis n’ont plus le droit de se présenter dans aucun autre hôpital, et relèvent uniquement de l’infirmerie construite sur les flancs de la prison Saint-Lazare. Un hôpital-prison où, au passage, les médecins peuvent aussi renvoyer toutes les autres, dès lors qu’on les jugerait trop turbulentes, rappellent les historiennes Claire Barillé et Sandie Servais dans leur contribution au livre collectif Impossibles victimes, impossibles coupables.
    Un petit goût de mercure dans la tisane

    C’est dans ce cadre répressif-là que se généralisent les essais thérapeutiques sur les prostituées, sur qui l’on teste, par exemple, différents dosages de mercure. Sont-elles averties du risque inhérent aux expérimentations ? Dans sa formidable généalogie des essais cliniques et de la médecine expérimentale, Les Corps vils, parue en 2008 à La Découverte, le philosophe Grégoire Chamayou racontait qu’une véritable sédition avait eu lieu, entre ces murs parisiens où le soin et le contrôle se superposaient : les prostituées avaient découvert qu’une partie d’entre elles, à qui on administrait un simple placebo et non le traitement au mercure, pouvaient aussi guérir. Réponse de l’administration sanitaire : on inventa alors un breuvage suffisamment amer pour donner au placebo le goût du mercure, et leur faire croire ainsi qu’elles étaient toutes à la même enseigne.

    Car le consentement aux essais cliniques est une invention bien plus tardive que la pratique. C’est tout le sens du terme “corps vils”, qui traduit une locution latine centrale dans l’histoire du jargon médical : “fiat experimentum in corpore vili”, qui rappelle explicitement qu’historiquement, on a d’abord testé les médicaments sur ces “corps de peu d’importance” - mais sans toujours leur demander leur avis. Dans le même ouvrage, Chamayou rappelle que, longtemps, on s’accommodera de faire porter sur les plus pauvres, comme sur les prostituées, le risque des essais, puisqu’après tout, c’est leur mode de vie tout entier qui les exposerait à la mort :

    Le médecin ne portera pas la responsabilité d’un risque que la pauvreté leur aurait de toute façon fait courir.

    Ce rapport sacrément décomplexé à l’administration du risque sur les plus modestes vous semble à peine croyable ? On le comprend mieux si on a en tête deux éléments. D’abord, qu’on a longtemps pratiqué les premiers essais sur les suppliciés et les condamnés. Ainsi, il était très courant de voir des médecins faire le pied de grue au pied de l’échafaud en quête de corps à peine morts, prêts pour l’expérimentation. La science prenant son essor, ce seront bientôt les corps des condamnés qui seront mis à disposition, de leur vivant. Au premier chef, les condamnés à mort, mais aussi des bagnards, sur qui l’on testera par exemple au bagne de Rochefort, en Charente-Maritime, divers remèdes qu’on hésitait encore à administrer aux marins. Ces corps-là sont toujours vivants, mais déchus de leur statut social, et c’est depuis cette déchéance-là qu’on les met à disposition pour la recherche. Ils deviennent au fond profitables pour la médecine quel qu’en soit le prix, parce qu’ils n’ont plus de valeur sociale.
    Droit de guerre ou droit de... guérir ?

    Mais il faut aussi avoir en tête que les hôpitaux du XIXe siècle ne sont pas ceux qu’on connait aujourd’hui, mais d’abord des lieux d’accueil, des hospices, dédiés aux indigents. Ainsi s’installe aussi l’idée que les pauvres, dont les soins mais aussi l’inhumation, représentent une charge pour la collectivité, peuvent bien rembourser leur dette vis-à-vis de la société en soumettant leur corps à divers essais réputés nécessaires. Immoral ? Le débat s’installera à l’échelle de toute l’Europe, dès le XVIIIe siècle, et impliquera, dans le giron des Lumières, aussi bien les Encyclopédistes français qu’Emmanuel Kant. La controverse enfle ainsi, tandis qu’on découvre le principe de la vaccination qui implique d’inoculer dans certains corps la maladie à titre de test. Kant répondra par exemple qu’on n’a pas le droit de risquer la vie d’une partie de la population pour que l’autre vive. Mais bien des philosophes des Lumières estiment, eux, que le progrès de la science prime, et Grégoire Chamayou compare finalement la légitimation des expérimentations à un “droit de guerre”, quand un pouvoir politique lève une armée en masse pour sauver un pays.

    Longtemps, ces corps-là, qu’on pense d’une valeur sociale inférieure, font ainsi office de “doublures”, pour reprendre l’image, très éloquente, développée par Grégoire Chamayou dans son livre. Puis l’idée que le consentement éclairé du patient est nécessaire s’installe bon an, mal an. Si le cobaye est consentant, encore faut-il que les essais soient viables. Or la fin du XIXe siècle est aussi le moment où la recherche médicale se sophistique et se rationalise, avec la généralisation des statistiques, et des mesures qui se systématisent dans les essais (on dit notamment “métrologie”). Ce qu’on appelle “la médecine des preuves” est née, et elle implique des tests à grande échelle... et donc, des corps. La conquête coloniale viendra suppléer au manque de corps à cette échelle, et fournir une nouvelle catégorie de “doublures”. C’est dans cette histoire-là que s’enracine la réaction du médecin sur LCI : aujourd’hui, des essais sont encore pratiqués en grand nombre dans les pays en voie de développement, et notamment en Afrique.
    Les doublures africaines

    En 2015, 658 essais étaient pratiqués en Afrique, dont 280 en Egypte - qui, contre toute attente, tiendrait lieu d’eldorado justement parce que ses infrastructures de santé et ses universités y sont plutôt plus développées. Sur place, on n’en est plus aux gigantesques camps coloniaux, où la nouvelle administration coloniale faisait procéder à des tests à grande échelle dans des régions subalternes, qui correspondent aujourd’hui au Sénégal ou au Cameroun. Ces pays sont aujourd’hui indépendants. Mais leur politique sanitaire reste étroitement liée aux anciennes puissances coloniales, ou à leurs industries pharmaceutiques. Si elles sont correctement menées, c’est à dire que les populations y ont un bénéfice thérapeutique réel, ces recherches sont essentielles pour donner accès à des pays entiers à des traitements cruciaux. C’est pour ça, par exemple, qu’une chercheuse sonnait l’alerte dans Le Monde, le 3 avril, alors qu’aucun des 359 essais cliniques aujourd’hui enregistrés sur terre pour la recherche sur les traitements Covid-19 n’avait encore débuté en Afrique. Mais encore faut-il que ces recherches se déroulent dans les règles de l’art. Car, malgré une naissance aussi tardive que laborieuse, des standards ethiques existent aujourd’hui.

    La bascule remonte au procès de Nüremberg, en 1946, après quoi il sera entendu qu’on doit encadrer la recherche pour que rien ne ressemble plus à ce qui a pu se pratiquer dans les camps nazis. Dans les deux ans qui suivent, un premier squelette de charte éthique prend forme, qui débouche, six ans plus tard, sur ce qui restera comme “la déclaration d’Helsinki”.

    La Déclaration d’Helsinki date de 1964, et c’est le tout premier texte qui encadre les essais. Un texte fondateur, qui reconnaît la nécessité des expérimentations humaines “pour le progrès de la science et pour le bien de l’humanité souffrante”, et qui distingue par exemple les expérimentations menées au chevet du malade, des essais sur un non-malade, dans le but d’élargir la connaissance scientifique. L’idée du consentement du cobaye y figure noir sur blanc. Mais il ne s’agit encore que d’une charte de bonnes pratiques : aucune contrainte dans la Déclaration d’Helsinki ou dans les textes qui verront le jour dans la foulée, et qui précisent par exemple que la personne sur qui on expérimente doit avoir un intérêt. Charge, en fait, aux pays de s’en saisir pour transformer ces grands principes moraux en loi. Il faudra 24 ans en tout pour que la France y vienne : la profession médicale et les juristes sont divisés, et une part non négligeable d’entre eux sont loin d’être acquis à l’idée d’avaliser pour de bon l’expérimentation sur des sujets humains.
    1988, et la toute première loi française

    Mais en 1983, la création du Comité national d’éthique, qui prendra position en faveur des essais, paraît avoir accéléré le calendrier : la toute première proposition de loi sur les essais thérapeutiques en France est débattue en 1985 à l’Assemblée nationale. Le blocage du texte dans le champ politique montre bien toute la charge polémique qui entoure la question de l’expérimentation thérapeutique, en France, dans les années 1980. C’est finalement après un rappel à l’ordre du Conseil d’Etat que sera votée la toute première loi sur les essais : du nom des parlementaires qui la portent, ce sera la loi Huriet-Sérusclat, entrée en vigueur un 20 décembre 1988. On y trouve notamment le principe que ceux sur qui sont pratiqués les tests, qui n’ont pas de bénéfice thérapeutique direct, parce qu’ils ne sont pas malades, peuvent être indemnisés - mais pas les autres. Et aussi que les essais ne sont possibles pour toute une catégorie de personnes qu’à la condition expresse qu’elles y aient intérêt pour leur santé : ça concerne par exemple les mineurs, ou des adultes vulnérables comme les détenus et des patients en situation d’urgence.

    Un quart de siècle plus tard, de nombreuses ONG signalent que les essais cliniques ont explosé en Afrique. Même MSF fait désormais des essais sur le sol africain : les premiers essais de l’ONG sur Ebola remontent à 2014 mais dès les années 1990, on trouve dans les archives de Médecins Sans Frontières la trace d’essais liés au paludisme, avec par exemple cette explication :

    Face à l’absence de données, Médecins sans frontières (MSF) a mis en place des études cliniques afin de mesurer l’efficacité des antipaludéens et d’adapter les traitements au sein de ses missions. Entre 1996 et 2004, plus de 12 000 patients furent inclus dans 43 études réalisées dans 18 pays d’Asie et d’Afrique.

    Comme ici, il s’agit parfois de tester, sur place, des pathologies spécifiques, qui séviraient dans certains pays, et pas dans d’autres. Mais pas toujours. Il arrive aussi qu’une firme pharmaceutique délocalise son expérimentation parce que c’est parfois jusqu’à cinq fois moins cher de mener des essais dans un pays africain qu’en Europe. Et aussi parce que la loi Huriet-Sérusclat ne contraint pas les industriels qui délocalisent leurs essais, même lorsqu’il s’agit de laboratoires français ? Et qu’on prendrait bien des libertés sous les tropiques vis à vis de ces principes éthiques dont l’ébauche fut si tardive en France ? Il est caricatural, et souvent carrément faux, d’imaginer qu’on ferait n’importe quoi dans ce nouveau far west de l’innovation thérapeutique. Des protocoles existent, qui montrent que l’éthique n’a pas tout bonnement disparu quelque part au dessus du Détroit de Gibraltar. Et en 1981, un texte international, resté comme “la Déclaration de Manille”, avait complété celle d’Helsinki, en précisant les conditions des essais cliniques dans les pays en voie de développement.
    Asymétrie Nord-Sud

    Malgré tout, le rapport Nord-Sud en matière d’essais reste marqué par une forte asymétrie. Ainsi, plusieurs scandales, dont certains se sont soldés par des actions en justice, montrent que bien des protocoles peuvent se révéler plus laxistes une fois les essais menés à l’étranger. Par exemple, pour tout ce qui concerne le bénéfice des traitements : quand on voit le tarif de commercialisation de bien des molécules, ou encore les maladies pour lesquelles on procède à des tests, on peut douter parfois que la balance des bénéfices et des risques soit toujours favorables aux populations qui se prêtent aux tests. Jean-Philippe Chippaux est médecin et directeur de recherche à l’IRD, l’Institut de recherche pour le développement. Dans un ouvrage éclairant qui date de 2004, et disponible par ici, ce chercheur de terrain, qui a longtemps travaillé depuis Dakar, concluait qu’il y avait urgence à ce que “les Africains s’approprient le concept de l’essai clinique pour répondre à leurs besoins spécifiques de santé publique”. Il rappelait à cette occasion la dimension infiniment politique des essais cliniques. C’était vrai au XVIIIe siècle lorsqu’au pied de l’échafaud, la science faisait bombance des corps des suppliciés ramenés au rang d’objet. Mais c’est toujours vrai à présent qu’il s’agit de géopolitique sanitaire :

    L’essai clinique apparaît comme un instrument incontournable de l’indépendance sanitaire. Car, au-delà de cette appropriation, la finalité de la pratique d’essais cliniques dans les pays africains est bien de susciter une capacité locale permettant d’y décider, réaliser, surveiller et exploiter en toute indépendance les recherches cliniques. Cela nécessite une compétence technique et une maîtrise politique, donc financière, de la recherche et de la santé.

    L’essai thérapeutique comme une émancipation plutôt qu’une double peine ? L’idée a quelque chose de rassérénant tant la lecture de la généalogie de Grégoire Chamayou, Les Corps vils, est édifiante. Mais elle rend encore plus décisive la question du consentement des sujets de l’expérimentation. Or, de ce point de vue-là, c’est peu dire que les garanties ne sont pas équivalentes selon que l’essai a lieu sur le sol français ou, par exemple, au Cameroun. Un essai sur le VIH s’est déroulé sur place entre 2004 et 2005, qui ciblait plus particulièrement 400 prostituées. Objet de l’essai à l’époque : un antiviral du nom de "Tenofovir", qui sera commercialisé en France à partir de février 2002. Mais avant sa mise sur le marché, il avait fallu le tester. Or Act-up avait révélé que, non seulement, les femmes camerounaises qui faisaient partie de la cohorte sous placebo étaient insuffisamment protégées. Mais que, de surcroît, elles étaient très nombreuses parmi toutes celles impliquées dans l’étude du laboratoire Gilead, à avoir signé en pensant qu’on allait leur administrer un vaccin. Et pour cause : le protocole écrit, auquel on leur avait donné furtivement accès, était en anglais. Or, pour la plupart, ces femmes étaient illettrées, et surtout, francophones.

    Le consentement de ces femmes n’était donc pas réel. Leur situation paraît d’autant plus asymétrique qu’en France, au contraire, bien des candidats aux essais cliniques doivent au contraire faire carrément acte de candidature. Contrairement aux travaux sur le don du sang, il existe peu d’enquêtes sociologiques sur les essais thérapeutiques. Mais il existe un travail passionnant, signé du politiste Olivier Filleule. Pour une journée d’études en 2015 (qui donnera lieu à l’ouvrage collectif Recrutement-engagement dans des essais cliniques en prévention, sous la direction de Mathilde Couderc et Caroline Ollivier-Yaniv, également en ligne et en acces libre par ici), le chercheur, spécialiste de l’engagement, a passé au crible les lettres de motivation envoyées par 4259 candidats, entre 1991 à 2001, pour des essais vaccinaux sur le VIH. Il a cherché à comprendre non seulement qui se proposait de participer à de tels essais, non rémunérés (et pourquoi), mais aussi qui était retenu.

    Et on prend bien la mesure, en lisant Olivier Filleule, combien un protocole en bonne et due forme, ici, en France, implique non seulement une information au cordeau des volontaires, à qui on exposera clairement les coûts de l’engagement ou les risques encourus. Mais aussi un tri des motivations des candidats, que les promoteurs des essais avertissent par exemple du “caractère illusoire de rétributions pouvant être espérées”. On découvre ainsi au tamis de son enquête qu’un certain nombre des candidats, notamment du côté des hommes, plaçaient beaucoup d’espoir dans l’idée qu’ils pouvaient se faire d’un partenariat privilégié avec les chercheurs au bénéfice de la science. Pas sûr que c’était ce qu’entendaient ces deux médecins sur LCI, début avril, sur fond d’épidémie de Covid 19.

    https://www.franceculture.fr/societe/essais-cliniques-quand-la-science-recrute-ses-doublures-en-afrique-ou-
    #tests_cliniques #coronavirus #néo-colonialisme #covid-19 #médecine #rapports_de_pouvoir #pouvoir

  • Pays émergents et #Climat : du refus à la participation « différenciée »
    https://www.cetri.be/Pays-emergents-et-climat-du-refus

    Plusieurs événements de l’année 2018 ont ravivé le sentiment d’urgence autour de la lutte contre le réchauffement climatique. La pression de l’horloge climatique n’empêche pourtant pas qu’en matière environnementale comme dans d’autres domaines, les réalités structurelles – socio-économiques, politiques, culturelles – déterminent la perception du problème. En ce sens, l’inclusion des pays émergents dans la lutte globale contre le réchauffement climatique lors de la 21e Conférence des parties (COP) de Paris en (...)

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, #Analyses, #Le_Sud_en_mouvement, Climat, #Environnement, Relations Nord-Sud & (...)

    #Relations_Nord-Sud_&_Sud-Sud

  • Un traité pour réorienter l’industrie pharmaceutique

    Vers une #recherche pharmaceutique sans #brevets, par Germán Velásquez (avril 2013)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/04/VELASQUEZ/48967

    Face à la cupidité des laboratoires pharmaceutiques, un projet de traité international vise à découpler le coût de la recherche et le prix des médicaments, afin de faciliter la découverte de remèdes efficaces et accessibles aux populations qui en ont le plus besoin. Même lorsqu’elles ne sont pas solvables. Certains mécanismes permettent d’ores et déjà d’orienter la recherche vers les maladies endémiques au Sud.

    #2013/04 #OMS #Santé #Médecine #Multinationales #Relations_Nord-Sud #Droit_international #Industrie_pharmaceutique #Propriété_industrielle #Propriété_intellectuelle

  • #Brics : retour à la case crise | La valise diplomatique
    http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2013-09-02-brics

    Il aura suffi d’un discours du président de la Réserve fédérale des Etats-Unis (Fed), M. Ben Bernanke, pour écorner le mythe d’un découplage entre les économies (moribondes) du Nord et celles (florissantes) du Sud. De l’avis même de l’ancien économiste de la banque Goldman Sachs Jim O’Neill, qui l’avait imaginé, l’acronyme « Bric » — désignant un groupe de pays à la croissance insolente (Brésil, Russie, Inde et Chine, auxquels il était devenu coutumier d’adjoindre un S pour l’Afrique du Sud) —, n’aurait plus aucun sens : « Si je devais le changer, je ne laisserais plus que le “C” », a-t-il récemment remarqué. Avant d’ajouter : « Mais cela ne ferait sans doute pas un excellent acronyme... » (...)
    http://blogs.wsj.com/moneybeat/2013/08/23/china-only-bric-country-currently-worthy-of-the-title-oneill

    #Brésil #États-Unis #Économie #Finance #Monnaie #Relations_Nord-Sud #Crise_financière

    Lire « Le Brésil, ce géant entravé », par Renaud Lambert (#2009/06)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2009/06/LAMBERT/17193

    Mai 2008. L’économie américaine entame sa descente aux enfers. Au Brésil ? Tout va bien, merci. Le président Luiz Inácio Lula da Silva estime que son pays « vit un moment magique. » Après une hausse de 5,67 % du produit intérieur brut (PIB) en 2007, le gouvernement a le moral au beau fixe. Peu importe ce qui se passe ailleurs : la croissance continuera « au rythme actuel au cours des quinze-vingt prochaines années ».

  • Dossier : Tourisme, l’industrie de l’évasion (Le Monde diplomatique, #2012/07)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/A/47982

    Jusqu’au début du XXe siècle, seules certaines franges de la haute société pouvaient partir à la découverte du monde. Si le séjour à l’étranger n’a pas perdu sa vocation distinctive (lire « Du “grand tour” à Sciences Po, le voyage des élites »), le tourisme a cessé d’être l’apanage des plus riches. Il alimente une nouvelle industrie qui conduit à des déplacements massifs de population, comme en Chine (lire « Quand les Chinois découvrent les joies de la villégiature »). Mais la conquête du temps libre a-t-elle pour autant tenu ses promesses d’émancipation (lire « Oisiveté bien encadrée ») ? Contrairement à un mythe tenace, les vacances des Occidentaux — en quête d’une illusoire authenticité compatible avec leur confort (lire « Dans la jungle de Bornéo, des visiteurs en quête d’authenticité ») — ne participent pas toujours au développement des pays du Sud (lire « A qui profitent les vacances ? ») ni à l’épanouissement des saisonniers sur le marché du travail (lire « Gentils organisateurs en colère »).
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/REAU/47948
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/NYIRI/47939
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/BOURDEAU/47937
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/LUQUIAU/47947
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/CAIRE/47938
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/BOURDEAU/47942

    #Loisirs #Travail #Tourisme #Industrie #Société #Marketing #Entreprise #Inégalités #Environnement #Développement #Relations_Nord-Sud #Chine #Europe #France #Malaisie

    En #chiffres
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/A/47941

    Qui voyage ?

    Population mondiale bénéficiant de congés payés : 4 milliards.

    Nombre de personnes effectuant au moins un voyage touristique international dans l’année :

    • 200 à 250 millions, soit 1 habitant de la planète sur 30.

    • 26 % des habitants de l’Union européenne.

    • Entre 50 et 60 % des Danois, des Néerlandais, des Norvégiens et des Autrichiens.

    • Plus de 40 % des Allemands, des Belges et des Britanniques.

    • Moins de 20 % des Français, des Italiens et des Espagnols.

    En France, les cadres supérieurs et professions libérales effectuent 22 % des séjours à l’étranger, alors qu’ils ne représentent que 7 % de la population.

    Sources : Bureau international du travail ; Organisation mondiale du tourisme ; Eurostat 2008 ; direction du tourisme (2005).

    L’une des plus grandes industries du monde
    (exportations, montants en milliards de dollars)

    • Energie : 1 800.

    • Produits chimiques : 1 450.

    • Equipements professionnels et télécommunications : 1 300.

    • Produits agricoles : 1 150.

    • Tourisme : 1 032 (dépenses touristiques internationales incluant les voyages).

    • Industrie automobile : 850.

    • Industrie textile : 530.

    Au total, le tourisme intérieur et international participe directement ou indirectement à la formation de 9 % du produit intérieur brut (PIB) mondial et à l’emploi de 250 millions de personnes dans le monde.

    Source : World Travel & Tourism Council (WTTC).

  • Quelle solidarité internationale ?
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/05/A/49104

    Guerres, violences, misère... Comment soutenir efficacement les populations concernées ? Le tintamarre médiatique, avec ses causes à la mode, installe une confusion dépolitisante entre aide, charité et solidarité, y compris au sein de l’Union européenne. En outre, le « terrain » constitue toujours un (...) / #Afrique, #Europe, #France, #Aide_au_développement, #Action_humanitaire, #Inégalités, #Relations_Nord-Sud, #ONG, Pauvreté, #Protection_sociale, Solidarité, #Mali - (...)

    #Pauvreté #Solidarité #2013/05

  • Désoccidentaliser l’aide
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/05/KOUNGOU/49098

    Vue d’#Afrique, où elle s’exerce de manière emblématique, la solidarité internationale est parfois perçue avec ambivalence : soutien précieux ou facteur de domination culturelle ? / Afrique, #Aide_au_développement, #Action_humanitaire, #Idées, #Relations_Nord-Sud, #ONG, Pauvreté, Solidarité - (...) / Afrique, Aide au développement, Action humanitaire, Idées, Relations Nord-Sud, ONG, Pauvreté, Solidarité - (...)

    #Pauvreté #Solidarité #2013/05

  • En Equateur, la biodiversité à l’épreuve de la solidarité internationale
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/06/BERNIER/47849

    Du 20 au 22 juin, le sommet international Rio + 20 sur le développement durable se tiendra au Brésil. L’Equateur y défendra un projet original visant à concilier souveraineté nationale, progrès social et protection des écosystèmes. / Équateur, #Europe, #Dette, Écologie, Économie, Énergie, #Entreprise, (...) / Équateur, Europe, Dette, Écologie, Économie, Énergie, Entreprise, #Relations_Nord-Sud, #Pétrole, #Climat, #Environnement, #Pollution - (...)

    #Équateur #Écologie #Économie #Énergie #2012/06

  • #Industrie, socle de la puissance | Laurent Carroué
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/03/CARROUE/47485

    En dépit des discours sur la « société de loisirs post-industrielle » des années 1990 et 2000, l’industrie joue toujours un rôle majeur dans l’organisation des territoires, la dynamique des systèmes productifs et les rapports de puissance structurant la mondialisation. / #Allemagne, #Chine, États-Unis, (...) / Allemagne, Chine, États-Unis, #France, #Capitalisme, Économie, #Entreprise, Industrie, #Multinationales, #Mutation, Relations Nord-Sud, Protection sociale, #Technologie, #Travail, #Chômage - 2012/03

    #États-Unis #Économie #Relations_Nord-Sud #Protection_sociale #2012/03

  • #Tourisme, l’industrie de l’évasion
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/A/47982

    Jusqu’au début du XXe siècle, seules certaines franges de la haute société pouvaient partir à la découverte du monde. Si le séjour à l’étranger n’a pas perdu sa vocation distinctive, le tourisme a cessé d’être l’apanage des plus riches. Il alimente une nouvelle industrie qui conduit à des déplacements (...) / #Chine, #Europe, #France, #Malaisie, #Développement, #Entreprise, #Industrie, #Inégalités, #Loisirs, Relations Nord-Sud, Société, Tourisme, #Travail, #Marketing, #Environnement - 2012/07

    #Relations_Nord-Sud #2012/07

  • Lumières sur le Bosphore | Timour Muhidine
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/05/MUHIDINE/47684

    Rares sont les ouvrages en langue française consacrés aux répercussions de la modernité européenne en #Turquie. C’est pourtant une donnée essentielle à la compréhension de l’évolution et des tensions qui traversent ce pays. La période de transition inaugurée par les réformes dites des Tanzimat (1839-1876) (...) / #Europe, #Proche-Orient, Turquie, #Culture, #Histoire, #Littérature, #Mutation, Relations Nord-Sud, #Photographie, #Fiction - 2012/05

    #Relations_Nord-Sud #2012/05

  • A la conférence de Cocoyoc, le Sud liait écologie et égalité | Aurélien Bernier
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/12/BERNIER/47041

    En 1974, au #Mexique, un colloque de l’ONU formulait une critique radicale du « développement », du modèle libre-échangiste et des rapports Nord-Sud. Ses conclusions furent vite enterrées… / Mexique, #Capitalisme, #Développement, Écologie, Économie, #Inégalités, Relations Nord-Sud, Pauvreté, #Climat, (...) / Mexique, Capitalisme, Développement, Écologie, Économie, Inégalités, Relations Nord-Sud, Pauvreté, Climat, #Environnement - 2011/12

    #Écologie #Économie #Relations_Nord-Sud #Pauvreté #2011/12

  • De Rome à Constantinople, penser l’empire pour comprendre le monde | Jane Burbank et Frederick Cooper
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/12/BURBANK/47034

    Les formes de gouvernement mises en place par les empires fascinent par leur résistance aux soubresauts de l’histoire, leur plasticité, leur capacité à unir des populations différentes. Que peuvent-elles nous apprendre, à l’heure où des Etats-nations ploient sous les forces du marché ? / #Chine, (...) / Chine, États-Unis (affaires extérieures), #Europe, #Royaume-Uni, #Russie, #Turquie, #URSS, #Colonialisme, État, #Histoire, #Impérialisme, Relations Nord-Sud, #Colonisation - 2011/12

    #États-Unis_(affaires_extérieures) #État #Relations_Nord-Sud #2011/12

  • Comment basculent les empires | Philip S. Golub
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/11/GOLUB/46930

    Au-delà des griefs conjoncturels de Washington, les Etats-Unis acceptent mal que leur toute-puissance soit contestée. En particulier en Asie, une région du monde qui constitua le pré carré des puissances occidentales. / États-Unis, États-Unis (affaires extérieures), #Europe, #Royaume-Uni, #Capitalisme, (...) / États-Unis, États-Unis (affaires extérieures), Europe, Royaume-Uni, Capitalisme, #Colonialisme, Commerce international, #Histoire, #Impérialisme, #Mondialisation, Relations Nord-Sud, Relations internationales - 2011/11

    #États-Unis #États-Unis_(affaires_extérieures) #Commerce_international #Relations_Nord-Sud #Relations_internationales #2011/11

  • Quand la Banque mondiale encourage la razzia sur les terres agricoles | Benoît Lallau
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/09/LALLAU/20938

    Si les images de la famine en #Afrique font le tour de la planète, on sait peu que ce fléau est en partie lié à l’essor des investissements fonciers sur le continent. Exemples en Ethiopie et au Mali. / Afrique, Corne de l’Afrique, #Agriculture, #Agro-alimentaire, #Alimentation, #Faim, #Finance, Relations (...) / Afrique, Corne de l’Afrique, Agriculture, Agro-alimentaire, Alimentation, Faim, Finance, Relations Nord-Sud, Pauvreté - 2011/09

    #Corne_de_l'Afrique #Relations_Nord-Sud #Pauvreté #2011/09

  • Retrouver le sens de la mobilisation | Michel Kazatchkine
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/01/KAZATCHKINE/47212

    Alors que le Fonds mondial a permis de sauver tant de vies, la crise financière inquiète : et si elle devait se traduire par une baisse des contributions ? Au tournant du millénaire, le monde prenait conscience du caractère humainement intolérable des inégalités dans l’accès aux soins et à la santé (...) / #Afrique, Relations Nord-Sud, Pauvreté, Santé, Solidarité, #Médecine, Organisation internationale - 2012/01

    #Relations_Nord-Sud #Pauvreté #Santé #Solidarité #Organisation_internationale #2012/01

  • Alger, capitale des révolutionnaires en exil | Claude Deffarge et Gordian Troeller
    http://www.monde-diplomatique.fr/mav/121/DEFFARGE/47325

    Dans les années 1970, « le fond de l’air est rouge » et les révolutionnaires se battent les armes à la main, de l’Amérique latine à l’Asie. Ils trouvent souvent à Alger une terre d’accueil. Non sans contradictions, comme le relate ce reportage publié dans « Le Monde diplomatique » d’août 1972 et repris (...) / #Algérie, #Palestine, #Vietnam, #Colonialisme, #Guérilla, #Idéologie, #Impérialisme, Mouvement de contestation, #Afro-Américains, Relations Nord-Sud, #Racisme, #Socialisme, #Marxisme, Mouvement de libération - mav/121

    #Mouvement_de_contestation #Relations_Nord-Sud #Mouvement_de_libération #mav/121

  • Entre deux mondes | Ernesto Sábato
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/07/SABATO/20787

    L’écrivain argentin Ernesto Sábato est mort le 30 avril 2011, à presque 100 ans. Jeune physicien atomiste, il abandonna la recherche après Hiroshima, en 1945, pour se consacrer à la littérature… et à la politique. En novembre 1991, il avait confié au « Monde diplomatique » ce texte sur la formation de (...) / Amérique latine, #Espagne, #Colonialisme, #Culture, #Histoire, #Idées, Identité culturelle, #Amérindiens, #Judaïsme, #Littérature, Relations Nord-Sud, #Racisme, Amérique du Sud - 2011/07

    #Amérique_latine #Identité_culturelle #Relations_Nord-Sud #Amérique_du_Sud #2011/07

  • #Migrations heureuses | Benoît Bréville
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/10/BREVILLE/21095

    L’ancien vice-président de la Banque mondiale se soucie désormais aussi de morale : devenu économiste à l’université d’Oxford, Ian Goldin défend l’ouverture des frontières pour des raisons « tant éthiques qu’économiques ». Selon lui, les mouvements de population profitent aux pays d’accueil, à ceux de (...) / Économie, #Immigrés, Migrations, #Mondialisation, Relations Nord-Sud, Protection sociale, #Travail - 2011/10

    #Économie #Relations_Nord-Sud #Protection_sociale #2011/10

  • #Diplomatie de connivence et ordre international | Alain Gresh
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/10/GRESH/21089

    Il n’est pas facile de déchiffrer l’ordre international qui se met en place depuis la chute du camp socialiste et la fin de la guerre froide, même si un « directoire du monde », représenté par le G8, tente de s’affirmer. On sait en revanche qu’il reste profondément injuste, comme le remarque Bertrand (...) / #Capitalisme, #Géopolitique, #Idéologie, #Inégalités, #Mondialisation, Mouvement de contestation, #Mutation, Relations Nord-Sud, Relations internationales, Diplomatie, #Néolibéralisme - 2011/10

    #Mouvement_de_contestation #Relations_Nord-Sud #Relations_internationales #2011/10

  • Dans l’Egypte napoléonienne | Nathalie Carré
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/10/CARRE/21093

    Turbans et chapeaux : des attributs hautement symboliques qui, dès le titre (et soulignés par l’illustration de couverture), disent la rencontre — et l’opposition — de deux mondes autour desquels continue de se construire l’histoire contemporaine. Car on ne soulignera jamais assez combien la (...) / Égypte, #France, #Proche-Orient, #Turquie, Monde arabe, #Colonialisme, #Histoire, #Impérialisme, Relations Nord-Sud - 2011/10

    #Égypte #Monde_arabe #Relations_Nord-Sud #2011/10

  • Etat du monde vu du Sud | Christine Tully-Sitchet
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/10/TULLY_SITCHET/21090

    Suivant les errances méditatives tourmentées du narrateur, le récit questionne, déconstruit, dénonce notre monde. « Je suis l’autre, l’étranger qui contredit la belle affaire de l’humanité (...) ombre de vos inconsciences. » Le texte est hanté par un gecko, métaphore polymorphe. Rusé, agile, condamné à (...) / #Afrique, #Rwanda, #Culture, #Littérature, Relations Nord-Sud, #Racisme, #Madagascar - 2011/10

    #Relations_Nord-Sud #2011/10

  • Ruée sur les terres agricoles au #Mali
    http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2011-12-16-terres-agricoles

    Au Mali, des accords portant sur plusieurs centaines de milliers d’hectares de terres agricoles ont été signés entre le gouvernement et des investisseurs, privés ou publics. Ici comme ailleurs, au détriment des paysans pauvres. Découvrez ce webdocumentaire, signé Philippe Revelli. / #Afrique, (...) / Afrique, #Agriculture, #Agro-alimentaire, #Alimentation, #Faim, #Finance, Relations Nord-Sud, Pauvreté, Mali - La valise diplomatique

    #Relations_Nord-Sud #Pauvreté #La_valise_diplomatique

  • Fausses évidences sur la population mondiale | Gérard-François Dumont
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/06/DUMONT/20659

    #Démographie, que de poncifs on répand en ton nom... Ainsi, la « population mondiale » n’existe pas : elle est un agrégat sans signification, addition de réalités si différentes que l’évoquer revient à mélanger pommes et cerises. / Démographie, Écologie, #Enfance, #Immigrés, #Migrations, Relations Nord-Sud, (...) / Démographie, Écologie, Enfance, Immigrés, Migrations, Relations Nord-Sud, Santé, #Ville, #Géographie, #Environnement - 2011/06

    #Écologie #Relations_Nord-Sud #Santé #2011/06

  • Le temps de la jeunesse arabe | Youssef Courbage
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/06/COURBAGE/20665

    A l’encontre de certaines thèses, le poids des jeunes ne s’est pas traduit par une flambée de l’islamisme. / #Proche-Orient, Monde arabe, #Démographie, #Enfance, #Islam, #Jeunes, Mouvement de contestation, Relations Nord-Sud, #Religion, #Maghreb - (...) / Proche-Orient, Monde arabe, Démographie, Enfance, Islam, Jeunes, Mouvement de contestation, Relations Nord-Sud, Religion, Maghreb - 2011/06

    #Monde_arabe #Mouvement_de_contestation #Relations_Nord-Sud #2011/06