Contra #Chrome : une BD décapante maintenant en version française
▻https://framablog.org/2022/09/08/contra-chrome-une-bd-decapante-maintenant-en-version-francaise
Il y a loin de la promotion du navigateur Chrome à ses débuts, un outil cool au service des internautes, au constat de ce qu’il est devenu, une plateforme de prédation de #Google, c’est ce que permet de mesurer la … Lire la suite
#Dégooglisons_Internet #G.A.F.A.M. #Interview #Libres_Cultures #Libres_Logiciels #capitalisme_de_surveillance #Contrachrome #Framalang #Google_Chrome #Leah_Elliott #remix #Traduction #vie_privée #Zuboff
Valérie Pécresse - Debout (REMIX RETRO)
▻https://www.youtube.com/watch?v=6wyCsKB5KPs&feature=youtu.be
Remix du premier meeting de Valérie Pécresse qui peut aussi servir de sonnerie de réveil 😂Montage par @BONEZI : ▻https://urlz.fr/hxXv Spotify : ▻https://open...
Dans la catégorie #remix_de_candidats à la présidentielle, ça me rappelle
Lionel Jospin Samba - Je dis... aux Françaises et aux Français par La Belle campagne
CHIRAC - Je serai le président de tous les Français (samba #remix )
Mais aussi à quel point l’époque a changé. Avant il fallait un studio et être dans le métier pour pouvoir faire ce genre de parodie.
Jacques « le crooner » et Lionel « le monocorde », rois de la bossa-nova
LES PREMIERS accords ressemblent à une bos- sa-nova de Roberto Gil. Mais la voix, ô surprise, est celle de Lionel Jospin. « Qu’ils sachent ma joie, qu’ils sachent ma fierté », assène en rythme le candidat-chanteur socialiste. « Je dis ma gratitude », poursuit le premier ministre. « Aux Fran- çaises et aux Français », reprend à tue-tête un chœur féminin. Depuis le mercredi 27 février, environ 15 000 internautes ont écouté, sur belle- campagne.net, ce morceau d’une quarantaine de secondes qui deviendra certainement le tube de la campagne présidentielle. A moins qu’il ne soit détrôné par celui de Jacques Chirac qui, sur un autre air de musique brésilienne, mais sans les chœurs, répète en boucle à ses « chers compatriotes » qu’il sera « le président de tous les Français, tous les Français... ».
Que « tous les Français » qui n’ont pas accès à Internet se rassurent : les disques du président de la République (Tous les Français) et du pre- mier ministre (Aux Françaises et aux Français) dont sont extraits les morceaux qui circulent sur le Réseau seront dans les bacs à partir du 18 mars : 2 singles de 3 minutes commercialisés à 50 000 exemplaires au prix de 6 euros par la société EMI. Coup de pub génial ou vaste gag ? « C’est un truc pour se marrer », explique le pro- ducteur, Marc Di Domenico, patron de Lexxos, qui a signé la récente résurrection de Henry Sal- vador avec l’album Chambre avec vue.
A l’origine de la plaisanterie, Malto, musicien et ingénieur du son, décèle « une musicalité dans les voix de Chirac et de Jospin ». Il s’amuse à choisir des extraits des discours du président et du premier ministre après leur victoire respec- tive de 1995 et de 1997, et commence à gra- touiller un air de bossa sur sa guitare. Le candidat socialiste, avec sa « voix monocorde », lui pose plus de problèmes que Jacques Chirac avec sa « voix de crooner », mais ne l’empêche pas d’envoyer, en août 2001, un enregistrement à Lexxos. Bluffé autant qu’amusé, Marc Di Domenico fait appel à un orchestre d’une dizaine de musiciens professionnels pour jouer la musique de Malto et accompagner les voix des deux candidats. « On a traité Chirac et Jospin comme s’ils étaient des grands chanteurs. »
Comme tout artiste qui se respecte, ils auront donc également droit à leur clip – de 2 min. 30 chacun –, que la société Milk espère pouvoir diffuser sur les ondes hertziennes vers la mi-mars , si le CSA le permet. Et c’est Geneviè- ve Gauckler, la réalisatrice des clips remarqués du dernier album de Brigitte Fontaine, qui s’est attelée à la tâche. Reste à savoir si les deux interprètes, dont les équipes de campagne disent ne pas avoir été informées, apprécieront la plaisanterie. « Si ça permet un moment de détente, tant mieux, juge Marie-France Lavarini, la chargée de presse du candidat Jospin, on a besoin d’humour dans une campagne. »
Stéphane Mandard
▻https://scholar.lib.vt.edu/InterNews/LeMonde/issues/2002/monde.20020302.pdf
How Bloghouse’s Sweaty, Neon Reign United the Internet | WIRED
▻https://www.wired.com/story/how-bloghouse-music-united-the-internet
The first thing to know about bloghouse is that, when it all began, nobody called it bloghouse. During its sweaty, neon-slathered 2000s reign you might’ve called it electro, or indie dance, or maybe you didn’t know what the hell to call it. The point is that bloghouse wasn’t a traditional music genre. Was it a fashion trend? The gateway drug to EDM? The mid-aughts equivalent of hair metal? Music was at the core of the thing, but more than being unified by any specific sound, bloghouse was about how you found it: on MP3 blogs, the Hype Machine aggregator, or auto-playing from Myspace pages.
Myspace was many music fans’ introduction to the new landscape of social media. For a half-decade following its founding in 2003, the site was the most-visited social network in the world, and the first popular platform for musicians and wannabe scene celebs to build a following. On Myspace Music, artists could upload tracks, connect with fans, and control their own branding. For free.
On Myspace, musicians could be weirder and more personalized than in an album’s liner notes or on the websites of major labels. Creating a fun profile was a free growth hack, ensuring fans would share an artist’s music to millions of other potential fans. Does It Offend You, Yeah? drummer Rob Bloomfield says of the group, “The stupid name plus the pornographic up-skirt Lolita hentai avatar we used meant that thousands of people put Does It Offend You, Yeah? in their Top 8 friends.” Industry folks quickly came calling, looking to monetize the digital middle finger the band was giving the whole internet.
Myspace knew that its platform was making and breaking careers. The company built out features to keep the momentum up, but it was users who were really pushing things forward. A generation of kids was customizing profile layouts in HTML, adding in a line of code to trigger songs to play automatically. The ability to directly link a song to your personality became a pissing war of coolness, resulting in incalculable free publicity for artists.
This brief moment in music history could never be replicated today. For one thing, the crunchy, MP3-bitrate sound wouldn’t fly now, and after so many years of digital content proliferation neither would writing for free. Even more importantly, maybe, is that the life cycle of a song in the bloghouse generation would not legally be possible. “The entire reason that moment happened and dance music in general got to the level it’s at in the world is because of remix culture and reinterpretation. So much of it was mashups or unofficial remixes outside the bounds of the law,” says Clayton Blaha, a publicist who represented clients including Diplo, Justice, and Fool’s Gold Records.
Bloghouse’s free-for-all tone shifted when MediaFire, a popular file hosting service, cracked down, ensuring that tracks could be hosted only by a song’s owner. As a result, a lot of niche, remixed tracks from the late 2000s survive only in personal Dropboxes. “At the time, you had to know where to look and what site to follow, and [a song] was usually only available by some weird direct download with a low-bitrate MP3 that would expire quickly,” says Ben Ruttner of the Knocks. If you were a dedicated fan at the right place at the right time, you might download the track and preserve it, transferring the file from hard drive to laptop to USB. Some of those don’t-listen-to-this-on-a-fancy-speaker tracks are still lurking like ghosts in the deep corners of the internet.
Now, no one creating music, music criticism, or new communities online is doing so with a blog, let alone feeling like Does It Offend You, Yeah?’s “rockstar” while doing it. Even if the best, most dedicated bloggers came back to start new micro-sites today, the need and the space for independent blogs to push music forward just isn’t there. In fact, traditional media hardly makes a tangible dent in an artist’s career. “A magazine doesn’t fucking matter at all. You could be in 10 magazines, and no one listens to your music. The curatorial power dynamic is now with the streaming services and the algorithms that populate playlists as well as the users that populate playlists,” Blaha says.
Steve Reidell, one half of the Chicago-based mashup duo the Hood Internet, ominously jokes, “Forget bloghouse. If genre names are based off where music was bubbling, next is ‘playlist house.’”
iconfont-阿里巴巴矢量图标库
▻https://www.iconfont.cn/?lang=en-us
Remixicon étant déclaré « à l’arrêt », son développeur principal propose iconfont à la place.
Plein de fonctionnalités super pratiques :
– possibilité de créer (en ligne) sa propre police pour utilisation @font-face (nécessite un compte) à partir d’une sélection d’icônes
– possibilité d’ajouter ses propres SVG à une police
Ce service existe déjà en libre depuis longtemps avec ►https://fontello.com (mais ya pas remix dedans) (mais on peut aussi ajouter les svg qu’on veut)
Partage, remix, culture participative | La Revue - | Observatoire des Politiques Culturelles
▻http://www.observatoire-culture.net/rep-revue/rub-article/ido-1131/partage_remix_culture_participative.html
Hervé Le Crosnier
Dès qu’elle est offerte à l’usage du public, une oeuvre culturelle devient également un fonds commun, un élément d’une culture partagée. C’est avant tout sur les usages, la façon dont ils sont ou non autorisés et les capacités de reproduction ou de diffusion ultérieures par les usagers/lecteurs que nous devons faire porter notre attention. Un regard qui prend en conscience les droits culturels des populations1 autant que les droits des créateurs et créatrices à un revenu et au respect de leur travail. Or, cette approche devient un enjeu majeur pour le partage de la culture dès lors que le réseau informatique mondial permet, pour un coût marginal tendant vers zéro, de rediffuser des oeuvres, de les utiliser dans la construction d’autres oeuvres dites de « remix » ou d’en dériver de nouvelles oeuvres par imitation ou détournement.
#Culture_participative #Remix #Droit_auteur #Hervé_Le_Crosnier
Remix Icon - Open source icon library
►https://remixicon.com
Remix Icon is a set of open-source neutral-style system symbols for designers and developers. Unlike a patchwork icon library, 1400+ icons are all elaborately crafted so that they are born with the gene of readability, consistency and perfect pixels. Each icon was designed in “Outlined” and “Filled” styles based on a 24x24 grid. Of course, all the icons are free for both personal and commercial use.
Jeu d’icônes pour le développement web.
Présente le gros avantage de pouvoir être utilisé comme une webfont (à la fontawesome/glyphicon) ou en tant qu’images SVG individuelle mais aussi sous forme de sprite SVG.
La documentation : ▻https://github.com/Remix-Design/remixicon#usage
#icone #svg #sprite #fontawesome #glyphicon #web_dev #remixicon
LesInrocks - Roman Cieslewicz, un sampleur d’images aux Arts Déco
▻https://abonnes.lesinrocks.com/2018/06/29/arts/roman-cieslewicz-un-sampleur-dimages-aux-arts-deco-111100122
Le musée des Arts décoratifs consacre une rétrospective à l’affichiste mythique.
C’est lorsque l’image envahit les paysages urbains et mentaux que Roman Cieslewicz commence à opérer. Muni de son bistouri, cet œil de lynx tranche avec une précision chirurgicale dans le tissu confus du réel, cette masse visuelle d’affiches, de pubs ou d’emballages qui submergent les sociétés entrées dans l’ère de la consommation. Du kiosque à journaux au fin fond des poubelles, il récolte pléthore d’éléments imprimés, les classe par thèmes et les range dans des boîtes. Il y a les dossiers Œil, Main, Guerre, Mona Lisa, mais aussi Che Guevara, Comics BD, Jaune, Jésus…Voilà pour la méthode maniaque, organisée.
Cette archive quasi encyclopédique, cortex d’images hautes, pop ou surannées, constitue le terreau de sa production graphique, composée de copies altérées, de collages et de photomontages. Né en 1930, héritier de dada, de la tradition affichiste polonaise et du constructivisme russe, Roman Cieslewicz était en fait un DJ avant l’heure. Sa matière première, toujours préexistante, était produite à tout moment, partout. L’artiste la remixait, collait, réarrangeant le flux visuel pour produire affiches de cinéma, de théâtre, couvertures de livres… Durant sa carrière, il collaborera avec Beaubourg, Raymond Depardon, Le Monde, Elle, Opus International, des revues graphiques expérimentales comme Kamikaze. Son œuvre est prolifique et l’exposition en cours au MAD permet d’en saisir l’ampleur et la diversité.
Hygiène de la vision
Débarqué à Paris de Varsovie en 1963, l’artiste avouera avoir été choqué et excité par la surabondance visuelle dans la capitale. Face à cet océan d’images, l’enjeu, dans son cas, était de ne pas être submergé : dompter le flux et sa violence. D’où une œuvre résistante et critique. Souvent noire, blanche et rouge, la production de Cieslewicz tranche par son minimalisme, ses tonalités et motifs ténébreux, presque orwelliens. L’artiste revendiquait une “hygiène de la vision”, compétence primordiale de l’individu postmoderne : élaguer et savoir sélectionner dans un contexte de surstimulation. Roman Cieslewicz a montré la voie.
A travers sa création, il a donné une seconde vie aux images volatiles et inventé autant de signes, signaux, images-messages efficaces pour se repérer. Bien avant qu’internet ne l’entérine, il avait pressenti le nouveau statut des images : circulantes, remaniées. Au sortir de l’expo – et si le syndrome de Stendhal ne nous a pas écroulé au sol –, on se demande bien ce que ce DJ d’images aurait imaginé aujourd’hui. Julie Ackermann
Alors que dire de cette exposition que je viens de visiter ? C’est une très remarquable exposition du travail de Roman Cieslewicz qui a la vertu pédagogique de faire comprendre ses méthodes de travail et c’est assez réjouissant de voir des maquettes, leurs calques et leurs côtes dans les marges avec des annotations de type « au trait » ou « tramé », c’était effectivement comme cela se passait au deuxième millénaire, on aurait vite fait de l’oublier.
En revanche ce qui apparaissait comme le fin du fin dans les années 89 du siècle dernier, les années pendant lesquelles le quotidien Libération régnait sans partage en matière de graphisme dans la presse, et bien tout cela n’a pas si bien vieilli que cela. Alors oui, Roman Cieslewicz avait un sacré coup de ciseau et l’oeil qui allait avec, en revanche, comme de si nombreux graphistes, il avait aussi l’oeil sur la copie de ses voisins de table et aller piquer sans vergogne dans leurs assiettes.
Il y a une très lourde insistance dans le parcours de cette exposition pour qualifier son travail de politique, je trouve la chose un peu lourdingue et pas particulièrement vraie, et surtout disons que le maniement de symboles du nazisme dans les années 70 ou 80 comme vocabulaire graphique, c’est comment dire ? Un peu daté et simpliste, quand ce n’est pas ouvertement manichéen.
En revanche, un peu énervé par le prix exorbitant du billet, onze euros tout de même, je me suis dit que je devrais essayer de rentabiliser un peu le forfait et je découvre donc à l’âge de 53 ans que le musée des arts décoratifs à Paris (dans lequel je suis allé un certain nombre de fois pour y visiter des expositions temporaires), compte dans ses collections permanentes quelques trésors insoupçonnés et insoupçonnables, un petit Cranach tout mignon et une très belle bataille, le siège de je ne sais plus château, par Uccello, et une myriade de petites sculptures du moyen âge, notamment un polyptique de la passion du Christ avec incrustées, telles des vignettes les sept plaies de la Vierge comme des rappels du parcours du Christ pour arriver à la septième plaie très étonnant.
Je n’ai pas vu l’expo mais oui, je suis d’accord sur le fait qu’on a généralement qualifié abusivement le travail de Cieslewicz de politique.
@odilon Entre autres raisons qui me rendent difficile de qualifier son travail de politique c’est que le traitement graphique des sujets est presque toujours le même, quel que soit le sujet ou quel que soit le contexte, que ce soit pour le magazine Elle , pour des couvertures de livre (la collection 1018 par exemple), des affiches de spectacles ou des unes de Libé, tout étant au même niveau graphique, on ne peut faire autrement que d’y voir un geste décoratif et donc sans profondeur et encore moins un engagement politique.
Bien vu !
J’avais noté cet article pour la question du Remix : une large part de la création provient de la reprise d’éléments graphiques, textuels ou audio venant d’autres auteurs. Qu’un grand musée mette cela en avant alors même que les formes nouvelles du remix sont méprisées et rejetées par les extrémistes du droit d’auteur, me paraît significatif.
Comme quoi, chaque lecture porte un angle différent, et c’est l’ensemble qui fait un véritable regard.
La Parisienne Libérée : « Les zadistes »
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/100218/la-parisienne-liberee-les-zadistes
« J’ai vu ici combien vous êtes engagés pour construire la commune » Profitant du #carnaval, le président se déguise en grenouille et adresse un discours passionné aux habitants de la #ZAD : les zadistes sont courageux, les zadistes sont formidables, les zadistes sont sensibles, les zadistes sont uniques !
#France #Aéroport #Macron #musique #Notre-Dame-des-Landes #remix
Le Remix selon Google ou la culture web digérée par la novlangue – – S.I.Lex –
▻https://scinfolex.com/2018/01/03/le-remix-selon-google-ou-la-culture-web-digeree-par-la-novlangue
par Calimaq - Lionel Maurel
Après le rachat récent de Shazam par Apple ou l’union entre Spotify et le chinois Tencent, cette nouvelle annonce pourrait paraître ne constituer qu’une grande manoeuvre parmi d’autres sur le front de la musique en ligne. Mais c’est le nom que Google souhaite donner à ce nouveau service qui m’a fait bondir : YouTube Remix…
Pour ceux qui s’intéressent un tant soit peu à la culture web, le mot « remix » est chargé d’un sens très particulier. Il renvoie à ce qui a longtemps fait la spécificité des usages en ligne : la culture transformative par laquelle les internautes s’emparent des oeuvres préexistantes pour produire leurs propres créations. C’est le domaine du remix, du mashup, du fanart et des fanfictions, des détournements, des parodies ou des mèmes. Or le fait que Google choisisse de baptiser « Remix » un service de streaming musical payant est tout sauf anodin. C’est à travers les mots eux-mêmes que les batailles culturelles se livrent et Google, le grand maître du « capitalisme linguistique », ne peut l’ignorer.
Le streaming peut donner une illusion d’abondance et d’accès immédiat à la culture, mais il constitue en réalité une régression dans la possibilité de s’approprier les oeuvres, au sens fort du terme. Il incarne un retour à cette culture du « Read/Only » (ou plutôt « Ear/Only ») qui était l’apanage de la radio et que les industries culturelles tentent depuis des années de restaurer pour enterrer les sulfureux P2P ou Torrent. Mais c’est bien la passivité et le retour à une pratique de consommation qui caractérisent l’utilisateur de streaming. Sa marge de manoeuvre se résume à constituer des playlists et à s’abonner à l’offre Premium des plateformes pour pouvoir écouter sa musique confortablement sur son smartphone…
De manière intéressante, un autre géant numérique a aussi conclu au mois de décembre un accord avec Universal, mais dans un esprit assez différent. Il s’agit de Facebook qui annonce avoir obtenu une licence mondiale pour « couvrir » l’usage des musiques du catalogue d’Universal par les utilisateurs de Facebook, Instagram et même Oculus VR lorsqu’ils souhaitent « personnaliser » leurs publications. Les termes de l’accord ne sont pas très clairs, mais cela semble vouloir dire que les musiques pourront être utilisées pour illustrer des vidéos. Il ne s’agira donc pas d’une « légalisation » complète des usages transformatifs, mais c’est tout de même un pas effectué dans cette direction. Ce type de dispositif contractuel fait un peu penser à l’accord conclu au début de l’année entre Apple, Spotify et l’intermédiaire Dubset pour que les DJ puissent légalement diffuser et vendre leurs remixes via ces plateformes.
Licences globales privées
Ce type de partenariats peuvent paraître à première vue mieux pensés que le YouTube Remix de Google, mais je ne pense pas qu’il faille pour autant s’en réjouir. Ce que Facebook est en train d’accomplir constitue en réalité une sorte de « licence globale privée » qui va lui permettre de se transformer en une zone de partage et de création transformative « tolérée », sur la base d’un privilège que lui accordent les industries culturelles. Or ce type d’accord ne peut à terme que renforcer la position dominante de Facebook ou d’autres firmes comme Apple ou Google, car seuls les plus gros sont en mesure d’arriver à conclure ce type de partenariats avec les ayants droit.
On comprend dès lors pourquoi Google peut avoir l’arrogance d’appeler son service de streaming « Remix », alors qu’il s’agira de l’exacte antithèse de ce que le remix signifie du point de vue des pratiques culturelles. Cela revient à utiliser la stratégie de la novlangue pour « digérer » lexicalement la spécificité de la culture web et la vider de ses potentialités émancipatrices. Heureusement, ce n’est sans doute pas la fin pour les pratiques transformatives et cela pourrait même constituer le meilleur moyen pour elles de retrouver leur sens. Le verrouillage progressif des grandes plateformes obligera en effet les internautes à revenir à des moyens décentralisés ou auto-gérés de diffusion de la culture participative. Nous arrivons au stade où seule une réappropriation de la maîtrise des infrastructures permettra à cette culture de garder un sens et ça tombe bien, car des acteurs comme Framasoft entretiennent encore l’espoir qu’une alternative est possible (voir leur projet Framatube).
#Remix #Culture_participative #Google #Propriété_intellectuelle #Robotcopyright #Capitalisme_linguistique
Musique. Gabba Gabba Hey ! Dans l’intimité des Ramones
par Philippe Richard
Leave Home, deuxième album du fondamental groupe punk américain est luxueusement réédité 40 ans après sa sortie. Entretien avec Ed Stasium, ingénieur du son et producteur favori des quatre faux frères, qui a supervisé l’affaire.
Comment a commencé votre collaboration avec les Ramones ?
Je travaillais depuis quelques années comme producteur. En 1976, j’étais à Montreal. Mais mon ami Tony Bongiovi m’a appelé pour rejoindre l’équipe qui allait monter le studio Power Station à New York. En attendant que ce studio ouvre, il était entendu qu’ils me proposent des « missions », dans un petit studio généralement utilisé pour des publicités, le Sundragon, à New York également. J’ai commencé par ce deuxième album des Ramones.
Vous les connaissiez ?
Non. Ils avaient sorti leur premier album en avril, mais j’étais au Canada, à enregistrer du soft rock ou des gens comme Robert Charlebois…
Vous n’arrivez que le deuxième jour de l’enregistrement de Leave Home, en septembre 1976 ?
J’avais des problèmes de dernière minute à régler avec le studio canadien. Bob Clearmountain, qui était également dans l’aventure Power Station a assuré les prises le premier jour. Les bases de cinq chansons étaient déjà faites quand je suis arrivé. Ce deuxième jour, on en a mis dix en boîte..
C’est beaucoup, non ?
En studio, les Ramones arrivaient parfaitement préparés. Tout l’enregistrement n’a duré que six ou sept jours. Johnny (le guitariste) tenait ses troupes et était très tatillon sur cette discipline à avoir en studio, mais le vrai architecte des Ramones était Tommy (le batteur).
Son rôle est sous-estimé ?
Totalement. Du concept des Ramones, de leur style jusqu’à leurs chansons : pas de solos, des chansons courtes, des riffs simples. Tommy a été essentiel. Il avait déjà travaillé dans un studio. C’est le seul à avoir été présent sur toutes les prises. Johnny, une fois que ses parties guitares étaient jouées, il partait.
Il ne joue pas toutes les parties guitares ?
Johnny était un spécialiste. Une fois qu’il avait fait son job, les parties principales, il ne voulait pas s’embêter. Tommy et moi avons joué les overdubs et les arrangements.
Tony Bongiovi et Tommy Ramone sont crédités comme producteurs, pas vous..
Je revendique de l’avoir été. Mais bon, ça a été l’arrangement de l’époque.
Vous vous êtes tout de suite entendu avec les Ramones ?
Oui. On a un peu le même background, on venait de banlieues ouvrières. Et je jouais de la guitare, en préférant moi aussi le feeling à la technique pure. Avant d’être ingénieur du son et producteur, j’ai pas mal tourné dans les clubs. Mais il ne faut pas s’y tromper. Les Ramones étaient d’excellents musiciens. Le style de Johnny est marquant. Joey était capable de parfaitement doubler ou harmoniser sa voix, sans avoir besoin de plusieurs prises.
Vous vous êtes très vite intégré à la scène du CBGB, le club qui a abrité la scène punk/new wave new-yorkaise…
Ça a été une période fantastique. En 1977, j’ai aussi enregistré Rocket To Russia , le troisième album des Ramones et le 77 des Talking Heads, qui étaient aussi sur le label Sire
Sentiez-vous les tensions dans le groupe ? Notamment entre Joey le libéral et Johnny le conservateur ?
Je n’ai jamais senti de tension entre eux en studio. Ils laissaient leurs conflits à la porte du studio. Les drogues aussi, je n’ai jamais vu Dee Dee (le bassiste) arriver avec de la dope en studio. Les seules frictions auxquelles j’ai assisté ont été entre Johnny et Phil Spector, sur l’album End of the Century (1980), sur lequel je n’étais qu’ingénieur du son. (Selon une anecdote fameuse, Spector a sorti un de ses flingues chéris pour intimider le groupe et imposer sa vision de l’album).
Pour revenir à Leave Home , pourquoi était-il utile de remixer l’album ?
Dès que l’on a fini, on s’est tous dit qu’il y avait trop de reverb, que le son n’était pas assez frontal. Il faut dire qu’à l’époque, je n’avais pas encore vu les Ramones en live. Je ne les ai vus au CBGB qu’après le mix final. Je n’avais pas pu mesurer la puissance de leurs concerts. Dans le remix du 40e anniversaire, on a enlevé de la reverb, et remit les gutares de Johnny au centre, alors qu’elles étaient balancées sur les côtés du spectre du son.
La réédition contient de nombreux titres bonus. Lesquels préférez-vous ?
Ils sont basés sur des bandes studio que j’avais gardées depuis 1976. Ce sont des versions de travail et des mix alternatifs. J’aime particulièrement le mix ave les chœurs doo woop de You’re gonna Kill That Girl , avec les harmonies vocales au début.
Une chanson, Carbona not Glue avait dû être retirée de l’album ?
Oui, en raison d’une menace de plainte de la société de produits ménagers Carbona (il est vrai que la chanson parle d’un jeune homme qui préfère sniffer des produits Carbona plutôt que de la colle…)
▻https://www.youtube.com/watch?v=vyEEdcow2vE
Sur la version européenne, il avait été remplacé par la chanson Sheena is a Punk Rocke r. Elle a été enregistrée dans le même studio ?
Oui, un peu plus tard. Le patron de Sire a senti que ce pouvait être un single (elle reste une des chansons les plus fameuses des Ramones).
Vous avez également remixé l’album suivant Rocket to Russia ?
Il a été enregistré au studio Power Station. Autant Sundragon était un placard à balais, autant le Power Station avait une salle très grande, avec un haut plafond et beaucoup de reverb naturelle. L’album a été enregistré live. J’ai fait un remix alternatif en enlevant tous les overdubs pour retrouver la force de ces instants. Un remix back to basics.
(PS : Rocket to Russia était sorti en novembre 1977. La date de la réédition n’est pas encore connue. D’ici à la fin de l’année ?
Vous avez travaillé comme ingénieur ou coproducteur sur six albums (1) des Ramones de 1976 à 1980. Puis n’êtes revenus que pour Mondo Bizarro , en 1992. Pourquoi votre collaboration s’était-elle interrompue ?
On est toujours restés amis. C’est plutôt la maison de disques qui souhaitait les voir travailler avec d’autres producteurs….
(1) Leave Home (1977), Rocket to Russia (1977), Road to Ruin (1978), Rock’n’roll High School (1979), It’s Alive (1979), End of the Century (1980).
Le coffret du 40e anniversaire de Leave Home comprend 3 cd et un vinyl. On y retrouve les versions originelles et remastérisées, ainsi qu’un Cd de bonus. Le vinyl présente la version remixée et remastérisée. Rhino/Universal. Entre 45 € et 50 €. L’album contient de nombreuses chansons emblématiques du groupe, dont Gimme Shock Treatment, Suzy is a Headbanger, ou Pinhead, sur laquelle Dee Dee Ramone lance le fameux Gabba Gabba Hey !, l’une des interjections fétiches des Ramones (avec Hey Ho Let’s Go, et One Two Three Four pour introduire les morceaux qui partent en trombe).
Parallèlement, les éditions Futuropolis viennent de sortir la BD One Two Three Four Ramones de Cadène, Béteaucourt, Cartier, (95 p, 20 €), soit le parcours des Ramones, sur les pas de Dee Dee Ramone, le bassiste toxicomane. Mieux vaut connaître un peu le sujet, car il y a quelques raccourcis. Mais pour les amateurs des Ramones, c’est un must.
Les Ramones ont été en activité de 1974 à 1996. Aucun des membres originels n’est encore en vie.Joey Ramone (Jeffrey Ross Hyman)est décédé en 2001, victime d’un lymphome, à l’âge de 49 ans.Dee Dee Ramone (Douglas Glenn Colvin) est décédé en 2002, d’une overdose, à l’âge de 50 ans.Johhny Ramone (John William Cummings)est décédé en 2004 d’un cancer de la prostate, à l’âge de 55 ansTommy Ramone (Thomas Erdélyi) est décédé en 2014, à l’âge de 65 ans.
Le deuxième batteur du groupe, Marky Ramone (Mark Bell), se produit toujours sur scène, sous son nom. Il a 61 ans.
#Ramones #remix #CBGB
▻http://www.ouest-france.fr/culture/musique-gabba-gabba-hey-dans-l-intimite-des-ramones-5192569
▻https://www.discogs.com/fr/Ramones-Leave-Home/release/663086
Phil Spector obituary
▻https://www.theguardian.com/us-news/2021/jan/17/phil-spector-obituary
▻https://www.youtube.com/watch?v=SZjEZpm8L90&list=PLdHL2tfhDRp3HWO095EPtaRd1DlE69K6x
Le producteur Phil Spector est mort... en prison
▻https://www.fip.fr/rock/le-producteur-phil-spector-est-mort-18693
#phil_spector
Hormis la pertinence du programme de La France Insoumise, c’est une bien absurde campagne où se distingue la fumisterie #Macron, nouveau champion des milieux d’affaires.
Programme vide. Marketing jeuniste. Enfumage mystico-ésotérique…
Poulain de Rothschild et d’Attali, candidat ni de gauche, ni de gauche, Macron est le énième avatar de la droite ultra-libérale et antisociale…
►http://www.polemixetlavoixoff.com
▻http://polemix.dooz.org/presidentielle2017macron.mp3
#radio #CanalB #Mash_up #remix #présidentielle_2017
▻http://www.canalb.fr/polemix
Emmanuel Macron, la finance et le pouvoir. Les vieux habits de l’homme neuf
Étroitement associé à la politique économique du président François Hollande, le candidat du mouvement En marche ! se présente pourtant comme un homme « hors système », loin des partis et des coteries. Cautionnée par la presse, la métamorphose de M. Emmanuel Macron en évangéliste politique masque mal la trajectoire banale d’un technocrate dont l’entregent lui a permis de brûler les étapes.
Les guerriers de la nuitdebout ▻https://soundcloud.com/djzentao/davidzentao-les-guerriers-de
#sounddesign #illustrationsonore #remix #nuitdebout #davidzentaoJenny Everywhere, première super-héroïne du domaine public
▻http://romainelubrique.org/jenny-everywhere-bd-domaine-public
Les super-héros ont de super-pouvoirs, mais ils ne peuvent généralement rien contre ceux du droit d’auteur. Sauf lorsque l’on s’appelle Jenny Everywhere, étonnante pionnière libre de l’histoire de la BD.
« ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Bob_Kane »
« ▻https://en.wikipedia.org/wiki/Barbelith »
« ▻http://theshifterarchive.com/shifter-archive-showcase-steven-wintle »
« ▻http://www.jennyeverywhereday.com »
« ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Tigre_(groupe) »
« ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Quatre_Fantastiques »
« ▻http://jennyeverywhere.net/images/swjenny01 »
« ▻http://theshifterarchive.com/whois »
« ▻http://theshifterarchive.com »
« ▻http://theshifterarchive.com/comic-stories »
« ▻http://fg-arcadia.blogspot.fr »
« ▻http://issuu.com/arcadiagraphicstudio/docs/jennyeverywhere2 »
« ▻http://arcadiagraphicstudio.blogspot.fr/2014/03/bd-bonus-online-jenny-everywhere-dans.html »
« ▻http://randomnerds.com/learn-to-draw-cartoons-with-the-now-public-domain-famous-artist-cartoon »
« ▻https://en.wikipedia.org/wiki/Famous_Artists_School »
« ▻http://tsdr.uspto.gov/#caseNumber=78356610&caseType=SERIAL_NO&searchType=statusSearch »
« ▻http://pdsh.wikia.com/wiki/Public_Domain_Super_Heroes »
« ▻http://www.comicvine.com/public-domain-characters/4015-55750 »
« ▻http://jennyeverywhere.net/images/swjenny02 »
« ▻https://twitter.com/ShifterArchive »
« ▻https://www.youtube.com/watch?v=eq-0Q3jwLsQ
Romans d’hier, couvertures d’aujourd’hui
▻http://romainelubrique.org/couvertures-livres-domaine-public
Cent classiques de la littérature anglo-saxonne magnifiquement rhabillés par des créateurs contemporains. C’est permis, c’est domaine public !
/ #remix
« ►http://framabookin.org »
« ▻http://ebookenbib.net »
« ►http://noslivres.net »
«
JUST SURF THE NET - Melody Sheep
▻https://www.youtube.com/watch?v=2rEuie5lpGA
hahah nan mais oh ?! ▻https://www.youtube.com/watch?v=tE1HDSipRxU
(c’est terrible mais steeve irwin a fini par se faire tuer par une des bestioles qu’il emmerdait)
▶ Im New Here - Gil Scott-Heron and Jamie XX - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=rm4zJSyxlOQ&list=PLA9125DD206BC56AB
« Vous trouvez ce titre ou cet article totalement insensé ? Partagez le ! »
▻http://www.actu-jour.fr #presse #absurde #remix
Le livre Flatland, un bel exemple d’innovation dans l’édition
▻http://romainelubrique.org/livre-edition-innovation-flatland-domaine-public
Qui a dit que le secteur du livre était sinistré ? Certainement pas ce projet et ses lecteurs !
« ▻https://www.actualitte.com/economie/pas-d-auteurs-pas-de-livres-mobilisation-historique-de-tous-les-createur »
« ▻https://www.actualitte.com/usages/realite-du-piratage-de-livres-numeriques-en-france-l-alarme-des-auteurs- »
« ▻https://juliareda.eu/events/newauthors »
« ▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Flatland »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Edwin_Abbott_Abbott »
« ▻https://archive.org/details/flatlandromanceo00abbouoft
Fantômas : Ayants droit 1 #festival du domaine public 0
▻http://romainelubrique.org/fantomas-louis-feuillade-droit-auteur
Comment et pourquoi nous avons dû annuler à la dernière minute l’un des événements phares du festival du domaine public.
« ►http://festivaldomainepublic.org »
« ▻http://festivaldomainepublic.org/fantomas-shoi-gaite-lyrique-30-janvier.html »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Feuillade »
« ▻http://extrasystole-music.blogspot.fr/2011/05/fantomas.html »
« ▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vampires_%28film%29 »
« ▻https://archive.org/details/LesVampires1915DirectedByLouisFeuillade
Réforme du #droit_d'auteur : le Parlement européen doit suivre le rapport Reda ! | La Quadrature du Net
►http://www.laquadrature.net/fr/reforme-du-droit-dauteur-le-parlement-europeen-doit-suivre-le-rapport-
Tirant le constat des nombreux problèmes d’harmonisation qui subsistent au niveau européen et de l’inadaptation de l’actuelle directive face à l’évolution des usages, l’eurodéputée Julia Reda (Verts/ALE – DE) propose dans son rapport d’agir sur divers leviers permettant de renforcer les droits des utilisateurs. Elle incite notamment à promouvoir le #domaine_public, en ramenant la durée des droits de 70 à 50 ans après la mort de l’auteur. Elle demande également à ce que les exceptions au droit d’auteur figurant dans l’actuelle directive deviennent toutes obligatoires, de manière à ce qu’aucun citoyen de l’Union ne soit lésé par une législation nationale trop restrictive.
Pour libérer les usages innovants, Julia Reda propose d’élargir certaines des exceptions existantes. En ce qui concerne le droit au #remix, #mashup et autres usages transformatifs, elle invite à rendre applicable l’exception de citation dans le domaine #audiovisuel, ainsi qu’à admettre l’exception de parodie pour des créations non-humoristiques. Dans le domaine de la #recherche et de l’#enseignement, Julia Reda propose d’élargir l’exception pédagogique actuellement existante et d’introduire une nouvelle exception en faveur de l’exploration de données (Text et #Data_Mining). Elle demande également à ce que les bibliothèques puissent mettre à disposition des œuvres sous forme numérique, dans le prolongement de leurs missions traditionnelles d’accès à la #culture.
Aristide Maillol est entré dans le domaine public !
▻http://romainelubrique.org/aristide-maillol-domaine-public
L’entrée du grand sculpteur dans le domaine public : une formidable occasion de tout faire avec ses magnifiques sculptures du jardin de Carrousel, ou presque.
/ #vidéo, #remix, #planet, #numérisation, #festival
« ►http://www.aventdudomainepublic.org/maillol »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Dina_Vierny »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Jardin_du_Carrousel »
« ►http://www.artnet.fr/magazine/portraits/GERGORIN/Dina%20Vierny.asp »
« https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/ed/Aristide_Maillol_-_L%2527Air_-_Plomb_-_1938.jpg »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnie_g%C3%A9n%C3%A9rale_a%C3%A9ropostale »
« ►http://festivaldomainepublic.org/antoine-de-saint-exupery-bookscanner-26-janvier.html »
« ►https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Maillol_photography_campaign_december_2014 »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikimedia_Commons »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Rodin »
« ►http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Aristide_Maillol&oldid=110415211 »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Aristide_Maillol »
« ►http://festivaldomainepublic.org/maillol-photographie-18-janvier.html »
« ►http://festivaldomainepublic.org »
« ►https://rallye-photo-maillol-18-janvier.eventbrite.fr »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Fanny_Viollet »
« https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/61/Les_Trois_Gr%25C3%25A2ces_Maillol_3.jpg »
« ►http://www.123dapp.com/catch »
« ►http://www.123dapp.com/catch/2014-12-31-10-39-26/3272885 »
« ►http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/01/09/domaine-public-camille-claudel-en-3d-sur-ta-cheminee_971343 »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_moral »
« ►http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/03/14/poser-sur-les-maillol-des-tuileries-peut-couter-tres-cher-meme-si-l-on-est-l »
« ►http://poupeetsoso.hautetfort.com/archive/2009/07/03/un-peu-de-vandalisme-n-a-jamais-fait-de-mal.html »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Licence_CC0 »
« ►http://www.framablog.org/index.php/post/2011/05/25/impression-3D-attention-danger »
« ►http://fr.wikipedia.org/wiki/Terry_Richardson_%28photographe%29 »