The Banshee Screams For Buffalo Meat, Carnival Moon, 59:56, May 29, 2014
▻https://m.soundcloud.com/carnivalmoon/thebansheescreamsforbuffalomeat
Titre inspiré par le nécrologiue de Hunter S. Thomson pour Oscar Zeta Acosta.
The Banshee Screams For Buffalo Meat, Carnival Moon, 59:56, May 29, 2014
▻https://m.soundcloud.com/carnivalmoon/thebansheescreamsforbuffalomeat
Titre inspiré par le nécrologiue de Hunter S. Thomson pour Oscar Zeta Acosta.
FÉVRIER
On fait du rap c’est pas le même jeu
Peu d sentiments on a pas le même coeur
Comprends le vice alors qu on parle même pas
J suis devant le vide qui sépare nos âmes
4 pyramides dans le losange
40 milli dans le dosage
Bientôt dix ans dans le blizzard
Cherche la roue qu’il faut briser
J’ai pas tout appris seul
J’ai pas trop apprécié toutes les flammes et la brume
vie facile comme les tass de la nuit
J vibre bas quand je marche dans les traces de la bête
Et qu’elle tombe dans mes bras
Il pleut fort c’est l’averse dans les draps
J’ai les formes et le fond dans mes phrases
Mes démons dansent une ronde quand je gratte
Coeur
piquant comme un roncier
comme un trident dans le dos
Fais ça en trimant dans le teum
Trop de paraitre l ame est salie
Fais ma sselia et puis salut
Mecra dix grammes inspi s’allume
Aggrandis le lag
Grandis dans le silence
Normal me sens si seul
Gore
comme l’odeur de la galette
Tox et doses dès la quinzaine
Nuits blanches
et réveils à quinze heures
Frères et dpoto accusés
couteaux salis dans la cuisine
Frigo vidé comme les poches
Coeur glacé comme en février
Plus d feuille je laissais trop de tâches d’encre
Toujours Al mais bien souvent trop absent.
Écouter Février par EXO sur #SoundCloud
Destin 2.
Écouter Destin 2 par EXO sur #SoundCloud
NotTobi/soundcloud-dl : Extension for downloading SoundCloud tracks
▻https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/soundcloud-dl
Extension Firefox pour télécharger les contenus diffusés par SoundCloud
Le repo Github : ▻https://github.com/NotTobi/soundcloud-dl
This Add-on allows you to easily download tracks off of SoundCloud, by the press of a button. Unlike other Add-ons, this does not use any 3rd party services to perform the download - only SoundCloud’s own APIs. No links or redirects to sketchy sites needed!
When you hit ’Download’, we will set the appropriate metadata information: Title, Artists, Album and Artwork. If the track is downloaded as part of an album, we will also set the track number.
#soundcloud-dl #extension #Firefox #soundcloud #download #open_source
Connaissez-vous Radio Rance, la radio de sévices publics ?
Alors qu’une partie des agences de communication semble entraînée dans une frénétique course aux podcasts, on trouve dans les limbes de l’internet, c’est-à-dire sur #Soundcloud, une espèce de radio pirate pastichant la Culture avec un grand Q servie depuis quarante-cinq ans par Radio France.
Depuis sept ans, un mystérieux collectionneur découpe des bouts de ces émissions financées par le contribuable et, à bien des égards, c’est bien plus intéressant que les ronds de jambes de Léa Salamé et Nicolas Demorand. Rendez-vous sur
pour écouter la bande-son des années Gauloiseries.
Source : Bester ▻https://gonzai.com/produit/gonzai-n34-special-graphisme-pop
▻https://soundcloud.com/radiorance2/le-12-12-2012-a-douze-touze
Écouter Mythos 2109 #2 : « Les mille chemins de Denez Prigent, -Mil Hent- » par En Roues libres sur #SoundCloud
▻https://soundcloud.com/alexenroueslibres/2-denez-prigent
Denez Prigent s’inquiète de la disparition de la langue bretonne qu’il voit comme une racine[88], aussi bien dans ses albums] que lors d’interviews :
« J’appartiens à une génération dont les grands-parents ont énormément souffert sur le plan culturel. Le temps n’est pas si loin où l’Église interdisait de chanter. Et aujourd’hui, je souffre de vivre dans un pays qui se pose en grand défenseur des droits de l’homme, alors que les cultures des "minorités" (Corses, Basques, Bretons...), la pratique de leurs langues continuent d’être bâillonnées. Avoir un enracinement authentique, une véritable identité, est une garantie de tolérance et d’ouverture »
La nature et le chemin
Pour Denez Prigent, préserver la nature en Bretagne est aussi important que préserver les traditions. Ainsi, dans An hentoù adkavet (« Les chemins retrouvés »), il rend hommage aux marcheurs qui parcourent la Bretagne en chantant, tout en regrettant qu’il n’y ait plus de place sur les routes, désormais, que pour les voitures. An hentoù splann (sur l’album Mil Hent), reprend ce thème avec des paroles semblables mais avec une musique différente. De même, Ar gwez-sapin, une chanson sur le remembrement, critique le remplacement des arbres feuillus traditionnellement présents en Bretagne par des résineux, ce qui fait perdre aux paysages leur spécificité, et établit à nouveau le même lien : « celui à qui on fait oublier sa culture oublie un jour sa nature ». Sur l’album Mil Hent, il questionne l’implantation d’éoliennes (Ar roudoù avel), tueuses d’oiseaux.
Le mal-être que Denez Prigent ressent à vivre en ville est développé dans E trouz ar gêr, qui se termine en annonçant la fin du monde, et dans Melezourioù-glav (« Miroirs de pluie »), où il retrouve un espoir dans le dernier élément naturel qui reste : la pluie. À défaut de trouver la nature autour de lui, l’auteur la garde dans sa mémoire (Kereñvor). Il finit par retourner vivre à la campagne, comme il le raconte dans Sarac’h.
Hent-eon reprend le thème de l’harmonie avec la nature, jusque dans la mort. Le narrateur demande à être enterré dans un chemin d’écume pour y connaître éternellement le rythme du flux et du reflux, veillé par sa véritable famille : la pluie, les oiseaux, le vent, la mer. Le thème du chemin et du voyage sont aussi très présents, avec Beajet ’m eus, Va hent ou Hent noazh.
Cette conviction trouve une variante dans Geotenn ar marv (« L’herbe de la Mort »), où Denez Prigent dénonce l’utilisation d’organismes génétiquement modifiés en agriculture. Pour lui, il n’y a pas de sens à chanter en breton sur une terre dénaturée par cette herbe de la mort que sèment ceux qui « ont changé sans le moindre regret ce qui ne pouvait être changé »
Écouter 1 - Yan Fanch Kemener - Collecte bretonne par La Parole errante sur #SoundCloud
▻https://soundcloud.com/radio-egalite/28-juillet-yan-fanch-kemener
Aux Etats-Unis, la justice se mêle des faux abonnés sur les réseaux sociaux
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/01/31/aux-etats-unis-la-justice-se-mele-des-faux-abonnes-sur-les-reseaux-sociaux_5
« C’est la première fois qu’un organisme chargé de faire respecter la loi pose comme illégal le fait de vendre du faux engagement sur les réseaux sociaux », s’est félicitée la procureure de New York. Des sociétés qui vendaient de faux abonnés à des utilisateurs des réseaux sociaux se sont engagées auprès de la justice à ne plus recommencer, dans le cadre d’un accord à l’amiable qui pose pour la première fois l’illégalité de ce genre d’activités. La société Devumi et trois autres sociétés dirigées par German (...)
#Like #LinkedIn #Twitter #SoundCloud #YouTube #bot #manipulation #marketing
Netflix, Spotify, YouTube, Apple Music vs RGPD : les géants du streaming attaqués en justice
▻https://www.numerama.com/politique/456428-netflix-spotify-youtube-apple-music-vs-rgpd-les-geants-du-streaming
Une association reproche aux principales plateformes de streaming de ne pas respecter le RGPD. C’était cousu de fil blanc. Après une première salve juridique déclenchée en 2018, un nouvel assaut contre les géants du net, accusés de ne pas respecter les droits des internautes, vient d’être engagé par Maximilian Schrems. Et qui dit nouvelle année dit nouvelles cibles. Pour 2019, le juriste et activiste autrichien a dans le collimateur huit entreprises proposant du streaming. Vous connaissez (...)
#Apple #Google #Amazon #Amazon's_Prime #SoundCloud #Spotify #YouTube #terms #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) (...)
##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##Netflix
//c1.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/01/youtube-vs-europe.jpg
La guerre du son dans l’industrie musicale : le dessous des cartes par Benjamin Sire 26 Juillet 2018 - le figaro
▻http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/07/26/31003-20180726ARTFIG00239-la-guerre-du-son-dans-l-industrie-musicale-le-des
Depuis plus de trente ans, une impitoyable guerre mondiale se déroule à l’ombre des studios d’enregistrement et de radiodiffusion, la « Loudness war » ou guerre du volume. Elle aura fait de très nombreuses victimes innocentes qui pour certaines n’ont même pas conscience du préjudice qu’elles ont subi. Les principales d’entre-elles sont nos oreilles, la qualité et la profondeur sonore des productions musicales, et enfin, comme en plusieurs domaines de ce monde, la nuance. Heureusement, par la grâce de nouvelles normes imposées par les plateformes de streaming et différentes autorités, une salutaire marche arrière est en train de s’opérer qui tend à davantage honorer les oreilles mélomanes.
Du gros son à la bouillie sonore sous l’effet de la concurrence
Ce conflit souterrain est né au terme des années 1970 dans le monde ultraconcurrentiel des #radios et s’est particulièrement intensifié partout avec le développement incontinent des stations #FM. En résumé, à l’aide de compressions barbares et autres ruses d’ingé-sioux, les radios musicales n’ont eu de cesse de pousser le volume global de leur diffusion pour sonner « plus fort » que le voisin et ainsi mieux hameçonner l’auditeur. Hélas, subissant le diktat des radios, les musiciens et les studios d’enregistrement et de mastering (qui préparent et étalonnent le mixage avant pressage ou diffusion) ont suivi la mode et le volume des productions a augmenté de manière exponentielle au fur et à mesure que les années passaient. Seul problème, à l’heure du numérique, dont le seuil des 0db full scale ne peut être dépassé, cette augmentation du #volume s’est effectuée à base de limitation et de #compression ramenant les passages plus doux des titres au niveau des passages les plus forts, supprimant ainsi l’essentiel de la #dynamique et de la profondeur et élimant certains des instruments ressortant les plus forts dans le mix, comme les batteries. Quand l’artiste saborde lui-même son travail
Mais revenons à nos moutons qui paissent tranquillement à l’ombre des studios. Quand, comme votre serviteur, on œuvre depuis plus de vingt ans dans les méandres du son, à la fois dans la composition, le #mixage et le #mastering, il est une phrase qui revient sans cesse dans le processus de finalisation d’un morceau : « je veux du gros son » . Cette injonction déplaisante aux oreilles reprend l’idée relativement absurde selon laquelle, plus c’est fort, mieux c’est. La « loudness war », dont la plupart des musiciens ignorent l’origine, est tellement ancrée dans les mœurs que les artistes en viennent souvent à préférer massacrer leur propre travail plutôt que de le voir souffrir d’une déficience d’un pauvre petit db au regard du travail de la concurrence. La peur de n’être pas adoubés par les radios ou de voir leurs amis auditeurs monter le volume d’écoute par rapport à une production standard précédemment écoutée conduit à toutes les compromissions. (Ce qui est d’autant plus risible que les #playlists des radios mainstream sont désormais totalement hermétiques aux productions échappant aux majors et autres très gros « indépendants » - qui sont eux-mêmes souvent filiales des majors - pour des raisons qui tiennent aux structures actuelles du marché de la musique). Cet holocauste sonore a pris d’autant plus d’ampleur que le développement du home studio et la propension des éditeurs de #plug-ins de mastering à offrir des outils de gonflement du son aussi médiocres dans les #algorithmes qu’ils emploient qu’efficaces dans des conditions d’écoute approximatives, ont semblé donner à tout un chacun les moyens d’écrabouiller ses maquettes pour les porter au niveau de loudness des plus grosses productions internationales. La qualité, l’équilibre fréquentiel et le relief en moins. Malgré les invitations alléchantes qui pullulent sur le web et vous proposent de vous transformer en ingénieur du son sur la base du visionnage de quatre ou cinq vidéos, la manipulation de la matière sonore est un métier très complexe qui nécessite une lourde formation et une grosse expérience pour qui veut espérer répondre à toutes les problématiques qu’elle pose. De la même manière que les offres de mastering en ligne, « en un clic », comme l’annoncent fièrement leurs promoteurs, se situent en lisière d’arnaque, le travail fourni ne respectant ni les mixages initiaux, ni les normes acceptables de loudness, quand elles ne produisent pas carrément des saturations numériques 1 .
Mais voilà, outre que nombre de mélomanes, ingénieurs du son et musiciens parmi les plus avertis des perversions sonores nées de la « loudness war » ont manifesté leur mécontentement plus ou moins publiquement, la poursuite de celle-ci a fini par aboutir à des aberrations sonores telles que certains morceaux n’ont plus qu’une plage dynamique de 4 ou 5 db entre leurs parties les plus violentes et celles censées être les plus paisibles, quand ce n’est pas ces derniers moments qui donnent une plus grande perception de volume.
Et Bob Katz déclencha la contre-révolution
Le premier frémissement positif a eu lieu en 2013, quand le célèbre ingénieur du son américain #Bob_Katz, farouche opposant à la « loudness war » (oui, la guerre, c’est mal !) a collaboré à la réalisation de la norme sonore de iTunes. Celle-ci s’est située d’entrée autour de -16 LUFS (Loudness Unit relative to full scale), soit très en dessous des mastering standards de l’époque tournant autour de -9 à -6 LUFS. Par la suite toutes les plateformes de streaming se sont mises à adopter des normes proches de cette première tentative, même si l’ensemble d’entre-elles a légèrement relevé leurs standards entre -14 et -12 LUFS. Concrètement cela signifie que si un mastering privé de dynamique dépasse la norme prévue, il est automatiquement baissé par l’algorithme de conversion de la plateforme, se retrouvant à l’arrivée sonnant moins fort qu’un morceau masterisé de manière moins drastique mais respectant la dynamique du titre original. Ainsi, ce dernier type de morceau donnera une plus grande impression de volume sur les parties prévues pour être fortes et une moins grande sur les autres, tandis que le premier morceau ultra compressé sonnera entièrement moins fort, ruinant ainsi les efforts de l’ingénieur de mastering pour répondre à l’injonction « je veux du gros son » de son client.
Cet effort des plateformes de streaming s’est par ailleurs doublé d’une prise de conscience des autorités de la plupart des pays ainsi que de l’Europe. Pour dire les choses honnêtement, la principale préoccupation des institutions en question a d’abord été de mettre en place un système permettant de limiter la puissance sonore des interprogrammes et #publicités à la télévision et au cinéma davantage que de participer à l’amélioration de la qualité de la production musicale. Ainsi, outre la nébuleuse norme suggestive européenne EBU R128 concernant la plupart des médias, mise en place en 2010 et révisée en 2014, les télévisions ont institué des normes pour limiter la puissance de ces programmes à -23 LUFS, tandis que le cinéma a fait passer la puissance sonore de ses inter-programmes de 85 LeqM (une autre mesure du loudness dans la boîte à outil du secteur) à 82 LeqM.
Au final si la roue tourne désormais dans le bon sens grâce à la mise en place de nouveaux standards par les plateformes de streaming ou de vidéos musicales comme #YouTube, ce cercle vertueux entraîne une nouvelle complexité pour les professionnels en fonction de la définition du master. Jusqu’à présent, le produit ciblé par les ingénieurs du son était le #CD, pensé de manière à pouvoir répondre aux normes édictées par les radios. Désormais, ce sont a minima deux voire trois masterings spécifiques qui peuvent être considérés selon les hypothèses d’avenir d’un titre 2. Un premier master, ne revenant que très partiellement sur la « loudness war » peut-être proposé à la gravure CD, de manière à flatter davantage les oreilles des auditeurs par un léger gain de dynamique, sans obliger ceux-ci à jongler avec leur télécommande de volume en fonction des disques écoutés. Un deuxième master, se mouvant autour des -12 db LUFS (voir -11 sachant que #Soundcloud n’applique aucune réduction pour le moment) peut-être prévu pour les plateformes de streaming de manière à ne pas être raboté par leur exigeante conversion tout en répondant aux standards moyens de la plupart des plateformes, comme de YouTube. Enfin, un troisième master peut-être prévu pour les radios en mode « loudness war », en pronostiquant que ces dernières finiront par se rendre à la raison en épousant les mœurs du sémillant Bob Katz ou des très madrés #Daft_Punk qui, en réalisant leur album succès planétaire Random Access Memories avait anticipé le mouvement, ne faisant pas dépasser à leur sons le très symbolique -10 Lufs.
React.JS App Who Can Use By This Top Application
▻https://hackernoon.com/react-js-app-who-can-use-by-this-top-application-f8fea130a3dd?source=rss
React Native App is real mobile app. The concept of creating apps using only one paradigm for all platforms sounds a bit unbelievable. However, React Native, despite its immaturity, allows to accelerate the process of building apps across different platforms, thanks to the likelihood of reusing most of the code between them.React Native segments are unadulterated, reaction free capacities that arrival what the perspectives look like anytime. Therefore it is less demanding to compose state-subordinate perspectives, as you don’t need to think about refreshing the view when the state changes since the system does this for you. React native app development services individual platforms like iOS and Android.The UI is rendered utilizing genuine local perspectives, so the last client encounter (...)
#Funkwhale, les baleines mélomanes libres et décentralisées
▻https://framablog.org/2018/05/25/funkwhale-les-baleines-melomanes-libres-et-decentralisees
Aujourd’hui nous laissons bien volontiers les commandes à Narf, une étudiante actuellement en stage chez Framasoft. Sa mission porte sur la vulgarisation des concepts de « fédération », notamment au travers de PeerTube, mais aussi plus largement du protocole ActivityPub. Afin de … Lire la suite
#Contributopia #Fédération #Internet_et_société #Interview #Communaute #Éducation #EliotBerriot #GrooveShark #Internet #Soundcloud
#spotify, #soundcloud, and the Race Up the Value Chain
▻https://hackernoon.com/spotify-soundcloud-and-the-race-up-the-value-chain-ca62c9c85d2?source=rs
It’s no secret that the #music industry is a tough nut to crack. Spotify, Soundcloud, and a host of other music industry startups all struggle to reach profitability despite their vast consumer networks. Spotify has a staggering 70 million subscribers to its service, and yet it still has a cost of revenue of 79%. For every dollar of revenue it makes on its subscription fees, it has to pay 79% of that to record labels (and other assorted costs). This is in large part due to the price setting power of music suppliers. Compared to other aggregators Spotify has to pay far more for its content and has much less negotiating power. Netflix is at a cost of revenue of only ~66% and Zillow has been able to strong-arm its suppliers (Multiple Listing Services) into submission because of their (...)
Streaming musical : SoundCloud évite la faillite mais change de patron
▻http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/11/streaming-musical-soundcloud-evite-la-faillite-mais-change-de-patron_5171602
Le sauvetage de #SoundCloud illustre cet étonnant paradoxe : les plates-formes musicales de #streaming constituent la planche de salut de l’#industrie_musicale puisqu’elles lui ont permis de retrouver des couleurs après une décennie de marasme. Mais aussi bien les plus grosses, comme Spotify, Apple Music, Deezer, Amazon… que les petits, comme Qobuz (spécialisé en musique classique) par exemple, toutes restent encore déficitaires. Le site Pandora a été obligé, lui aussi, comme SoundCloud, de tailler sévèrement dans ses effectifs.
Coincées entre des #majors à qui elles reversent près des trois-quart de leur chiffre d’affaires et des artistes qui se plaignent des rémunérations qui leur sont octroyées, les plates-formes doivent investir lourdement pour asseoir leur expansion internationale. Et chercher des abonnés puisque ce sont bien eux qui contribuent à la croissance de leur chiffre d’affaires (à 90 % dans le cas de Spotify).
If SoundCloud Disappears, What Happens to Its Music Culture? - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/2017/08/01/magazine/if-soundcloud-disappears-what-happens-to-its-music-culture.html?_r=0
After the layoffs, the technology blog TechCrunch published a report claiming that SoundCloud had enough money to finance itself for only 80 days. Though the company disputed the report, the possibility that SoundCloud might disappear sent a shock through the web. Data hoarders began trying to download the bulk of the service’s public archive in order to preserve it. Musicians like deadmau5, a Canadian electronic-music producer, tossed out suggestions on Twitter for how the company could save the service. Chance the Rapper tweeted: ‘‘I’m working on the SoundCloud thing.’’
Since its start in 2008, SoundCloud has been a digital space for diverse music cultures to flourish, far beyond the influence of mainstream label trends. For lesser-known artists, it has been a place where you can attract the attention of fans and the record industry without having to work the usual channels. There is now a huge roster of successful artists who first emerged on SoundCloud, including the R.&B. singer Kehlani, the electronic musician Ta-Ha, the pop musician Dylan Brady and the rapper Lil Yachty, to name just a few.
The death of SoundCloud, then, would mean more than the sunsetting of a service: It could mean the erasure of a decade of internet sound culture, says Jace Clayton, a musician and the author of ‘‘Uproot: Travels in 21st-Century Music and Digital Culture.’’ He reminded me of an online music service called imeem, which MySpace bought in 2009 in the hope of absorbing its 16 million users into its own platform. But the struggling service shut down, and all the music uploaded and shared to it was lost, including what Clayton recalls to be a very eclectic subset of black Chicago house music. ‘‘What does it mean if someone can delete hundreds and thousands of hours of sound culture overnight?’’ he asked.
SoundCloud always let me get lost in a warren of music that I’d never heard — or even heard of — before. Once, it was Japanese trap songs. Another time it was Ethiopian jazz music. It somehow manages to evoke some of the most appealing features of offline music culture, like browsing through bins in a record store or catching indie acts at an underground club.
SoundCloud took a community-first approach to building its business, prioritizing finding artists to post on its service over making deals with music labels to license their music, the approach taken by Spotify. The music industry was still in the process of adapting to a digital ecosystem when SoundCloud emerged; illegal file-sharing was rampant. But when the industry finally began squelching unauthorized distribution of artists’ tracks, SoundCloud was hit hard. D.J.s were also told to take down mixes of songs they didn’t own the rights to, and many of the remixes the site was known for were removed. SoundCloud ‘‘was very much built in the dot-com-era mentality of building an audience and then finding a way to make money,’’ Mark Mulligan, a music-industry analyst, told me. SoundCloud struggled to monetize the service. Artists who paid to be featured on the site balked at having ads run against their music, and when the company introduced its own version of a subscription service, called Go, the response was tepid. How do you persuade people who have been using your services free to start paying $5 or $10 a month?
For the most part, streaming services feel sterile and devoid of community. Spotify, Tidal and even YouTube to a degree are vast and rich troves of music, but they primarily function as search engines organized by algorithms. You typically have to know what you’re looking for in order to find it. They have tried to remedy that drawback with customized playlists, but still they feel devoid of a human touch. Serendipity is rare.
By contrast, the most successful online communities, like SoundCloud, have the feel of public spaces, where everyone can contribute to the culture. They feel as if they belong to the community that sustains them. But of course that’s not how it works. In ‘‘Who Owns Culture?,’’ Susan Scafidi writes: ‘‘Community-generated art forms have tremendous economic and social value — yet most source communities have little control over them.’’
If SoundCloud Disappears, What Happens to Its Music Culture? - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/2017/08/01/magazine/if-soundcloud-disappears-what-happens-to-its-music-culture.html
Rinse FM archive disappears from SoundCloud
▻http://www.factmag.com/2017/07/14/rinse-fm-archive-disappears-soundcloud
Legendary online radio station Rinse FM has taken to Twitter to note that their SoundCloud profile archiving a legion of broadcasts over the years has been disabled. Links to any uploads and to their main profile leads to an error message.
#radio #archive #dependance #soundcloud
A Team of Volunteers Is Archiving #SoundCloud in Case it Dies
▻https://motherboard.vice.com/en_us/article/a3d4x8/archive-team-soundcloud
Spurred by recent reports the German streaming music and audio company may be running out of cash, The Archive Team is racing to preserve sound files—at high cost.
Scott estimates SoundCloud’s entire library is 1 petabyte (or 1 million gigabytes) in size. But a page on Amazon’s Web Services solutions site highlights SoundCloud as a case study customer, and says that SoundCloud was storing 2.5 petabytes of data.
“I think that page on Amazon’s AWS page is using old numbers, and they have little initiative to round downwards,” Scott wrote.
Motherboard emailed Amazon’s and SoundCloud’s press addresses to confirm the numbers, but did not receive responses in time for this article’s publication
Either way, we’re talking about a lot of cash. Scott said that at 1 petabyte, it would cost between $1.5 million and $2 million to store all the files for the foreseeable future on server space loaned out from the separate Archive.org, the non-profit organization that manages the Internet Archive (where Scott is also employed). Figuring Scott’s estimate of a cost of $1500 per terabyte to store on Archive.org servers, storing 2.5 petabytes for the foreseeable future would cost $3.75 million.
SoundCloud Mp3 Downloader
▻https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/soundcloud-mp3-downloader
SoundCloud Downloader adds a download button beneath each SoundCloud track in the controls section to provide you direct MP3 links of tracks.
Qualité 128 kbit/s mais c’est le standard SoundCloud.
/ping @b_b
#soundcloud #son #mp3 #download
Merci mignon, mais perso, je reste fidèle à #youtube-dl :)
#SoundCloud, au bord du gouffre financier ?
▻http://toutelaculture.com/actu/soundcloud-au-bord-du-gouffre-financier
Victime de nombreux problèmes avec les maisons de disques et acculé par les investisseurs, la plateforme participative d’écoute en streaming ne semble plus avoir beaucoup de temps devant elle. Faute de nouveaux financements, elle n’aurait plus que quatre à cinq mois de fonctionnement.
Et si @visionscarto se lançait aussi?
How 6 news organisations are using #Soundcloud
Journalists have flocked to the audio sharing site but how are they using it?
►https://www.journalism.co.uk/news/how-6-news-organisations-are-using-soundcloud/s2/a564509
The 4 types of #audio that people share, from explainers to sounds that make you go “Whoa!”
▻http://www.niemanlab.org/2015/01/from-explainers-to-sounds-that-make-you-go-whoa-the-4-types-of-audio-that
How can public #radio make audio that breaks big on social media? A NPR experiment identified what makes a piece of audio go viral.
Slate’s podcast audience has tripled in a year, and its bet on audio over video continues to pay off ►http://www.niemanlab.org/2015/02/slates-podcast-audience-has-tripled-in-a-year-and-its-bet-on-audio-over-v
The economics of the #podcast boom
▻http://www.cjr.org/first_person/the_economics_of_the_podcast_boom.php
How 6 news organisations are using #Soundcloud
►https://www.journalism.co.uk/news/how-6-news-organisations-are-using-soundcloud/s2/a564509
BuzzFeed Joins the Podcast Frenzy
▻http://blogs.wsj.com/cmo/2015/03/24/buzzfeed-podcasts
Bon commence à y avoir de quoi faire là !
#music of the Irregular Spheres
▻http://blogs.esa.int/rosetta/2014/12/19/music-of-the-irregular-spheres
This blog post is contributed by Mark McCaughrean, senior science advisor in the Directorate of Science and Robotic Exploration at ESA. The rather tortured title of this post is intended as a humorous reference to the decidedly non-spherical shape of #Comet_67P/Churyumov-Gerasimenko, the target of our #Rosetta mission. It also refers to the philosophical concept of ‘musica universalis’ or ‘music of the spheres’, usually attributed to Pythagoras, Ptolemy, and other ancient philosophers and scientists. They suggested that the proportions of the distances of the celestial bodies in the Solar System thought to be orbiting the Earth could be assigned tones, much as the pitch of a note coming from a plucked string is related to the length of that string. This theory was later developed further by (...)
#Comets #Comets_and_culture #Fun_stuff #culture_and_history #rosetta #soundcloud
Comment quitter #Soundcloud pour son #podcast ? | Lisez La Science
▻http://lisezlascience.wordpress.com/2014/06/01/comment-quitter-soundcloud-pour-son-podcast
Finalement, Soundcloud qui est par ailleurs une bonne solution pour héberger un podcast si l’on souhaite investir un peu, peut facilement être remplacé par le couple (Stats #podcloud) + (Stockage sur #The_Internet_archive).
Sinon pour l’hébergement/archivage/diffusion le plus efficace est peut-être de passer par les bittorrent.
En utilisant Bitlove :
▻http://bitlove.org
ou les logiciels sur lesquels il repose :
▻https://github.com/astro/bitlove-ui
▻https://github.com/astro/prittorrent
Bitlove transforme un flux podcast fichiers audio ou vidéo en flux podcast fichiers torrent.
Une bonne idée pour le flux audio de @rezo ?
@intempestive
Ah effectivement je n’avais pas bien pris en compte cet élément.
Après c’est ce qui est déjà fait pour les logiciels libres repris dans les distributions : ils sont repris, copiés et diffusés. Du coup les développeurs à l’origine des logiciels perdent certaines infos et leurs sites sont moins mis en avant. Mais je comprends que ce soit un dilemme.
Le web est une vrai catastrophe en terme d’archivage. Souvent j’ai l’impression qu’il est plus facile de retrouver un fanzine des années 70 qu’un site web des années 2000. Du coup je m’inquiète pour ces émissions intéressantes et je me dis que les torrents sont une bonne réponse à ces problèmes... au moins en partie.