• #Berlin : nouveau #procès contre la #Liebig34
    https://fr.squat.net/2020/09/01/berlin-nouveau-proces-contre-la-liebig34

    Le 26 août, le jugement par défaut du 3 juin a été confirmé une nouvelle fois par le tribunal régional de Berlin contre l’association Raduga e.V., qui avait déjà quitté la maison depuis le début de l’année et avait abandonné la propriété. Le nouveau jugement n’est pas surprenant, ici encore, le propriétaire et ses intérêts […]

    #actions_directes #Allemagne #féministes_&_queers #Friedrichshain #gentrification #Liebigstrasse_34 #spéculation

  • La maire écologiste de Poitiers vote la baisse de 1.500 euros de son indemnité, « par sobriété »
    https://www.francebleu.fr/infos/politique/la-maire-ecologiste-de-poitiers-vote-la-baisse-de-1-500-euros-de-son-inde

    Pour le premier conseil municipal de la nouvelle mandature, les élus écologistes ont voté la baisse des indemnités de certains élus.

    Après leur victoire aux élections le 28 juin dernier, les élus de Poitiers ont tenu ce lundi 20 juillet leur premier conseil municipal dédié aux orientations budgétaires. Dans un contexte de crise économique, la nouvelle maire, l’écologiste Léonore Moncond’huy, a accepté de baisser son indemnité d’un tiers, soit près de 1.500 euros. 

    « On fait le choix de réduire l’écart entre les différents élus, explique Léonore Moncond’huy. Le ratio entre l’indemnité la plus basse et celle la plus haute est donc à cinq, entre un élu conseiller municipal délégué et la maire. »

    « Il faut être conscient que l’on est dans une période de crise, le salaire médian en France est autour de 1.500 euros, et c’est tout à fait normal d’être en phase avec ce qui constitue le salaire de la majorité des Français », ajoute la maire de Poitiers.
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    #Poitiers #élus #élus #élus_locaux #Démocratie #Démocratie_locale #Communes #Femme

  • #coronavirus, #covid-19 : Décès quotidiens, en France, de cette épidémie de grippe.
    Faudrait arrêter de répéter les délires des merdias, de moins en moins de gens y croient, d’où certains faits divers.

    Décès quotidiens
    Comme il y a un retard de 2 à 3 semaines entre nouveaux cas et décès, la situation est toujours satisfaisante :

    On constate cependant que l’épidémie de décès n’a pas pu être complètement éradiquée en France et en Italie malgré l’embellie.

    Source : Pandémie Covid-19 : où en sommes-nous ?
    Les crises, https://www.les-crises.fr/pandemie-covid-19-ou-en-sommes-nous
    Sur SeenThis : https://seenthis.net/messages/867302

    Rappelons la responsabilité du gouvernement français #EnMarche, pour ce qui est du nombre important de décès en début d’épidémie, Ehpads compris.
    Pour ce qui est de la diffusion de ce virus, les élections municipales par exemple.

    #médias #france #propagande #journulliste #en_vedette #journullistes #medias #politique #médiacrates #imposture #mass_merdias #épidémie #pandémie

  • Lille - MEL : Damien Castelain, président de la Métropole Européenne de Lille, veut augmenter ses indemnités de 40%
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille-metropole/damien-castelain-president-mel-va-augmenter-ses-indemni

    Damien Castelain entame son second mandat à la présidence de la MEL. Lors du prochain conseil communautaire, les 188 élus vont voter plusieurs délibérations, dont celle concernant les indemnités des élus. Celle du président devrait augmenter de 40% par rapport au mandat précédent.

    C’est un document que les 188 conseillers communautaires ont reçu mercredi 15 juillet, aux alentours de 21 heures. Un pavé contenant 4000 pages de délibérations qui seront soumises au vote lors du premier conseil communautaire de la MEL, au lendemain de l’élection de son président, Damien Castelain, élu à la MEL haut la main jeudi 9 juillet dernier avec près de 68% des suffrages.

    Parmi les très nombreuses délibérations à l’ordre du jour, l’une d’entre elles retient l’attention. Il s’agit du projet de délibération 20 C 0010. Derrière ce code, les élus communautaires vont voter pour ou contre la répartition des indemnités de fonctions des élus, dont celles du président de la MEL et de ses vice-présidents. C’est ainsi qu’on découvre que l’indemnité de Damien Castelain devrait augmenter de… 40% pour le mandat 2020-2026, par rapport au mandat qui vient de s’achever.

    + 40% d’indemnités pour le président de la MEL
    Pour comprendre, il faut s’accrocher et éplucher ce qu’on appelle le CGCD, le Code Général des Collectivités Territoriales. Pour faire simple, un budget est alloué à la MEL pour indemniser les 188 élus communautaires. Cette enveloppe budgétaire est calculée en fonction du nombre d’élus et au regard de l’indice brut de la fonction publique. Ainsi, pour le mandat 2014-2020, le budget mensuel pour les indemnités des élus de la MEL s’élevait à 221 053 euros. Pour le mandat 2020-2026, le budget proposé, légèrement supérieur, s’élève à 243 465 euros par mois.

    Au regard de la délibération concernant les indemnités proposée au vote, la nouvelle manière de dispatcher l’argent entre les élus profite essentiellement au président de la MEL et aux 20 vice-présidents. En effet, l’indemnité de Damien Castelain serait ainsi augmenté de 40% par rapport à la mandature précédente, passant de 5 612 euros brut à 7 895 euros, grâce à une loi promulguée permettant d’augmenter de 40% l’indemnité des grands élus locaux. Les 20 vice-présidents verraient leur indemnité passer de 1761,15 euros brut à 2 650 euros, soit une augmentation de 50% par rapport à l’indemnité de la mandature 2014-2020. Face à eux, les conseillers métropolitains perdraient quant à eux 8 euros brut par mois. Tout un symbole.

    Plafond atteint
    Pour appréhender cette augmentation, il faut prendre en compte la nouvelle loi promulguée dans le cadre de la loi des Finances 2018 permettant d’augmenter jusqu’à 40% les grands élus locaux (maires de villes de plus de 100 000 habitants, présidents de Région, président de Métropole etc). Cette loi, proposée par un groupe de sénateurs Les Républicains, a été reprise par Gérald Darmanin –alors ministre de l’action et des comptes publics- avec pour justification de vouloir aligner la rémunération des grands élus locaux sur celle de la haute fonction publique et de compenser la fin du cumul des mandats. Une loi qui ne coûte en réalité rien au contribuable, car l’augmentation de 40% accordée au président de la MEL ne peut conduire à dépasser l’enveloppe maximale allouée pour les indemnités de tous les élus (vice-présidents, conseillers communautaires etc.)

    Ainsi, si l’indemnité du président est augmentée, d’autres indemnités sont donc rabaissées. Comme le rappelle Le Monde, cette revalorisation n’est pas obligatoire et les 40 % représentent une augmentation indicative et constitue un plafond à ne pas dépasser. Pauline Ségard, conseillère métropolitaine et anciennement candidate à la présidence de la MEL, nous explique que son groupe Métropole Écologiste, Citoyenne et Solidaire va déposer des amendements concernant cette délibération qui « alimente la défiance des citoyens à l’égard des personnes qui exercent le pouvoir. » De son côté, Rudy Elegeest également candidat à la présidence de la MEL nous indique que son groupe ne votera pas cette délibération, qualifiée de disproportionnée.

    Pourtant, en janvier 2018, Damien Castelain déclarait dans un article de la Voix du Nord avoir exclu de demander cette augmentation de 40% à son conseil communautaire, son cabinet expliquait alors au journal que « Damien Castelain a forgé son mandat sur le désendettement de la MEL et sur des efforts de gestion de dépenses de fonctionnement. » . . . . . . . .

    Pour rappel, Damien Castelain est visé par deux enquêtes judiciaires. Le parquet a récemment requis son renvoi devant le tribunal correctionnel pour « recel d’abus de confiance » :
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    https://www.anticor.org/2018/06/29/affaire-castelain-anticor-59-saisit-le-procureur-de-la-republique
    #Lille #MEL dont fait partie Monsieur #gérald_darmanin #damien_castelain #élus #vols #corruption #prévarication #élus #élus_locaux #Démocratie #Démocratie_locale #Farce #Communes #Métropoles #intercommunalités #Anticor #béton #spéculation_immobilière #grands_travaux_inutiles

  • « L’arme la plus puissante des locataires est de ne pas payer leur loyer. » Entretiens autour des mobilisations de locataires et de la grève des loyers aux États-Unis (1/3)
    Par Lucile Dumont

    Partout dans le monde, la pandémie de Covid-19 agit comme un puissant révélateur des inégalités sociales. Aux États-Unis, elle s’articule notamment à la crise du logement que connaît le pays depuis de nombreuses années : la spéculation immobilière, la gentrification et la flambée des loyers ont conduit à une explosion du nombre de sans-abris. La crise sanitaire et les pertes d’emploi qu’elle a entraînées ont mis de très nombreux⋅ses locataires dans l’impossibilitéde payer leur loyer. Face à des mesures insuffisantes de la part des pouvoirs publics, les appels à la grève des loyers se sont multipliés, et les mobilisations autour des questions de logement ont nourri la dynamique existante des syndicats de locataires dans plusieurs grandes villes.

    Entretien avec Rob Wohl, qui participe à la campagne Stomp Out Slumlords à Washington, et Julian Francis Park, membre du Tenant and Neighborhood Councils à Oakland, dans la baie de San Francisco.

    https://www.jefklak.org/larme-la-plus-puissante-des-locataires-est-de-ne-pas-payer-leur-loyer

  • Exproprions tout ! | jef klak
    https://www.jefklak.org/exproprions-tout

    Les villes du monde entier étouffent sous l’effet d’un afflux massif de capitaux excédentaires lié à une baisse des investissements productifs. Les super-profits de la finance spéculative captés par les 0,000001 % de la population mondiale ne peuvent pas croupir dans des banques avec des taux d’intérêts proche de zéro, sinon ils meurent prématurément. Comme un cancer, le #capital doit circuler, se reproduire et se développer pour continuer à exister.

    Il le fait en trouvant de nouveaux investissements, en particulier en achetant, en négociant et en vendant des marchandises, de la main-d’œuvre et des moyens de production, puis en se muant en cours de route en devises, en actions, en biens, en titres, en salaires, en intérêts, en loyers et en profit. Mais avec l’assèchement mondial des taux de profit dans le secteur industriel, de nouveaux dépotoirs sont nécessaires pour rentabiliser les pétaoctets de capital arrachés sur le dos des travailleur·euses.

    Et c’est ici que la valeur des biens immobiliers privés réapparaît dans toute sa splendeur. « L’#immobilier mondial vaut maintenant 217 000 milliards de dollars, écrit le géographe urbain Samuel Stein. Trente-six fois la valeur de tout l’or jamais extrait. Il représente 60 % des actifs mondiaux, et la grande majorité de cette richesse – environ 75 % – se concentre dans le #logement 1. »

    Les retours sur investissement dans l’immobilier sont sûrs, stables et très juteux. Ainsi, lorsque les fonds spéculatifs, les sociétés de capitaux, les banques d’investissement et autres organisations perverses de la bourgeoisie mondiale ont besoin d’un cloaque pour y déféquer leur surplus de #richesse, ils peuvent toujours en dénicher un dans les maisons, les appartements, les bureaux, les immeubles et les terrains – bref, dans tous les espaces de vie et de travail des êtres humains.

    En retour, toutes celles et ceux qui ne peuvent suivre l’escalade des coûts d’achat ou de location de quatre murs sont méprisé·es, expulsé·es, abandonné·es, prié·es de rejoindre une population qui se déplace de plus en plus vers des endroits où le prix de l’immobilier leur permet encore de respirer.

    #exclusion #inégalités

  • Der kontrollierte Bankrott
    https://www.wiwo.de/politik/europa/tauchsieder-der-kontrollierte-bankrott/25852412.html

    Cet article décrit quelques raisons de la nouvelle politique économique et financiaire des représentants de la classe capitaliste de France et d’Allemagne. Il la compare à la situation à la fin du dix huitième siècle et tire une conclusion banale : la classe capitaliste fera payer quelqu"un d’autre. Enfin, c’est ce qu’on peut lire entre les lignes de l’article.

    23.5.2020 von Dieter Schnaas Textchef und Autor der WirtschaftsWoche

    Unser Wirtschaftssystem floriert auf der Basis des Ruins. Die aufgeschobene Insolvenz ist seine Geschäftsgrundlage. Schulden werden nicht mehr getilgt, sondern mit neuen Schulden ins Unendliche verlängert. Wie lange kann das gutgehen? Ein Blick in die Wirtschaftsgeschichte liefert Antworten.

    Bundeskanzlerin Angela Merkel und Staatspräsident Emmanuel Macron haben in dieser Woche ihre „deutsch-französische Initiative zur wirtschaftlichen Erholung Europas nach der Coronakrise“ vorgestellt. Danach soll die EU, über bereits beschlossene Hilfsmaßnahmen hinaus, einen 500 Milliarden Euro schweren „Wiederaufbaufonds“ einrichten. Das Prinzip: Brüssel leiht sich Geld an den Finanzmärkten – und verteilt es in Form von zweckgebundenen Zuschüssen an besonders betroffene Branchen, Regionen und Länder. Deutschlands Anteil an dem Programm liegt, entsprechend dem deutschen Anteil am EU-Haushalt (27 Prozent), bei 135 Milliarden Euro. Die Rückzahlung der Schulden soll aus dem EU-Haushalt erfolgen und sich über 20 Jahre erstrecken.

    Aber handelte es sich im Fall einer Rückzahlung der Schulden tatsächlich um Zuschüsse? Klar ist: Die Kredite stellen eine gemeinsame Verbindlichkeit aller EU-Länder dar, für deren Günstigkeit und Güte vor allem solvente Länder wie Deutschland bürgen. Das kommt stark verschuldeten Volkswirtschaften, von deren Bonität die privaten Gläubiger nur noch begrenzt überzeugt sind, zu gute. Insofern stellen die niedrigen Zinsen der Anleihen bereits indirekt einen Zuschuss Deutschlands an andere Länder dar.

    Klar ist aber auch: Nur wenn die Hauptempfänger am Ende weniger zurückzahlen als sie erhalten, kommen sie in Genuss von Zuschüssen, nicht Krediten. Es sei denn, die Rückzahlung der Schulden erstreckt sich nicht über 20 Jahre, sondern die Schulden werden beizeiten mit neuen Schulden beglichen, also gleichsam ad infinitum, ins Unendliche verlängert.

    Wahrscheinlich ist das der Kern des Kompromisses zwischen den Regierungszentralen in Deutschland und Frankreich: Merkel kann die Hilfen den Deutschen (mit Mühe) als Kredit verkaufen, Macron den Franzosen (mit Stolz) als Zuschuss – und beiden gemeinsam ist, dass sie vor allem Zeit kaufen, wieder einmal: Die aufgeschobene Insolvenz ist spätestens seit der Finanz- und Eurokrise die Geschäftsgrundlage unseres Wirtschaftssystems, der kontrollierte Bankrott sein konstitutives Element. Neu ist allein, dass es seit der Coronakrise niemanden mehr gibt, der diese Elementartatsache zu bemänteln versucht: Der finanzmarktliberale Staatsschuldenkapitalismus floriert paradoxerweise auf der Basis seines Ruins.

    Der Ökonom Jens Südekum hat sich in einem Beitrag für das Handelsblatt zuletzt glasklar ausgedrückt: Wir müssen die explodierenden „Staatsschulden… einfach hinnehmen“. Und es stimmt ja auch: Ohne Stimuli der Regierungen und Notenbanken würde die Weltwirtschaft jahrelang „in einem deflationären Labyrinth feststecken“. Was es daher brauche, so Südekum weiter, seien Steuersenkungen, öffentliche Investitionen – und Schulden, die „möglichst langfristig finanziert und durch permanentes Überwälzen – also die Ausgabe neuer Anleihen zur Bedienung der alten – immer weiter in die Zukunft geschoben werden“. Südekum glaubt, die Industriestaaten könnten auf diese Weise, vor allem dank strukturell niedriger Zinsen, „aus dem Schuldenproblem der Coronakrise einfach herauswachsen“ – ihre Kreditprobleme im Wege der Geldschöpfung, „offiziell und unbegrenzt“, lösen.

    Doch was, wenn die Zinsen nicht niedrig blieben? Wenn die Notenbanken aufhörten, unaufhörlich Geld zu schöpfen, den Preis des Geldes künstlich niedrig zu halten? Nun – dann kollabierte das Geldsystem. Daran haben die Akteure an den Finanzmärkten ersichtlich kein Interesse. Sie müssten dasselbe Geldsystem beargwöhnen, das vor allem sie prämiert: ein Geldsystem, das ihre Vermögen schützt und von allen Erschütterungen des realwirtschaftlichen Lebens abschirmt. Die „Stabilität“ der Indizes weltweit beweist es: Die Aufgabe der Finanzmärkte besteht nicht mehr wie ehedem darin, der Wirtschaft als ihr Seismograf über sich selbst Auskunft zu verleihen, sondern darin, dass das Geld der Vermögenden sich in ihnen möglichst unbegrenzt vermehren kann. „Die Börse“ ist in diesem System kein Markt der Märkte mehr, in denen die Wirtschaft sich selbst den Puls fühlt, sondern eine Geldmaschine, die darauf programmiert ist, alle Verbindungsreste zur schwach wachsenden Realwirtschaft zu kappen. Das „interessierte Geld“ institutioneller Anleger sammelt sich als „Marktkapitalisierung“ zusehends in den wenigen wachstumsstarken The-Winner-takes-it-all-Unternehmen des spätmodernen Plattformkapitalismus und forciert damit seinerseits die Konzentration der Wirtschaft und Vermögen – auf Kosten des Wettbewerbs und der Nicht-Besitzenden: Amazon ist heute mehr wert als alle 30 Dax-Titel zusammen – und hält viele seiner Mitarbeiter gern besonders kurz.

    Und die nominell unabhängigen Notenbanken? Die sind in diesem Spiel längst zu Durchführungsagenturen einer in Washington, Berlin und Brüssel abgemischten Rettungspolitik verkommen – dazu verdonnert, immer neues Fiatgeld in das zu pumpen, wofür früher einmal das Wort vom „gesunden Wirtschaftskreislauf“ zur Verfügung stand. Der Kulturwissenschaftler Joseph Vogl spricht zu Recht von „Souveränitätsreservaten eigener Ordnung“, in denen Staaten, Notenbanken und Finanzmärkte informell miteinander verflochten sind und operieren: von einer „exekutiven Macht“ ohne Mandat, die sich im Rahmen „einer allgemeinen Notstandsmentalität“ formiert hat. Sie wirkt als „vierte Gewalt“, in der „Stabilitätsmechanismen“ und „Hilfsfonds“ unklare Interessen von Bürgern, Anlegern und Steuerzahlern vertreten, Finanzmärkte als Agenturen überschuldeter Steuerstaaten auftreten und Notenbanken beliebig Billiggeld verteilen, damit klamme Staaten für klamme Banken geradestehen, die für klamme Staaten geradestehen.

    Wie lange kann das gutgehen? Und: (Wie) kommen wir aus dieser Nummer jemals wieder raus? Die gute Nachricht ist: Es kann lange gutgehen. Die Schlechte: Es wird schmerzvoll. Das zeigt ein kleiner, unbedingt lohnender Ausflug in die Wirtschaftsgeschichte.

    Lernen vom England des 18. Jahrhunderts

    Am 26. Februar 1797 wird die Bank of England per Kabinettsorder und Parlamentsbeschluss von der Verpflichtung befreit, Banknoten in Münzgeld zu wechseln und damit eine Deckung des umlaufenden Papiergelds zu garantieren. Es ist ein Schock. Die Geldreserven der Bank sind nach dem Krieg zwischen England und Frankreich erschöpft; einem Barvermögen von 1,27 Millionen Pfund steht ein Notenumlauf von 8,64 Millionen Pfund gegenüber – die Bank ist zahlungsunfähig. Statt jedoch Konkurs anzumelden, weil sie die (potenziellen) Forderungen ihrer Gläubiger nicht mehr (alle zugleich) bedienen kann, ruft die Bank kurzerhand eine bank-restriction aus, ein Konversionsverbot für Banknoten. Und siehe da: In den nächsten Tagen und Wochen zeigt sich, dass der pure Glaube an das neue Schein-Geld Berge versetzen kann. Die faktische Insolvenz bleibt folgenlos. Die Banknoten zirkulieren munter weiter – im bloßen Vertrauen darauf, dass das Papiergeld bis zum erhofften Widerruf der Bankeinschränkung seinen Wert behält und die Bank zwischenzeitlich genügend Kapital aufbaut, um die Notenausgabe künftig wieder auf den Betrag des Bankkapitals beschränken zu können.

    Das Geld, zweieinhalbtausend Jahre lang gesetzlich beglaubigter Träger seines Wertes (Münz-Geld), verliert damals buchstäblich seinen (Ge-)Halt – und wird Geld allein dadurch, dass die Bank für es bürgt – ein ungeheuerlicher Vorgang, der bereits von den Zeitgenossen als Weltbegebenheit gefeiert und zugleich als zutiefst beängstigendes Ereignis wahrgenommen wird, als alle Stabilität, Dauerhaftigkeit und Sicherheit buchstäblich erschütternder Epochenbruch, allenfalls vergleichbar mit dem Erdbeben von Lissabon (1755).

    Der Skandal der britischen Geldrevolution besteht aber nicht nur in der Entmaterialisierung des Geldes, sondern vor allem in seiner künstlichen „Verlängerung“ als Vorschuss, Kredit und Schuld, in seiner „Verdopplung“ als Bargeld und Obligation: Die neue Banknote ist Geld und Anti-Geld zugleich. Bisher war Papiergeld als Zahlungsmittel ja überhaupt nicht in Umlauf. Als Zahlungsversprechen (Wechsel) entsprach es einem Schuldschein – und das Vertrauen in diese „Quittungen“, „Noten“, „Billets“ und „Zettel“, die als goldsmith notes bei Goldschmieden, später dann bei Banken, eingelöst wurden, beruhte eben darauf, dass sie jederzeit durch Kurantmünzen und Edelmetallbarren abgesichert waren – und dass der Souverän für ihre Annahmepflicht bürgte. Mit dem Referenzverlust des Papiergeldes stellt sich nun die bange Frage, ob die Weigerung der Bank, das Metallgeld auszuzahlen, nicht das gleiche bedeutet wie die Weigerung der Bank, überhaupt (jemals) zu zahlen – und das Wunder der bank-restriction besteht darin, dass der Anspruch auf Einlösung eines Schuldtitels ohne Bedeutung ist, sofern man sich einig ist, den Anspruch (vorerst) aufzugeben – und das Zahlungsversprechen einfach weiter reicht. Es ist ziemlich exakt das, worum es in der Forderung nach einer „Verewigung von Schulden“ auch in diesen Wochen geht: um eine Ausweitung der Geldschöpfung, die das Band wechselseitiger Abhängigkeit stärkt.

    Zu den problematischen Folgen dieser monetären Umformatierung damals gehört, dass sich Schuld und Schulden nicht mehr eindeutig zurückverfolgen lassen, dass sich Zahlungsketten fiktionalisieren. Bereits Adam Smith weiß von Schuldnern zu erzählen, die ihre Schulden durch immer neue Schulden bezahlen – was bei Fälligkeit und Präsentation der Wechsel zwangsläufig zu einer Serie von Bankrotten führen müsse – irgendwann. Denn einerseits sind die Zahlungen „völlig fiktiv“ so Smith, weil „der Strom, den die umlaufenden Wechsel aus den Tresoren der Banken fließen ließen, niemals durch einen anderen ersetzt [wurde], der tatsächlich wieder dorthin zurücklief“. Andererseits gilt: „Selbst wenn alle zahlungsunfähig werden…, was durchaus wahrscheinlich ist, wäre es doch reiner Zufall, falls sie es innerhalb kurzer Zeit würden.“ Hellsichtig erkennt Smith, dass sich mit dem neuen Papiergeld eine neue Pumpwirtschaft und mit der neuen Pumpwirtschaft eine neue Mentalität der Sorglosigkeit ausbreitet: „Das Haus ist zwar baufällig und wird nicht mehr lange stehen, sagt sich ein müder Reisender, aber es wäre schierer Zufall, wenn es gerade heute Nacht einstürzte; ich will es daher wagen, darin zu übernachten.“

    Schöner kann man es auch heute nicht ausdrücken. Denn das ist der Kern: Die Genialität der Bank of England besteht nicht etwa darin, die eklatante Deckungslücke des neuen Papiergeldes zu verheimlichen, sondern darin, sie zur offiziellen Geschäftsgrundlage zu erklären: in der offiziellen Verzeitlichung der Einlösepflicht – in dem frechen Versprechen, eine Kompensation der umlaufenden Schulden nicht etwa anzustreben, sondern vorerst auszuschließen. Nur weil es als Schein-Haftes zirkuliert, als Geld und Schuld zugleich, steigt es zum schuldenfrisierten Hybridmotor der Wirtschaft auf. Nur weil alles Gold und Silber der Welt nicht ausreicht, die Ansprüche aller zu befriedigen, die dieses Gold und Silber auf einmal begehren, ist es zugleich Ausgleich und dauernder Anspruch, Bargeld und ständige Forderung, Zahlungsmittel und ewiges Versprechen – zugleich money and claim, ein monetärer Verschnitt seiner Geld- und Krediteigenschaften, ein zur Einheit aus Bonität und Zahlungsunfähigkeit verdichteter Widerspruch, der seinen Nutzern einen unendlichen Aufschub einräumt: Jede Zahlung eröffnet die Aussicht auf eine anschließende Zahlung; und jedes Zahlungsversprechen hat immer weitere, also prinzipiell unabschließbar viele Zahlungsversprechen zur Folge…

    Eine Kompensation der umlaufenden Schulden ist in diesem Geldsystem explizit nicht mehr gewünscht – und seine Stabilität besteht einzig und allein darin, dass jeder in ihm auf den anderen verwiesen ist, weil er weiß, dass das, was er (nicht) besitzt, immer auch von allen anderen (nicht) besessen wird. Der kontrollierte Bankrott wird dadurch gleichsam mitlaufend zur Institution der neuen Scheinwirtschaft, die aufgeschobene Insolvenz zu ihrem konstitutiven Faktor, die systematische Verschuldung zu ihrem mitlaufenden Credo. Ganz so wie heute.

    Und – wie geht die Geschichte aus? Damals gut. Die bank-restriction endet vor exakt 200 Jahren mit der sogenannten Peel’s Bill, der sukzessiven Rückkehr Großbritanniens zum Goldstandard, der Rettung des werthaltigen Geldes. Der konservative Staatsmann und spätere Premier Sir Robert Peel setzte die Reform damals durch – gegen den Widerstand von Finanziers, Industriellen und Spekulanten, die, damals wie heute, zu den größten Profiteuren der Geldexpansion zähl(t)en.

    Und heute? Heute sind Staatschefs und Finanzmarktakteure so stark aufeinander angewiesen, dass eine Lösung unmöglich scheint, weil jede weitere Krise weitere Notfallmaßnahmen erfordert – und das Schuldenproblem dadurch zugleich verzeitlicht und verschärft wird. Geschichte wiederholt sich nicht, klar. Aber ihre Episoden enden ganz sicher – irgendwann. Auch die Episode der „ewigen Schulden“.

    #capitalisme #crise #histoire #spéculation #dettes #fiat_money #amazon #gafam #platform_capitalism #Europe

  • Face au manque d’eau, les Chiliens s’entraident
    https://reporterre.net/Face-au-manque-d-eau-les-Chiliens-s-entraident

    Au Chili, selon Greenpeace, plus de 350.000 Chiliens se trouveraient dans cette situation de pénurie et ne pourraient donc pas se protéger du coronavirus. Dans une pétition lancée le 30 mars dernier et intitulée Suelta el Agua (Libérez l’eau), l’organisation environnementale appelait le gouvernement de Sebastián Piñera à déployer un plan d’urgence de distribution d’eau potable. Selon le directeur de Greenpeace Chile, Matías Asun, « le manque d’eau est en train de se transformer en ennemi létal ». Alors que le Chili compte en moyenne 400 nouveaux cas par jour, les autorités nationales ne se sont pas exprimées, à ce jour, sur les conséquences sanitaires que pourrait engendrer la pénurie de l’or bleu dans plusieurs régions. Car l’eau au Chili peut être aisément qualifiée d’« or » bleu : avec les sécheresses répétées, elle est de plus en plus rare ; de par son usage privatisé, elle est majoritairement entre les mains des plus grandes entreprises extractives et des plus grandes fortunes.[...]

    C’est le modèle néolibéral instauré dans les années 1980 qui a mis en place ce système de privatisation de l’eau. Aujourd’hui, c’est encore le Code des eaux de 1981 qui régit l’usage de l’eau et qui la définit comme un bien à usage public (« bien de uso publico »), mais aussi comme un bien économique. Ce système a fait naître le marché de l’eau au Chili et a permis l’émergence d’entreprise comme Actiagro qui propose la vente aux enchères des cours d’eau. Aujourd’hui, selon le ministère des Œuvres publiques, plus de 132.000 « droits de profit de l’eau » ont été cédés, et en grande partie aux géants de l’agro-exportation, aux entreprises minières et hydro-électriques.

    #eau #privatisation #pénurie #spéculation

  • Ossigeno privato

    La #Luxfer_Gas_Cylinders di #Clermont-Ferrand, in Francia, era la sola fabbrica europea a produrre bombole per l’ossigeno medicale di alta qualità. Lo stabilimento faceva utili, ma una manovra speculativa dei proprietari ne ha decretato la chiusura nel 2019
    È il 26 novembre del 2018, quando un “manager di transizione” del gruppo britannico #Luxfer_Holding Plc annuncia la chiusura del sito industriale. A Gerzat, nella banlieu Nord di Clermont-Ferrand, gli operai sono increduli. La lista di comande è lunga un’infinità e la fabbrica funziona bene: nel 2018 la cifra d’affari è stata di 22 milioni di euro, l’utile netto di un milione, in progressione del 55% rispetto all’anno precedente. Inoltre, lo stabilimento era stato acquisito nel 2001 per pochi euro ad una società nazionalizzata: sono dunque i contribuenti francesi che hanno finanziato i macchinari e il savoir-faire dell’impresa. Eppure la casa madre, detenuta da fondi d’investimento come BlackRock e Fidelity, decide che lo stabilimento francese va chiuso. L’unica fabbrica europea attiva nella produzione di bombole per l’ossigeno d’alluminio, oltre la metà delle quali destinate ad uso medico, viene così bloccata nel giugno del 2019. I 136 impiegati della Luxer Gas Cylinders sono licenziati dopo che, tra marzo e aprile 2019, avevano bloccato per un mese le attività. Un conflitto sociale che è continuato fino ad oggi, in un contesto in cui, a causa dell’emergenza Coronavirus, le carenze di bombole d’ossigeno, a suo tempo preannunciata dagli ex dipendenti, è una triste realtà in Europa.

    Luxfer ha giustificato la chiusura del sito francese con il “deteriorato contesto economico”. Il gruppo holding britannico ha così deciso di “riorganizzare la sua attività concentrando questa attività negli stabilimenti di Notthingham (Gb) e Riverside (Usa)”. Per i sindacati francesi, in realtà, si tratta di una pura e semplice speculazione: “Il gruppo, che ha una sorta di monopolio sul settore, ha voluto sostituire i prodotti di altissima qualità realizzati in Francia con altri di qualità inferiore fabbricati altrove, a costi di produzione più bassi e prezzi di vendita in crescita del 12%” spiega ad area Axel Peronczyk, rappresentante sindacale della Cgt.

    Per i sindacati non vi era dubbio: le soluzioni c’erano per rivitalizzare il sito e mantenere l’attività in Francia. Addirittura, 55 operai avevano messo in piedi un piano per riacquistare la fabbrica e ripartire in autonomia. I vertici dello Stato e dell’azienda hanno però fatto scena muta. In gennaio, la mobilitazione si è accentuata quando, dopo l’invio di alcuni bulldozer, gli ex operai si sono visti obbligati ad occupare la fabbrica 24 ore su 24: “Occorreva impedire che i proprietari entrassero di notte e smontassero le nostre efficienti macchine pezzo per pezzo, il che avrebbe segnato la fine di tutte le possibilità di rifare partire il lavoro” ci spiega ancora Axel Peronczyk.

    L’occupazione impedisce la distruzione dei mezzi di produzione e dura fino al 19 marzo, nel bel mezzo della crisi del Coronavirus. Per rispettare le misure di contenimento, gli ex dipendenti decidono di rimettere il sito sotto la responsabilità della prefettura. I lavoratori in lotta prendono alla lettera il discorso del presidente Emmanuel Macron del 12 marzo quando ha affermato che “quello che questa pandemia rivela è che ci sono beni e servizi che devono essere posti al di fuori delle leggi del mercato". Si chiede così, grazie anche ad un appoggio di 110mila firme raccolte in una settimana su change.org, una “nazionalizzazione totale e definitiva” della fabbrica e di un immediato riavvio delle attività per evitare carenze e salvare vite umane.

    Una proposta nemmeno presa in considerazione dal Governo. Lo scorso 2 aprile, Bruno Le Maire, il Ministro dell’economia, ha dichiarato che «né i dipendenti né le macchine sono disponibili per riprendere l’attività, che è stata interrotta dalla fine del 2019, il che rende impossibile la produzione». La realtà sembrerebbe diversa, secondo i piani proposti dai dipendenti e i loro rappresentanti. “In un momento in cui sempre più pazienti vengono spostati da una regione all’altra e trasportati dalle loro case agli ospedali, il bisogno di ossigeno sta aumentando e sta diventando irresponsabile, persino omicida, continuare a non prendere una coraggiosa decisione politica per limitare le conseguenze umane” afferma sempre Axel Peronczyk.

    Per il sindacalista è ora di tradurre nei fatti le parole dette da Macron che, però, sembrano essere il classico slogan vuoto. Se la politica latita e gli speculatori speculano, gli ex dipendenti sono pronti a portare le loro competenze e conoscenze per servire l’interesse generale e preservare la salute di tutti. Per il momento, l’azione dei lavoratori ha salvato la fabbrica. Ma per potere salvare il lavoro ci vuole ora un gesto forte da Parigi.

    https://www.areaonline.ch/Ossigeno-privato-ecfcf400
    #France #oxygène #oxygène_médical #Gerzat #industrie #fermeture #Black_Rock #fidelity #BlackRock #nationalisation #bouteilles_d'oxygène #résistance #désindustrialisation #délocalisation #spéculation

  • German Ventilator Manufacturer: «Absolutely Mission Impossible» - DER SPIEGEL
    https://www.spiegel.de/international/germany/german-ventilator-manufacturer-absolutely-mission-impossible-a-549d1e18-8c21

    DER SPIEGEL: Why aren’t there enough masks out there?

    Dräger: When the crisis started, speculators quickly stepped in. They bought masks by the container, and are now selling them at extortionate prices. [...]

    #spéculation #masques #covid-19 #coronavirus #sars-cov2

  • What the #coronavirus market fall means for your pension | Money | The Guardian
    https://www.theguardian.com/money/2020/mar/09/what-the-coronavirus-market-fall-means-for-your-pension?CMP=share_btn_t
    https://i.guim.co.uk/img/media/0975a2648156369bb035c2de114221592a5a166f/759_541_3599_2159/master/3599.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
    #retraites

    Savers are nursing losses approaching 10% in their pension schemes since the start of the coronavirus market panic, while holders of share Isas have lost as much as a quarter of all their money in some funds.

    The stock market rout means someone who had accumulated £250,000 in their pension scheme at the start of this year will have seen it shrivel to about £225,000 on Monday.

  • BlackRock et les #Retraites : pourquoi et comment le gestionnaire d’actifs joue un rôle dans la réforme
    https://www.bastamag.net/BlackRock-reforme-retraite-age-pivot-capitalisation-epargne-lobbying

    Qu’est-ce que BlackRock ? Pourquoi cette société financière est-elle aussi puissante ? Quels sont ses liens avec les dirigeants politiques ? Et pourquoi s’intéresse-t-elle de si près à l’avenir de notre système de retraite ? La polémique ne cesse d’enfler : BlackRock joue-t-il un rôle dans les projets de Macron et de son gouvernement sur les retraites ? Le gouvernement s’en défend. Pourtant, le lobbying de Blackrock et les déclarations même des ses dirigeants laissent penser le le contraire. Qu’est-ce (...) #Décrypter

    / Quel avenir pour nos #Protections_sociales ?, Retraites, A la une, #Finance, #Spéculation_financière, #Multinationales, Protections (...)

    #Quel_avenir_pour_nos_protections_sociales_ ?

  • #Madrid : #La_Emboscada menacée d’expulsion
    https://fr.squat.net/2019/12/20/madrid-la-emboscada-menacee-dexpulsion

    Vendredi 20 décembre Salut, Nous vous écrivons ce communiqué de la Emboscada (Tetuán, Madrid), pour vous informer que le 17 décembre dernier, un juge a ordonné notre expulsion préventive sur la base d’une plainte déposée par l’un des propriétaires de notre espace occupé anarchiste La Emboscada. Selon ce rapport, l’expulsion peut être très proche, dans […]

    #actions_directes #Espagne #gentrification #rassemblement #spéculation #Tetuán

  • Et si on supprimait la Bourse ?
    https://usbeketrica.com/article/et-si-on-supprimait-la-bourse

    Les traders vivraient une expérience proche de celle de Milgram : plus on déconnecte un humain des conséquences de ses actes, plus il ira loin dans la transgression des limites. Mais qui fixe les limites ? Si ce sont les drogués du jeu en personne, alors il n’y a plus de contre-pouvoir et la menace n’a plus rien d’une menace fantôme.

    #speculation #economie #bourse #trading #crowdfunding

  • Se nourrir : vieux problèmes, nouveaux défis (1/4) : Éradiquer la faim : mission impossible ?
    https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/se-nourrir-vieux-problemes-nouveaux-defis-14-eradiquer-la-faim-mission


    en ce moment...

    Alors que le phénomène de sous-nutrition était en recul jusqu’en 2015, on constate depuis lors une inversion de la courbe. Selon le dernier rapport de la FAO, quelques 821 millions de personnes, soit une sur 9, ne reçoivent pas assez de nourriture.Comment s’explique cette inversion de la tendance ?

    #faim #émeute_de_la_faim #pénurie #spéculation #alimentation #exportation #souveraineté_alimentaire

  • Fonds de pension : l’avenir de nos #Retraites se jouera-t-il bientôt sur les marchés boursiers ?
    https://www.bastamag.net/Reforme-des-retraites-regimes-speciaux-baisse-des-pensions-marches-financi

    La future réforme des retraites incitera ceux qui le peuvent à miser sur des retraites complémentaires par capitalisation. Ils alimenteront ainsi des fonds de pension qui s’enrichissent grâce à la spéculation immobilière, aux privatisations ou... à la réduction des coûts dans les maisons de retraite. Les deux grands groupes privés de maisons de retraites français, Orpea et Korian, font régulièrement la une des médias pour les conditions de prise en charge des retraités et de travail de leurs salariés. (...) #Décrypter

    / #Protections_sociales, #Finance, #Spéculation_financière, Quel avenir pour nos protections sociales ?, Retraites, A la (...)

    #Quel_avenir_pour_nos_protections_sociales_ ?

  • #Dijon : Thierry Coursin, un empereur de façades
    https://fr.squat.net/2019/09/09/dijon-thierry-coursin-un-empereur-de-facades

    L’ex-directeur de cabinet de Rebsamen, devenu entrepreneur à plein temps après la privatisation sauvage de la société d’aménagement de l’agglomération dijonnaise en 2016, est propriétaire d’un bâtiment occupé par des migrants menacés d’expulsion actuellement. Mafia ou pantomime ? Depuis octobre 2018, plusieurs dizaines de personnes migrantes ont trouvé domicile dans les anciens locaux de la […]

    #Chenôve #sans-papiers #spéculation #Squat_de_la_CPAM #squat_du_30_boulevard_Henri_Bazin

  • Baisse des pensions, creusement des inégalités : ce qu’annonce le projet de réforme des #Retraites
    https://www.bastamag.net/Reforme-retraites-pensions-64-ans-Delevoye-regimes-speciaux-capitalisation

    Les grandes lignes du projet de réforme de retraites de Macron ont été dévoilées en plein mois de juillet. Le passage au système à points, l’abandon du calcul sur les 25 meilleures années, et la possibilité d’un taux plein à seulement 64 ans auront une conséquence évidente : la réduction des pensions et le creusement des inégalités entre retraités, cadres et ouvriers, hommes et femmes. Tout en ouvrant un peu plus les retraites aux marchés financiers, via le système de la capitalisation. Les négociations (...) #Décrypter

    / Quel avenir pour nos #Protections_sociales ?, Retraites, #Revenus, #Spéculation_financière, Protections sociales, A la (...)

    #Quel_avenir_pour_nos_protections_sociales_ ?

  • Amusant : les « marchés » se sont plantés en spéculant sur l’essor des véhicules électriques. Le #lithium n’a plus la cote.

    La voiture électrique en panne de batterie n’a plus la cote : le prix du lithium s’effondre | Atlantico.fr
    https://www.atlantico.fr/decryptage/3577463/la-voiture-electrique-en-panne-de-batterie-n-a-plus-la-cote--le-prix-du-li

    Les anticipations de besoin en lithium depuis 2015 avaient déclenché une spéculation effrénée et du coup, fait exploser les prix et les investissements. Depuis quelques mois, les marchés ont pris conscience que la demande en batterie pour les voitures électriques ne serait pas aussi importante que l’ampleur des mouvements écologistes le laissait présager. Les prix se sont retournés à la baisse.

    .../...

    L’offre de véhicule électrique est devenue excédentaire et les constructeurs notent une évolution dans le comportement du consommateur. La voiture électrique est certes plus propre à l’usage que la voiture à carburation, mais son bilan carbone est-il véritablement meilleur que la voiture à essence (ou même au diesel), compte tenu des progrès technologiques réalisés sur les moteurs, compte tenu de la pollution entrainée par l’exploitation du lithium et des difficultés de recyclage des vieilles batteries. Sans parler des difficultés de recharge des batteries qui limitent actuellement le développement de l’électrique.

    #accaparement (spéculatif)

  • #Barcelone : Nous avons réoccupé #Ca_La_Trava
    https://fr.squat.net/2019/07/27/barcelone-nous-avons-reoccupe-ca-la-trava

    Nous sommes retourné-e-s à Ca La Trava, maintenant une parcelle vide, et nous n’avons pas l’intention de partir. Cet espace, jusqu’à présent fermé, sera à nouveau ouvert au quartier, et nous le défendrons comme nous avons défendu nos maisons. Nous voulons que ce soit à nouveau une tranchée pour résister à l’assaut des spéculateurs et […]

    #Espagne #gentrification #réoccupation #spéculation #Travessera_de_Gràcia_154

  • Pendant que Paris se contente de les « encadrer », Berlin gèle les loyers pendant cinq ans
    https://www.bastamag.net/gel-loyer-encadrement-augmentation-locataires-immobilier-logement-Paris-Be

    Paris a relancé le 1er juillet un encadrement des loyers, immédiatement contesté par les gros propriétaires immobiliers. La capitale allemande, dirigée par une alliance des gauches, va plus loin en décidant de geler les loyers pendant cinq ans. Depuis le 1er juillet, l’encadrement des loyers est de retour à Paris. Le principe avait été initié par la loi Alur de Cécile Duflot, et a été appliqué entre 2015 et 2017. Cet encadrement a ensuite été annulé sur décision du tribunal administratif, suite à un (...) #Résister

    / #Luttes_sociales, #Habitat_écologique_et_social, #Europe, #Logement, #Spéculation_financière, A la (...)

  • Bruxelles en mouvements n°300 - Mai-juin 2019
    http://www.ieb.be

    Ce numéro a été coordonné par Gautier Briade, Sarah De Laet, Maud Marsin et Andreas Stathopoulos. Illustrations de Philippe Meersseman.
    • Introduction : 286 + 300 = 40 ans d’histoire et de luttes urbaines
    • Planification urbaine & rapports de force sociopolitiques
    • Le Carré des Chardons restera-t-il un espace vert ?
    • Protéger et valoriser l’îlot industriel Citroën à la place de l’Yser
    • Le goût du G ?
    • La guerre des tours
    • Bruxelles, la marque qui tue la mort !
    • Le capitalisme vert est-il une bonne affaire du point de vue social ?
    • IEB et les mobilisations citoyennes : le Quartier Midi
    • La Cityvision, un choix citoyen
    • Réapproprier les espaces publics : pour mieux dominer ?
    • Voyage au centre commercial : la bulle financière

    Éditorial
    • Le journal de l’A-bruxellisation !

    DOSSIER : Il était 300 fois
    Dans ce numéro anniversaire, nous vous proposons de (re)découvrir une série de textes parus au cours de ces deux décennies. Ces textes nous paraissent intéressants par leur actualité persévérante, par l’éclairage qu’ils peuvent apporter à des processus actuels, ou encore pour ce qu’ils peuvent nous dire de l’évolution d’Inter-Environnement Bruxelles (IEB), fédération de comités de quartier et de groupes d’habitants.
    C’est aussi la preuve par 300 que le travail mené par les habitant·e·s et les associations – même s’il s’apparente parfois à celui de Sisyphe et qu’il est parsemé de réussites ou d’échecs –, se révèle bien nécessaire pour préserver la qualité de vie des Bruxellois·e·s et donner forme à une ville qui répond aux besoins de toutes et tous.

    Liste des points de dépôt De bonnes adresses
    Bruxelles en mouvements est distribué dans une série de lieux bruxellois.
    Anderlecht
    • Bibliothèque communale, rue du Chapelain, 1-7.
    • Centre culturel Escale nord, rue du Chapelain, 1-7.
    • Campus CERIA, avenue Emile Gryson, 1.
    • Ecole Ouvrière Supérieure, route de Lennik, 808.
    • Boutique culturelle, rue Van Lint, 16.
    • Centre d’entreprises Euclides, rue du Chimiste, 34-36.
    • CuroHall, rue Ropsy Chaudron, 7.
    • Les Pissenlits, chaussée de Mons, 192.
    • Union des locataires, Chaussée de Mons, 213.
    • Syndicat des locataires, square Albert Ier, 22.
    • Cosmos, rue Docteur de Meersman, 14.

    Bruxelles-Ville – Laeken
    • Bibliothèque Bockstael, boulevard Emile Bockstael, 246.
    • Maison de la Création, place Bockstael.
    • Maison de Quartier Espace S, rue de la Comtesse de Flandre, 4.
    • Maison de Quartier Mellery, rue Mathieu Desmaré, 10.
    • Cité Modèle - Maison de Quartier, avenue des Citronniers, 61.
    • Maison de la Création / Centre culturel BXL Nord, rue du Champ de l’Eglise, 2.
    • Maison de Quartier Willems, chaussée de Wemmel, 37.
    • Bruxelles BRAVVO, rue Moorslede, 54.
    • Parckfarm, parc de Tour et Taxis.

    Bruxelles-Ville – Neder-Over-Heembeek
    • Maison de la Création NOH, place Saint-Nicolas.
    • Maison de Quartier Rossignol, chemin du Rossignol, 18-20.

    Bruxelles-Ville – Pentagone
    • Point-Culture, rue Royale, 145.
    • Facultés universitaires Saint-Louis, boulevard du Jardin Botanique, 43.
    • Bozar, rue Ravenstein, 23.
    • NOVA, rue d’Arenberg, 3.
    • A la Mort Subite, rue Montagne-aux-Herbes-Potagères, 7.
    • Tropismes, Galerie du Roi, 11.
    • HOB, place de la Monnaie, 6.
    • Quartier Latin, place des Martyrs, 13.
    • El Metteko, boulevard Anspach, 88.
    • Le Coq, rue Auguste Orts, 14.
    • Halles Saint-Géry, place Saint-Géry.
    • Centre culturel des Riches Claires, rue des Riches Claires, 24.
    • Bibliothèque, rue des Riches Claires, 24.
    • Fin de siècle, rue des Chartreux, 9.
    • Den Teepot, Rue des Chartreux, 66.
    • Ligue des Droits de l’Homme, rue du Boulet, 22.
    • Onthaal Café, rue du Vieux Marché aux Grains, 5.
    • Passa porta, rue Antoine Dansaert, 46.
    • De Markten, Rue du Vieux Marché aux Grains, 5.
    • Centre Dansaert, rue d’Alost, 7.
    • Micromarché, quai à la Houille, 9.
    • KVS – Koninklijke Vlaamse Schouwburg, KVS Box, quai aux Pierres de Taille, 9.
    • Bruxelles Nous Appartient, rue de Laeken, 119.
    • Théâtre National, boulevard Emile Jacqmain, 111.
    • La Ferme du Parc Maximilien, quai du Batelage, 2.
    • Café Boom, rue Pletinckx, 7.
    • Académie des Beaux-Arts, rue du Midi, 144.
    • Centre Bruxellois d’Action Interculturelle – CBAI, avenue de Stalingrad, 24.
    • Bruxelles Laïque, avenue de Stalingrad, 8.
    • Pêle-mêle, boulevard Lemonnier, 55.
    • IHECS, rue de l’Etuve, 58.
    • Au Soleil, rue du Marché au Charbon, 86.
    • Recyclart, rue des Ursulines, 25.
    • Marché bio, rue des Tanneurs, 58-62.
    • Archives de la Ville de Bruxelles, rue des Tanneurs, 65.
    • Il est une fois, rue du Chevreuil, 20.
    • Chaff, place du Jeu de Balle, 21.
    • L’imaginaire, place du Jeu de Balle.
    • Warm water- L’eau chaude, rue des Renards, 25.
    • Pianocktail, rue Haute, 304.
    • Le 88 asbl, rue Haute, 88.

    Etterbeek
    • Bibliothèque néerlandophone, avenue d’Audergem, 191.
    • Atelier 210, chaussée Saint-Pierre, 210.
    • ATD Quart-Monde Belgique asbl, avenue Victor Jacobs, 12.
    • Centre culturel Senghor, Chaussée de Wavre, 366.
    • Bibliothèque Hergé, avenue de la Chasse, 211.
    • Maison Médicale Maelbeek, rue de l’Etang, 131.
    • Habitat et Rénovation, rue Gray, 81.
    • Maison de quartier Chambéry, rue de Chambéry, 24-26.

    Forest
    • Brass, avenue Van Volxem, 364.

    Ixelles
    • Horloge du Sud, rue du Trône, 141.
    • Bibliothèque Mercelis, rue Mercelis.
    • CIVA, Rue de l’Ermitage 55.
    • Le Pantin, Chaussée d’ixelles 355.
    • Mundo-B, rue d’Edimbourg, 26.
    • Varia, rue du Sceptre, 78.
    • ERG, rue du Page, 80.
    • Peinture fraîche, place de la Trinité.
    • Pêle-mêle, chaussée de Waterloo, 566.
    • Ecole AS IESSID, rue de l’Abbaye, 26.
    • Point Culture - Médiathèque ULB, Campus du Solbosch.
    • ULB - PUB, avenue Paul Héger, 42.
    • Gracq, rue de Londres, 15.
    • Maison des Solidarités, rue du Viaduc, 133.
    • La Cambre, place Eugène Flagey, 19.
    • Bike paradise, rue Américaine, 101.
    • Maison de la Paix, rue Van Elewyck, 35.
    • Point Culture - Médiathèque ULB, Campus de la plaine.
    • La Cambre, Abbaye de la Cambre.
    • La Cambre, avenue Louise.

    Jette
    • Centre Armillaire, boulevard de Smet de Naeyer, 145.
    • Bibliothèque Mercier, place Cardinal Mercier, 10.
    • Café Excelsior, rue de l’Eglise Saint-Pierre, 8.
    • Rouf-Ressourcerie Textile , chaussée de Wemmel, 37.
    • Maison médicale Antenne Tournesol, rue Henri Werrie, 69.
    • Maison médicale Esseghem, rue Esseghem, 24.

    Molenbeek-Saint-Jean
    • Maison des Cultures, rue Mommaerts, 4.
    • Centre communautaire Maritime, rue VandenBoogaerde, 93.
    • La Raffinerie, rue de Manchester, 21.
    • La Fonderie, rue Ransfort, 27.
    • Café de La Rue, rue de la Colonne, 30.
    • Centrum West asbl, rue de Menin, 42.
    • La Rue, rue Ransfort, 61.
    • Buurthuis Bonnevie, rue Bonnevie, 40.
    • Maison de quartier Heyvaert, quai de l’Industrie, 32.
    • Maison médicale Norman Béthune, rue Piers, 68.
    • RBDH (Rassemblement Bruxellois pour le Droit à l’Habitat), quai du Hainaut, 29.

    Saint-Gilles
    • Les 3 frères, place Morichar.
    • La Boule d’Or, avenue du Parc, 116.
    • Brasserie de l’union, Parvis de Saint-Gilles, 55.
    • Brasserie Verschuren, Parvis de Saint-Gilles, 11.
    • Maison du livre, rue de Rome, 24.
    • Centre culturel J. Franck, chaussée de Waterloo, 94.
    • Manuka, rue du Fort, 1.
    • De Piano Fabriek, rue du Fort, 35A.
    • Smart , rue Émile Féron, 70.
    • Cafétéria Village Partenaire, rue Fernand Bernier, 15.

    Saint-Josse
    • Radio Panik, rue Saint-Josse, 49.
    • Amazone asbl, rue du Méridien, 10.
    • Bibliothèque communale de Saint-Josse, rue de la Limite, 2.
    • GSARA, rue du Marteau, 26.
    • FABRIK , rue de la Commune, 62.
    • Filigranes, avenue des Arts.
    • Théatre de la vie, rue Traversière, 45.
    • Ateliers Mommen, rue de la charité.
    • Haecht 51-53, chaussée de Haecht, 51-53.

    Schaerbeek
    • Ecole de promotion sociale, rue de la Poste, 111.
    • CVB, rue de la Poste, 111.
    • L’âne vert - L’âne fou, rue Royale Sainte-Marie, 11.
    • Halles de Schaerbeek, rue Sainte-Marie, 13.
    • Bar du Gaspi, Chaussée de Haecht, 309.
    • Le Barboteur, avenue Louis Bertrand, 23.
    • Les idées à la pelle, avenue Louis Bertrand, 25.
    • Centre Culturel de Schaerbeek, rue de Locht, 91/93.
    • Soleil du Nord, place Gaucheret, 20.
    • Maison médicale Le Noyer, avenue Félix Marchal, 1a.

    Uccle
    • Candelaershuys, avenue Brugmann, 433.
    • Bibliothèque communale, rue du Doyenné, 64.
    • La Roseraie, chaussée d’Alsemberg, 1299.
    • Bibliothèque communale flamande, rue de Broyer, 27.
    • Ecole des Arts, avenue De Fré, 11.
    • Coté Village, chaussée d’Alsemberg, 895.
    • Centre culturel d’Uccle, rue Rouge, 47.
    • ISTI, rue J. Hazard, 34.
    • Centre Montjoie, chaussée de Waterloo, 935.

    Watermael-Boitsfort
    • Espace Delvaux, rue Gratès, 3.
    • Bibliothèque communale, rue des Trois-Tilleuls, 32.
    • Psylophone, rue de l’Hospice communal, 90.
    • La Vénerie, place Antoine Gilson, 3.

    Woluwe-Saint-Lambert
    • Cook & Book, avenue Paul Hymans, 251.
    • Le 75, avenue J.-Fr. Debecker, 10.
    • Chantier du Temps Libre, cours Paul Henri Spaak, 1.

    Abonnez-vous à Bruxelles en mouvements

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