Non, c’est un préjugé. En réalité ils sont aussi utilisés, ou similaires, sans qu’on le percute, par des applis tierces. Par exemple, dans les flux twitter des applis smartphone, cliquer un lien n’ouvre pas la page web dans le navigateur, mais propose une vue expurgée, au sein de l’appli. Quand on sait l’emprise des réseaux sociaux, on n’est plus dans l’élite hyper minoritaire.
Ils sont également utilisés, de façon consciente cette fois, par les publics en difficulté de lecture sur le web : un clic sur le bouton Clearly et pouf, la page est lisible.
Ceci dit, je n’ai pas trouvé de stats. D’ailleurs, j’ignore si ces modes de consultation sont quantifiables.
Nous sommes d’accord sur la vocation du graphisme. Encore faut-il qu’il soit vu — ou fait de façon à ne pas donner envie de le zapper pour pouvoir lire…