• Des ingénieurs publient leurs mails de refus aux offres d’embauche de la Silicon Valley
    https://usbeketrica.com/article/des-ingenieurs-publient-leurs-mails-de-refus-aux-offres-d-embauche-de-l

    Vente d’un logiciel de reconnaissance faciale à des services de police, collaboration avec la société de big data Palantir ou avec les services d’immigration… Les décisions prises ces derniers mois par certains géants de la tech ont créé un vent de révolte en interne, avec l’émergence au printemps de plusieurs pétitions massivement signées. Mais la rébellion se propage : certains ingénieurs sollicités par ces mêmes entreprises publient désormais sur les réseaux sociaux leurs mails de refus aux offres (...)

    #Google #ICE #Palantir #IBM #Amazon #Facebook #Twitter #algorithme #CCTV #Rekognition #facial #surveillance #vidéo-surveillance #biométrie (...)

    ##ACLU

  • Questions sur le possible retour de Google en Chine
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/08/29/avec-son-potentiel-retour-en-chine-google-est-devant-un-enorme-dilemme_53477

    Chercheur à l’ONG Amnesty International, Patrick Poon s’inquiète des conséquences du retour du leader incontesté des moteurs de recherche à Pékin. Google est confronté depuis plusieurs semaines à de vives critiques, tant internes qu’externes, après la révélation par la presse américaine de l’existence d’un projet de moteur de recherche à destination de la Chine. Connu sous le nom de « DragonFly », ce projet signifierait un retour de Google dans le pays, que l’entreprise avait quitté en 2010 pour protester (...)

    #Google #Baidu #GoogleSearch #Twitter #Weibo #WhatsApp #WeChat #censure #Dragonfly #TheGreatFirewallofChina #Amnesty (...)

    ##Facebook

  • Et si Twitter vous suggérait les personnes à ne plus suivre ?
    https://www.numerama.com/tech/412568-et-si-twitter-vous-suggerait-les-personnes-a-ne-plus-suivre.html

    Le réseau social Twitter expérimente une option suggérant les personnes à ne plus suivre, en se basant sur le niveau d’interaction que les membres ont entre eux. Utiliseriez-vous une option vous suggérant de couper les ponts avec une personne qui est inscrite sur le même réseau social que vous ? C’est ce que cherche à savoir Twitter, avec une expérimentation impliquant une poignée d’internautes. Repérée par David Pearce, qui dirige les opérations marketing d’une ONG, la fonction lui a conseillé de se (...)

    #Twitter #algorithme #contrôle #SocialNetwork

  • ’It’s Pretty Cool He Was in a Band’ : Texas Republicans’ Attempt to Shame Beta O’Rourke for Punk Rock Past Hilariously Backfires | Alternet
    https://www.alternet.org/news-amp-politics/its-pretty-cool-he-was-band-texas-republicans-attempt-shame-beta-orourke-p

    Trop fun : quand le Parti Républicain essaie de décrédibiliser un candidat démocrate du Texas en expliquant qu’il était membre d’un groupe de punk... voilà que cela se retourne contre lui. ne série d’exemple de Tweets trop drôles.

    The Texas Republican Party tried to shame Democratic candidate Beto O’Rourke on Twitter for his unconventional past — but it hilariously backfired.

    The 45-year-old O’Rourke played bass in the alternative band Foss, which released a pair of albums on Western Breed Records and toured the U.S. and Canada in the mid-1990s, and he has openly discussed his arrests on misdemeanor charges during that same period.

    O’Rourke was charged in 1995 with burglary for jumping a fence at the University of Texas at El Paso and in 1998 with driving under the influence, but he was not convicted of either charge and has publicly addressed his arrests when asked.

    #Politique_USA #Twitter #E_reputation

  • (2) Les puissants partenaires de #DisinfoLab – et leurs effets… #DisinfoGate
    https://www.les-crises.fr/2-les-puissants-partenaires-de-disinfolab-et-leurs-effets

    Nous reprenons aujourd’hui nos analyses sur la galaxie DisinfoLab, qui va nous emmener assez loin… Vous pouvez relire la première partie est ici. L’affaire prenant de l’ampleur, nous avons vraiment besoin de votre soutien. Dans un premier temps, vous pouvez nous le témoignez d’une façon très simple et rapide : en vous abonnant à notre […]

    #Désinformation #désinformation

    • Rappels
      Un associé de poids
      Des partenaires dans la lutte contre la désinformation “légèrement” orientés
      Synthèse des partenaires et financeurs
      Médiatisation express et insubmersibilité
      Toujours sur le pont !
      Qui c’est le plus fort – pour le lobbying avec l’OTAN ?
      Une ONG bien en Cour auprès des Gouvernements
      Un ambitieux plan de Développement
      Le projet initial : “Disinfo FabLab”
      En conclusion
      . . . . . .

      #Twitter a ainsi donné 125 000 $ à une association créée – au mieux – 45 jours auparavant, par 3 personnes, et quasiment sans compétence majeure pour le traitement de données de masse.

      Ils sont décidément très forts en lobbying.

      Et puis vint ensuite la Fondation Open Society de Georges #Soros qui leur a donné 25 000 $ pour réaliser un suivi des “phénomènes de désinformation pendant la campagne législative italienne de mars 2018” :


      Les élections ayant eu lieu le 4 mars 2018, la campagne a eu lieu en janvier et surtout février ; on imagine que la Fondation a probablement payé l’association à ce moment, donc là encore, quelques semaines après sa création. Le rapport est là et, bien sûr, on retrouve dedans l’incontournable “écosystème russe”, et une étude de corrélation particulièrement révoltante quand elle est réalisée ainsi, car très manipulatrice :

      #Atlantic_Council #Italie

  • The Impossible Job : Inside Facebook’s Struggle to Moderate Two Billion People
    https://motherboard.vice.com/en_us/article/xwk9zd/how-facebook-content-moderation-works

    Moderating billions of posts a week in more than a hundred languages has become Facebook’s biggest challenge. Leaked documents and nearly two dozen interviews show how the company hopes to solve it. This spring, Facebook reached out to a few dozen leading social media academics with an invitation : Would they like to have a casual dinner with Mark Zuckerberg to discuss Facebook’s problems ? According to five people who attended the series of off-the-record dinners at Zuckerberg’s home in (...)

    #Facebook #Reddit #Tumblr #Twitter #YouTube #algorithme #manipulation #discrimination

  • Amazon rémunère des employés pour qu’ils vantent leurs conditions de travail sur Twitter
    https://www.numerama.com/business/411017-amazon-remunere-des-employes-pour-quils-vantent-leurs-conditions-de

    Des dizaines de comptes Twitter qui appartiendraient à des employés des centres de distribution d’Amazon enchaînent les gazouillis pour défendre leur entreprise. Ces « ambassadeurs » obtiendraient en échange des bons d’achat et jours de congé. Des dizaines d’employés d’Amazon ont été encouragés à créer un compte Twitter spécial pour défendre leurs conditions de travail dans les centres de distribution de l’entreprise, ont rapporté plusieurs médias américains le week-end du 25-26 août 2018. Cette découverte (...)

    #Amazon #Twitter #travail #lobbying

  • Sur Twitter, d’étranges « ambassadeurs » qui encensent Amazon
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/08/24/sur-twitter-les-ambassadeurs-d-amazon-veulent-rassurer-sur-leurs-conditions-

    Une quinzaine de comptes d’employés d’Amazon sont apparus en quelques jours sur Twitter. Leur mission ? Prouver que tout va bien dans la firme de Jeff Bezos. Régulièrement accusé de maltraiter ses employés, Amazon a décidé de riposter d’une bien étrange manière. Ces derniers jours, plusieurs comptes Twitter entreprennent de répondre aux nombreux détracteurs de l’entreprise. Ils s’appellent Caleb, Carol, Phil ou Michelle et ils sont tous « ambassadeurs » des Amazon Fulfillment Centers, ces immenses (...)

    #Amazon #lobbying #Twitter

  • The Cleaners - Les nettoyeurs du Web

    Qui modère nos contenus en ligne ? Les réseaux sociaux contribuent-ils à l’accroissement de la haine ? Des Philippines à la Silicon Valley, une enquête exhaustive et brutale sur la violence à l’ère du Web.

    Ignorer ou supprimer ? Cette question, les modérateurs des réseaux sociaux se la posent chacun vingt-cinq mille fois par jour. Aux Philippines, ils sont des centaines à effectuer ce travail que Facebook sous-traite à une multinationale : purger le Net de ses images les plus violentes. De la pédopornographie aux décapitations terroristes, en passant par l’automutilation ou la simple nudité, proscrite par les chartes des grands groupes, l’impact psychologique des images les plus rudes – seul quotidien de ces abeilles ouvrières du Web – est aussi violent qu’ignoré par la Silicon Valley, pour laquelle le rendement passe avant tout. Mais les règles de modération imposées trouvent bien vite leur limite, dès lors que la question de l’art ou de la politique fait irruption. Quelle est la frontière entre modération et censure ? Doit-on « nettoyer » les réseaux des images de guerre, alors qu’elles documentent les conflits ? Lorsque l’administration du président Erdogan demande aux géants des réseaux sociaux de supprimer des contenus d’opposition politique qu’elle juge terroristes, sous peine de bloquer les sites sur le territoire turc, pourquoi les entreprises s’exécutent-elles ? Comment ne pas y voir une logique froidement mercantile ?

    Le mal du XXIe siècle
    Quel est le meilleur moyen d’engranger de l’audience ? « L’indignation », répond Tristan Harris, ancien cadre de Google. En privilégiant les contenus choquants, les réseaux sociaux – seule source d’information pour un nombre grandissant d’internautes – voient leur vision segmentée s’imposer à leurs utilisateurs, polarisant une haine et déchaînant une violence bien réelles. C’est tout le paradoxe de ces nouveaux maîtres du Web, qui épuisent leurs sous-traitants à purger les réseaux tout en bâtissant des algorithmes au service de la colère. Un mal du XXIe siècle intelligemment expliqué par Hans Block et Moritz Riesewieck qui, des Philippines à la Silicon Valley, examinent les deux côtés de la chaîne dans un documentaire à charge, exhaustif et passionnant.

    https://www.arte.tv/fr/videos/069881-000-A/les-nettoyeurs-du-web-the-cleaners
    #reseaux_sociaux #google #facebook #twitter #youtube #morale #ethique #liberte #expression

  • Sur les réseaux sociaux, Amazon tente de redorer son blason
    https://www.zdnet.fr/actualites/sur-les-reseaux-sociaux-amazon-tente-de-redorer-son-blason-39872729.htm

    Société : Depuis deux semaines, plusieurs internautes ont remarqué l’apparition de comptes Twitter estampillés Amazon FC Ambassador, qui défendent l’image de marque de la société de Jeff Bezos dans les débats sur le réseau social. Une initiative qui laisse perplexe. Amazon a bien besoin de redorer un peu son image, souvent écornée par la presse. La société est en effet fréquemment décriée dans les médias, qui multiplient les témoignages d’employés ou d’ex-employés faisant état de conditions de travail (...)

    #Amazon #Twitter #travail #lobbying

  • Russian bots were used to sow divisions on vaccines, researchers say - STAT
    https://www.statnews.com/2018/08/23/vaccines-russian-bots

    An analysis of Twitter accounts previously identified as having been operated by Russian bots and trolls found they dove into the vaccine debate as early as January 2015, the researchers reported. They did not take one side or the other, but seemed to tweet pro-vaccine and anti-vaccine messages in roughly equal measure.

    (…) “The more the vaccine ‘debate’… is amplified it gains an undeserved sense of legitimacy and gives vaccine-hesitant individuals a pretense to forgo vaccination for themselves and their children,” said Adalja, who was harshly critical of the use of vaccinations in efforts to turn people against each other, calling it “overtly nihilistic.”

    #nihilisme #santé #vaccins #twitter #bots (russes évidemment)

    • Le résumé de l’étude (texte complet derrière #paywall)

      Weaponized Health Communication: Twitter Bots and Russian Trolls Amplify the Vaccine Debate | AJPH | Ahead of Print
      https://ajph.aphapublications.org/doi/10.2105/AJPH.2018.304567

      Abstract

      Objectives. To understand how Twitter bots and trolls (“bots”) promote online health content.

      Methods. We compared bots’ to average users’ rates of vaccine-relevant messages, which we collected online from July 2014 through September 2017. We estimated the likelihood that users were bots, comparing proportions of polarized and antivaccine tweets across user types. We conducted a content analysis of a Twitter hashtag associated with Russian troll activity.

      Results. Compared with average users, Russian trolls (χ2(1) = 102.0; P < .001), sophisticated bots (χ2(1) = 28.6; P < .001), and “content polluters” (χ2(1) = 7.0; P < .001) tweeted about vaccination at higher rates. Whereas content polluters posted more antivaccine content (χ2(1) = 11.18; P < .001), Russian trolls amplified both sides. Unidentifiable accounts were more polarized (χ2(1) = 12.1; P < .001) and antivaccine (χ2(1) = 35.9; P < .001). Analysis of the Russian troll hashtag showed that its messages were more political and divisive.

      Conclusions. Whereas bots that spread malware and unsolicited content disseminated antivaccine messages, Russian trolls promoted discord. Accounts masquerading as legitimate users create false equivalency, eroding public consensus on vaccination.

      Public Health Implications. Directly confronting vaccine skeptics enables bots to legitimize the vaccine debate. More research is needed to determine how best to combat bot-driven content.

      a Twitter hashtag associated with Russian troll activity
      mais encore ?

    • aucun #DOI ne résiste à sci-hub :)

      This analysis is supplemented by a qualitative study of #VaccinateUS — a Twitter hashtag designed to promote discord using vaccination as a political wedge issue. #VaccinateUS tweets were uniquely identified with Russian troll accounts linked to the Internet Research Agency—a company backed by the Russian government specializing in online influence operations. 20

      [20]. Popken B. Twitter deleted Russian troll tweets. So we published more than 200,000 of them. Available at:
      https://www.nbcnews.com/tech/social-media/nowavailable-more-200-000-deleted-russian-troll-tweetsn844731.

  • Un portrait de Thomas Porcher dans Le Monde déchaine les chiens de garde
    https://www.arretsurimages.net/articles/un-portrait-de-thomas-porcher-dans-le-monde-dechaine-les-chiens-de-g

    Il a suffi d’un portrait dans Le Monde pour déchainer les chiens de garde. L’économiste antilibéral Thomas Porcher se retrouve depuis plusieurs jours la cible d’attaques, notamment de la part de journalistes de medias traditionnels, qui remettent en cause ses compétences d’économiste. Jusqu’à relayer des parodies.

    Il ne fait visiblement pas bon plaider pour une « économie militante » dans les pages du « Monde ». L’économiste antilibéral Thomas Porcher, reçu en 2014 sur notre plateau à propos des particules fines, était l’objet d’un portrait plutôt bienveillant dans les pages du quotidien début août. Un portrait qui lui a rapidement valu, comme au journaliste du « Monde », d’être la cible d’attaques sur Twitter, de la part notamment de journalistes de medias dominants.

    Un portrait plutôt anodin et superficiel, comme la presse en publie des dizaines chaque année. Que racontait ce portrait ? Le penchant de Thomas Porcher, membre depuis 2011 du collectif des Économistes Atterrés, pour les provocations sur Twitter, déjà. Comme ce tweet au lendemain de la victoire des Bleus à la Coupe du monde de foot, un tweet « futile et provoc » dans lequel il « fustigeait l’éventuelle tentative de récupération politique » d’Emmanuel Macron, rêvant « qu’un Bleu refuse l’invitation ». Comme conscient de sa propre transgression, Le Monde surligne lourdement les opinions politiques de son sujet : « Porcher, résolument de gauche, se veut alternatif, antilibéral post-keynésien ou marxisant, voire déviant ou mauvais genre ». Voilà qui pose les bases.

    L’Immonde a encore frappé !
    5 mois après sa sortie, son livre « Traité d’économie hérétique » en finir avec le discours dominant est toujours numéro 1 à la FNAC !!!

    #économie_alternative #Le_Monde #LVMH #Twitter #Dominique_Seux #Thomas_Porcher

  • Twitter was supposed to spread democracy, not Trump’s ravings | John Naughton | Opinion | The Guardian
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/aug/19/twitter-supposed-to-spread-democracy-not-trumps-ravings

    Here’s the $64,000 question for our time: how did digital technologies go from being instruments for spreading democracy to tools for undermining it? Or, to put it a different way, how did social media go from empowering free speech to becoming a cornerstone of authoritarian power?

    And then, one day, the internet arrived and the game changed. Suddenly, anyone could be a publisher. Every individual would be able freely to choose what to believe, with whom they would associate and where they would choose to direct their attention. The power of broadcast media would be attenuated. The public sphere could become a free “marketplace of ideas” in which good ideas would drive out the bad. Twitter seemed like the technological instantiation of this ideal: it promoted individual expression and helped to build social networks. Anyone could say anything (well, almost: there were always those vapid “community guidelines”). The first amendment ruled OK.
    Advertisement

    Trump’s capture of the presidency, says Turner, has comprehensively refuted the democratising promise of digital media. The key feature of authoritarian capture is the projection of the charismatic personality of the ruler. In an analogue era, that meant that the bodies or minds of his audience had to be brought together in one place so that he could work his hypnotic magic. Think Nuremberg rallies or regular speeches like the ones Goebbels used to transmit, via the inexpensive radio receivers he dispensed and also by loudspeakers in public places.

    Although Trump has used mini-Nuremberg-style rallies to great effect, he displays most ingenuity in using Twitter to project his charisma. Turner highlights two aspects of this. The first is the way he uses the medium to project his personality: the daft, tempestuous tweets that so infuriate liberals are taken by followers as a sign of his authenticity as a person. He’s “just being himself” – so unlike conventional politicians – and so claims the right to their attention and political support. The second significant aspect is that his tweets come as part of a follower’s twitterstream, interspersed with tweets from friends and a range of other sources. In that way, Trump uses the medium “to insert himself into the company of a user’s chosen conversation partners”, much as Franklin Roosevelt used his “fireside” radio chats during his presidency.

    Turner’s analysis of Trump’s ascendancy is as depressing as it is acute. He concludes that “authoritarian charisma is not medium-dependent. Nor are authentic individuality, the intimate social sphere, or flexible collaborative networks necessarily enemies of totalitarianism.” And it’s not clear what, if anything, can be done to improve things. Of course, Twitter could ban Trump, but with 53.8 million followers it’s unlikely to do that. Mainstream media could start ignoring Trump’s tweets, which effectively allow him to control their news agendas, but they won’t, because he’s good for clicks and circulation. And besides, the guy is, after all, the elected president of the United States. Which, in a way, neatly summarises the problem we’ve got.

    #Twitter #Trump #Fred_Turner

  • A Generation Grows Up in China Without Google, Facebook or Twitter
    https://www.nytimes.com/2018/08/06/technology/china-generation-blocked-internet.html

    Wei Dilong, 18, who lives in the southern Chinese city of Liuzhou, likes basketball, hip-hop music and Hollywood superhero movies. He plans to study chemistry in Canada when he goes to college in 2020. Mr. Wei is typical of Chinese teenagers in another way, too : He has never heard of Google or Twitter. He once heard of Facebook, though. It is “maybe like Baidu ?” he asked one recent afternoon, referring to China’s dominant search engine. A generation of Chinese is coming of age with an (...)

    #Google #Tencent #Baidu #Facebook #Instagram #Twitter #WeChat #algorithme #smartphone #domination #censure #TikTok #web #surveillance (...)

    ##TheGreatFirewallofChina

  • How social media took us from Tahrir Square to Donald Trump
    https://www.technologyreview.com/s/611806/how-social-media-took-us-from-tahrir-square-to-donald-trump

    To understand how digital technologies went from instruments for spreading democracy to weapons for attacking it, you have to look beyond the technologies themselves. 1. The euphoria of discovery As the Arab Spring convulsed the Middle East in 2011 and authoritarian leaders toppled one after another, I traveled the region to try to understand the role that technology was playing. I chatted with protesters in cafés near Tahrir Square in Cairo, and many asserted that as long as they had the (...)

    #Google #Facebook #Twitter #Instagram #algorithme #manipulation #domination #web (...)

    ##surveillance

  • Avec un rézosocio centralisé (comme Twitter ou SeenThis), il faut faire confiance aux admins car ils peuvent tout savoir des utilisateurs, et censurer/modifier à loisir. Évidemment, sur un service « de proximité » comme SeenThis, il est plus facile de connaitre les admins et de baser sa confiance sur une base un peu sérieuse. (D’autre part, SeenThis n’a pas le concept de messages « privés » donc les utilisateurs savent que tout est public, de toute façon.)

    Avec la fédération (les systèmes décentralisés), on a plein de petits chefs locaux qui jouent au petit dictateur et font ce qu’ils veulent sur leur instance.

    Cet article illustre surtout le deuxième paragraphe (la synthèse sera compliquée : systèmes centralisés et décentralisés ont leurs avantages et inconvénients.)

    https://fieldnotes.resistant.tech/federation-is-the-worst-of-all-worlds

    #fédération #rézosocios #Twitter #décentralisation

  • Affaire Benalla et fichage politique : la CNIL s’en mêle
    https://www.zdnet.fr/actualites/affaire-benalla-et-fichage-politique-la-cnil-s-en-mele-39872319.htm#xtor=RSS-1

    La CNIL a déclaré avoir ouvert une enquête après avoir reçu de nombreuses plaintes d’utilisateurs de Twitter, qui se plaignent d’avoir été fichés sur la base de leurs publications par une ONG de sondage belge.

    Louis Adam Si la France est sortie de la canicule, le climat sur Twitter reste particulièrement étouffant. Nombreux sont les utilisateurs du réseau social à avoir profité de l’affaire Alexandre Benalla pour faire entendre leurs griefs au gouvernement et une ONG belge de lutte contre la (...)

    #Twitter #manipulation #profiling #EU-Disinfo

  • Si vous allez à San Francisco, vous y verrez des seringues et de la merde (par Nicolas Casaux)
    http://partage-le.com/2018/07/si-vous-allez-a-san-francisco-vous-y-verrez-des-seringues-et-de-la-merde

    (Revue de presse Les Crises : https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-12-08-2018 )

    La ville de San Francisco est régulièrement promue dans les médias de masse comme un modèle de gestion écologique des déchets pour son taux de recyclage de 80%. En France, le film documentaire #Demain, réalisé par #Mélanie_Laurent et #Cyril_Dion, a beaucoup participé à la diffusion de cette idée. Partout où il passe, Cyril Dion brandit le cas de San Francisco comme une preuve de ce qu’il est possible de rendre une ville écolo-durable (« L’exemple le plus impressionnant, que nous présentons dans le film, est celui de la ville de San Francisco qui recycle 80 % de ses déchets »). Si seulement.

    Affirmer que San Francisco est un modèle de ville durable est une sacrée performance. Ou peut-être est-ce au contraire d’une simplicité confondante : il suffit de répéter cette affirmation sans l’étudier, sans aucun esprit critique. En creusant un peu, on réalise rapidement qu’elle se base sur un certain nombre d’absurdités. À commencer par le fait que le taux de 80% est une arnaque comptable[1]. La ville comptabilise en effet dans son calcul du taux de déchets recyclés, entre autres bizarreries, les déchets du bâtiment et des travaux publics. Ce qu’aucune ville ne fait[2]. Sans ce tour de passe-passe, le taux de recyclage de la ville serait plutôt de l’ordre de 60%. Au passage, on notera que Recology, l’entreprise chargée de la gestion des déchets de la ville, a été condamnée à payer 1,3 million de dollars en 2014 pour des pratiques frauduleuses. Mais cette arnaque comptable n’est rien au regard de ce qui suit.

    La ville de San Francisco (870 000 habitants) produit chaque année toujours plus de déchets, en 2013 elle en a produit plus de 2 millions de tonnes, quand la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (plus d’un million d’habitants) n’en produisait que 653 226 tonnes. Un modèle. La ville de San Francisco génère chaque jour environ 1 200 tonnes[3] de déchets non recyclables et non compostables qui sont enfouies sous terre. Un modèle.

    En outre, ce qu’ils (les gouvernements, les entreprises et les médias de masse) qualifient de #recyclage n’a rien d’écologique. Le traitement des déchets se fait toujours loin hors de la ville, dans des usines énergivores (sauf pour le bois/papier qu’ils brûlent en usine de biomasse, une autre catastrophe écologique). Dans le film Demain, on ne voit que la part des déchets qui est compostée, et c’est tout. Sachant que les déchets compostés constituent la part la moins importante des déchets collectés dans la ville. Ce qu’ils n’expliquent pas dans le documentaire, c’est qu’une grande partie des déchets (métaux, plastiques, etc.), uniquement triée, est exportée et disséminée à travers le globe, jusqu’en Chine, aux Philippines et au Vietnam — d’ailleurs, depuis que la Chine a restreint ses importations de déchets en 2017, #Recology se retrouve face à un problème relativement gênant, celui de trouver comment écouler les tonnes d’ordures qu’elle expédiait habituellement vers l’empire du Milieu. C’est-à-dire que ces déchets produits par les San-Franciscains sont compressés en balles en usine puis expédiés à l’autre bout du monde pour être recyclés — sachant que le recyclage n’est pas une véritable solution, d’abord parce que le recyclage infini est un mythe[4], ensuite parce que le recyclage du plastique est particulièrement inefficace[5], et enfin et surtout parce que le recyclage, dans le cadre d’une société industrielle capitaliste de croissance, ne résout aucun des problèmes fondamentaux qu’elle implique (de #surconsommation de ressources, y compris énergétiques, de pollutions en tous genres, d’étalement urbain, de croissance démographique, etc., etc.).

    Récapitulons. Ce qu’ils nous présentent comme un #modèle de vertu écologique, de durabilité, c’est une ville dont la production de déchets par personne, relativement élevée, ne cesse de croître, et dont la gestion de ces #déchets consiste à en enfouir une partie, à en expédier une autre en Chine et ailleurs, et à en brûler une partie en incinérateur  ; c’est aussi une ville qui trafique ses calculs de taux de recyclage. Un modèle.

    Mais nous ne devrions pas avoir besoin de discuter ainsi de la soi-disant #durabilité d’une ville comme San Francisco. Comme toutes les grandes métropoles du monde, San Francisco dépend directement de l’ensemble des infrastructures et des pratiques toutes plus insoutenables les unes que les autres de la civilisation industrielle. Il faut une sacrée dose d’ignorance historique et écologique pour ne pas comprendre que l’urbanisation de la baie de San Francisco a dramatiquement ravagé ce qui était jusqu’à il y a moins de 300 ans un écosystème sain (non pollué) et plein de vie. Où sont passés les condors de Californie, les wapitis, les ours, les loups et ainsi de suite, qui pullulaient dans la baie  ? Les conséquences du développement de la civilisation industrielle dans la baie de San Francisco rappellent les conséquences de son développement partout sur la planète : extermination et disparition de nombreuses espèces vivantes, pollution des eaux (aujourd’hui, on retrouve un peu de tout dans les eaux de San Francisco, du mercure, des résidus de médicaments en tous genres, des huiles de moteur usagées, des déchets plastiques, et ainsi de suite  ; cinq des plages les plus polluées de Californie se trouvent dans la baie, qui ne cesse de s’acidifier), pollution de l’air (en ce moment, la qualité de l’air dans la baie n’est pas loin d’être la pire de tous les États-Unis[6]), etc.

    Leur manière de mesurer la qualité écologique de la ville — et d’une ville en générale — est grotesque. Comme si on pouvait se contenter de statistiques concernant le « recyclage » des déchets produits par une ville pour l’estimer. Comme si on pouvait occulter les nombreux impacts environnementaux (sans parler des impacts sociaux), entre autres choses, de la production mondialisée des appareils électroniques les plus couramment utilisés par les San-Franciscains — iPods, iPads, iPhones, Google Glass… — ou de leurs voitures, réfrigérateurs, téléviseurs, ou de leur nourriture, ou de la construction des infrastructures qu’ils utilisent et des bâtiments dans lesquels ils vivent, et ainsi de suite. Si toutes ces choses étaient prises en compte, on s’apercevrait immédiatement de l’insoutenabilité totale de la civilisation industrielle et de son mode de vie. Mais elles ne le sont pas, évidemment, propagande oblige.

    Et comment ne pas parler des inégalités sociales  ? San Francisco est une des villes les plus chères des USA. La gentrification en cours n’a pour cesse d’épurer la ville de ses habitants les plus pauvres[7] :

    « La ville de San Francisco connaît un processus de #gentrification d’une violence sans commune mesure avec ce que l’on peut constater en France. On l’a longtemps appelé embourgeoisement, ou changement urbain dans le contexte de la recherche académique française, sans pour autant y mettre les significations que contient le terme anglo-saxon. Il faut pourtant être clair : il est bien question ici de processus similaires dans leurs conséquences, bien que la rapidité à laquelle ils se produisent diffère, ou que leur visibilité ne permette pas de les identifier aussi facilement. »

    Et comment ne pas voir toute la folie et l’inhumanité de la civilisation industrielle dans le fait que la ville ne parvient toujours pas à gérer les problèmes qui découlent de la présence des nombreux #sans-abri, souvent atteints de troubles psychiatriques, qui errent dans ses rues, résultat des politiques calamiteuses des gouvernements qui se sont succédé et symptôme du mal-être qui ronge la modernité  ? On estime qu’ils sont 7 500 à vivre dehors sur une population totale de 870 000 habitants (presque 1% de la population). Très récemment, la nouvelle maire de San Francisco, London Breed, dans une des premières interviews[8] qu’elle a accordées depuis son entrée en fonction, a expliqué qu’il y avait « plus d’excréments sur les trottoirs » que jamais, et qu’on « ne parle pas que de crottes de chiens, mais de matières fécales humaines ». Au cours des six premiers mois de l’année 2018, plus de 16 000 plaintes concernant des « excréments » ont été déposées auprès des autorités de la ville. La présence de déchets en tous genres, y compris de seringues, est actuellement un véritable problème pour la municipalité. Ainsi que l’explique le San Francisco Chronicle dans un article[9] intitulé « Pourquoi San Francisco fait face à un déluge de seringues » : « La ville de San Francisco distribue plus de seringues gratuites aux toxicomanes — 400 000 par mois, un chiffre qui ne cesse de croître — que la ville de New York, dix fois plus peuplée ». La consommation de drogue en public est un problème croissant dans toute la ville. Des habitants se plaignent, entre autres, de « devoir enjamber des gens qui s’injectent de l’héroïne dans les stations de métro ».

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=HWdurZWys4I

    Ainsi que l’a récemment titré[10] le Business Insider, « Le centre-ville de San Francisco est davantage jonché de seringues, de déchets et d’excréments que certains des plus pauvres bidonvilles du monde ». Dans l’article, on apprend notamment que « la contamination de certains quartiers de San Francisco est pire que celle de certains endroits du Brésil, du Kenya ou de l’Inde ». Un modèle.

    Je me suis promené dans les rues de San Francisco. Je ne connaissais pas grand-chose de l’histoire de la ville. J’ai été stupéfait par le nombre de #clochards, de #toxicomanes et de malades mentaux qu’on y rencontre. Parfois au pied d’immeubles de luxe réservés aux super-riches, ou devant les bureaux d’#Uber, de #Microsoft, ou de #Twitter. J’ai vu les gratte-ciels, ces manifestations délirantes de l’hubris de la société industrielle, dont les constructions sont autant de désastres écologiques. Les travaux incessants qui font de toutes les villes d’interminables chantiers. Les magasins de luxe de l’#hypercapitalisme actuel. Les businessmen pressés — de faire du profit, toujours plus, en exploitant les hommes et en détruisant la planète, toujours plus — qui ignorent machinalement tous les clochards qu’ils croisent lors de leur jogging matinal. Je n’ai pas vu « des gens doux et gentils, le long des rues de San Francisco », me parler de fleurs et devenir mes amis. Je n’ai pas vu de fleurs dans les cheveux mais des oreillettes Bluetooth et des smartphones dans les mains. Bref, j’y ai vu la démence commune de la modernité.

    Il n’y a rien de #durable à #San_Francisco. Comme beaucoup d’autres, cette ville incarne précisément l’insoutenabilité, l’iniquité et la folie qui gangrènent la civilisation industrielle. Ceux qui se servent de son cas pour suggérer qu’on pourrait la rendre durable ou écologique sont les idiots utiles du #capitalisme_vert. C’est l’évidence même. Ceux qui ne le comprennent (toujours) pas aujourd’hui ne manqueront pas de le constater d’ici quelques années.

  • Tous fichés ? Comment Twitter permet le fichage politique de la population 9.août.2018 /- Les Crises
    https://www.les-crises.fr/tous-fiches-comment-twitter-permet-le-fichage-politique-de-la-population

    Nous avons largement démonté hier l’étude préliminaire, puis aujourd’hui l’étude finale comportant d’énormes failles méthodologiques du EU DisinfoLab sur l’affaire Benalla.

    Beaucoup de personnes ont parlé de cette étude depuis plusieurs jours, discutant son bien-fondé ou non, mais bien peu se sont arrêtés sur un fait extrêmement problématique pour les libertés publiques.

    En effet, l’EU DisinfoLab a, par le biais de Nicolas Vanderbiest, réalisé une étude sur les tweets liés à l’affaire Benalla. Nous laisserons aujourd’hui les conclusions de côté pour nous intéresser à la question des outils utilisés.
    I. Visibrain, ou Big Brother à la maison
    II. Que prévoient les conditions d’utilisation Twitter ?
    III. Quand EU DisinfoLab joue avec Big Brother
    IV. “Et c’est le drame…” : la diffusion des données personnelles
    V. Le fichage politique (mais pas que) par EU DisinfoLab
    VI. Communication de EU DisinfoLab
    VII. Position de EU DisinfoLab quant aux données sensibles
    VIII. Le CNRS aurait aussi fiché les opinions politiques de près de 200 000 personnes !
    IX. Réglementation et Discussion
    X. Plainte

    I. Visibrain, ou Big Brother à la maison
    Comme on l’a vu, dès le 23 juillet, Nicolas Vanderbiest a sorti une première analyse sur son blog – plutôt orientée communication : Affaire Benalla sur les réseaux sociaux : où la résurrection des partis de l’opposition (archive). On y voit quelques chiffres, qui rejoignent ses tweets :


    . . . . . . .

    #Libertés_publiques #Propagande #Visibrain #Big_Brother #Twitter #benalla
    #EU_DisinfoLab #ong Nicolas_Vanderbiest

  • L’étude de l’influence russophile sur le Benallagate : d’énormes failles méthodologiques 9.août.2018 - Les Crises
    https://www.les-crises.fr/l-etude-eu-disinfolab-de-l-influence-russophile-sur-le-benallagate-d-enor

    Suite au buzz déclenché par Nicolas Vanderbiest de EU DisinfoLab sur le “gonflage numérique” de l’affaire Benalla sur Twitter, nous avons publié cet article mardi dernier – regrettant , comme beaucoup, que l’étude complète n’ait pas été disponible au moment des déclarations publiques de l’auteur (comme ici).

    I. Nos 13 questions, et les réactions de EU DisinfoLab
    II. Analyse de l’étude EU DisinfoLab
    III. Partie 2 – Méthodologie
    IV. Partie 3 – Analyse
    V. Partie 1 – Enseignements
    VI. Parties 4 et 5 – Le EU DisinfoLab et FAQ

    I. Nos 13 questions, et les réactions de EU DisinfoLab

    Nous posions 13 questions à l’auteur, en lien avec ses déclarations – nous avons eu depuis quelques réponses :

    1. comment sont identifiés les tweets sur l’affaire Benalla ? Quels sont les mots clefs retenus ?
    2. comment Nicolas Vanderbiest définit-il scientifiquement un “bot” et du “militantisme” ?
    3. comment Nicolas Vanderbiest définit-il scientifiquement un “troll” ?
    4. comment sont traités les Retweets dans l’étude ?
    5. comment Nicolas Vanderbiest définit-il scientifiquement un “gonflage numérique” ?
    6. pourquoi Nicolas Vanderbiest ne donne-t-il pas une dizaine d’autres exemples de même type pour analyser la façon dont se propage l’information sur Twitter ?
    7. comment Nicolas Vanderbiest définit-il scientifiquement un “écosystème russophile” ?
    8. pourquoi avoir choisi de définir spécifiquement un “écosystème russophile” ? Est-il prévu, par déontologie élémentaire, de définir et mener des études avec un “écosystème américanophile”, “écosystème europhile”, “écosystème sinophile” etc…
    9. comment Nicolas Vanderbiest définit-il scientifiquement une personne “russophile” ? Et comment qualifie-t-il une personne qui n’est pas “russophile” – ce qui semble être son cas ?
    10. Nicolas Vanderbiest a-t-il bien ainsi intégré ainsi les comptes dans cet écosystème ? A-t-il tenu compte de volonté de désinformer ? Si oui, comment, quels en sont les critères ? Y a t-il des critères de diffusion de désinformation en lien avec “l’intérêt gouvernemental” ou “l’intérêt américain” ? Sinon, pourquoi ?
    11. Nicolas Vanderbiest a-t-il donc compté les retweets de ce compte PoteRusse comme des tweets ?
    12. pourquoi Nicolas Vanderbiest n’a-t-il pas pris la peine de contacter ce compte avant de le clouer publiquement au pilori, afin de valider son analyse ?
    13. pourquoi analyser simplement le nombre de tweets et non pas leur portée ?

    Pour celles et ceux qui n’ont pas Twitter, lorsque Thomas Guenolé a retweeté notre étude, Nicolas Vanderbiest lui a répondu publiquement ceci (source : son tweet) :

    Si je comprends bien, il ne répond donc pas à la plupart des questions, et nous reproche d’avoir commenté son étude à lui (qui parlait du volume de l’affaire Benalla sur Twitter), et non pas celle concernant le “gonflage numérique” de l’affaire Benalla – étude qui hélas n’était pas disponible quand le billet est sorti, plusieurs jours après ses propres déclarations sur Twitter… Mais il tente régulièrement de faire croire qu’il existait une autre étude avant le 8 aout :

    Ceci étant, ce n’est pas la première fois que ce chercheur pose question – comme il y a un an à l’occasion des MacronLeaks :

    Hélas, il avait alors démontré une capacité d’écoute limitée…

    II. Analyse de l’étude EU DisinfoLab

    #Nicolas_Vanderbiest #EU_DisinfoLab #Benallagate #en_marche #ong #Twitter

  • Je crois qu’il se passe quelque chose d’important par ici :
    https://twitter.com/jack/status/1026984242893357056
    Pas seulement parce que le patron de twitter explique pourquoi #twitter ne va pas clôturer le compte de #Alex_Jones ni de #Infowars, contrairement à la plupart des autres réseaux sociaux, mais parce qu’il réaffirme le besoin de confronter les opinions et surtout de contrer les fausses informations de manière visible, chose que peut se permettre un twitter où les commentaires sont beaucoup plus lus qu’ailleurs...

    If we succumb and simply react to outside pressure, rather than straightforward principles we enforce (and evolve) impartially regardless of political viewpoints, we become a service that’s constructed by our personal views that can swing in any direction. That’s not us.
    Accounts like Jones’ can often sensationalize issues and spread unsubstantiated rumors, so it’s critical journalists document, validate, and refute such information directly so people can form their own opinions. This is what serves the public conversation best.

    Je suis tombée là dessus grâce à un tweet de #Olivier_Tesquet qui fait un article super complet pour telerama sur la descente aux enfers des #GAFAM de Alex Jones :

    La “Big Tech” à l’épreuve du roi des conspirationnistes

    En privant Alex Jones, conspirationniste en chef de l’extrême-droite américaine, de ses comptes Facebook, Spotify ou Youtube, les géants de l’Internet prennent le risque d’ouvrir un débat sur la privatisation de la liberté d’expression.

    https://www.telerama.fr/medias/la-big-tech-a-lepreuve-du-roi-des-conspirationnistes,n5756062.php

    #liberte_d_expression #conspirationnisme #complotisme #extreme_droite ...

  • Les idéologues parasitent tout #débat sur #Twitter | Slate.fr
    http://www.slate.fr/story/165272/internet-reseaux-sociaux-twitter-debat-rokhaya-diallo-identite-bleus-football-

    Souvent, mes points de vue font l’objet de débats assez vifs. Dernièrement, j’ai néanmoins remarqué que lorsque je les exprimais sur Twitter, ils étaient systématiquement contredits par des personnes qui, dans leur sillage, entraînaient une meute d’internautes finissant par polluer mes conversations en me submergeant par leur caractère massif et hostile.

    #trolls

  • Après Facebook, c’est au tour de Twitter de voir son action chuter de 20% AFP - 27 Juillet 2018 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/medias/detail_apres-facebook-twitter-voit-son-action-chuter-de-plus-de-20?id=9982465

    Le titre du réseau social américain Twitter chutait de plus de 20% dans les échanges électroniques précédant l’ouverture de la séance vendredi à Wall Street, après des résultats trimestriels décevants marqués par un léger recul de ses utilisateurs.

    Vers 12H02 GMT, il s’échangeait à 36,18 dollars, en baisse de 15,74%. Il avait dévissé de 20,1% à 34,30 dollars un peu plus tôt.

    Twitter a enregistré entre avril et juin son troisième trimestre bénéficiaire d’affilée : le bénéfice net s’affiche à 100 millions de dollars, contre une perte de 116 millions pour la même période de 2017.

    Le bénéfice net ajusté par action, référence des investisseurs à Wall Street, ressort à 17 cents, soit en ligne avec les attentes des analystes.

    Ombre au tableau : le nombre d’utilisateurs actifs mensuels, paramètre publié chaque trimestre par le site de microblog, a reculé d’un million, à 335 millions.


    Le PDG, Jack Dorsey, a attribué ce léger repli pour partie à l’entrée en vigueur en mai de la directive européenne sur la protection des données (GDPR).

    Mais cette baisse a fait réagir négativement les investisseurs, qui sanctionnaient le titre dans les échanges électroniques avant l’ouverture de la Bourse de New York, où il est coté.

    Cette réaction rappelle celle qu’a connue Facebook jeudi, l’action du premier réseau social au monde perdant 18,96% en une seule séance.

    Le chiffre d’affaires trimestriel de Twitter a atteint 711 millions de dollars, en hausse de 24% sur un an, principalement porté par la progression des recettes hors des Etats-Unis, qui ont cru de 44%.

    #gafa #Twitter #Economie #facebook #réseaux_sociaux #argent #spéculation

  • #twitter Data Hacking: A Recipe to Yield Better Startup Insight
    https://hackernoon.com/the-1-twitter-hack-to-speed-any-startups-growth-684817c8bff2?source=rss-

    Stop asking your friends to fill out your business surveys on Facebook, you’re not in college anymore.This is a technique we’ve been using a lot at Worthyt recently to gain better audience insight faster than we can knocking our heads around a meeting room. Hopefully, you’ll be able to really leverage this technique for your own startup endeavors, or just to gain better overall insight into particular markets.The TriumvirateWhat’s the most important resource for a startup? A naive person might argue that it’s money. The textbook answer is time. But the reality is, the most important resource for a startup is a triumvirate among money, time, and a critical third piece — data.Without data, you’re blind. And if you think that’s not a problem that money or time can’t solve, try this: pretend you (...)

    #data-science #twitter-polls #twitter-data-hacking #social-media