• 2022 s’annonce plutôt bien du côté du #CSS ! 🥳🥳🥳

    Quelqu’un a déjà testé les color-function() ?
    https://www.bram.us/2021/12/27/css-in-2022/#the-hotlist--color-functions

    Quand ce sera bien opérationnel, ça me facilitera beaucoup les choses avec la personnalisation qu’on propose à nos clients.

    J’espère aussi que les #viewport units mettront fin aux soucis #Safari sur #smartphone
    https://www.bram.us/2021/12/27/css-in-2022/#the-hotlist--viewport-units

    Vous avez repéré quoi en particulier ?

    #integration #integrationWeb #ui #HTML #responsive #variables

  • How to use #variables (PHP 7)
    https://hackernoon.com/how-to-use-variables-php-7-8e4fa6e725ff?source=rss----3a8144eabfe3---4

    IntroductionWe all look for a shortcut to get faster where we want to go,Who has never quickly flip through some pages of a book or even go straight to the last chapter?Although this may seem like a good idea at the beginning, I’ve already shared in several blog posts multiple reasons why a gradual improvement is much better and more productive than going straight to fun things.The truth is, if you want to code for several years and do not burn out in the first years or even months of a career as a web developer you have to study the basics,I tell you a secret, even when, after years of experience, when you believe that there is nothing you do not know about a basic topic, pick up the first book or one of the first articles you read, you will always find a paragraph that you did not pay (...)

    #string #programming #php #php7

  • La petite série pour contribuer à limiter les #mapfail

    – Eviter un mapfail : Tableau récapitulatif http://neocarto.hypotheses.org/3940
    – Reviewer un mapfail : Le.s problème.s (1/3) http://neocarto.hypotheses.org/3820
    – Reviewer un mapfail : Solution envisageable (2/3) http://neocarto.hypotheses.org/3863
    – Reviewer un mapfail : Mosaïque de variantes https://neocarto.hypotheses.org/3991

    #cartographie #sémiologie #graphique #variables_visuelles #Valeur #cartostats #mapfail #neocarto

  • Des intérimaires toujours plus précaires, Le Monde économie, Catherine Quignon, 17.10.2017

    L’intérim est de moins en moins un tremplin vers un emploi stable. Les syndicats dénoncent des recours abusifs aux travailleurs intérimaires, les premières variables d’ajustement des entreprises.

    Lors du retour très commenté d’Emmanuel Macron sur le site de Whirlpool à Amiens, le 3 octobre, (http://lemonde.fr/politique/article/2017/10/03/emmanuel-macron-de-retour-a-amiens-aupres-des-salaries-de-whirlpool_5195290_) le président de la République a été interpellé par le député de La France insoumise François Ruffin sur le sort des intérimaires. Si la reprise du site par un industriel picard devrait permettre, à terme, de sauver l’emploi de 277 salariés de Whirlpool, les intérimaires – qui ne sont pas moins de 250 – sont exclus du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).

    En effet, même s’ils travaillent depuis plusieurs années dans la même entreprise, les intérimaires n’entrent pas en compte dans les procédures de reclassement dont bénéficient les salariés en interne en cas de PSE. Leurs indemnités de fin de mission sont également sans commune mesure avec les « gros chèques » (indemnités extralégales) que touchent parfois les salariés sur le départ.

    Plus précaire, leur statut est censé être un tremplin vers un poste stable, mais c’est de moins en moins le cas : seuls 8 % de salariés en intérim en mars 2015 étaient en contrat à durée indéterminé (CDI) un an après, selon l’Observatoire de l’intérim et du recrutement (http://observatoire-interim-recrutement.fr/connaitre-les-interimaires/#section-1_1). Ils étaient 16 % en 2011. Dans les faits, « les intérimaires peuvent enchaîner des missions pour la même entreprise pendant des mois, voire des années », s’insurge André Fadda, de la branche intérim de la CGT.

    Réservé aux intérimaires enchaînant des missions régulières, le CDI intérimaire reste marginal : il concernait seulement 15 300 signatures fin février 2017, selon le dernier baromètre de Prism’Emploi. Une paille en comparaison des 698 000 intérimaires recensés en juillet 2017 par le ministère du travail. Au deuxième trimestre 2017, l’emploi intérimaire est en effet reparti à la hausse dans l’industrie et il est en forte croissance dans le tertiaire (http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2017-068.pdf).

    En théorie, la loi interdit de recourir à un intérimaire sur un poste stable. En pratique, les syndicats dénoncent le recours abusif aux emplois précaires. « Les pouvoirs publics ferment les yeux », s’insurge André Fadda. Les entreprises plébiscitent ce statut : « sur le site de PSA à Sochaux, il y a aujourd’hui plus d’intérimaires non qualifiés que de CDI qui sont recrutés », affirme Franck Plain, délégué CGT.

    Les condamnations pour abus restent rares

    Les condamnations pour abus restent rares : difficile de prouver l’existence d’un emploi durable quand plusieurs salariés se succèdent au même poste ; surtout, les intérimaires portent rarement plainte, espérant être réembauchés un jour. Mais elles existent : en mars, le tribunal correctionnel de Créteil a condamné Sanofi pour abus de recours au travail intérimaire. L’inspection du travail avait répertorié 1 782 contrats de mission en 2010 et 1 853 en 2011, ainsi que 600 infractions au code du travail, rapporte la CGT. En octobre 2016, la société Cordon Electronics, qui employait en permanence 60 % de ses effectifs en intérim selon L’Humanité, a également été condamnée par la cour d’appel de Bordeaux (https://www.humanite.fr/l-abus-dinterim-epingle-par-la-justice-617179).

    « Les CDD et les intérimaires sont les premières variables d’ajustement dans les entreprises », souligne André Fadda. Le non-renouvellement de leur contrat fait rarement les gros titres de la presse. Pourtant, les « charrettes » d’intérimaires peuvent être massives.

    Alors qu’Airbus a annoncé fin 2016 la suppression de plus d’un millier de postes en Europe, chez Airbus Helicopters, « on est passé de 1 000 à 350 intérimaires en quelques mois » , affirme Rémy Bazzali, représentant CGT, dans le quotidien La Marseillaise. A Carquefou, au sein de l’entreprise NOV-BLM, qui comptait jusqu’à 200 intérimaires au plus fort de son activité, tous se sont vus remerciés avant la mise en place d’un plan social, dénonce dans une brochure le syndicat FO.

    Contrats à la semaine

    André Fadda déplore aussi des contrats de plus en plus précaires : « sur les chantiers navals à Saint-Nazaire, quand l’activité a repris à la fin des années 2000, les intérimaires se sont vu proposer à la semaine ou à la journée, alors qu’avant c’était plutôt des contrats de 5 ou 6 mois », raconte le délégué syndical. De fait, au quatrième trimestre 2016, les missions en intérim duraient en moyenne 1,9 semaine, selon le ministère du travail.
    http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2017-027.pdf

    « Cette précarité empêche les intérimaires de faire des projets d’avenir », déplore le syndicaliste. Reste à voir si la taxation des contrats courts, au programme du gouvernement, permettra de limiter les abus.

    L’exploitation vue d’en bas, Le Monde, 25.11.2016, Anne Rodier

    Patrice Thibaudeaux livre un témoignage rigoureux et détaillé, sous la forme d’un journal de bord du travail de nuit dans une usine de métallurgie.

    S’il est de bon ton d’affirmer que « les classes sociales, c’est du passé », la condition ouvrière, elle, appartient bien au présent. Patrice Thibaudeaux en livre un témoignage rigoureux et détaillé, sous forme de journal de bord du travail de nuit dans une usine de métallurgie. Patrice Thibaudeaux y est intérimaire, comme plusieurs de ses collègues. Chaque jour à 6 heures, au retour de l’usine, il raconte sa nuit en quelques lignes. Parce que « la différence des classes commence par le langage », un lexique présente en fin d’ouvrage le vocabulaire des travailleurs de cette usine.

    Dans ce récit, la condition ouvrière prend vie comme dans un vieux roman classique : le travail très physique, parfois jusqu’à « l’abrutissement », les rapports entre ouvriers, tantôt cordiaux et solidaires tantôt agressifs, selon l’humeur et les conditions de travail du moment ; l’ambiance souvent tendue à cause de la fatigue, la violence, l’alcool et la drogue ; et les relations avec les « chefs », les « contremaîtres » et les « huiles de bureau », ceux qu’ils surnomment les « guignols en cravate ».

    Quant à Bob, Germain, Joseph, Maumo, Davy et les autres de ses compagnons, il en esquisse de brefs portraits, leur âge, leurs caractéristiques. Ils viennent presque tous d’un milieu ouvrier, certains de l’Assistance publique. Ils sont parfois paysans le jour et ouvrier la nuit. Mais pour l’auteur, ce qui explique le mieux leurs comportements, c’est leur passé.

    Les « négriers de l’intérim »

    Son témoignage poignant distribue les coups de griffe à la communication d’entreprise qui s’emballe sur les mesures de sécurité et donne des leçons, « comme si les gars prenaient plaisir à enfreindre les règles », comme s’il n’y avait pas d’impératifs de rentabilité ». Ils sont tellement loin de la réalité : « régulièrement des types se font écraser un doigt, se blessent avec un fil de fer », écrit-il.

    Puis vient le tour des « négriers de l’intérim », qui oublient de payer des heures, parfois une nuit entière, plus quelques primes, qui interrompent les contrats l’avant-veille d’un jour férié pour éviter de le payer. Et bien sûr celui d’un encadrement tatillon qui distribue les mises à pied « pour délit de cigarette ». Les ouvriers ne sont pas épargnés : ni ceux qui arrivent « avec un coup dans le nez », ni ceux qui « hurlent des vulgarités », etc..

    Le moral est souvent assez bas, plombé par un sentiment d’impuissance lié à la précarité de l’emploi. La résistance physique ou morale créent parfois des dynamiques de solidarité, mais pour Patrice, la seule issue est « la lutte des classes », car écrit-il : « tout, absolument tout (ou presque), découle d’elle ».

    Après cette longue épreuve qui a marqué l’année 2012, l’auteur passera une licence d’histoire en cours du soir et par correspondance qui lui permettra de faire un autre travail et d’en finir avec l’usine, provisoirement.

    « L’usine nuit et jour, journal d’un intérimaire », de Patrice Thibaudeaux. Editions Plein chant, 222 pages, 12 euros.

    #condition_ouvrière #intérimaires #tertiaire (invisibles #ouvriers) #CDD #variables_d’ajustement #précarité_de_l’emploi #exploitation #guignols_en_cravate #livre

    • PSA : colère des intérimaires de Sochaux et de Rennes qui dénonce une inégalité de traitement
      http://www.boursorama.com/actualites/psa-colere-des-interimaires-de-sochaux-et-de-rennes-qui-denonce-une-ineg

      Les intérimaires multiplient les débrayages depuis deux semaines, selon la CGT.

      Si les intérimaires des sites de Rennes et de Sochaux ont gagné moins d’argent que prévu, c’est parce qu’ils ont effectué moins d’heures supplémentaires en septembre, selon la direction. Le groupe automobile PSA a « formellement » démenti mardi 24 octobre toute différence de traitement et de rémunération entre ses salariés, après des accusations portées par la CGT intérim et -fait rare- des débrayages d’intérimaires.

      PSA précise qu’à Rennes, salariés et intérimaires ont réalisé « moins d’heures supplémentaires en septembre » que les mois précédents, en raison notamment de problèmes d’approvisionnement. Cette situation a eu « un impact négatif de 200 euros » sur la paie des intérimaires, payés au « réel » alors que les salariés de PSA ont un système de compteur temps annuel qui permet de « lisser la rémunération », a expliqué le porte-parole.

      « 1.367 EUROS PERÇUS CONTRE 1.850 EUROS ANNONCÉS »

      Le constructeur dément également que les pauses ne soient pas rémunérées pour les intérimaires et les tenues de travail non nettoyées ou remplacées, comme l’affirme la CGT dans un communiqué.

      D’après la CGT Sochaux, des intérimaires des équipe de VSD (vendredi, samedi, dimanche) n’ont perçu « qu’environ 1.367 euros nets au lieu des 1.850 euros nets annoncés par PSA et les agences d’intérim ».

      D’après le syndicat CGT intérim, une centaine d’intérimaires au total ont débrayé au cours des deux dernières semaines dans les usines PSA de Rennes et Sochaux pour dénoncer une « dégradation de leurs conditions de travail » et « le non-respect de l’égalité de traitement entre salariés à statut et salariés intérimaires », notamment en matière de rémunération.

  • De l’erreur de calcul à l’erreur judiciaire | CNRS Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/de-lerreur-de-calcul-a-lerreur-judiciaire

    Derrière l’objectivité des chiffres avancés dans certaines affaires judiciaires se dissimule parfois une utilisation mal maîtrisée ou dévoyée des mathématiques. La mathématicienne Leila Schneps décortique ce phénomène redoutable lors d’un entretien paru dans le dernier numéro de la revue « Carnets de science ».

    #justice #erreur_judiciaire #états-unis

    • Les cours de maths devraient contenir une multitude de questions sans « bonne » ni « mauvaise » réponse – deviner combien il y a de bonbons dans le bocal, par exemple, ou estimer la hauteur des bâtiments alentour ou le nombre de mètres carrés de papier peint qu’il faut pour tapisser la salle de classe.

      QFT ! J’ai fait des études de maths (plutôt pures) et j’ai mis des années à me débarrasser de l’exigence de précision qu’on m’avait inculquée. Ce n’est qu’en travaillant avec des physiciens que je me suis rendu compte de la puissance et la rapidité du calcul approximatif.
      Maintenant j’y arrive à peu près (à coup de problèmes de Fermi) mais c’est certainement quelque chose que j’aurais aimé savoir faire bien plus tôt dans ma carrière (et ma vie de tous les jours).

  • L’élite dirigeante britannique célèbre la baisse de l’espérance de #vie comme une aubaine pour les déficits des fonds de pension
    http://www.wsws.org/fr/articles/2017/mai2017/besp-m15.shtml

    L’article du FT intitulé « Le changement dans l’espérance de vie promet une baisse du déficit de retraites de 310 milliards de livres » a noté que les changements récents dans les taux de #mortalité présentaient une réduction de près de quatre mois de l’espérance de vie projetée dès 65 ans d’un homme et celle d’une femme âgée de 65 ans de près de six mois, par rapport aux estimations réalisées en 2015. Fait significatif, le FT a qualifié cette forte réduction de l’espérance de vie des personnes âgées d’un « ralentissement de l’amélioration de l’espérance de vie ».

    Selon de nouvelles estimations de PwC, les consultants financiers mondiaux, cette forte réduction de l’espérance de vie aurait un impact positif sur la santé financière des 5800 entreprises britanniques qui parrainent des régimes de #retraite « à prestations déterminées » , réduisant ainsi de 310 milliards de livres le total du déficit de financement de 530 milliards de livres. PwC a estimé que le passif total pour tous les régimes de retraite professionnelle, qui couvrent environ la moitié de la population active, est d’environ 2000 milliards de livres.

    En d’autres termes, les sociétés du FTSE 100 qui doivent entreprendre cette année leur processus d’évaluation triennal pour leurs régimes de retraite, y compris GlaxoSmithKline, BT Group, Lloyds Banking Group, Tesco et BAE Systems, peuvent réviser leurs obligations de retraite à la baisse et économiser de l’argent.

    Martin McKee, professeur de santé publique européenne à la London School of Hygiene and Tropical Medicine, et le coauteur de plusieurs articles récents sur l’augmentation des taux de mortalité chez les personnes âgées, a déclaré : « les réductions de la protection sociale et la difficulté d’accéder aux soins de santé pour les personnes âgées » étaient l’explication la plus probable pour la baisse de l’espérance de vie.

    Mais il a ajouté : « L’autre possibilité que nous devons examiner c’est qu’il s’agissait de personnes qui se trouvaient au milieu de leur âge de travail, en particulier dans le nord de l’Angleterre, au début des années 1980, quand il y a eu une #désindustrialisation à grande échelle, quand leur #santé aurait été désavantagée par la perte d’emploi et les dislocations qui ont eu lieu à ce moment-là. »

    • Lors de la soirée d’ouverture du cycle consacré à Depardieu, j’ai appris que la passation de direction serait effective le 1er Février. Lors de cette soirée, Monsieur Toubiana, vous évoquiez « la perte de l’insouciance » qui est, selon vous « une chose rare et précieuse ». Vous m’avez donc décidé à raconter mon expérience de la perte de cette chose rare et précieuse. Je profite de votre départ et de l’arrivée de Monsieur Bonnaud pour témoigner d’une indifférence voire d’un mépris du « petit personnel », ces gens qui font tourner la Cinémathèque et dont les conditions de travail sont déplorables. Alors, plutôt que de contenir ma tristesse je vais tenter d’en faire un acte politique, en soutien à toutes les personnes qui ont connu ou qui vivent encore cette situation. (...)

      A 18 ans, je rentre à l’université – université uniquement choisie pour sa proximité avec la Cinémathèque – je prends une carte d’abonnement et passe mes journées les fesses collées aux sièges des salles. J’apprends la vie par les films. Je découvre des cinéastes dont le cortège invisible accompagnent depuis mes jours. J’observe aussi avec admiration et envie les gens de l’accueil, ouvreurs, caissiers. Ouvreuse à la Cinémathèque, un rêve ultime. Un jour, j’ose enfin me renseigner et j’apprends que l’accueil de la Cinémathèque est géré par une société de sous-traitance . « Sous-traitance qu’est-ce que c’est ? ». Cette information ne me préoccupe pas car tout ce que je veux, c’est travailler à la Cinémathèque. Je suis prête à faire n’importe quoi pour cela. Finalement, après avoir passé un entretien d’embauche avec ladite société de sous-traitance, en novembre 2011, je suis rappelée en février 2012. Je suis euphorique. On me dit que j’aurais des contrats ponctuels. Je ne sais pas ce que c’est, moi « un contrat ponctuel » J’apprends donc que « ponctuel » correspond à un contrat à la journée ou à la semaine, renouvelable. Les 5 mois qui suivent, je m’évertue à gérer les files d’attentes d’une foule agitée et pas forcément agréable. C’est le moment de l’exposition Tim Burton, qui rencontre un succès fantastique. Tous les week-ends debout, dehors de 9h30 à 19h00 pendant 5 mois, par tous les temps. Le boulot est fatigant, pénible mais je suis heureuse. Plus rien ne compte car je suis très éprise de mon lieu de travail...

      Le texte de cette lettre filmée, son patron ex-mao, sa manageuse Mussolini, sa « caisse coffre fort »...
      https://www.fichier-pdf.fr/2016/02/01/lettre-ouverte-a-la-cinematheque-francaise/preview/page/1

      Une des tâches de la politique aujourd’hui serait de rendre visible ce qui est invisible. Ce pour quoi nous sommes à Cannes. Ce pour quoi nous avons besoin du cinéma. Dans le bunker du festival de Cannes, lors de la conférence de presse de Godard à Cannes (18 mai 2004)
      http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=1624

      #la_précarité_c'est_pas_du_cinéma

    • Maj

      le 3 février, Frédéric Bonnaud, nouveau directeur de la Cinémathèque française a fait parvenir à la presse ce communiqué : « J’ai pris mes fonctions de Directeur général de la Cinémathèque française le 1er février 2016. Du 3 au 7 février se tient, à la Cinémathèque française et hors les murs, le Festival du film restauré Toute la mémoire du monde. Cependant, dès le 2 février, rendez-vous a été pris avec les dirigeants de la société #Cityone mardi 10 février. A l’issue de cette réunion, La Cinémathèque française prendra toutes les mesures qui s’imposent. »

      Maj le 14/2
      http://seenthis.net/messages/460858

  • Mourir à 19 ans – Le blog de Gérard Filoche
    http://www.filoche.net/2016/01/16/mourir-a-19-ans

    Il y a 500 accidents mortels, dont 1/3 par chute, 4500 handicapés, 700 suicides, 650 000 accidents avec arrêts par an et 150 000 accidents cardiaques et vasculaires directement liés au travail. Le code du travail n’est ni « obese », ni « illisible », au contraire, il n’est pas encore assez détaillé, pas assez fort, ni précis, ni assez contrôlé, ni assez appliqué et les sanctions contre les employeurs ne sont pas assez draconiennes. Il se distille dans ce pays un « air du temps » anti droit, anti sécurité, anti protection des salariés. Il y a la course au fric, le donneur d’ordre est exigeant et intraitable avec son sous-traitant, l’état du droit du travail n’est pas assez protecteur, il y a trop d’intérimaires et de précaires.

  • #OASIS – un Outil d’Analyse de la #Ségrégation et des #Inégalités_Spatiales

    OASIS est une interface internet automatisée qui offre un large éventail d’outils #statistiques et cartographiques pour l’analyse des #variables_spatialisées. Par rapport à l’existant, OASIS présente plusieurs avantages. Premièrement, c’est une plateforme complète, qui propose des outils nouveaux et regroupe une palette très large d’outils standards, actuellement dispersés sur plusieurs logiciels ou interfaces. Deuxièmement, OASIS donne accès à une série de variables utilisées fréquemment dans la littérature sur la ségrégation et les inégalités spatiales, qui sont disponibles au niveau communal sur l’ensemble de la #France_Métropolitaine (fonds de cartes inclus). Enfin, OASIS comporte des outils inédits permettant de tester la significativité statistique de l’ensemble des indices de ségrégation et d’autocorrélation spatiale à l’aide de #simulations_Monte_Carlo. À notre connaissance, de tels outils totalement automatisés ne sont disponibles nulle part, malgré l’importance de s’assurer de la fiabilité statistique des analyses spatiales.

    http://cybergeo.revues.org/26579
    #analyse_spatiale
    #cartographie

    • OASIS (Outil d’Analyse de la Ségrégation et des Inégalités Spatiales) est une interface web automatisée – disponible sur http://oasis.irstea.fr​– qui offre un large éventail d’outils statistiques et cartographiques standards et originaux pour l’analyse des variables spatialisées. Il est destiné à un public très large, d’un niveau basique en statistique jusqu’à un niveau élevé : étudiants, autorités locales, chercheurs, etc. Par rapport à l’existant, OASIS présente plusieurs avantages. Premièrement, c’est une plateforme internet complète (sans installation nécessaire en local), qui regroupe et automatise des outils standards actuellement dispersés sur plusieurs logiciels et interfaces : …
      (…)
      Dans la version actuelle de la plateforme, l’échelle des unités spatiales est communale et couvre la France métropolitaine.
      (…)
      OASIS se trouve à sa première version et des améliorations et développements seront opérés prochainement. Dans un premier temps, l’outil sera développé pour proposer différentes échelles spatiales et autoriser l’importation de fonds de carte et de données propres, de manière à ce que les analyses ne soient plus limitées à l’échelon communal et à la France métropolitaine. Par la suite, de nouveaux indices et tests statistiques seront inclus régulièrement. En parallèle, les possibilités offertes par le module cartographique seront étendues et les jeux de données disponibles seront enrichis et actualisés. La création d’une version collaborative « open source » est également à l’étude.

  • Why CSS needs delegation capabilities and not “variables” at Everything In Between
    http://maymay.net/blog/2008/12/14/why-css-needs-delegation-capabilities-and-not-variables

    “the Advanced Layout and the Grid Positioning modules are doing some of the right things in many of the wrong ways. Both those modules add unnecessary complexity to CSS without giving designers a natural way to say what they mean”

    #CSS3 #positionnement #CSS #standard #présentation #délégation #variables #clevermarks