Le cycle de l’eau - The Water Cycle, French (PNG) | U.S. Geological Survey
►https://www.usgs.gov/media/images/le-cycle-de-leau-water-cycle-french-png
Le cycle de l’eau - The Water Cycle, French (PNG) | U.S. Geological Survey
►https://www.usgs.gov/media/images/le-cycle-de-leau-water-cycle-french-png
Ils ont identifié les cendres du Big Bang | CNRS Le journal
►https://lejournal.cnrs.fr/billets/ils-ont-identifie-les-cendres-du-big-bang
Le fils du célèbre astrophysicien Hubert Reeves a annoncé son décès ce vendredi 13 octobre. En 2016, il rendait hommage à une équipe de physiciens du CNRS qui a joué dans les années 1960 un rôle majeur mais méconnu dans la théorie du Big Bang.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Hubert_Reeves
#astronomie #astrophysique #big_bang #vulgarisation_scientifique #militantisme #défense_de_l'environnement
Reporting with numbers for journalists
▻http://www.reportingwithnumbers.com
Numbers don’t always help your audience. Explore our “do’s” and “don’ts” to make sure your reporting hits home.
Marc Badal, Petits mondes paysans, 2013
▻https://sniadecki.wordpress.com/2023/04/24/badal-paysans
Ce texte constitue la dernière partie du livre de
Marc Badal,
Vidas a la intemperie :
Nostalgias y prejuicios sobre el mundo campesino,
publié en 2017
chez Pepitas de Calabaza (en co-édition avec Cambalache).
Le texte a été traduit par Séverine Denieul
et publié dans la revue L’Autre côté n°4,
« Un monde en voie de disparition : les paysans », hiver 2019.
Et si on arrêtait de prendre les gens pour des cons ? - Les idées larges avec Jacques Rancière - Regarder le documentaire complet | ARTE
▻https://www.arte.tv/fr/videos/108567-009-A/et-si-on-arretait-de-prendre-les-gens-pour-des-cons
Pourquoi les filles sont plus matures que les garçons ? | Vortex Off | ARTE - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=Ucs9X2qtP-M
Lors des tournages, certains comédiens peuvent avoir des discussions intéressantes non liées à leurs épisodes. Coup de chance, certaines d’entre elles ont été filmées. L’équipe du Vortex a voulu vous en partager quelques-unes.
Aujourd’hui, Jennifer de Boneless Archéologie va nous parler de la datation des squelettes et quels indices ou procédés nous permettent de déterminer l’âge d’un individu au moment de sa mort en fonction de ses os.
Etienne Klein | Public Senat
▻https://www.publicsenat.fr/emission/un-monde-un-regard/etienne-klein-191732
Un plus court extrait (pas trouvé ailleurs que FB), sur la différence entre connaissances scientifiques et Recherche :
▻https://www.facebook.com/watch/?v=880006992677078
#connaissance #science #recherche #Étienne_Klein #interview #vulgarisation
aussi #temps #procrastination #mort
The Coronavirus Explained & What You Should Do - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=BtN-goy9VOY
ça date d’avant le vaccin
How The Immune System ACTUALLY Works – IMMUNE - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=lXfEK8G8CUI
Etienne Klein et Aurelien Barrau : Science, y croire encore ?
▻https://www.youtube.com/watch?v=T16oFZnpPeE
Etienne Klein et Aurelien Barrau : Science, y croire encore ?
Échange très intéressant avec #Étienne_Klein et #Aurélien_Barrau, sur la construction scientifique, les choix en cette période de covid, de climat ; la vulgarisation …
#science #covid #compétence #choix #liberté #opinion #éthique #vulgarisation
Le Féminisme ou la mort, Françoise d’Eaubonne
▻https://www.youtube.com/watch?v=2UE_WGDosC0
Avec notamment un commentaire du fils de Françoise d’Eaubonne épinglé en tout premier dessous.
Et donc cette chaine de vulgarisation de textes uniquement théoriques de philosophie, autour des féminismes et des écologies :
▻https://www.youtube.com/c/GameOfHearth/videos
Comme des recensions mais avec pas mal de schémas didactiques tout au long des explications. Je ne sais pas si je suis toujours d’accord, mais rien que sur le plan de la compréhension c’est bien fichu je trouve, pour comprendre l’essentiel des livres choisis.
Toutes ses vidéos sont aussi sur Peertube :
▻https://skeptikon.fr/c/goh/videos
Ça a encore niqué ma journée pfff… :(
#vulgarisation #philosophie #féminisme #écologie #écoféminisme #Françoise_d'Eaubonne #recension #livre
Gilles-Éric Séralini ou la transgression des médiations « traditionnelles » du savoir ?
▻https://journals.openedition.org/rfsic/9397
Gilles-Éric Séralini est un biologiste français connu pour ses prises de position radicales contre les OGM et les pesticides, en particulier le glyphosate. En 2012, la publication d’un de ses articles a causé une importante controverse scientifique associée à une très forte polémique médiatique : « l’Affaire Séralini ». Cet article interroge le traitement médiatique de « l’Affaire Séralini », tout comme les stratégies de publicisation et de médiatisation originales adoptées par Gilles-Éric Séralini et critiquées de nombreux chercheurs et journalistes. Au-delà d’une transgression possible des médiations traditionnelles du savoir, nous observons également les stratégies de communication sensible déployées par Monsanto pour faire retirer l’article tout comme les répercussions de l’affaire sur la figure du chercheur dans les médias et la communauté scientifique.
#OGM #Controverse_scientifique #Médias #Science #Vulgarisation_scientifique #Gilles_Eric_Seralini
Avis du COMETS « Communication scientifique en situation de crise sanitaire : profusion, richesse et dérives » | COMETS
▻https://comite-ethique.cnrs.fr/avis-du-comets-communication-scientifique-en-situation-de-crise-
Le COMETS publie un nouvel Avis « Communication scientifique en situation de crise sanitaire : profusion, richesse et dérives » (n°2021-42), approuvé le 25 juin 2021.
Accéder à l’avis : ▻https://comite-ethique.cnrs.fr/wp-content/uploads/2021/09/AVIS-2021-42.pdf
RÉSUMÉ – Le COMETS traite, dans cet avis, des multiples formes prises par la communication scientifique dans le contexte de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de COVID-19, due au SARS-CoV-2. Le recul de près de deux ans de crise permet de dresser un premier bilan des forces et faiblesses de cette communication. Nous examinons tout d’abord de quelle manière la crise a impacté la communication au sein de la communauté scientifique. Puis nous montrons combien la pertinence de la communication offerte au public par l’entremise de diverses sources d’informations a été déterminante dans la perception que les citoyens ont eu de la crise et dans leur adhésion au discours scientifique. Nous abordons la question de l’articulation entre la mission des experts scientifiques et les impératifs des décideurs. Enfin, nous évoquons les difficultés rencontrées par les scientifiques lorsqu’ils sont confrontés à la défiance des citoyens envers la science et à l’émergence d’un « populisme scientifique ».
L’avis débute par un constat optimiste : les connaissances sur le SARS-CoV-2 et la COVID-19 ont très rapidement évolué grâce à une mobilisation inédite de la communauté scientifique internationale, au partage des données et à une politique éditoriale d’ouverture des publications, toutes initiatives qui sont les conséquences des récentes avancées permises par la Science Ouverte. Mais, le COMETS porte aussi un regard critique sur certaines dérives éditoriales et notamment sur les écarts à l‘intégrité scientifique, à la déontologie et à l’éthique qui ont accompagné la publication de travaux contestables portant sur des traitements de la COVID-19 par l’hydroxychloroquine. D’une manière plus générale, le COMETS déplore le comportement irresponsable de certains chercheurs qui ignorent, ou veulent ignorer, les fondements de la démarche scientifique que sont la rigueur, l’honnêteté, la fiabilité et la transparence des méthodes utilisées et l’évaluation critique des publications par les pairs. Les dérives constatées sont lourdes de conséquences par leur impact sur la santé et parce qu’elles contribuent à la défiance des citoyens vis-à-vis de la science et des scientifiques. Cette défiance est d’autant plus difficile à lever que les connaissances sur le virus et la pandémie étant en constante évolution, toute information, considérée comme vérité un jour, peut se trouver démentie le lendemain. Les diverses sources d’informations — institutionnelles, presse, médias, mais aussi réseaux sociaux — ont été des vecteurs déterminants pour éclairer les citoyens. Le COMETS tient à souligner le souci de partage des connaissances avec le public de l’ensemble de la communauté scientifique et salue le difficile et indispensable travail des journalistes. Cependant, force est de constater que les dérives ont été nombreuses : certains médias de grande écoute ont favorisé une « communication spectacle » volontiers polémique et entretenu la confusion entre vérité scientifique et opinion. Des médias ont également servi de tribune à des scientifiques pour y développer des thèses contestables. Les nouveaux médiateurs de l’information que sont internet et les réseaux sociaux ont aussi contribué à la désinformation du public et à la propagation des croyances complotistes. Le COMETS tente d’analyser les raisons qui ont conduit certains citoyens à adhérer à ces croyances complotistes et comment a pu se propager une vague de « populisme scientifique » dans laquelle l’opinion prime sur le fait scientifique.
Le COMETS s’est aussi penché sur la délicate question de l’articulation entre expertise scientifique et décision politique dans un contexte de crise et in fine sur la recevabilité du message de l’expert lorsqu’il est communiqué aux citoyens.
En conclusion, la communication de crise a mis à jour une crise de la communication scientifique aux multiples facettes et d’une portée générale. L’un des enjeux pour la résoudre est indubitablement d’élever le niveau de culture scientifique des citoyens mais aussi des décideurs politiques, un devoir éthique auquel les chercheurs doivent contribuer.
2. Des écarts à l‘intégrité scientifique, à la déontologie et à l’éthique lourds de conséquences
Face à l’urgence de trouver des solutions thérapeutiques à la COVID-19, des acteurs de la recherche et du monde médical ont soutenu que l’intuition ou le « bon sens », médical seraient suffisants pour décider de l’efficacité et de la sécurité d’un traitement. Ils ont déclaré être les tenants d’une « éthique du traitement » qui serait opposée à une « éthique de la recherche ». Ce discours a servi la promotion, par Didier Raoult et son équipe de l’IHU de Marseille, du traitement de la COVID-19 par un antipaludéen connu de longue date, l’hydroxychloroquine (HCQ). Largement ouvert au public, dans des conditions peu respectueuses des règles de déontologie médicale, le traitement a fait l’objet d’un emballement médiatique et politique alors même que son efficacité sur la COVID-19 ne reposait que sur une étude clinique contestable. Les dérives qui ont accompagné la publication de cette étude dans la revue International Journal of Antimicrobial Agents ont alerté la communauté scientifique (voir Annexe 1). Elles sont édifiantes : accepté 24 heures après sa soumission, l’article a eu, dès sa parution, un énorme impact international ; il a été critiqué sur sa méthodologie (élimination de cas, biais statistiques, absence de preuves robustes,) et suscité des commentaires sur le processus de validation par les pairs, l’un des signataires, Jean-Marc Rolain, étant aussi l’éditeur en chef de cette revue. Face à la pression de la communauté scientifique, l’article a été ré-évalué postérieurement à sa publication. L’expertise, rendue publique par la revue, a recommandé le retrait de l’article, ce qui n’a pas été fait, son éditeur en chef l’ayant seulement « ouvert à la discussion ». On ne peut que déplorer une décision qui remet en cause le jugement par les pairs et va à l’encontre des critiques unanimes de ces derniers.
Près de 40 % des articles publiés dans l’International Journal of Antimicrobial Agents depuis sa création en 2013 ont été co-signés par son éditeur en chef, Jean-Marc Rolain, et un, voire plusieurs, membres de l’IHU de Marseille dont Didier Raoult. De tels conflits d’intérêt jettent la suspicion sur la validité de leurs travaux et sont d’autant plus critiquables que cette autopromotion contribue à l’avancement de carrière des auteurs et au financement de leur recherche, tous deux conditionnés par le nombre de leurs publications. 26 L’article de D. Raoult et son équipe oblige à un questionnement sur la responsabilité des auteurs face à l’énorme impact de leurs résultats en termes de soins. On peut s’inquiéter de ce que cette étude si peu probante ait pu susciter une telle adhésion du public. Il a été impossible par la suite d’en corriger les effets. Comme nous le discutons plus loin, cette situation rassemble beaucoup des ingrédients de ce qui s’apparente au « populisme scientifique ».
Dans le contexte de la crise sanitaire, le soutien sans partage d’une partie de la population au traitement à l’HCQ préconisé par Didier Raoult revêt certains traits du populisme scientifique : méfiance à l’égard de ceux qui s’expriment mais ne fournissent pas de clefs immédiates aux questions posées ; préférence pour les solutions simples et rassurantes ; défiance vis à vis des élites supposées ignorantes des réalités de terrain ; opposition de communautés régionales éloignées du centre de gravité parisien de prise des décisions ; rejet des affirmations des scientifiques jugés compromis par leur proximité avec l’instance politique qu’ils conseillent ; enfin une forme de fascination exercée par une « personnalité forte » qui s’affirme par ses défis contre la représentativité académique.
La dérive populiste de la science peut être aussi le fait d’un responsable politique. Ainsi, Philippe Douste-Blazy, ancien ministre et professeur de santé publique, et Christian Perronne, professeur de médecine, lançaient début avril 2020 une pétition en ligne demandant au gouvernement d ’accélérer les procédures de mise à disposition du traitement à l’HCQ et recueillaient près de 600.000 signatures ! Quelques jours plus tard était publié un sondage du Parisien, largement répercuté dans d’autres médias, qui portait sur « la croyance » du public en l’efficacité de l’HCQ 44. On ne peut que s ’inquiéter que le choix d ’un traitement puisse être décidé par l’opinion publique sur la base d’une pétition ou d’un sondage et que des décisions politiques puissent être prises en se fondant sur des croyances ou des arguments irrationnels, faisant uniquement appel à la peur ou l’émotion.
#CNRS #éthique #science #méthode_scientifique #populisme_scientifique #communication #vulgarisation #médias #Didier_Raoult
Bizarrement, alors que la rédaction du rapport est annoncé comme ayant couru jusqu’à août 2021, aucune mention de Mucchielli dans ce rapport, alors que ses conneries durent depuis plus d’un an donc la même période que le rapport. Et alors que lui il est interne au CNRS, donc le comité d’éthique devrait en parler au moins autant que les personnalités extérieures.
Lynchage et reprise en main par la propagande du régime...vous avez des places à sauver ? Ou est la « catastrophe évitée de justesse » que vous imputez à la seule l’HCQ ? Elle est là avec son QR-code et ses bruits de bottes...
L’un des enjeux pour […] résoudre [la communication de crise] est indubitablement d’élever le niveau de culture scientifique des citoyens mais aussi des décideurs politiques, un devoir éthique auquel les chercheurs doivent contribuer.
Et de changer de type de décideurs politiques ?
vous avez des places à sauver ?
ben oui, Toto, SeenThis est financé (grassement) par BigPharma
Le comité d’éthique du CNRS accuse Didier Raoult
▻https://www.lemonde.fr/blog/huet/2021/09/24/le-comite-dethique-du-cnrs-accuse-didier-raoult
Il y a tout de même quelque chose qui pique avec ce texte du COMETS. Pas son contenu, ni ce qui n’y serait pas. Non. Ce qui pique c’est que, pour l’instant, le CNRS n’en fait vraiment pas la promotion.
« Envie de comprendre le patrimoine qui vous entoure ?
Le b.a.-ba du patrimoine vous donne les clés pour apprécier l’art et le patrimoine en France. Que ce soit en prenant des pages au hasard par simple curiosité ou pour répondre à des interrogations précises lors de vos visites culturelles, le b.a.-ba vous aidera à consolider vos bases pour ne plus être démuni. »
▻https://www.baba-patrimoine.fr
Très beau site de vulgarisation proposée par une passionnée d’art, de littérature et de patrimoine. C’est vraiment très pédagogique avec une mise en valeur réussie des contenus.
#Patrimoine #Vulgarisation #Art #Culture #RessourcePédagogique
« Que serions-nous sans le mucus ? Allons-nous tous vivre sur l’eau ? Quel est le poids du vivant ? Pour le savoir, rendez-vous dans la nouvelle série documentaire scientifique d’ARTE. Clin d’œil au Guide du voyageur galactique de Douglas Adams dans lequel le nombre 42 apporte la réponse ultime, elle décortique des questions existentielles, et a réponse à tout... ou presque. »
▻https://www.arte.tv/fr/videos/RC-021159/42-la-reponse-a-presque-tout
Une série documentaire d’Arte qui pourrait inspirer par exemple les lycéens indécis quant au choix de leur sujet pour le grand oral du bac.
Une intéressante étude très détaillée sur la #vulgarisation_scientifique en français #YouTube. Qui sont les vulgarisateurs, quel est leur public, combien ils gagnent, etc.
L’étude : ▻https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcomm.2021.612667
Un bon résumé dans LinuxFr : ►https://linuxfr.org/news/statistiques-sur-la-vulgarisation-scientifique-en-francais-sur-youtube
Un fil Twitter d’un des auteurs de l’étude, pour les pressés : ▻https://twitter.com/stdebove/status/1394322550516224003
Notez que les auteurs ont lancé un financement participatif pour… payer les frais de publication (car la pourriture de l’édition scientifique est telle qu’il faut payer pour publier les résultats de recherche) ▻https://www.leetchi.com/c/vulga-youtube
Le blog associé à la chaîne #Youtube Histony
▻https://venividisensivvs.wordpress.com
#Histoire #vulgarisation #gauche
C’est peut-être ce que vous vous serez dit en arrivant sur ces pages. Il faut dire que l’Histoire séduit et passionne. Que ce soit dans les médias de masse : à la télévision derrière les sourires figés de Stéphane Bern ou en librairie sous la plume pour le moins maladroite de Lorant Deutsch, mais aussi sur Internet avec de plus en plus de chroniques vidéo, souvent de très bonne qualité. À vrai dire, l’Histoire, c’est vaste. Que ce soit dans le temps ou dans l’espace, il y en a, des sujets à exploiter, des faits à rapporter. D’autant que deux personnes se pencheront rarement sur les mêmes faits de la même manière. À vrai dire, multiplier les sources et les points de vue est le travail de base de l’historien, un travail qui est également le fondement de la pratique citoyenne. À l’heure où les médias dominants sont regroupés aux mains de quelques groupes et tiennent des discours souvent interchangeables, quand ils ne copient pas tout simplement l’AFP, multiplier les sources est donc une nécessité.
Ce sera un petit peu le mot d’ordre de ce blog, mais aussi de la chronique vidéo qui lui est associée. Jamais, cependant, nous ne porterons une parole d’évangile et notre devoir sera accompli si vous, spectateur ou lecteur, décidez, à la fin d’un de nos articles ou d’une de nos vidéos, d’aller vérifier et approfondir les choses par vous-mêmes.
Notre principal objectif sera de racler la couche de vernis qui, bien souvent, recouvre le passé. Oh, n’attendez pas de complots et de mystères ici. Les « falsifications » et « détournements » de l’Histoire impliquent rarement illuminatis et gens cagoulés se concertant dans une cave sombre. Non : nous essaierons de comprendre comment les faits nous parviennent, par qui, et pourquoi. Notre but sera de voir ce qu’ils nous apprennent de nous, comment ils ont, peu à peu, forgé notre pensée et notre culture.
Mais il nous arrivera d’évoquer bien d’autres choses : la représentation de l’Histoire dans la culture populaire, par exemple ; mais aussi, peut-être, l’étude un peu plus approfondie de certains domaines peu connus et pourtant très importants. L’Histoire est un formidable terrain de réflexion et de compréhension, et il est toujours plaisant de la partager, alors n’hésitez pas à vous exprimer à son sujet !
Une bonne réflexion sur la #vulgarisation (pardon, on dit souvent « médiation scientifique » par préciosité) et notamment sur le difficile compromis entre exactitude et accessibilité, à partir de l’exemple des vaccins à ARN messager.
« Pour rendre des informations complexes compréhensibles sans les dénaturer, la vulgarisation nécessite souvent de faire des compromis. En fonction du public, du contexte, du temps dont on dispose et de nos objectifs pédagogiques, on peut se permettre de rentrer plus ou moins dans les détails, de simplifier plus ou moins grossièrement. C’est un exercice d’équilibriste et chaque vulgarisateur y trouve sa propre zone de confort, ce qui peut donner lieu à des discussions assez animées. »
▻https://tanialouis.fr/2020/12/27/le-compromis-de-la-vulgarisation
Et, sur le même sujet (comment vulgariser, entre trop putaclic et trop universitaire chiant), cette fois pour l’histore ▻https://venividisensivvs.wordpress.com/2020/11/12/vulgariser-lhistoire-sur-internet-est-il-encore-possible
« Les gens sont mon habitat » : un chercheur se met dans la peau du coronavirus pour mieux l’expliquer
▻https://theconversation.com/les-gens-sont-mon-habitat-un-chercheur-se-met-dans-la-peau-du-coron
Depuis des mois, on ne parle que de lui… sans jamais cependant entendre son point de vue ! Franck Courchamp, directeur de recherche au CNRS et titulaire de la Chaire Axa sur la biologie des invasions (Université Paris-Saclay), s’est glissé le temps d’une interview imaginaire dans la peau de ce coronavirus SARS-CoV-2 qui affole la planète. Au-delà de l’aspect ludique de cette « rencontre », c’est aussi une façon pour le scientifique de nous faire changer de perspective sur les enjeux de la pandémie et des enseignements qu’il serait heureux d’en tirer.
Qui êtes-vous, coronavirus ?
Je commencerais par dire, modestement, que je suis le King. Le roi. Après tout, corona en latin signifie « couronne », vous le reconnaissez donc vous-même en me donnant ce nom. Je suis un petit bijou de l’évolution, pourtant, je suis resté assez simple. Paradoxalement, cette simplicité est une source d’incompréhension pour vous. Vous avez déjà du mal à vous décider sur un point aussi basique que de savoir si je suis ou non vivant… À votre décharge, vous vous posez la même question pour tous mes autres confrères virus.
Personnellement, cela m’importe peu de savoir où vous me classez. Il est vrai que mon fonctionnement diffère sensiblement de celui des êtres vivants. Vous pouvez voir en moi une sorte de machine biologique microscopique. Mon programme est très simple : survivre et me reproduire pour perdurer d’une génération à l’autre. En cela, j’ai exactement le même objectif que toutes les espèces vivantes.
À mon échelle, vos cellules sont bien plus grandes pour moi que ne le sont vos villes pour vous.
La question importante est donc plutôt de savoir comment ne pas attraper le prochain de vos congénères virus ?
Effectivement, car il ne s’agit pas de savoir « si » un nouveau virus dangereux pour l’être humain émergera à partir d’une autre espèce, mais « quand ».
Serez-vous prêts ? Mieux vaut être capable répondre rapidement, car les épidémies venant d’animaux sauvages se multiplient depuis quelques années, et vos sociétés ont déjà goûté à mes cousins virus sur plusieurs continents…
Nous les virus émergents avons tué des millions des vôtres, frappant parfois vos congénères au hasard, ou nous attaquant à des catégories très ciblées (comme ici les plus vulnérables physiquement). Nous avons mis à mal vos systèmes économiques et politiques, nous vous avons enfermés chez vous, terrorisés, fait naître les théories complotistes les plus absurdes… Qu’en avez-vous retenu ?
Face au Covid-19, « le confinement est la seule solution » - entretien avec Nathan Peiffer-Smadja, regards.fr
▻http://www.regards.fr/politique/article/face-au-covid-19-le-confinement-est-la-seule-solution
On peut critiquer la politique qui est menée sur le long terme. Les gouvernements successifs ont cassé le service public hospitalier au profit de la santé privée. Il y a une américanisation de notre système de santé. On manque aussi de vraies politiques de prévention et de santé publique. Comme on fait de la tarification à l’activité, la prévention ne peut pas être cotée. On n’a ni le temps ni le financement pour ça. Puis, plus précisément concernant le Covid, on peut regretter qu’il y ait eu une série de mesurettes depuis cet été – où l’on savait que le virus circulait massivement –, on a vu que cette stratégie de la riposte graduée ne marche pas. Il faut en tirer les leçons. Il faut des mesures fermes avant que la situation ne soit critique. Mais les gens n’étaient pas prêts à accepter des mesures fermes alors qu’il n’y avait pas d’hospitalisations et pas de décès – c’est une faillite de la mentalité de prévention, extrêmement favorisé par le discours « rassuriste ». Pourtant, dès le début de l’été, le Conseil scientifique a dit qu’en octobre-novembre, il va y avoir un problème, vu la direction que l’on prend. Il aurait fallu investir plus sur le tracing des cas, prioriser la politique de tests sur les cas contact et mettre quelque chose en place pour isoler les gens porteurs du virus. À Taïwan, ils ont utilisé les hôtels pour ça. Demander aux gens de rester chez eux, quand le foyer est de 3, 4, 5 personnes, ce n’est pas comme ça qu’on évite les transmissions. Mais même si certaines choses auraient pu être mieux faites et plus tôt, il y a une incertitude globale concernant le Covid, et une part de fatalité non négligeable. Les Allemands ont mis en place tout ce que je vous dis, et pourtant ils sont dans une situation compliquée actuellement.
Entretien avec Nathan Peiffer-Smadja, infectiologue à l’Hôpital Bichat
►https://www.youtube.com/watch?v=OAYZr1WbePk
exemple du Vietnam (et de ses #agents_de_santé) mis en avant dans la partie 2 (au chapitre « comment certains pays sont-ils déjà sortis de cette crise ? »)
Adios Corona
▻https://www.adioscorona.org
Des scientifiques analysent les publications sur le COVID-19 et conseillent de bonnes pratiques collectives pour stopper la propagation du virus et revenir plus vite à une vie sociale sûre. Source : Relevé sur le Net...
Les Coronagirls et le mystère du test rapide Covid19, Fiamma Luzzati
▻https://www.lemonde.fr/blog/lavventura/2020/10/22/les-coronagirls-et-le-mystere-du-test-rapide-covid19
#tests_salivaires, ce sera pour le 3éme vague
L’anthropologie expliquée, par des anthropologues, à ceux qui n’y connaissent rien... #SHS #anthropologie #vulgarisation #vidéo ►https://sms.hypotheses.org/24844
L’anthropologie expliquée, par des anthropologues, à ceux qui n’y connaissent rien... #SHS #anthropologie #vulgarisation
►https://sms.hypotheses.org/24844
Qu’est-ce qu’un anthropologue ? Une femme ou un homme à la recherche de sauvages ? Un savant en quête d’exotisme ? Ne serait-ce pas plutôt un chercheur qui enquête sur un terrain et qui étudie des populations ? Un court-métrage d’animation corrige les stéréotypes sur le métier et présente les facettes du travail ethnographique : le terrain, mais aussi la recherche documentaire et bibliographique, l’écriture avant, pendant et après l’enquête à proprement parler, la relation avec ceux auprès de qui l’on conduit son travail.
Le film a été produit dans le cadre du programme de recherche VISA « Vie Savante », programme visant a réunir un collectif de chercheuses et chercheurs qui s’intéressent à l’évolution de leur discipline et à ce qu’elle fait aux individus qui la pratiquent. Il s’agit pour eux de tenir compte de la diversité des façons de faire de l’anthropologie et de couvrir ainsi les différentes facettes de ces vies savantes : l’anthropologue-muséologue présente une configuration assez différente de l’anthropologue-réalisateur (...)
20 ans de cours de Descola au Collège de France en vidéo… si vous avez un peu temps (bien sûr que non ya trop de choses à écouter et lire en confinement)
▻https://www.college-de-france.fr/site/philippe-descola/course-2018-2019.htm
(ya pareil pour les autres chaires)
Par contre c’est ultra lent et mal fichu leur site…
#Collège_de_France #Philippe_Descola #anthropologie #vulgarisation