Made in Flatbush, Brooklyn. La relève de la côte Est.
The Underachievers - « Gold Soul Theory »
Made in Flatbush, Brooklyn. La relève de la côte Est.
The Underachievers - « Gold Soul Theory »
Ca vient d’une compile espagnole de 2013, The Clash Goes Jamaican :
▻https://thegoldensinglesrecords.bandcamp.com/album/the-clash-goes-jamaican
Mais ils l’ont ressorti en 2015 (sur un disque qui comporte aussi un duo avec Angelo Moore de Fishbone : ▻http://www.stonesthrow.com/store/album/lions/soul-riot) avec un clip assez fabuleux :
Ah ouais merci @opironet.
Et il est sympa le clip effectivement
Bass & ass… => []
J’écoutais Sandinista en vinyle dans les disques de mon père. :D
Après l’album complet de reprises, c’est pas tout aussi bien…
Pas tout aussi bien, mais quelques groupes espagnols sympas, comme Red Soul Community, Hypocondriacs, The Ben Gunn Mento Band ou Nano Trueno and the Dollars (Jodi A La Ley - I Fought the Law):
Merci à vous deux ! ;-) Oui, je connaissais la compil’ — mon frère (fin connaisseur des Clash et grand amateur de musique jamaïcaine) me l’avait signalée.
France Culture consacre une semaine entière à la comète de Baltimore :
« Billie Holiday : une vie, une voix (1/5) : “Lady Sings the Blues” »
►http://www.franceculture.fr/emission-continent-musiques-d-ete-billie-holiday-une-vie-une-voix-15-l
Son visage, tour à tour d’adolescente effrontée, de tapineuse sans vergogne, de « princesse nègre », de star titubante, de junky décharnée, romance sa vie. Son chant, pas le plus juste, ni le plus virtuose, ni le plus populaire, en dit plus encore. Billie Holiday est la voix du jazz, celle qui l’incarne pour le profane et témoigne des vicissitudes de la triple condition d’artiste, femme, et noire. Une vie et une voix qui ont dessiné une figure mythologique : Lady Day.
#Billie_Holiday #jazz #blues #zique
Le jour des 100 ans, la radio suisse avait fait une unique excellente émission de 1h20 sur RTS, avec de nombreux morceaux entrecoupés uniquement de lecture d’extraits très bien choisis et très bien lus de « L’âme de Billie Holiday » de Nabe :
►https://www.rts.ch/espace-2/programmes/jazzz/6631439-jazzz-du-07-04-2015.html
Rien pour la télécharger, mais j’avais réussi à la capter en streaming. Par contre le fichier mp3 merdouille avec certain lecteur (dont flash apparemment). Il faut plutôt télécharger le fichier et le lire avec un lecteur qui y arrive (Totem sur Ubuntu chez moi arrive à le lire) :
▻http://rastapopoulos.artizanal.info/musique/billie.mp3
La totale :
►http://www.franceculture.fr/emission-continent-musiques-d-ete-billie-holiday-une-vie-une-voix-15-l
▻http://www.franceculture.fr/emission-continent-musiques-d-ete-billie-holiday-une-vie-une-voix-25-l
▻http://www.franceculture.fr/emission-continent-musiques-d-ete-billie-holiday-une-vie-une-voix-35-b
▻http://www.franceculture.fr/emission-continent-musiques-d-ete-billie-holiday-une-vie-une-voix-45-l
▻http://www.franceculture.fr/emission-continent-musiques-d-ete-billie-holiday-une-vie-une-voix-55-l
citées dans le premier épisode:
Billie Holiday in the 1947 film New Orleans. Billie’s songs only. Do You Know What It Means To Miss New Orleans (two versions), Farewell To Storyville, and The Blues Are Brewin’
▻https://www.youtube.com/watch?v=BG7aoz0Rpdc
cité dans le quatrième épisode :
18 novembre 1958, Olympia de Paris : Mal Waldron (p), Michel Gaudry (b), Inconnu (d), Billie Holiday (voc), avec de très belles boucles d’Oreille, chante :
1) I Only Have Eyes For You
2) Trav’lin’ Light
▻https://www.youtube.com/watch?v=ptO7JFYE_Sg
cités dans le cinquième épisode:
10 juillet 1958 Art Ford’s Jazz Party TV Program: Georgie Auld (ts), Mal Waldron (p) Mary Osborne (g) Vinnie Burke (b) Osie Johnson & Jackie Cooper (d) Billie Holiday (v)
1) Foolin’ Myself
2) It’s Easy To Remember
3) What A Little Moonlight Can Do
▻https://www.youtube.com/watch?v=yji7tvcfxw0
17 juillet 1958 Art Ford’s Jazz Party TV Program: Charlie Shavers & Buck Clayton (t), Georgie Auld (ts), Tyree Glenn (tb), Harry Shepherd (vb) Mal Waldron (p) Mary Osborne (g) Vinnie Burke (b) Osie Johnson (d) Billie Holiday (v)
1) Moanin’ Low
2) Don’t Explain
3) When Your Love Has Gone
▻https://www.youtube.com/watch?v=odgHMvESF-U
Pour tous mes amis tunisiens, français et de Navarre. Pour celle que j’aime, dont le pays souffre.
▶ ✪ HOUMANI ✪ ( ariana city ) - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=mz3p3a4EiXA
#Hamzaoui_Med_Amine #Kafon #Tunisie #Ariana #pauvreté #inégalités #jeunes #zique
En quelques phrases, elle dit quoi la chanson ? (Merci d’avance de ta réponse.)
Houmani, la chanson « miroir » des quartiers tunisiens - L’Express
▻http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/houmani-la-chanson-miroir-des-quartiers-tunisiens_1302555.html
Ce rap teinté de reggae raconte la vie quotidienne dans les cités populaires. Le morceau cartonne auprès de la jeunesse, désabusée de la politique
C’est une petite musique entêtante, qui berce le quotidien des Tunisiens depuis deux mois. En déambulant dans la rue, on l’entend partout : depuis les cafés et les boutiques, depuis les voitures engluées dans la circulation de Tunis, sur les téléphones portables des ados et même à la radio, qui diffuse assez rarement ce genre de musique. Mélange de rap, de reggae et de dubstep, Houmani cartonne. Sorti le 14 septembre sur Youtube, le morceau du duo Hamzaoui Med Amine et Kafon a été regardé au moins 6 millions de fois, un record.
« Le texte parle de la pauvreté, de notre réalité, il explique notre société », observe Bilel, un lycéen de Bab Souika, l’un de ces quartiers populaires que dépeint la chanson. Le mot, inventé pour l’occasion par Hamzaoui, est dérivé de l’arabe tunisien « houma », qui désigne ces cités. « Houmani, c’est le gars qui n’a pas les moyens d’en sortir, qui est coincé au quartier », résume Hamzaoui Med Amine. La chanson décrit, dans un argot riche en images et en néologismes, la galère commune de cette jeunesse bloquée : le chômage, la débrouille, la défonce, la délinquance, l’oppression policière, l’ennui...
paroles reprises dans l’article
On vit comme des ordures dans une poubelle
Pauvres, sans un sou
On se lève tard, on ne voit pas le temps passer
j’ai pas de montre
Ici l’atmosphère est suffocante
[…]
Même la tête en bas, on va de l’avant
Un sou ne reste pas longtemps dans ma poche
Je suis passé trop vite de la jeunesse à la vieillesse, le cerveau affaibli [par la drogue]
sur cette version de YT tu as les paroles, mais ça ne m’a pas beaucoup aidé (arabe tunisien…)
▻https://www.youtube.com/watch?v=IJLTdwJzcjA
Merci @Simplicissimus. Cf. aussi : « Un morceau de rap tunisien devient un hymne de la jeunesse » ▻http://fr.globalvoicesonline.org/2013/11/13/156964 (novembre 2013)
Retrouvé derrière les fagots. Made in Birmingham (avec l’accent cockney), 2002. Entre rap, slam et spoken word. Terrible. Extrait de l’album « Original Pirate Material » (disponible en écoute intégrale sur la Toile)
▶ The Streets - « Turn the Page »
▻https://www.youtube.com/watch?v=flt1I1U74h4
#zique #UK #The_Streets
Une des plus belles plumes de la « ville des vents » (Illinois).
▶ Common, « Aquarius » (2002)
Et ils gagnent de part et d’autre...
▶ James Holden - « The Idiots are Winning » (2006)
▻https://www.youtube.com/watch?v=2ZAZaNTgv3Q
#zique #tek #James_Holden #UK
Sublime. Par le pape du blues malien, le regretté Ali Farka (1939-2006).
▶ Ali Farka Touré - « Allah Uya »
Outre-Atlantique : deux poids, deux mesures...
Rapper Faces Life in Prison Over His Lyrics
▻http://www.truthdig.com/arts_culture/item/rapper_faces_life_in_prison_over_his_lyrics_20141203
San Diego rapper Brandon Duncan, aka Tiny Doo, has no criminal record, yet he is now facing trial on nine counts of participating in “criminal street gang conspiracy.” If convicted, the charges could land him life in prison. The charges stem from Duncan’s latest album, No Safety. San Diego Deputy District Attorney Anthony Campagna is leading the prosecution. It’s a case that redefines the traditional understanding of conspiracy and free speech. The Guardian points out that the issues have more to do with class and race and that Duncan seems to be guilty of nothing more than speaking to the truth about the world surrounding him.
Bon, il a finalt été libéré et l’accusation abandonnée, en 2015
udge Dismisses Gang Conspiracy Charges Against Rapper Tiny Doo
▻http://www.nbcsandiego.com/news/local/San-Diego-Tiny-Doo-Rapper-Gang-Conspiracy-Case--296455551.html
▻http://www.buzzfeed.com/claudiakoerner/rapper-tiny-doo-facing-life-in-prison-over-lyrics-has-charge
Un opéra en arabe, composé par le musicien et poète Tarik Benouarka (pour l’anecdote, neveu de la grande combattante algérienne Djamila Bouhired). Merci à Samia pour cette belle découverte.
L’Opéra « EL Nafas » (Le souffle) à Alger (2013, extraits)
Pourquoi « le premier » ? En Algérie, peut-être, mais souvenons-nous que Aïda, de Verdi (pas très arabe mais pas encore très italien non plus), a été créée en 1871 au Caire !
« Le 14 avril [2013] se déroulera au Théâtre national d’Alger la représentation exclusive et en première mondiale de l’opéra El Nafas de Tarik Benouarka. El Nafas est le premier opéra écrit spécialement pour la langue arabe . C’est une création originale, classique et romantique qui mêle les univers de l’Orient et de l’Occident.
L’histoire poétique nous emporte dans un grand désert, le pays du souffle, terre imaginaire et cachée où planent les mystères d’un lointain passé... Le compositeur et auteur d’El Nafas, Tarik Benouarka, est un artiste qui façonne un univers aux multiples couleurs avec une sensibilité et un style uniques. Né à Alger, il commence la musique à 4 ans et poursuit son apprentissage en France, avec l’étude de la musique classique, arabe et jazz. Très tôt, il découvre le monde des studios, réalisant ses tout premiers enregistrements professionnels et ses premiers concerts dès l’âge de 12 ans. Compositeur, musicien et orchestrateur doué, il collabore avec de grandes stars de la chanson et du spectacle, du jazz et de la musique classique et devient un acteur internationalement reconnu de la production musicale et audiovisuelle. Mais c’est avant tout un créateur, un artiste inspiré, qui porte en lui un monde et un message qu’il transmet avec passion et singularité, au-delà des frontières convenues et déjà entendues. El Nafas est un grand opéra, une œuvre universelle, unique et symbolique, créé pour être chanté en langue arabe classique. Un opéra dans lequel se rencontrent deux univers et deux cultures, dans une composition d’influence romantique, classique et symphonique. »
(▻http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2013/04/10/article.php?sid=147605&cid=16)
Je ne comprends pas ta remarque Gonzo, Aïda n’est sûrement pas un opéra arabe, en aucun sens du terme, non ?
Il doit y avoir d’autres exemples, mais je tombe dans mes notes sur une représentation du « premier opéra palestinien », en arabe, avec Ines Masalha dans un de rôles principaux, donnée à... L’opéra de Chicago (ça ne s’invente pas !) en avril 2009. Tous les interprètes étaient palestiniens (y compris l’orchestre donc), et le livret entièrement en arabe.
Mais ce qui m’énerve le plus, c’est cette impression que pour que les Arabes soient vraiment cultivés, voire civilisés, il faut qu’ils fassent de l’opéra, soit le truc le plus hyper occidental qu’on puisse trouver (il me semble qu’Edward Saïd, par ailleurs grand musicologue, a écrit qq chose là-dessus). Du coup, c’est la course à qui fera « le bon arabe civilisé avant les autres », et les frères algériens ne sont pas en reste à ce que je vois !
Une référence me revient à la mémoire, c’est celle de cette vieille ganache raciste de Bernard Lewis écrivant dans « Que s’est-il passé » qu’une des preuves que l’islam c’était vraiment nul c’était que les Arabes n’avaient pas d’orchestres symphoniques de valeur ! (Ce à quoi répondait Saïd, fort maladroitement à mon sens, mais il aimait vraiment beaucoup la musique, que si, il y avait des Arabes qui jouaient très bien Mozart !)
Tu as raison. Et je me souviens bien de la polémique de Edward Said avec Lewis. Mais ce que Said écrivait c’est qu’il y avait des orchestres philharmoniques dans toutes les grandes villes arabes. Quoiqu’on pense, par ailleurs, de ce que l’on appelle « la musique classique ».
Bon alors, dois-je modifier mon commentaire ? Du genre « écrit spécialement en arabe » ? Dites-moi, Alain et Gonzo. :-)
Cher Yves, ce n’est pas du tout dans cette perspective que Tarik (dont j’ai fait la connaissance et avec qui j’ai pu longuement discuter) travaille. Sa démarche est tout autre. Merci, en tout cas, pour vos remarques très intéressantes.
Janis Joplin en mode rocksteady jamaïcain. Parfait pour débuter la journée. Thx mon bro’ pour la trouvaille.
▶ JANIS & THE SOUL VENDORS - ROUGHER BENZ by 2Rud
Tout frais.
▶ « Losers Can Win » - Starwalker in Starwalker - Losers Can Win EP
▻https://soundcloud.com/stairs_musicblog/sets/starwalker-losers-can-win-ep
Snappy, snappy, en mode afterisé.
▶ Todd Terje - Q (Original) [Olsen Records]
Confessions d’un puriste de la tek :
« Laurent Garnier : "La musique est devenue un produit jetable" » (entretien, L’Express, 15-04-14)
▻http://www.lexpress.fr/culture/musique/laurent-garnier-la-musique-est-devenue-un-produit-jetable_1507100.html?xtmc
Comment la techno est-elle perçue aujourd’hui ?
Même si elle est devenue une institution comme le rock ou le hip-hop, les a priori et les méconnaissances sont encore nombreux. Une partie de la population considère toujours la techno comme une musique de drogués et d’idiots. Le terme « musique électronique » est plus employé. Il fait moins peur. Il est moins radical, politiquement correct. La scène techno a un problème : elle ne compte pas beaucoup d’acteurs connus du grand public. David Guetta représente-t-il le monde de la techno ? Non, il produit de l’electronic dance music, un style pop et commercial pour les enfants. Mon fils de 10 ans en écoute avec ses copains. Pour eux, le plus grand DJ du monde, c’est Martin Garrix. Le garçon a 17 ans, et ce sont ses parents qui l’emmènent à ses concerts.
Pour sortir la techno des préjugés que vous évoquez, pouvez-vous nous en donner une définition ?
Il est très compliqué de donner une définition. Le mot « techno » est un sac qui englobe trop de sonorités. Il faut rester prudent pour ne pas être réducteur. A ses origines, à Detroit, dans les années 1980, la techno était une musique synthétique créée avec des machines dans le but de faire danser. Le concept est plutôt basique et hédoniste. Instrumentale, elle n’a pas vocation comme le rap, par exemple, à traiter des problèmes des quartiers. Si les machines sont privilégiées, elles ne sont pas exclusives. Par exemple, le saxophone est au coeur de mon tube The Man with the Red Face.
La techno est une suite logique du jazz. Comme lui, elle est une forme de liberté, d’expression et d’expérimentation, éloignée des formatages radiophoniques. Quant aux amalgames sur les drogues, j’ai renoncé à m’énerver contre ces raccourcis ridicules. La drogue a toujours été liée au monde de la nuit et de la fête. Pourquoi stigmatiser la techno ? Est-ce que, pendant le Festival de Cannes, on parle de la consommation de cocaïne ? Non, on parle de cinéma.
(...)
Dans le livret qui accompagnait son dernier album, I’m New Here, le chanteur américain Gil Scott-Heron donnait quelques instructions pour en profiter pleinement : couper son téléphone portable, passer le disque d’une traite... Est-ce qu’on écoute bien la musique aujourd’hui ?
La façon de consommer la musique a été bouleversée. Sur les plateformes de streaming comme Spotify et Deezer, les gens se branchent sur des radios thématiques ou des playlists. Ils n’écoutent plus d’albums. Les jeunes téléchargent la piste 10 et la piste 12 d’un disque. Comme si, dans un film, on disait : « J’aime uniquement la scène où le héros plonge dans la Seine et celle quand il court tout nu dans les rues de Paris. Le reste ne m’intéresse pas. » Un album raconte une histoire. Il est le fruit d’un travail personnel, d’une réflexion. Malheureusement, la musique est devenue un produit jetable. Un consommable.
Les DJ stars de l’electronic dance music, comme Calvin Harris, Tiësto, Guetta, Swedish House Mafia, Avicii, génèrent des dizaines de millions d’euros de recettes. A Las Vegas, par exemple, les casinos commencent à réaliser plus de bénéfices avec des soirées dans leurs clubs qu’avec leurs salles de jeu.
Le fait de ne plus générer d’argent avec la vente des disques a poussé certains DJ à devenir de véritables businessmans. Ils font appel à des agents peu scrupuleux qui demandent des sommes indécentes. Dans le monde de l’electronic dance music, mais aussi dans celui de la techno, des DJ prennent 50000 à 60000 euros pour jouer lors d’un festival, au prétexte qu’ils revendiquent 2 millions de fans sur Facebook. C’est de la folie. Comme dans le rock ou dans le hip-hop, on assiste à des dérives.
Vous a-t-on déjà proposé d’assurer certaines dates dans le genre de celles de Las Vegas ?
J’ai fait certaines dates importantes, mais ce ne sont pas les concerts les plus intéressants. On demande aux artistes de mixer seulement une heure. Je refuse généralement. J’aime jouer longtemps. Je suis toujours le vilain petit canard. L’argent ne m’a jamais excité. Je n’ai pas besoin de m’acheter un yacht. Je préfère collaborer avec des petites structures qui placent la musique au centre des discussions. C’est ma façon de faire depuis vingt-cinq ans.
Un morceau d’anthologie (Chicago), qui restera dans les annales.
▶ Common - “Aquarius”
Putain de son. UK as usual.
▶ Bloc Party - « Like Eating Glass »
▻http://www.youtube.com/watch?v=CdBt3n1MtFM
Theorem, aka Dale Lawrence. Minimal tek.
▶ Theorem - « Fallout »
L’essence du reggae (et du rap) = le rocksteady.
▶ (1975) Prince Jazzbo : Penny Reel (Discomix)
Ecrit, composé et produit par Mr. Lee Perry, Kingston, 1976. Pendant que les Blancs écoutaient Bob Marley, les gars du coin écoutaient plutôt ça :
▶ Truth Fact & Correct : Babylon Deh Pon Fire (Custom Disco)
(1976)