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  • France Inter a-t-elle embauché une journaliste « en lien avec Daech », comme l’affirme Philippe Val ? – Libération
    https://www.liberation.fr/checknews/france-inter-a-t-elle-embauche-une-journaliste-en-lien-avec-daesh-comme-l

    Dans son édito hebdomadaire du lundi 25 mars, Philippe Val, ex-patron de France Inter désormais chroniqueur sur Europe 1, a pris pour cible son ancienne maison. A l’antenne, il ironise sur le décalage apparent, selon lui, entre une « présomption d’innocence » qu’il juge inexistante dans le cas de Jean-François Achilli, suspendu de l’antenne à titre conservatoire pour avoir collaboré au livre du président du RN, Jordan Bardella, et le cas d’une journaliste, « embauchée » par France Inter alors qu’elle « aurait des liens avec Daech ».

    #paywall

    Voilà, sache-le, les journalistes islamogauchistes de la radio publique financent les rebelles irakiens financés par nos alliés qataris et saoudiens et lafargiens afin de faire la guerre à notre ennemi la Syrie d’Assad.

  • Dans la Manche, les techniques agressives de la police pour empêcher les traversées de migrants
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/03/23/dans-la-manche-les-techniques-agressives-de-la-police-pour-empecher-les-trav

    Dans la Manche, les techniques agressives de la police pour empêcher les traversées de migrants
    Par Julia Pascual (envoyée spéciale à Calais (Pas-de-Calais) et Loon-Plage (Nord)), Tomas Statius (Lighthouse Reports), Cellule Enquête vidéo et avec la contribution de Fahim Abed, May Bulman et Bashar Deeb (Lighthouse Reports)
    Officiellement, la police a interdiction formelle d’intercepter en mer les embarcations de migrants qui tentent de traverser la Manche. Après plusieurs mois d’enquête, « Le Monde » et ses partenaires de Lighthouse Reports, de « The Observer » et du « Der Spiegel » ont pourtant pu documenter différentes situations où les forces de l’ordre emploient des manœuvres dangereuses à l’encontre de ces « small boats » pourtant déjà à l’eau.
    Il pleut des cordes et la grande tonnelle blanche, sous laquelle plusieurs dizaines de personnes viennent s’abriter, a du mal à supporter le poids de l’eau qui s’accumule. Il est presque 11 heures, dans une zone périphérique de Loon-Plage (Nord), ce mardi 12 mars, à l’entrée de l’un des nombreux campements de personnes migrantes présents depuis des années maintenant sur la commune, voisine de Dunkerque.
    Ziko (les personnes citées par leur prénom ont requis l’anonymat), 16 ans, vivote ici depuis cinq mois. Le jeune Somalien a déjà essayé cinq fois de gagner le Royaume-Uni. A chaque fois en bateau. A chaque fois sans succès. Systématiquement, les policiers sont intervenus pour stopper l’embarcation à bord de laquelle lui et d’autres espéraient traverser la Manche. « A chaque fois, ils ont crevé le bateau », se souvient-il.
    Il y a environ deux semaines de cela, les policiers ont fait une manœuvre au large de la plage de Gravelines (Nord) que le jeune homme n’est pas près d’oublier. Les fonctionnaires ont fait obstacle au canot alors qu’il était déjà en mer. « On était à plusieurs dizaines de mètres des côtes quand un bateau pneumatique avec cinq ou six policiers s’est approché et a crevé notre embarcation. » Ziko rapporte que lui et la cinquantaine de passagers sont tous tombés à l’eau. « J’avais de l’eau jusqu’à la poitrine, c’était très dangereux. Il y avait des enfants qui étaient portés à bout de bras par des adultes pour ne pas se noyer. »
    De ses cinq tentatives de traversée, c’est la seule au cours de laquelle le bateau de Ziko a été crevé en mer. Son témoignage, rare, vient percuter la version officielle livrée par les autorités depuis 2018 et l’explosion du phénomène des small boats, ces petites embarcations de migrants dont le but est de rejoindre le Royaume-Uni. Officiellement, la police a interdiction formelle d’intervenir lorsque les small boats sont déjà en mer. Dans une directive à diffusion restreinte du 10 novembre 2022, le préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord, Marc Véran, rappelait que « le cadre de l’action des moyens agissant en mer (…) y compris dans la bande littorale des 300 mètres (…) est celui de la recherche et du sauvetage en mer » et « ne permet pas de mener des actions coercitives de lutte contre l’immigration clandestine ».
    Et ce, en dépit de la pression constante sur le littoral : alors que moins de 2 000 personnes ont traversé la Manche en 2019, elles étaient plus de 45 000 en 2022 et près de 30 000 en 2023. Un phénomène qui est devenu un irritant majeur dans la relation franco-britannique.Au terme de plusieurs mois d’enquête, Le Monde, ses partenaires du collectif de journalistes Lighthouse Reports, du journal britannique The Observer et de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel ont pourtant pu documenter différentes situations, parfois filmées, où des tactiques agressives similaires à celles que dénonce Ziko ont été employées depuis juillet 2023. D’après nos informations, elles sont même comptabilisées par le ministère de l’intérieur sous la dénomination explicite d’« interceptions en mer ». Des données d’une sensibilité telle qu’elles ne font l’objet d’aucune publicité.D’autres que Ziko en témoignent. La Défenseure des droits explique au Monde que quatre saisines sont en cours d’investigation portant sur des interceptions en mer en 2022 et 2023. Par ailleurs, l’inspection générale de la police nationale est saisie depuis l’automne 2023 d’une enquête préliminaire à la suite d’un signalement au parquet de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) effectué par Rémi Vandeplanque, un garde-côte douanier et représentant du syndicat Solidaires.
    Ce dernier rapporte que, le 11 août 2023, au petit matin, un gendarme aurait demandé à un membre d’équipage de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) de l’aider à percer un bateau au large de la plage de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) avec une dizaine de personnes à son bord. Une action que le sauveteur a refusé d’effectuer, tout en avisant le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) de Gris-Nez (Pas-de-Calais).
    L’échange a été entendu sur l’un des canaux radio utilisés par le Cross. « En tant que policier, on ne peut pas agir d’une manière qui met la vie d’autrui en danger, affirme Rémi Vandeplanque. On doit respecter les règles. » Sollicitée, la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord assure que, « si elle est avérée, cette initiative ne pourrait être qu’une initiative individuelle de la personne en question et inappropriée ».
    Rares sont les images qui documentent ces pratiques, mais une vidéo inédite que nous nous sommes procurée, datée du 9 octobre 2023, montre un semi-rigide de la police nationale tourner autour d’un small boat dans le port de Dunkerque en créant à dessein des vagues qui déstabilisent la petite embarcation. A bord se trouvent pourtant une trentaine de passagers. Une partie d’entre eux se tient sur le boudin du canot. De l’eau entre dans l’embarcation au point que ceux assis au milieu sont immergés jusqu’aux genoux. Le policier semble ensuite dire aux occupants du petit bateau de retourner sur le bord. Les migrants seront finalement débarqués sains et saufs. Une manœuvre dangereuse, jugent plusieurs experts maritimes, d’autant que, en cas de chavirement, les embarcations légères des forces de l’ordre ne sont pas dimensionnées pour conduire des opérations de sauvetage. « Cette vidéo m’a choqué, raconte Kevin Saunders, ancien officier de la Border Force britannique en poste à Calais jusqu’en 2016 et connu pour ses positions extrêmement critiques à l’égard de l’immigration. Elle me rappelle ce que les Grecs faisaient à la frontière maritime avec la Turquie. Je suis surpris que les Français fassent cela parce que c’est contraire à leur interprétation du droit de la mer. »
    « Les Français sont poussés à jouer le même rôle dans la Manche que celui que l’Union européenne offre aux pays africains. Paris reçoit beaucoup d’argent des Anglais pour empêcher les migrants de partir ou les arrêter en mer », renchérit de son côté le politiste autrichien Gerald Knaus, architecte de l’accord de lutte contre l’immigration irrégulière entre l’Union européenne et la Turquie, faisant référence à la pression grandissante des autorités britanniques.De son côté, la préfecture de la zone de défense et de sécurité Nord relativise : « On était en journée, dans une enceinte portuaire. Le but de l’intervention est de dissuader les passagers de s’approcher de la digue du Braek [qui mène à la mer du Nord]. C’est la seule fois où on a pu intercepter un small boat par cette manœuvre et ça a été dissuasif. Toutes les personnes migrantes ont été sauvées et les passeurs interpellés. »
    Dans une seconde vidéo, diffusée sur le réseau social TikTok en juillet 2023, un semi-rigide appartenant à la vedette de gendarmerie maritime Aber-Ildut, déployée depuis 2022 dans la Manche, est filmé en train de percuter à deux reprises une embarcation de migrants à pleine vitesse, au large des côtes de Boulogne-sur-Mer. Trois gendarmes sont à bord. L’un d’entre eux brandit une bombe de gaz lacrymogène en direction du small boat et intime à ses passagers de s’arrêter. Une pratique, encore une fois, contraire au cadre opérationnel français.
    « Refusant le contrôle coopérant, aucune action de coercition n’a été réalisée et cette embarcation a librement poursuivi sa route, précise la préfecture maritime, interrogée sur cette action. Le nombre de ces contrôles reste très modeste, aucun naufrage, blessé ou procédure non conforme n’a été signalé. »D’autres témoignages, recueillis auprès de migrants à Calais (Pas-de-Calais) ou à Loon-Plage, décrivent des tentatives de traversées empêchées par des forces de l’ordre, qui s’avancent dans l’eau, jusqu’aux épaules parfois, pour crever des bateaux bondés de passagers. « A aucun moment de telles consignes ne sont données ni même suggérées aux équipes coordonnées, assure pourtant la préfecture maritime, bien au contraire, la préservation de la vie humaine en mer est le seul credo qui vaille. »
    La lutte contre l’immigration irrégulière franchit-elle la ligne rouge ? Le 10 mars 2023, une grappe de journalistes trépignent dans la cour de l’Elysée balayée par un vent hivernal. Tous attendent la poignée de main entre le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, et le premier ministre britannique, Rishi Sunak, sur le perron du palais présidentiel. C’est le premier sommet bilatéral entre les deux pays depuis cinq ans. Le rapprochement qui doit être mis en scène ce jour-là va s’incarner sur un sujet : l’immigration. Londres annonce le versement sur trois ans de 543 millions d’euros à la France pour « stopper davantage de bateaux », au titre du traité de Sandhurst de 2018.
    Cet argent va permettre de financer le déploiement de réservistes et l’installation de barrières et de caméras de vidéosurveillance sur la Côte d’Opale, mais aussi la surveillance aérienne du littoral ou encore l’équipement des forces de l’ordre en drones, jumelles à vision nocturne ou semi-rigides, comme celui que l’on voit à l’œuvre dans la vidéo prise dans le port de Dunkerque. Une tranche importante d’une centaine de millions d’euros est aussi dévolue à des projets immobiliers tels que la création d’un centre de rétention administrative vers Dunkerque ou d’un lieu de cantonnement pour les CRS à Calais. Désormais, plus de 700 policiers et gendarmes sillonnent vingt-quatre heures sur vingt-quatre heures les 150 kilomètres de littoral.
    Il n’est pas question ici de sauvetage en mer, au grand dam de certains opérateurs qui verraient bien leur flotte renouvelée alors que les naufrages d’embarcations sont récurrents et mettent à rude épreuve les équipages. Ainsi la SNSM a échoué à plusieurs reprises à bénéficier des fonds Sandhurst, « parce que son action n’est pas assimilable à de la lutte contre l’immigration illégale », justifie à regret un cadre de l’association dans un document que nous avons pu consulter.
    L’enveloppe d’un demi-milliard d’euros débloquée par les Britanniques en 2023 constitue, de l’aveu de plusieurs sources au ministère de l’intérieur, un tournant. « Cela a vraiment contractualisé la relation entre les deux pays, rapporte un cadre de la Place Beauvau, sous le couvert de l’anonymat. Les Anglais se comportent avec nous comme nous on le ferait avec un pays tiers. Ils mettent une pression énorme au quotidien sur le déblocage des crédits, si les chiffres ne s’améliorent pas. C’est non-stop et à tous les niveaux. »Déjà présents au sein d’un centre conjoint d’information et de coordination franco-britannique ainsi que dans une unité de renseignement à Coquelles (Pas-de-Calais), des officiers de liaison britanniques de la Border Force participent aussi, officiellement comme simples observateurs, à la réunion hebdomadaire de l’état-major de lutte contre l’immigration clandestine. « Ils sont extrêmement intrusifs, mais ils connaissent bien la zone, ils savent où on contrôle bien, où on est en difficulté », affirme un cadre de la gendarmerie.
    Pour tarir les flux de migrants, les Britanniques ne manquent pas d’idées. En octobre 2020, le gouvernement conservateur de Boris Johnson disait réfléchir à installer des machines à vagues pour repousser les small boats. En août 2021, la ministre britannique de l’intérieur d’alors, Priti Patel, est revenue enthousiasmée d’une visite en Grèce où elle avait effectué des patrouilles avec les gardes-côtes helléniques en mer Egée, l’une des portes d’entrée en Europe. « Elle a dit que nous devrions apprendre des Grecs, se souvient une source au Home Office. Ils étaient très agressifs, avaient un bon taux de détection. » Et ont, à de nombreuses reprises, fait l’objet d’accusations de refoulements illégaux de demandeurs d’asile vers la Turquie.Toutes ces idées sont partagées avec la France lors de réunions bilatérales. « Pour les Britanniques, il fallait attraper les bateaux en mer. Ils le disaient de façon par moment insistante, lâche un haut fonctionnaire du ministère de l’intérieur, en poste jusqu’à fin 2020. Ils nous ont même expliqué comment faire, par exemple en lançant des grappins ou des filets. » A la préfecture de la zone de défense et de sécurité Nord, on reconnaît que « de nouvelles techniques sont essayées en permanence », à l’image de celle qui consiste à paralyser l’hélice d’un bateau de migrants à l’aide de filets.
    Mais « cela n’a pas été concluant », assure-t-on. « Notre stratégie, ça a été plutôt de dire qu’il fallait une forte présence sur les plages et empêcher les livraisons de bateaux, corrobore un ancien directeur de la police aux frontières. En mer, on porte secours aux personnes, on ne les intercepte pas. » D’autres croient que ce qui a freiné les autorités tient plutôt à des contingences matérielles : « Il n’y avait pas de moyens nautiques pour cela », assure l’ancien haut fonctionnaire du ministère de l’intérieur.
    L’ampleur du phénomène des traversées persistant, les digues ont-elles sauté ? Les manœuvres en mer des forces de l’ordre « se comptent sur les doigts d’une main », balaye une source au ministère de l’intérieur.Le 10 mars 2023, tandis qu’Emmanuel Macron et Rishi Sunak enterrent à l’Elysée des années de brouille diplomatique, le préfet maritime Véran signe une nouvelle directive à diffusion restreinte. Elle précise le cadre de certaines manœuvres opérationnelles face à l’apparition du phénomène des taxis boats, ces embarcations qui longent la côte et récupèrent les migrants directement à l’eau pour éviter les interceptions sur les plages. La directive ouvre la voie à l’interception de small boats en mer par les forces de sécurité intérieure, à condition d’opérer « uniquement de jour », dans la bande côtière de 200 mètres de littoral, avant que le taxi boat n’embarque des passagers et dans le cas où « moins de trois personnes » seraient à bord. (....)

    #Covid-19#migrant#migration#france#royaumeuni#manche#traversee#smallboat#mortalite#frontiere#migrationirreguliere#taxiboat#SNSM#CROSS#PREMAR#sauvetage#sante#traversee

  • Collectif pour une Syrie Libre et démocratique

    Appel à un rassemblement
    le samedi 16 mars 15h30 Place de la République – Paris
    Pour la Paix, la Liberté et la Démocratie en Syrie

    2011 – 2024 : Une Syrie martyrisée,
    mais un peuple fier de sa révolution

    Il y a 13 ans, les Syriens sont descendus dans la rue par millions, dans toutes les villes, pour exiger malgré 40 années de dictature de la famille Assad leur droit à la liberté et à la démocratie.

    La seule réponse du pouvoir à ces manifestations pacifiques fut une répression meurtrière qui, en les plaçant en légitime défense, a amené le peuple syrien à résister par la lutte armée.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/02/17/guerre-en-syrie-un-conflit-sans-treve-eclipse-et-intensifie-par-la-guerre-de-gaza/#comment-60392

    #international #syrie

  • L’anti-impérialisme des imbéciles – Leila Al-Shami, avril 2018
    https://web.archive.org/web/20190404064840/http://solitudesintangibles.fr/lanti-imperialisme-des-imbeciles-leila-al-shami

    Pour cette gauche autoritaire, le soutien à Assad se manifeste au nom de l’anti-impérialisme. Assad est perçu comme appartenant à l’« axe de la résistance » face à l’empire américain et au sionisme. Le fait que son régime ait soutenu la première guerre du Golfe semble ne pas compter, ni le fait qu’il ait participé au programme illégal d’extradition des États-Unis où des terroristes présumés ont été torturés pour le compte de la CIA. Le fait que le régime ait probablement massacré plus de palestiniens que l’État israélien est constamment négligé de même que le fait qu’il préfère user de sa force de frappe pour éliminer l’opposition interne plutôt que pour libérer le Golan occupé par Israël.

    Cet « anti-impérialisme » des imbéciles est celui pour qui l’« impérialisme » équivaut uniquement à l’action des États-Unis. Ces derniers bombardent pourtant la Syrie depuis 2014. Lors de la campagne américaine visant à libérer Raqqa de l’emprise de Daesh, toutes les normes internationales de la guerre et les considérations de proportionnalité ont été bafouées. Plus de 1000 civils ont été tués et selon une estimation de l’ONU, 80 % de la ville se trouve maintenant inhabitable. Il n’y a eu aucune protestation organisée par le mouvement « anti-guerre » contre cette intervention, pas d’appels pour s’assurer que les civils et infrastructures civiles seraient protégés. Cet anti-impérialisme là a préféré adopter le discours de la guerre au terrorisme autrefois promu par les néoconservateurs et repris maintenant par le régime qui qualifie de djihadiste et terroriste toute opposition à Assad. Il a fermé les yeux sur le fait qu’Assad envoyait dans ses goulags des milliers de manifestants laïques, pacifiques et pro-démocratie afin de les torturer à mort tandis qu’il sortait les militants islamistes de prison. De même, les manifestations qui se poursuivaient dans les zones libérées contre les groupes extrémistes et autoritaires tels que Daesh, al-Nosra et Ahrar al-Sham ont été ignorées. Les Syriens sont vus comme incapables d’adopter un large éventail de points de vue variés. Activistes de la société civile (dont des femmes incroyables), journalistes citoyens et travailleurs humanitaires sont insignifiants. Toute l’opposition est réduite à ses éléments les plus autoritaires ou perçue comme une émanation d’intérêts étrangers.

    Cette gauche pro-fasciste semble aveugle à toute forme d’impérialisme qui ne serait pas d’origine occidentale. Cela relève d’une combinaison de politique de l’identité et d’égoïsme. Tout événement est vu via un prisme occidental – seuls les mâles blancs ont le pouvoir d’écrire l’Histoire. Selon le Pentagone, il y a actuellement 2000 soldats américains en Syrie. Les États-Unis ont installé de nombreuses bases militaires dans les zones sous contrôle kurde du nord de la Syrie pour la première fois dans l’histoire du pays. Cette présence américaine devrait préoccuper quiconque se soucie de l’autodétermination du peuple syrien mais fait pâle figure au regard des dizaines de milliers de soldats iraniens et de milices chiites soutenues par l’Iran qui occupent le reste du pays ou des bombardements meurtriers de l’aviation russe en soutien à la dictature fasciste. La Russie dispose dorénavant de bases permanentes dans le pays et a obtenu un droit exclusif sur les hydrocarbures syriens en échange de son soutien. Noam Chomsky a affirmé qu’on ne pouvait pas qualifier l’intervention russe d’impérialiste dans la mesure où elle répondrait à l’invitation du régime. Selon cette analyse, l’intervention américaine au Vietnam n’était donc pas non plus impérialiste puisque sollicitée par le gouvernement sud-vietnamien.

    #anti-impérialisme

    • Naufragio a Cutro

      https://www.youtube.com/watch?v=8DqKAVz7KSs&t=31s

      Li han visti nel buio aggrappati alle sponde,
      li hai sentiti gridare in mezzo alle onde.
      Hanno detto che c’era tempesta sul mare,
      la guardia costiera li ha guardati annegare.

      Fuggiti da guerre, violenze e da fame,
      da città sbriciolate fra bombe e pietrame
      Dove anche ai bambini è vietato sognare
      l’Europa civile non vuole aiutare.

      Addio, Mohamed, addio, Rashida,
      addio, Bashar, piccola Jalina.
      Non siete persone per chi è a governare,
      ma solo migranti annegati nel mare.

      Rischiare la pelle, i figli e i parenti,
      stipati su barche sfasciate e cadenti
      Ha detto il ministro, non è cosa da fare,
      vi respinge l’Europa, potete annegare.

      Un orsacchiotto incrostato di sabbia,
      fra assi divelte rimane la rabbia.
      Restan soltanto nei vari rottami,
      speranze spezzate di poveri umani.

      Addio, Mohamed, addio, Rashida,
      addio, Bashar, piccola Jalina.
      Non siete persone per chi è a governare,
      ma solo un carico residuale.

      Per giorni e per notti affiorano i corpi,
      li cercano in mare, li cercano in molti.
      Riemergeranno, basta avere pazienza,
      sono dell’Europa la sporca coscienza.

      Addio, Mohamed, addio, Rashida,
      addio, Bashar, piccola Jalina.
      Non siete persone per chi è a governare,
      ma solo migranti annegati nel mare.

      Addio, Mohamed, addio, Rashida,
      addio, Bashar, piccola Jalina.
      Non siete persone per chi è a governare,
      ma solo migranti annegati nel mare.

      #Marina_Corti #Bruno_Podestà #migrations #naufrage #chanson #musique #musique_et_politique #Cutro #mourir_aux_frontières #mourir_en_mer #Méditerranée #mer_Méditerranée #26_février_2023

  • Rassemblement pour la liberté des détenu.es
    Le régime Assad, en même temps qu’il écrase dès 2011 des manifestations non violentes, s’emploie depuis avec méthode à instaurer au sein de la population syrienne un sentiment de terreur pour interdire toute forme de protestation. Outre les assassinats massifs, les « disparitions » constituent tout autant un élément central de sa politique répressive, plongeant les proches des victimes dans la douleur et l’incertitude.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/10/08/le-soulevement-de-soueida-menera-t-il-a-une-nouvelle-syrie/#comment-59947

    #international #syrie

  • Washington Sees Conflict With Iran as Scapegoat for Its Genocidal Crimes — Strategic Culture
    https://strategic-culture.su/news/2024/01/10/washington-sees-conflict-with-iran-as-scapegoat-for-its-genocidal-

    Et si, par hasard, la Cour internationale de justice prenait une mauvaise décision ?

    If the Middle East slides into a conflagration, make no mistake, the disaster will be owned by Washington. The appeasement of the Israeli regime by the United States has been going on for decades and has fully stoked the tinderbox situation of injustice and oppression. But the last four months of total indulgence of a lawless genocidal regime is the final trigger.

    One possible get-out for the U.S. is to blame Iran and its regional allies and in that way try to divide and rule the Arab nations.

    Under the headline, ‘The threat of a broader conflict with Iran’, the New York Times editorialized: “Hamas’s Oct. 7 attacks in Israel and Israel’s bombardment of the Gaza Strip have emboldened a newly aggressive Iran. After launching scores of attacks across the region, Iranian proxy groups have come into direct conflict with U.S. forces twice in the past week, and Washington is openly threatening airstrikes if the violence does not abate.”

    That’s an astounding feat of reality-inversion by the Times. The slaughter by Israel fully enabled by the United States is somehow projected onto Iran as being “emboldened and newly aggressive”.

    But you can easily discern what Washington is getting at here. It’s trying to divert the growing region-wide hostility and disgust towards America and its hypocritical European accomplices by playing the Iranian card.

    CNN reported: “Many of Blinken’s conversations with Arab leaders will focus on the specter of Iran, which is believed, experts and officials say [sic], to be trying to stir the pot while stopping short of provoking an outright war.” (That’s CNN quoting U.S. intelligence propaganda sources, by the way.)

    The Americans urgently need to puncture the accumulating anger against Washington and Israel across the region by scapegoating Iran as the villain. This is an attempt to rile up past sectarian rivalries between the Sunni Arab nations like Saudi Arabia and Shia Iran.

    Washington is trying to make out that Iran and its regional allies Hezbollah in Lebanon and Iraq, as well as the Houthis in Yemen and the Syrian state led by Assad, are the enemy of peace in the region. It is an audacious move.

    This week the New York Times resurrected fears of Iran being close to building a nuclear bomb. It claimed that Tehran was only “weeks” from converting enriched uranium into three weapons. The CIA’s favorite newspaper platform also in the same article sought to portray Iran in a new alliance with Russia and China implying that the latter was now helping Iran build a bomb.

    This could be the ultimate reckless gamble by Washington and its Israeli proxy.

  • 01/01/2024
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240101-en-direct-guerre-isra%C3%ABl-hamas-gaza-houthis-netanyahu-bombardements
    Ce qu’il faut retenir - Publié le : 01/01/2024 - 06:19

    ■ La guerre n’a pas connu de répit pour le Nouvel An : les raids aériens, les tirs d’artillerie et les combats au sol sont poursuivis dans la bande de Gaza.

    ■ Benyamin Netanyahu affirme que la guerre menée par l’armée israélienne dans la bande de Gaza est « d’une moralité sans équivalent ». Il réagissait aux accusations d’« actes de génocide » portées par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice (CIJ).

    ■ Des hélicoptères de la marine des États-Unis ont coulé trois bateaux des rebelles houthis du Yémen, qui avaient attaqué un porte-conteneurs en mer Rouge, a annoncé ce dimanche l’armée américaine.

    ■ Face aux raids israéliens des dernières semaines, à Gaza, environ 1,9 million d’habitants ont dû fuir leur foyer et 1,5 million d’entre eux sont sans-abris.

    ■ Selon un nouveau bilan annoncé dimanche par le ministère de la Santé du Hamas, 21 822 personnes ont été tuées à Gaza depuis le début de la guerre, le 7 octobre. Les morts sont en majorité des femmes, des adolescents et des enfants. On compte 56 451 blessés. Le Bureau central palestinien des statistiques indique que 22 141 personnes sont décédées dans les Territoires palestiniens depuis le 7 octobre, dont 98% à Gaza. L’armée israélienne a affirmé jeudi avoir tué plus de 2 000 combattants palestiniens depuis la fin de la trêve, début décembre. 167 soldats israéliens ont été tués depuis le début de l’offensive terrestre de l’armée israélienne dans la bande de Gaza le 27 octobre, selon les derniers chiffres de l’armée.

    • 01/01/2024 - 00:03 GMT
      https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2024/1/1/israel-hamas-war-live-new-year-in-gaza-under-non-stop-israeli-bombardment

      A recap of the latest developments

      It’s just after 2am (00:00 GMT) on Monday January 1, 2024 in the occupied Palestinian territories and Israel.

      Here’s a recap of recent developments:

      The Gaza government’s media office says it recorded 1,825 Israeli “massacres” in Gaza in the past 85 days.
      Israeli attacks resulted in 28,822 people killed or missing, including 9,100 children, the government media office added.
      US forces in the Red Sea will not prevent Houthis from supporting Gaza, Houthi Brigadier-General Yahya Saree says after a US attack reportedly killed Houthi fighters.
      The Israeli army says it will withdraw five combat brigades from Gaza and that some reservists will return home.
      A spokesperson for Tony Blair denies Israeli news report that the former UK prime minister will have a role in Palestinians’ “voluntary evacuation” from Gaza.

    • Morning update
      1 January 2024 06:02 GMT | Middle East Eye
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/morning-update-8

      Good morning Middle East Eye readers,

      It’s just over 8 am in Palestine and Israel on the 87th day of the war on Gaza.

      The new year began in the besieged Palestinian enclave with Israeli bombing as the death toll near the 22,000 mark.

      Here are the major developments from the last few hours:

      Heavy tank shelling was reported Monday morning in refugee camps in the central and northern Gaza Strip.
      Several people were killed and wounded in air strikes on Khan Younis, according to medics.
      Palestinians across the West Bank marked the new year with rallies calling for a ceasefire in Gaza.
      Israeli forces raided West Bank cities and arrested several people, local media reported.
      An armed drone was shot down over Iraq’s Ain al-Assad air base, which houses US forces.

  • Yaïr Golan, le héros du 7 octobre qui défie Benyamin Nétanyahou
    https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2024/01/28/yair-golan-le-heros-du-7-octobre-qui-defie-benyamin-netanyahou_6213491_45000


    « Nous n’allons pas détruire le Hamas, c’est impossible »

    Longtemps qualifié de traître par la droite israélienne pour avoir critiqué la politique du gouvernement, l’ex-numéro deux de Tsahal est aujourd’hui célébré à travers le pays pour sa bravoure lors de l’attaque du Hamas. Ce sioniste de gauche entend transformer sa nouvelle popularité en intention de vote, avec le lancement du mouvement Hitorerut.
    [...]
    Dès les premières alertes à la roquette, tôt, ce matin du 7 octobre, le général de l’armée israélienne à la retraite, ­toujours réserviste, enfile un vieil uniforme avant de récupérer un fusil dans son ancienne caserne de Ramla, au sud-est de Tel-Aviv. Au volant de sa Toyota Yaris, ce père de cinq enfants prend seul la route en direction de la bande de Gaza pour se rapprocher de la zone où le festival Tribe of Nova a été attaqué.

    Par téléphone, sa sœur, qui a des amis sur place, l’informe qu’un groupe de jeunes se trouve au milieu des champs, vaguement cachés par quelques buissons. Le militaire parvient à les retrouver avant de les emmener en lieu sûr, loin des ­combats, quand il est contacté par un journaliste du quotidien de gauche Haaretz dont le fils est au festival. Yaïr Golan reprend alors la route. En tout, il effectue trois allers-retours, à chaque fois de plus en plus proche des combats.

    Prises de position contre la #colonisation

    Dans le récit de ces heures tragiques, qu’il partagera en détail avec les médias israéliens les jours suivants, un détail le hante : « J’étais obligé de conduire lentement, car des dizaines de corps étaient étendus sur la chaussée et dans les champs. » A la suite de cette opération de sauvetage, le courage de Yaïr Golan est célébré à travers le pays. Dans ce qu’il considère comme un « juste retour à la normale », tous les partis politiques lui rendent hommage : « Ça faisait longtemps que je n’avais pas été soutenu et félicité comme ça », sourit légèrement l’homme politique.

    Durant sa longue carrière militaire et politique, Yaïr Golan n’a pas toujours fait l’unanimité. Entré dans l’armée israélienne en 1980, deux ans avant l’intervention de l’Etat hébreu au Liban, le jeune parachutiste grimpe les échelons. Devenu un commandant respecté, il se taille une réputation d’indépendance avec des prises de position qui lui valent des réprimandes régulières de sa hiérarchie.

    En 2006, le général, qui dirige alors les forces armées israéliennes en Cisjordanie, conclut, sans en informer ses chefs, des accords avec des colons juifs à Hébron pour qu’ils évacuent certaines zones de la ville. Au début des années 2010, au moment où Bachar Al-Assad bombarde sa propre population, Yaïr Golan ordonne d’accueillir des blessés dans un hôpital israélien installé à la frontière syrienne, sans se préoccuper des débats politiques en cours.

    A l’époque, selon Haaretz, Benyamin Nétanyahou aurait été impressionné par l’attitude et les compétences du militaire, au point d’envisager sa nomination au poste de chef d’état-major. Mais, devenu numéro deux de Tsahal, ses chances de promotion disparaissent en 2016, quand il critique le « manque de tolérance » dans le pays et compare l’Etat hébreu à « l’Allemagne des années 1930 » dans un discours donné à ­l’occasion de la journée dédiée à la mémoire des victimes de la Shoah. En retour, il est considéré comme un « traître » par une partie de la classe politique. Il soupire : « Trente-huit ans passés dans l’armée et je serais un traître ? Je me suis battu pour ces gens qui me critiquent constamment. »
    [...]
    Comme dans l’armée, l’ancien militaire revendique sa liberté de ton et se fâche avec une bonne partie de la classe politique israélienne. Début 2022, il qualifie les habitants de Homesh – une colonie illégale du nord de la Cisjordanie, évacuée en 2005 sur ordre du premier ministre, Ariel Sharon, de nouveau occupée ces dernières années – de « sous-hommes méprisables ». Il insiste, en les accusant de commettre un « #pogrom » contre Burqa, le village palestinien voisin, où les #colons ont agressé des ­habitants et détruit des pierres tombales.

    Dans les manifestations contre la réforme de la justice

    Après les élections législatives de novembre 2022, où Meretz remporte trop peu de voix pour avoir le moindre élu à la Knesset, l’homme politique sans mandat ne quitte pas le devant de la scène : début 2023, pendant les manifestations massives contre la réforme de la justice voulue par le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, l’ancien général se fait remarquer en proposant de « paralyser l’économie » avec des grèves dans tous les secteurs d’activité et dénonce le « gang destructeur » du premier ministre.

    Depuis le début du conflit contre le Hamas, Yaïr Golan continue de prendre régulièrement la parole contre Benyamin Nétanyahou : le 23 décembre, à Tel-Aviv, lors d’une manifestation organisée par les familles d’otages, il affirme que le chef du gouvernement souhaite une « guerre sans fin ». Avant d’appeler à de nouvelles élections immédiates, sous les applaudissements de la foule.

    https://justpaste.it/fx026

    #israël

  • Sahra Wagenknecht und Co. : Im Zweifel nennt man sie „Querfront“
    https://www.berliner-zeitung.de/kultur-vergnuegen/sahra-wagenknecht-und-co-im-zweifel-nennt-man-sie-querfront-li.2180

    Une vérification de quelques faits historique révèle pourquoi les accusation de collaboration avec la droite sont des prétextes pour nuire au mouvement contre l’extrême droite.

    27.1.2024 von Dennis Desoi - Politischen Widersachern wird allzu schnell der Kampfbegriff „Querfront“ angehängt. Wieso sieht man in neuen linken Bewegungen keine Chance? Ein Gastbeitrag.

    Der Gebrauch von Kampf- und Schimpfbegriffen hat in den letzten 20 Jahren inflationär zugenommen. Bereits die „Schurken“-Staatschefs Milosevic, Saddam, Gaddafi, Assad und Putin waren wahlweise „Hitler II“. Mediale, elektronisch geladene Kontaktsperrgitter werden errichtet um sogenannte Nach-rechts-Offene, Verschwörungstheoretiker, Querdenker, Klimaleugner oder Schwurbler.

    Sogar der Begriff „links“, einst aus Parlamentssitzordnungen abgeleitet, droht als Worthülse zu versanden. Jedenfalls hat es nichts mit „links“ zu tun, wenn Leitmedien auf sogenannte bildungsferne AfD-Wähler herabschauen. Das führt nur dazu, dass sich sozial Abgehängte zusätzlich noch kulturell abgehängt fühlen.

    Auch „Querfront“ wurde ein solcher Kampfbegriff: Sehnsucht für die einen, wenn sich im Wagenknecht-Büro die Appelle stapeln, „doch endlich mit Alice zusammenzugehen“. Und Hassfigur für die anderen, besonders für „woke“ Journalisten. Die hätten zwar nichts dagegen, wenn das Bündnis Wagenknecht die AfD zerkleinerte. Aber nach den Europa- und Thüringen-Wahlen wird es dann schnell wieder totgeschwiegen. Und höchst vorsorglich schon jetzt als „Querfront“ dämonisiert.

    Goebbels Teilnahme am BVG-Streik

    In der Realität gelingt die Verteidigung der Demokratie nur mit einer breiten Bündelung der Kräfte und in aller Öffentlichkeit. Und genau dagegen wird das sperrige Wort aus den letzten Tagen der Weimarer Republik in Stellung gebracht, leichtgläubig und quellenfrei: Querfront.

    Um es vorwegzunehmen: In der deutschen Geschichte hat es eine demokratieschädigende Querfront nie gegeben. Früher wurde linken Schülern vom Lehrpersonal ein Foto gezeigt, auf dem Walter Ulbricht neben Joseph Goebbels zu sehen war. Angeblich auf einem Lohnstreik-Podium der Berliner Verkehrsbetriebe am 4. November 1932. Der Tenor: wie „Extremisten von links und rechts“ gemeinsam die Weimarer Republik zerstört hätten. Doch das Foto stammt aus dem Januar 1931 und zeigt ein Streitgespräch, das in einer Saalschlacht zwischen Kommunisten und Nazis endete. Goebbels Teilnahme am BVG-Streik brachte ihm in seinem Wahlbezirk bei der Reichstagswahl am 6. November 1932 erhebliche Stimmenverluste.

    Schleicher präsentierte sich als „sozialer General“

    Der Begriff Querfront erweist sich bei historischer Betrachtung als Wortpatronenhülse. „Quer“ – das soll eine angebliche „Front“ gewesen sein: vom KPD-Führer Ernst Thälmann bis zu Adolf Hitler. Doch erstens war Thälmann zu keinem „Querfront“-Gespräch je eingeladen. Und zweitens richtete sich das Ganze gegen Hitler. Georg Fülberth im „Freitag“ (48/22) beschreibt jene schicksalhaften Tage differenzierter als viele Kritiker: „Kurt von Schleicher versucht als Reichskanzler Ende 1932, den ‚linken‘ Flügel der NSDAP, die SPD und Gewerkschaften zu gewinnen, um mit einer Links–Rechts-Front die Nazi-Diktatur zu verhindern. Industrie und Banken jedoch wollten Adolf Hitler.“

    Nach links versprach Schleicher die Intensivierung gemeinsamer Manöver der Reichswehr und der Roten Armee als friedensbildende Maßnahme. Außerdem bot er an: weitergehende soziale Rechte und die Eindämmung der politischen Macht des extremen Hitlerflügels im Monopolkapital um Krupp und Thyssen. Schleicher wollte tatsächlich – sicher auch aus egoistischen Motiven – ein Massenbollwerk aus Teilen der Arbeiterbewegung, der Bauern und der Reichswehr formen. Er präsentierte sich als „sozialer General“ gegen Hitler – von Goebbels prompt als „der rote General“ verspottet.

    Auch Gregor Strasser, der den Arbeiterflügel in der NSDAP anführte, war zu jener Zeit bereits Hitlers Gegner, nicht anders als sein Bruder Otto, der schon zwei Jahre zuvor aus der Nazipartei ausgetreten war. Prominente Führungskader der SA, etwa Bodo Uhse, traten in die KPD über. Andere folgten, beispielsweise der auf der Rechten hochgeachtete Offizier und Großbauer Richard Scheringer, der sich 1931 mit Anhängern und Familie von der NSDAP abwandte und nach dem Krieg die KPD/DKP aufbauen half.

    Schleicher und Strasser wurden erschossen

    Zum Jahreswechsel 1932/33 hatten die Geheimgespräche Hitlers mit dem inzwischen abgelösten Reichskanzler Franz von Papen Fahrt aufgenommen. Im Kern ging es darum, Kurt von Schleicher, Reichskanzler seit Anfang Dezember, zum Abschuss freizugeben. Anfang Januar schockten dann der Industrielle Gustav Krupp, Papen und dessen Vorgänger Heinrich Brüning den Reichspräsidenten mit einer heißen Information: Reichskanzler von Schleicher organisiere einen „Querfront-Staatsstreich“. Deshalb müsse Hindenburg so schnell wie möglich Hitler an dessen Statt zum Reichskanzler ernennen.

    In der Tat hatte Schleicher den Reichstag auflösen wollen. Doch trotz der Nazi-Wahlschlappe im November 1932 (gegenüber der Juli-Wahl hatte die NSDAP 4,2 Prozent verloren) wuchs die Reputation des „kleinen Gefreiten Hitler“ (Hindenburg) beim Großkapital. Von ziemlicher Bedeutung war dabei ein Treffen am 3. Januar 1933 im Kölner Haus des Bankiers Kurt Freiherr von Schröder. Die Unterredung war auf Initiative rheinisch-westfälischer Industrieller um die Frontkämpfer-Vereinigung „Stahlhelm“ zustande gekommen. Bei dem Treffen hatte Hitler sich als „wirtschaftlichen Liberalen“ bezeichnet und dem Industriekapital angedient. Dem Journalisten Hellmuth Elbrechter, einem Vertrauten Schleichers und Gregor Strassers, gelang ein Foto, das die Beteiligten beim Betreten der Villa zeigte.

    Noch am selben Abend legte Elbrechter dem Reichskanzler das Foto vor. Schleichers Zornesausbruch sprach sich bis zu Hitlers Kadern rum. Am 5. Januar titelte die „Tägliche Rundschau“: „Hitler und Papen gegen Schleicher.“ Die beiden „Querfrontler“ Schleicher und Strasser wurden im Jahr darauf, im Rahmen der sogenannten Röhm-Morde um den 1. Juli 1934, erschossen.
    Die demokratische Linke war vor 1933 gespalten

    In der Rückschau waren Schleichers Bemühungen vielleicht der letzte ernsthafte Versuch, die Naziherrschaft abzuwenden. Dennoch schlagen einige Journalisten heute mit den Begriffen „Querfront“ und „nach rechts offen“ in Richtung linker Rüstungsgegner. (Aber in welche Richtung sollten marxistische Ohren sonst offen sein? Richtung linksaußen, wo die Sekten sitzen?) Und: hatte nicht die Weimarer Linke mit ihrem viel zu kleinlauten Protest gegen die Versailler Vertragsdiktate besonders die Langzeitarbeitslosen und Kleinstunternehmer den Rechtsextremen in die Küche getrieben? Und das, obwohl Paul Levi, Karl Radek, Clara Zetkin, Ernst Bloch, Bert Brecht, Hanns Eisler, Wolfgang Abendroth und andere linke Querdenker für breitere Volksbündnisse geworben hatten?

    Im August 1930 verabschiedete die KPD immerhin ihre Programmerklärung zur „Nationalen und sozialen Befreiung des deutschen Volkes“. Auf deren Grundlage konnten die Kommunisten im November 1932 den Nazis noch rund 700.000 Stimmen abnehmen. Dennoch warf ihnen Ernst Bloch später vor: „Kampflos, Genossen, habt ihr das Kleinbürgertum dem Faschismus überlassen!“

    Die demokratische Linke war vor 1933 gespalten und daher zu keiner breiten Volksfront fähig. Dabei ist schon richtig: Die ganze Monstrosität des Hitlerflügels innerhalb des Monopolkapitals konnte sie kaum vorausahnen. Ein medial bis heute gut gehütetes Geheimnis blieben auch die eiskalten Spekulationen des späteren Deutsche-Bank-Chefs Hermann Josef Abs von „innerdeutscher Kapitalbindungskraft (…) von ungeheurem Reiz (…) durch den siegreichen Ausgang des Krieges“ vor Bankenvertretern und Reichswirtschaftsführern am 25. Oktober 1940, acht Monate vor dem Überfall auf Sowjetrussland.
    Anstrengungen der Patrioten aller Parteien zur Rettung des Vaterlands

    Aber „Mein Kampf“ war bekannt. Dennoch begnügten sich die meisten Nicht-Faschisten mit passiver Beobachtung der Kräfteverschiebungen im Berliner Regierungsviertel – die sie dann allenfalls wie nörglerische Zuschauer mit spöttischem Agitprop kommentierten. Jedoch dort keineswegs eingriffen.

    Dabei hatte Lenin schon 1920 gerade die deutschen Linken gemahnt, die „feinsten Risse“ im gegnerischen Mauerwerk zu nutzen – ansonsten hätten sie vom „Marxismus keinen Deut verstanden“. Die Kommunisten hatten zwar im April 1932 zur Reichspräsidentenwahl plakatiert: „Wer Hindenburg wählt, wählt Hitler. Wer Hitler wählt, wählt den Krieg“ – aber dann doch nur ihren Parteivorsitzenden Thälmann gegen Hindenburg aufgeboten. Und – was viele abstieß – von „Sowjetdeutschland“ geschwärmt, statt an einem wirklich breiten Anti-Hitler-Angebot zu arbeiten und etwa einen Carl von Ossietzky zur Kandidatur zu bewegen.

    Während die KPD die SPD-Führung als „Sozialfaschisten“ beschimpfte, ließen SPD-Beamte auf KPD-Leute als „rot lackierte Faschisten“ knüppeln und schießen. Diese Spaltung auf der Linken begünstigte die Überlegenheit des vom „terroristischsten, imperialistischsten Finanzkapital“ (Georgi Dimitroff) geförderten Hitlerflügels auf der Rechten. Dagegen musste Schleichers Anlauf saft- und kraftlos bleiben.

    Heißt das nun postum, dass es keine außerordentlichen Bündnisanstrengungen gegen außerordentliche Bedrohungen geben darf? Etwa, wenn jetzt öffentliche Aufrufe von Wolodymyr Selenskyj und Joschka Fischer für atomare Abschreckung gegen Russland ertönen? Wer sagt, wir befänden uns bereits mit einem Zeh im Dritten Weltkrieg, dem steht Engstirnigkeit schlecht zu Gesicht.

    Andere hatten „ihren“ Lenin besser verstanden. Mao Zedong zum Beispiel. Im Krieg gegen die massenmörderischen japanischen Besatzer und Hitler-Verbündete appellierte er im Oktober 1943 eindringlich an das 11. Plenum der Kuomintang-Partei (seine Gegner!) und besonders an deren rechten Flügel um Tschiang Kai-schek, „die Anstrengungen der Patrioten aller Parteien (…) zur Rettung des Vaterlands zu vereinen“.
    Sozialstaatlichkeit kann gesetzlich nur im Nationalstaat abgesichert werden

    Oder: Wie breit mussten die Alliierten aufgestellt sein, um den Hauptfeind Faschismus zu schlagen – vom Antikommunisten Winston Churchill bis zu Josef Stalin. Weitsichtige Antiimperialisten wollten selten Macht und Köpfe kampflos ihren Todfeinden überlassen. Als der „Faschistische Großrat“ in Italien am 25. Juli 1943 Mussolini absetzte und durch eine Regierung der nationalen Einheit ohne faschistische Parteimitglieder, aber unter dem militant-monarchistischen Marschall Pietro Badoglio ersetzte, traten schließlich (gegen harte innerlinke Widerstände) zwei Kommunisten in die Regierung ein, unter ihnen Palmiro Togliatti. Und zwar mit einer Erklärung unter dem Titel „Liebe zum Vaterland“. Alles „Querfront“?

    Ebenfalls „nach rechts offen“ hat Erich Weinert agitiert, als er für das „Nationalkomittee Freies Deutschland“ mit patriotischen Parolen Wehrmachtssoldaten zum Desertieren aufrief – im Übrigen erfolgreich. Oder war es falsch von Walter Ulbricht, in der „Nationalen Front“ um Breite und Traditionen zu ringen - und damit um kleine NS-Mitläufer? Während in Westdeutschland der Justiziar der Judenausrottung, Hans Globke, Chef in Adenauers Kanzleramt wurde? Während der Auschwitz-Kreditgeber Abs zu Adenauers Chefverhandler in Geldfragen werden und Polen wie Griechenland um Wiedergutmachung prellen durfte? Während der Wehrmachtsgeneral Reinhard Gehlen zu Adenauers Geheimdienstchef wurde und - freilich mit Geleitschutz der CIA - linke Journalisten niedermachen konnte?

    Das alles wird beim Querfront-Vorwurf vieler Medien totgeschwiegen. Dafür warf in der FAZ vom 5. September 2022 der Leiter der Augsburger Brecht-Forschungsstätte dem Dichter vor, mit einstigen „Günstlingen des NS-Regimes zusammengearbeitet“ zu haben. Gemeint waren unter anderem Brechts Jugendfreund und Bühnenbildner Caspar Neher und Gustaf Gründgens.

    Im Grunde geht es bei dem Querfront-Vorwurf darum, populäre Positionen für die Nation und für die Heimat von Linken fernzuhalten. Das Spiel heißt: „Teile und herrsche!“ Es reduziert den Wirkungskreis Intellektueller auf die Universitätshörsäle und öffnet den Rechten die Festzelte und Plenarsäle. In demagogischer Weise werden chauvinistischer Nationalismus und nationalstaatliche Vernunft gleichgesetzt. Heute können sich transnational agierende Konzernchefs bei woken Medien bedanken, wenn sie Nationalstaaten und deren Grenzen schleifen und zu Failed States machen.

    Sozialstaatlichkeit kann gesetzlich nur im Nationalstaat abgesichert werden. Das Recht der Freihandelszone EU bietet nämlich der Sozialstaatlichkeit per se keinen Platz – allen „Pro-EU-Gesängen“ zum Trotz, die zum Europa-Wahljahr von neuem gegen die Nationalstaaten angestimmt werden. Auch heute wieder wird der werktätige und kleinbürgerliche Alltagsverstand kampflos dem Chauvinismus überlassen. Dabei hatten bereits Marx und Engels im „Kommunistischen Manifest“ geschrieben, dass im Bewusstsein und „der Form nach der Kampf des Proletariats gegen die Bourgeoisie zunächst ein nationaler“ sei.

    Joschka Fischer, der Völkerrechtsbrecher gegen Jugoslawien, schlug 1982 im „Pflasterstrand“ vor, „deutsche Helden wie tollwütige Hunde“ zu erschlagen. Aber wer waren die eigentlichen „deutschen Helden“? Waren es nicht die des Widerstands? Hießen sie nicht Robert Blum, Rosa Luxemburg und Sophie Scholl?

    #Allemagne #,politique #antifascisme #histoire #front_populaire #Querfront

  • Le stupéfiant défi du régime Assad aux monarchies du Golfe
    https://www.lemonde.fr/un-si-proche-orient/article/2023/10/08/le-stupefiant-defi-du-regime-assad-aux-monarchies-du-golfe_6193129_6116995.h

    Kaftagon est le nom d’un restaurant récemment ouvert en plein centre de Damas, à quelques centaines de mètres de la présidence du gouvernement et du ministère des affaires étrangères. Même si l’établissement est spécialisé en kafta, la brochette d’agneau, l’allusion au captagon, une amphétamine hautement addictive, est d’autant plus claire que la devise du restaurant est « Deviens accro ».

    Dans une capitale où rien n’échappe à la vigilance des services du régime, un tel slogan sonne comme une provocation supplémentaire de la dictature syrienne envers tous les Etats qui ont cru à ses promesses de modération dans la production de captagon. Mais les milliards de dollars ou d’euros que rapportent la fabrication et le trafic de cette drogue pèsent bien plus que les engagements pris par Bachar Al-Assad envers les souverains de la péninsule Arabique.

    Jean-Pierre Filliu n’a plus le sens de l’humour et en fait décidément un peu trop sur le #Captagon. Personne ne doute qu’il y a de gros trafics, mais tout mettre sur le dos du « régime de Bachar » c’est un peu imiter les USA qui s’en prennent à la Chine pour trouver une solution à leur crise des opioïdes...

    • « Le captagon déferle sur le Golfe », par Clément Gibon (paywall, juillet 2023) // https://www.monde-diplomatique.fr/65938
      https://www.ofdt.fr/publications/collections/etudes-et-recherches/2017/rapport-captagon

      Qu’est-ce que le captagon ? Quelles relations entretient le captagon qui circule actuellement sur les marchés des #drogues de la péninsule Arabique avec le Captagon®, médicament #psychotrope placé sous contrôle international dans les années 1980 ? Comment l’offre de ce stupéfiant est-elle structurée ? Où est-il produit ? Par quels groupes de criminalité organisée ? Les terroristes de l’État islamique en consomment-ils avant de passer à l’acte ?
      Même si le captagon défraie régulièrement la chronique médiatique ces dernières années, le sujet reste souvent source de confusions et objet de spéculations plus ou moins fantaisistes. Ce rapport, qui développe l’analyse d’un numéro de Drogues, enjeux internationaux, mené par l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (EMCDDA) pour l’OFDT, s’emploie à apporter des réponses et en formulant des hypothèses sur les pans de la problématique moins bien renseignés.
      À partir d’un important travail de terrain au Liban et l’analyse d’une volumineuse documentation, la prétendue « drogues des terroristes » est mise à l’épreuve des faits pour un état des lieux d’autant plus utile qu’il est raisonné et dépassionné.

  • Bachar Al-Assad au Sommet de la Ligue arabe : « anatomie d’un crime » (+ autre texte)

    Il ne fait aucun doute qu’en tant que Syriens, au cours des douze dernières années, nos capacités individuelles et collectives de patience, de tolérance, d’endurer les « traumas » et autres chocs psychologiques, de vivre horreurs et malheurs ont été mis à l’épreuve. Cela va de l’expérience de subir la violence systématique du régime d’Assad contre les individus lors des rassemblements pacifiques des premiers mois de la révolution en 2011, jusqu’à devoir faire face aux conséquences de la guerre totale sur des sociétés entières, jusqu’à entrer dans l’enfer de l’expérience de l’arrachement à la maison, au quartier, à la ville et à la patrie, et à devoir supporter les fardeaux du déplacement et de l’asile avec leur lot d’humiliation chez nos frères arabes, et les difficultés chez nos frères étrangers, jusqu’à assumer, petit à petit, l’idée que notre ruine était non seulement colossale, mais qu’elle serait de longue durée, sinon éternelle.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/06/06/bachar-al-assad-au-sommet-de-la-ligue-arabe-an

    #international #syrie

  • Syria to be readmitted soon to Arab League, Jordan minister says | Reuters
    https://www.reuters.com/world/middle-east/syria-be-readmitted-soon-arab-league-jordan-minister-says-2023-05-04

    12 ans de guerre, des millions de réfugiés, tout ça pour ça, et tellement prévisible !

    Syria should soon be able to return to the Arab League but many challenges lie ahead in resolving the country’s more than decade-old conflict, Jordan’s Foreign Minister Ayman Safadi said on Friday.

    The organisation suspended Syria’s membership in 2011 over President Bashar al-Assad’s violent crackdown on an uprising that has evolved into a civil war.

    Safadi said Syria had enough votes among the group’s 22 members to regain its seat.

    “The return to the league will happen. Symbolically it will be important but ... that is only a very humble beginning of what will be a very long and difficult and challenging process, given the complexity of the crisis after 12 years of conflict,” he told CNN.

  • After Nine Years In Captivity, Israeli Army Abducts A Palestinian Shortly After His Release
    Jul 11, 2023 | - IMEMC News
    https://imemc.org/article/after-nine-years-in-captivity-israeli-army-abducts-a-palestinian-shortly-afte

    On Monday evening, Israeli soldiers abducted a Palestinian political prisoner shortly after his release from an Israeli prison after spending nine years in captivity and before he could spend any quality time with his family and his fiancé whom he met behind prison wires when she was visiting her brother.

    Media sources said the soldiers abducted Bashar Obeidi, 32, shortly after his release from the Negev Detention Camp.

    The Palestinian barely made it home after he was released and before he could rest and meet with family and friends who came to see him before Israeli soldiers abducted him and took him to an interrogation facility in Jerusalem.

    Bashar, who was engaged while in prison, first met his fiancé, Islam Elian, 23, when she was visiting her brother, Mohammad, who was imprisoned at the same facility and is a friend of Bashar. (...)

  • Joshua Landis sur X :

    When Hafiz al-Assad said that he fished in Lake Tiberias in his negotiations with Israel over the #Golan Heights in 1999, he was referring to the 1923 Anglo-French agreement, which gave Syria fishing rights. See "Lost Opportunities for Peace, By Jerome Slater

    https://twitter.com/joshua_landis/status/1692300880219910378

    When Israel’s P.M. Barak terminated the negotiations over the #Golan in 2000, he and Pres Clinton blamed the failure on Assad, in part by ridiculing the Assad’s “fishing” remark. But Israelis say it was Barak who ended the negotiations, fearing domestic opposition

  • Des affrontements mortels entre les fractions qui composent le régime en Syrie, au sujet des bénéfices de l’exploitation du port de Lattaquieh ? évidemment à confirmer

    Abdo Ahmad AlDibo sur Twitter : « #سوريا مصادر تابعة لنا في #القرداحة - اشتباكات بين عائلة الاسد وعائلة الديب (عائلة الديب هي عائلة زوج عمة بشار الاسد ) - سبب الاشتباكات جاء عقب خلاف طويل بين منذر الاسد وعروة الديب على ادارة مرفأ اللاذقية - عروة الديب كلف بشكل مباشر من زوجة بشار الاسد (أسماء فواز الاخراس)… » / Twitter
    https://twitter.com/al3rab963sy/status/1647710117591240704

    Traduction google

    Sources personnelles à Qardaha #القرداحة
    Affrontements entre la famille al-Assad et la famille al-Deeb (la famille al-Deeb est la famille du mari de la tante de Bachar al-Assad)

    – La raison des affrontements est survenue après une longue dispute entre Munther al-Assad et Urwa al-Deeb sur la gestion du port de Lattaquié

    – Urwa El-Deeb a été chargé directement par l’épouse de Bachar al-Assad (Asmaa Fawaz al-Akhras) de gérer le port de Lattaquié en période de crise #الزلزال

    Les premières nouvelles indiquent qu’il y a un grand nombre de morts et de blessés à la suite des affrontements, et parmi les morts se trouve Urwa al-Deeb, le neveu de Bachar al-Assad.
    Il y a deux blessés et un tué de la famille Assad

    #Syrie #Lattaquieh

  • Le soulèvement de Soueïda mènera-t-il à une nouvelle Syrie ?

    [L’article de Mazen Ezzi que nous publions ci-dessous date du 15 septembre. Depuis lors, le mouvement de contestation du pouvoir du régime d’Assad continue dans le gouvernorat de Soueïda. Le 1er octobre, dans les rues de la capitale – Soueïda – une manifestation a pris forme dans la rue et s’est réunie sur la rebaptisée Place de la Dignité (al-Karama). Un des slogans lancés par de nombreuses femmes et des hommes était « La Syrie est nôtre. Elle n’appartient pas à la famille Assad. Vive la Syrie, à bas Bachar al-Assad ». Un autre slogan qui ressortait était le suivant : « Celui qui a détruit la Syrie ne peut la reconstruire. La reconstruction commence depuis les places de la Dignité ». Dans la tradition du régime Assad, diverses menaces plus ou moins biaisées font allusion aux attaques de Daech utilisées par le régime contre Soueïda en 2018. A ce propos, l’activiste syrien originaire de Soueïda – résidant actuellement à Lyon – Firas Kontar écrit, le vendredi 29 septembre, sur sa page Facebook : « Syrie : manifestations dans la région de Soueïda, le régime Assad fait ressurgir la menace djihadiste de #Daech contre la province. Comment ? Hier la chaîne Almayadeen, proche du Hezbollah [Liban] et d’Assad, a diffusé une vidéo montrant les djihadistes de Daech en préparation de l’offensive qu’ils ont menée sur la province en 2018. Plus de 200 civils avaient été massacrés par les djihadistes durant cette offensive, l’armée d’Assad et l’aviation de Poutine avaient laissé faire. Pourquoi ? Assad exigeait l’enrôlement de 30 000 jeunes de la province dans son armée pour mener sa guerre contre les Syriens et les habitants avaient refusé. La diffusion de cette vidéo au moment où la province manifeste contre Assad est une menace à peine voilée à l’encontre des habitants de la province de Soueïda. Le massacre de Daech contre la province Druze en 2018 s’est fait en coordination avec Assad, les djihadistes avaient été évacués en bus par le régime du camp de réfugiés de Yarmouk, dans la banlieue de #Damas, vers le nord de la province de Soueïda. Tout cela je le démontre dans le livre Syrie, la Révolution impossible, j’avais aussi évoqué le massacre de Soueïda dans un article publié sur le site Un œil sur la Syrie [animé alors par Ignace Leverrier]. »

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/10/08/le-soulevement-de-soueida-menera-t-il-a-une-no

    #international #syrie

  • Le calvaire des femmes syriennes

    Mères pour la paix et son partenaire « Revivre » vous invitent à une conférence le 30 novembre
    2023, de 18h à 21 h à l’auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris, 5 rue Lobau 75004 Paris.
    Vous assisterez à la projection du film de Kamal Redouani « Des femmes dans la guerre ». Le destin de 4 femmes syriennes qui ont participé à la révolution de 2011 et dont l’une a connu les geôles de Bachar el Assad.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/10/08/le-soulevement-de-soueida-menera-t-il-a-une-nouvelle-syrie/#comment-59420

    #unernational #syrie

  • Pour contredire Joshua Landis, Charles Lister balance ce qu’on avait convenu qu’on ne devait pas dire :
    https://twitter.com/Charles_Lister/status/1659626788836786200

    Ah yes of course, that must have been why the US initiated in 2013 its biggest rebel/proxy assistance effort in decades— a program that lasted until mid-2017.

    The covert program was worth $billions, coordinated with 14+ countries & worked with 80+ FSA groups across #Syria.

    Sur touiteur ça ne passe pas inaperçu, parce que cette position balancée par Lister tombe justement le jour où l’on claironne unanimement, avec le retour de la Syrie à la Ligue arabe, que Bachar Assad est le seul et unique responsable du massacre syrien.