• Extraordinaire #inversion : n’est-ce pas l’état sioniste qui menace tous les jours de « ramener le Liban à l’âge de pierre » ?

    À Beyrouth, l’ambiance est à la fête malgré les menaces de guerre totale du Hezbollah - The Times of Israël
    https://fr.timesofisrael.com/a-beyrouth-lambiance-est-a-la-fete-malgre-les-menaces-de-guerre-to

    #chutzpah

    • Ce genre d’article s’écrit littéralement tout seul. Démonstration : ChatGPT, Ecris un article de journal expliquant que les Libanais se sentent menacés par le Hezbollah qui a promis de mener une guerre totale contre Israel. Avec des citations d’un responsable chiite

      Les Libanais inquiets face aux menaces du Hezbollah contre Israël

      Beyrouth, 27 juin 2024 — Les tensions montent au Liban alors que le Hezbollah, puissant groupe paramilitaire chiite soutenu par l’Iran, a récemment promis de mener une « guerre totale » contre Israël. Cette annonce a suscité de vives inquiétudes parmi la population libanaise, déjà éprouvée par une crise économique et politique sans précédent.

      Lors d’un discours prononcé la semaine dernière, Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah, a déclaré que son organisation était prête à « répondre à toute agression israélienne » et à lancer une offensive d’envergure. « Nous avons la capacité et la volonté de défendre notre terre et notre dignité. Toute attaque contre le Liban recevra une réponse écrasante », a-t-il affirmé.

      Cette rhétorique belliqueuse a semé la panique parmi les Libanais de toutes confessions, qui craignent les répercussions d’un nouveau conflit sur leur quotidien. Les souvenirs de la guerre de 2006 entre le Hezbollah et Israël, qui avait dévasté une grande partie du sud du Liban et coûté la vie à plus de 1 200 personnes, sont encore frais dans les mémoires.

      Un responsable chiite, ayant requis l’anonymat, a exprimé des réserves quant à la stratégie adoptée par le Hezbollah. « Nous comprenons la nécessité de défendre le Liban, mais nous devons également tenir compte des souffrances de notre peuple. Une nouvelle guerre pourrait avoir des conséquences désastreuses pour tout le pays », a-t-il déclaré.

      Pour de nombreux Libanais, la perspective d’une guerre totale est inacceptable. « Nous sommes fatigués des conflits. Nous voulons la paix et la stabilité pour reconstruire notre pays », a déclaré Rima, une habitante de Beyrouth, mère de deux enfants. « Le Hezbollah devrait chercher des moyens de désamorcer les tensions plutôt que de les attiser. »

      Les réactions internationales n’ont pas tardé. Plusieurs pays occidentaux ont exprimé leur inquiétude face à la montée des tensions dans la région et ont appelé à la retenue. Les États-Unis et la France, en particulier, ont exhorté le Hezbollah à éviter toute escalade et à privilégier la voie diplomatique.

      Cependant, le Hezbollah semble déterminé à maintenir sa posture défensive et offensive. « Nous ne recherchons pas la guerre, mais nous n’avons pas peur d’elle », a réitéré Nasrallah. « Israël doit comprendre que toute agression ne restera pas sans réponse. »

      Face à cette situation, le gouvernement libanais est pris entre le marteau et l’enclume. D’un côté, il doit gérer les pressions internationales et les attentes de sa population, et de l’autre, il doit composer avec le poids militaire et politique du Hezbollah, qui contrôle une partie du territoire et dispose de moyens considérables.

      Les prochaines semaines seront cruciales pour l’avenir du Liban. Les appels au calme et à la prudence se multiplient, mais la situation demeure volatile. Le peuple libanais espère que la raison prévaudra et que leur pays pourra éviter un nouveau cycle de violence destructrice.

      Après, on peut affiner. Par exemple en lui demandant de dire explicitement que le Liban est pris en otage par le Hezbollah. C’est assez magique.