Simplicissimus

On peut pas avoir le thread sans 𝕏 ?

Avec xcancel ? La seule instance nitter qui semble continuer à exister. Pas mieux.
▻https://xcancel.com/bap_triarii/status/1823394270230786285
(En passant, je ne sais pas s’il faut faire de la pub à cette « expérience » de contournement. J’y trouve perso de l’intérêt car je n’ai pas de compte.)

les mains dans le cambouis, toussa ...
▻https://threadreaderapp.com/thread/1823394270230786285.html

je cherchais le billet pour retrouver la référence X et je vois que tu l’as fait…, merci, @sombre

chez moi, la commune va ajouter un troisième bureau et il y a de grandes chances (!) que ce soit moi qui me coltine le cambouis

on était déjà limite pour deux bureaux, mais la surtaxe de la taxe d’habitation provoque, depuis un an, un flux constant d’inscriptions sans augmentation du nombre d’habitants, pour le moment, on est autour de 1,2 électeur par habitant

Sans rire, on peut s’inscrire sur les listes électorales d’une commune sans y résider même « secondairement » ?

Une résidence secondaire peut être déclarée comme résidence principale (réduire des impôts locaux, contourner la carte scolaire, ...), ce qui biaise la fiscalité comme les stats (à Paris, les apparts déclarés comme résidence secondaire ne manquent pas).

@sombre pour être électeur, il faut y être contribuable, donc payer un des trois impôts locaux (taxes foncières, bâti ou non bâti, ou taxe d’habitation)

@colporteur le contribuable déclare, mais l’administration décide, avec tout moyen à sa convenance…

la résidence principale doit en toutes hypothèses rester celle où le contribuable a les attaches les plus fortes, la définition de ce lieu étant une question de fait que l’administration apprécie sous le contrôle du juge de l’impôt.

Définition de la résidence principale
Publiée dans le JO Sénat du 29/07/1993 - page 1258
▻https://www.senat.fr/questions/base/1993/qSEQ930400211.html

La capitale s’affole, elle aussi, de l’espace gagné par les #résidences_secondaires en quelques décennies, passées de quelque 30 000 au tournant des années 1970 à près de 140 000 aujourd’hui (soit 10 % des logements). « On en compte chaque année 4 000 de plus. On court le risque que, dans quatre ou cinq ans, les logements privés à louer à Paris, en chute libre, deviennent moins nombreux que les résidences secondaires et #logements_vacants réunis »

▻https://seenthis.net/messages/1067775