Au début des années 2000, on te disait qu’il ne fallait pas sur-réagir à ces actes particuliers. Le même qui a dû se battre pour publier et assumer ces documents à l’époque te tenait des discours agressifs sur le fait qu’il ne fallait pas tout mélanger, du genre #notallcriminals...
Puis en 2006, on te dit que bon, c’est tous des terroristes, faut pas tout mélanger, c’est inédit, d’ailleurs, l’Iran n’a jamais été aussi proche d’apporter le chaos sur terre, alors, faut soutenir coûte que coûte. Puis tu découvres que dans les années 80, des journalistes étaient déjà vent debout face au chaos engendré par ce petit pays colonialiste, mais apparemment, il fallait vite ne plus les écouter, ces journalistes.
Et aujourd’hui, ça te dézingue du civil par centaines, et au 20h de TF1, ça te dit que tout cela est le résultat d’efforts minutieux et difficiles des services secrets israéliens pour parvenir à percer les secrets de ses ennemis vicieux et c’est un vrai succès chirurgical.
Ceci dit, la façon de soutenir le Liban, depuis 2022, en Occident, c’est plus du genre je te soutiens par la corde du pendu qu’autre chose... Ils n’ont toujours pas accepté la défaite relative en Syrie, et ont bien l’intention de tout aplanir. Et dans les chancelleries, on ne te le dit pas trop publiquement, mais ça doit être du genre, à l’adresse des iraniens et des syriens : si vous bougez le petit doigt, on vous balance la sauce (nucléaire).