Ce matin, impossible d’échapper aux images épouvantables d’un nouvel Oradour à Gaza sur les réseaux sociaux.
Et je pense que les gens qui s’informent par la télé – comme mes parents – auront droit ce midi à quelques secondes mentionnant « une frappe » à Gaza, alors qu’ils seront amplement informés du nom, de l’âge et de la biographie de quatre soldats israéliens – parce que quand un soldat israélien meurt, c’est un peu de notre humanité commune qui disparaît.