n’est pas d’accord ! Intrinsèquement le problème n’est pas l’existence de « frontières » — après tout une frontière est la seule petite promesse (certes souvent illusoire) que les choses puissent différer selon de quel côté d’icelle on se situe ; le problème est justement la non-liberté laissée à chacun·e de choisir parmi tous ces petits territoires celui dans lequel iel souhaite se faire exploiter.
Oui à une carte du monde pleine de pointillés, non à un monde où l’on est cantonné·e à vie derrière une ligne imaginaire — c’est valable pour la nationalité, pour le genre ou pour toute chose où l’on tente de faire passer pour essentiel ce qui n’est qu’existentiel.
#MamieNicoleSÉnerveEncoreTouteSeuleSiÇaContinueElleVaFaireUneDescenteDOrganes.