Apparemment, pour cette élection, il n’y aura pas de doute sur le vainqueur. Un mal pour un bien. Mieux vaut un fasciste bien élu qu’un génocidaire contesté. En quelque sorte.
(vas-y, toi aussi, tente l’exercice de commenter cet évènement d’une façon équilibrée et raisonnable, neutre et distanciée, optimiste et réaliste)