petit-écran de fumée

En plus, c’est une vieille merde qui a déjà fait pchitt sous Sarkozy !
Manière, c’est exactement ça, Hollande, c’est du sous-Sarkozy !

Ce sont les mêmes clônes qui ne prennent même pas de précautions pour faire plus ou moins bien qu’avant. Ils appliquent la recette, constatent que grosso-modo ça fonctionne, et laissent la place au suivant. Nous sommes face à des équipes de clônes qui n’ont pour seul objectif que de théatraliser les choses suffisamment bien pour que ça ne se voit pas trop que ce n’est que du... théatre.

Clône n°X qui dit : « notre seul objectif c’est l’emploi », sans rire et sans soupirer, c’est du grand professionnalisme. Et donc, ces clônes sont de grands professionnels. Il y a même un public pour applaudir et commenter. C’est exceptionnel.

On devrait les laisser dans leur théatre, pour bien faire. Mais... On a bien du mal à sortir... de la matrice...

oui, à l’époque de Sarkozy, c’était 300 000 offres d’emploi non pourvues et tous les chomeurs traités de fainéants. C’est pas qu’Hollande soit moins ambitieux, il est (très légerement) moins malhonnête et moins insultant. Je préfère donc un « sous-Sarkozy », qu’un « sur-Sarkozy » (si ça peut physiquement exister).
Mais cette préférence est anecdotique, c’est juste une minuscule question d’approche stratégique. Quand on va dans le mur, faut il y aller plus vite, moins vite ?
C’est tout le débat (qu’il nous reste, en tant qu’électeurs... :-)

Suis de l’avis de @monolecte pour Hollande.
De plus, je pense vraiment qu’un Sarkozy est moins dangereux qu’un Hollande, car un Sarkozy on le connaît, on connaît ses maîtres et il ne fait rien de différent de ce qu’il annonce. Il est là pour nous saigner, il l’annonce et il nous saigne. Les plus cons sont prêts à re-voter pour lui.

L’autre a les mêmes maîtres (qu’il appelle adversaires invisibles), mais malheureusement, il réussit a faire croire qu’il est à gauche, qu’il va aider le prolo et nous on finit par la fermer. C’est lui le danger, pas l’autre.
#flamby

@butadaie : oui c’est tout le débat qui nous occupe le temps des campagnes électorales, où nous n’avons le choix qu’entre la peste et le choléra. On peut se crêper le chignon sur la question du meilleur trajet, mais on est bien d’accord là dessus, la destination, c’est le mur :-)