Alain Minc, plagiaire servile en 1999, serial plagiaire en 2013 - Acrimed | Action Critique Médias
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Mardi 2 juillet 2013, Alain Minc a été reconnu coupable par le TGI de Paris d’avoir « emprunté » dans son dernier livre intitulé L’homme aux deux visages. Jean Moulin, René Bousquet, itinéraires croisés, publié chez Grasset, pas moins de 47 passages à l’ouvrage de l’historienne Pascale Froment qui fait référence sur la question (René Bousquet, Stock, 1994).
En 1999, le même Alain Minc s’improvisait philosophe et commettait un ouvrage sur Spinoza (Spinoza, un roman juif, Gallimard, 1999) qui allait se révéler constellé « d’emprunts » massifs au travail de Patrick Rödel, un philosophe, professionnel celui-là, paru en 1997 (Spinoza, le masque de la sagesse, Éditions Climats, 1997). En 2001, le TGI de Paris le condamnait donc, dans un jugement accablant, pour « plagiat servile »