Le taux d’imposition global des très riches travailleurs français (top 2%) est moins élevé que celui des pauvres travailleurs, ou de n’importe quel autre salarié. En d’autre termes, la progressivité des impôts n’existe pas pour les très riches. (en prenant en compte les cotisations sociales, qui ne sont pas progressives...)
De quoi relativiser la soi-disant fiscalité spoliatrice évoquée par les très riches. Que devraient penser les pauvres smicards, dont les impôts prennent une part très significative de leurs faibles revenus... (TVA, cotisations sociales, ...) ?