Critique de la Wertkritik
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Notre hypothèse serait que ces conclusions viennent, entre autres, de la non-prise en compte de la violence fondamentale que constitue le rapport d’exploitation, la force de travail n’étant en aucun cas une marchandise comme une autre, mais une pseudo-marchandise équivalant à la cession par le travailleur d’un droit de commandement du capital pour un temps donné, du fait de la qualité essentielle de « sans-réserve » (Bordiga) du Capital. Par cela, il est très probable que ces « sans-réserves », exclus ou non, seront la masse des insurgés du futur, et pas, ou pas centralement, une « association d’individus critiques ». Et il est certain que ces sans-réserves n’auront jamais entendu parler de Wertkritik, et pas lu les feuilles « communisatrices »…Mais nous aurons, en tant qu’individus, à participer avec eux aux tentatives d’assaut du ciel, et à tenter de le faire dans un sens communiste (=reformation d’une communauté humaine véritable, contre la « communauté matérielle » du capital).