Se référant à une étude [PDF] évaluant l’impact paysager sur le parasitisme, Emmanuel Giboulot explique en effet que les prédateurs des parasites se nourrissent du pollen qu’il y a dans l’environnement des vignes :
« Cette année, je n’ai pas tondu du tout les contours, pour avoir des plantes. Tu as des fleurs jusqu’en août dans ton environnement de vignes, et même au-delà dans les rangs, où il y a des fleurs de fin de cycle. Les fleurs contribuent à un équilibre global en maintenant certains prédateurs dans les vignes. »
Et ce qui est dénoncé est également le problème interne récurrent : c-a-d l’acceptation de certaines structures « bios » de traiter chimiquement, exactement le même constat avec les apiculteurs qui traitent contre le verroa avec des merdes chimiques puis accusent l’agriculture (qui est un problème connu et réel).
#biodynamie