Alors qu’une récente étude de l’université d’Oxford annonçait que 47% de nos emplois d’ici 20 ans pourraient être confiés à des #automates, Steve Jurvetson prédit quant à lui un futur avec 80% de taux de #chômage. Face à ce qui se dessine comme le nouveau paradigme d’une « ère #post-travail », il prévient : le monde a besoin de réfléchir à ce qu’un tel futur aura comme impact sur l’écart entre les riches et les pauvres.
Et cet écart ne devrait plus, comme par le passé, s’accroître ou se réduire de façon cyclique, mais juste continuer de grossir. Car, explique Jurvetson, "le rythme du progrès #technique est déconnecté de l’#économie". En supposant que chaque industrie devienne une partie d’un immense secteur IT, et que les robots prennent tous les jobs non-désirés, l’équation serait simple : il y aurait moins de #travail pour les humains. Seulement une petite partie de la population contrôlerait les technologies de l’information et cette force de travail permettrait d’automatiser le reste.