AnarSonore

La révolution ne sera pas télévisée, Ni retransmise en scène sur un i-pod de couleur. Elle ne sera pas non plus attisée par les socio-demo-quartz à l’urne transparente, Ni par les écrivains de plateau-télé-repas producteurs de Mac-book. Non, la révolution ne sera pas télévisée,... Elle ne s’invitera pas chez Pujadas, Ni ne savourera le Pernod du midi en montrant sa cuisse. Elle ne délivrera pas que le discours Et ouvrira d’autres grilles que celle des programmes. Elle sera à une autre place, en banlieue ou au centre-ville, Dans une ruelle peut-être, organisée et mobile, Eloquente enfin de silence, subtile, indétectée, avertie, avisée : La révolution ne sera pas télévisée !

  • #Prostitution et projet de #pénalisation des clients : des effets déjà délétères sur le terrain
    http://m.huffpost.com/fr/entry/5487055

    Ne nous trompons pas de débat, protéger les personnes qui se prostituent ne se résume pas à une lutte contre les inégalités hommes femmes et la bienveillance théorique ne suffit pas. Dans ce débat sociétal global, il s’agit de rappeler qu’en matière de prostitution se côtoient des enjeux de santé, de droits sociaux, d’immigration et de sécurité avec comme fil rouge la précarité dans la plupart des cas.

    Prendre à bras le corps la question de la prostitution, c’est au fond s’attaquer aux inégalités sociales. Or punir indirectement les personnes se prostituant en les forçant à adopter des stratégies de contournement dangereuses revient à instaurer un climat de défiance dont notre société doit pouvoir se passer pour mieux protéger celles et ceux qui y ont légitimement leur place.