• LaTeX en amont des humanités numériques | Contagions
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    tex, pdf, pages, doc, docx, txt, rtf, html sont quelques unes des extensions que j’ai utilisées, ces derniers jours, pour travailler mes fichiers à l’occasion de différents projets. La plupart d’entre elles n’apparait jamais dans les échanges que je peux avoir avec d’autres membres de l’Université, au fil des courriels, quand il s’agit de rendre un article à une revue, de partager des informations, de préparer des cours collaboratifs ou de relire des épreuves. En règle générale, les seuls formats dont il soit question, dans ma discipline, sont le pdf, que l’on est prié de ne pas utiliser trop souvent, et le doc et le docx, dans le meilleur des cas, pour ceux — et ce n’est peut-être pas la majorité — qui sont véritablement à la pointe du progrès. Dans les disciplines littéraires au moins, la vie d’un ouvrage pour le chercheur peut se dérouler tout entière entre ses trois formats : on écrit l’article en doc, il revient commenté, plus ou moins habilement, dans le même format, il repart toujours ainsi et, quelques mois plus tard, dans certains cas, l’on reçoit les épreuves d’un volume complet en pdf, auquel cas on produit un nouveau fichier doc, où l’on note scrupuleusement les errata, afin de perfectionner le document final.

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