José Fort : les raisons de l’hystérique dénigrement du livre de Valérie Trierweiler
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Quand il y a unanimité dans les #médias, j’ai appris à me méfier. Le bouquin est peut-être une merde, mais il semble que ce qui a le plus de mal à passer, c’est la mise à jour de la #servilité et de la #connivence médiatique et d’une #politique de #classe.
Et surtout, ce qui m’a le plus dégoutée, c’est que les attaques étaient surtout essentialistes et misogyne, plutôt que sur le bouquin lui-même.
Cet ouvrage est aussi et surtout une charge implacable contre le système copains-copains entre politiques et journalistes (Christophe Barbier et la bande) , contre la garde présidentielle rapprochée digne de l’époque monarchique, les retournements de vestes, les petits marquis aux « chaussures bien cirées », les menteurs, les petits calculs et les grosses embrouilles. Les Le Foll transformé en pitbull, Najat Belkacem rêvant de « puissance médiatique », Bartolone plus traître que lui tu meurs…
Valérie Trierweiler n’a pas oublié d’où elle vient : de la ZUP d’Angers, d’un milieu modeste et constate que « ce monde n’était pas fait pour moi ». Faudrait-il ne pas la croire, lorsqu’elle évoque un dîner dans sa famille et le commentaire de son compagnon déclarant « elle est quand même pas jojo la famille Massonneau » et en qualifiant les pauvres de « sans-dents ». Seulement de l’humour ?