On a un « administrateur général des données », chief data officer en bon anglais. Rien de fondamentalement neuf sous le soleil des politiques publiques, a fortiori s’il n’y a pas de changement de vision politique pour sous-tendre l’utilisation des données pour mieux gouverner.
►http://www.lagazettedescommunes.com/269734/leldorado-de-la-politique-publique-juste-et-rationnelle