Darwinihilisme : Darwin, oui mais…
▻http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2014/10/la-th%C3%A9orie-de-l%C3%A9volution-%C3%A0-repenser-.html
plasticité phénotypique, … niches écologiques, héritabilité non génétique
Darwinihilisme : Darwin, oui mais…
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plasticité phénotypique, … niches écologiques, héritabilité non génétique
Je me frotte un peu à ça dans mes recherches d’amateur sur l’amélioration variétale. Je comprends pas toujours tout car je suis plus attaché aux pratiques de bas étages plutôt qu’aux grandes théories unificatrices, mais c’est toujours marrant de voir les querelles de chapelles entre darwinisme et lamarckisme, et entre les weismanistes-mendéliens et les autres. Surtout que je suis dans des écrits du début du XXe voir légèrement avant donc en plein dans la période de flottement avant que tout bascule. C’est saisissant, ça fait un peu le même effet que lorsqu’on se rend compte que les combats entre amérindiens et colons-cowboys sont finalement assez récents. Enfin je me comprends.
Oulàlà, Patrick Tort, l’hagiographe officiel du darwinisme en France, et Guillaume Lecointre, guide critique et gardien de l’hortodoxie darwinienne en France : ça promet !
Je vous en dirais des nouvelles lorsque je l’aurait lu...
En attendant, disserter sur les mécanismes de l’évolution sans chercher d’abord à savoir ce qu’est un être vivant, cela me parait vain. D’où des affirmations péremptoires du genre :
Certes, l’évolution n’a pas de direction privilégiée
Qui montrent bien que les auteurs ne savent toujours pas quelle est la spécificité des êtres vivants par rapport aux objets inanimés qu’étudie la physique et par rapport aux machines que cette même science nous permet de construire.