Grève étudiante et lutte sociale au Québec
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Le mouvement s’appuie sur une défense des intérêts matériels. Les étudiants issus des classes populaires et les femmes semblent particulièrement actifs. En revanche, les étudiants des communautés issus de l’immigration participent peu au mouvement et leurs problèmes, comme la discrimination à l’embauche, ne sont pas pris en compte. De nombreux écrits se penchent sur le mouvement. Beaucoup semblent caricaturaux, comme des dénonciations grotesques de la démocratie directe ou du féminisme. Le collectif de Débrayage propose la réflexion la plus stimulante. Il exprime les analyses des anarchistes insurrectionnalistes et des situationnistes. Les actions directes et les émeutes sont valorisées, contre les syndicats et les discours idéologiques.