Polaroïds borderline (extrait)
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Un architecte français, Laurent Portejoie rejoint à Mexico Julián Herbert, qui n’y vit pas, pour arpenter la ville, sans langue commune, ou plutôt, tenus à en inventer une. C’est dans le cadre d’un dispositif inventé pour eux par d’autres réunissant architectes et écrivains, qu’ils élaborent des objets — cartes imaginaires, feuille de route, « polaroïds borderline » — ébauchent des rapprochement pour décrire Mexico, dit « le District Federal » comme segments de ville qui fonctionneraient comme langues.