« Si je ne suis pas pour moi, qui le sera ? Et si je ne suis que pour moi, qui suis-je ? Et si pas maintenant, quand ? » — Hillel
(pensée qui a inspiré #Stallman dans sa motivation à initier le projet #GNU pour combattre les logiciels proprétaires - cf. Richard Stallman et la révolution du logiciel libre , p. 137)
Autre attitude intéressante de Stallman au cours de sa réflexion à l’époque où la culture hacker du MIT était en plein délitement, et qu’en parallèle les entreprises verrouillaient l’accès au code des logiciels :
Plutôt que de passer sa vie à châtier ceux qui avaient détruit son ancienne communauté [celle des hackers du MIT], Stallman préféra en fonder une nouvelle. (p.138)
Ainsi décida-t-il de refuser tout programme qui le forçerait à compromettre ses convictions morales, et de consacrer sa vie à la création de logiciels permettant d’éviter ce genre d’écueil, à lui comme aux autres.S’engageant à bâtir un système d’exploitation libre « ou mourir à la tâche... de vieillesse, bien entendu », plaisant-il, Stallman démissionna du MIT en janvier 1984, afin de se lancer dans le projet GNU. (p.138)