Kris, Ingmar Bergman, 1946
... Quelques jours de vacances rennaises bien mérités... Et voilà que je n’sais plus écrire. Non pas que je savais très bien écrire avant mais... Aujourd’hui c’est dur.
C’est le premier film d’Ingmar... Ça fout le vertige. Il y a une femme machiavélique qui a eu une fille et qui ne s’en est pas occupé. Alors elle l’a laissée à sa sœur à la campane. Arrivée à 18 ans, elle veut reprendre sa fille. Celle-ci ne veut pas alors la mégère va lui foutre son amant dans les pattes qui va la draguer et la convaincre d’aller habiter en ville.
Mais l’histoire on s’en fout. Ce qui me retourne toujours chez Ingmar c’est son traitement d’une histoire qu’il va décrire en pointillés avec des gros trous des fois que l’on ne comprend que bien bien plus tard... Et des fois des moments en or quand, par exemple, l’amant qui a un rôle très utilitaire se transforme en Hamlet et fait plonger le film dans une métaphysique merveilleuse.
▻https://www.youtube.com/watch?v=NtgoUkKdJpg
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