• Le graphique (interactif) n’apporte pas grand chose : c’est essentiellement le graphique traditionnel qui accompagne la synthèse sur les risques dans le test d’hypothèse.
      De mon point de vue, il me parait plus utile de pouvoir faire varier n, la taille de l’échantillon et de montrer le lien direct avec la puissance.

      Sinon, les citations peuvent être assez largement réutilisées. Pour creuser ces questions, l’article d’où elles sont extraites et qui fournit « ce que ne nous dit pas » la significativité fait un tour de la question assez impressionnant (11 pages de bibliographie en 2 colonnes…)

      http://psych.colorado.edu/~willcutt/pdfs/Nickerson_2000.pdf
      Null Hypothesis Significance Testing : A Review of an Old and Continuing Controversy, Raymond S. Nickerson (2000)

      The concluding opinion is that NHST is easily misunderstood and misused but that when applied with good judgment it can be an effective aid to the interpretation of experimental data.

      La conclusion du résumé ci-dessus indiquant, sans trop de surprise, que l’utilisation de l’outil ne doit pas dispenser de réfléchir…

      #réfléchir est toujours, et de loin, le plus difficile à transmettre en formation initiale où la note finale dépend principalement de la capacité à fournir les bons résultats des calculs… L’éventuelle question sur l’interprétation des résultats étant largement vue comme un #supplément_d'âme facultatif.