Nidal

“You know what I did? I left troops to take the oil. I took the oil. The only troops I have are taking the oil, they’re protecting the oil. I took over the oil.”

  • Samir Geagea à Merkel : « …et vous pouvez me faire confiance, je m’y connais en crimes de guerre » (oui, je sais : c’est même à ça qu’on les reconnaît)

    Lettre ouverte de Geagea à Merkel : La machine (in)humaine à tuer, en Syrie, ne saurait être réhabilitable
    http://www.lorientlejour.com/article/946623/lettre-ouverte-de-geagea-a-merkel-la-machine-inhumaine-a-tuer-en-syri

    Parlant de ce régime, permettez-moi cependant de ne pas adhérer à l’idée d’impliquer son chef dans des négociations, sauf si elles devaient conduire à son éviction du pouvoir et, au mieux, sa comparution devant les tribunaux pénaux internationaux.

    Au nom de plus de 250 000 tués, des millions de déplacés, des centaines de milliers de disparus et de détenus, au nom des milliers de suppliciés dans les geôles de ce régime, au nom des enfants gazés de la Ghouta orientale, des familles massacrées à Banias et ailleurs, au nom des innombrables victimes de barils de TNT, de missiles Scud, au nom d’un patrimoine syrien en ruine, des villes et villages en cendres, au nom d’une Syrie exsangue et meurtrie, au nom de ce qu’il reste d’humanité en ce monde, au nom de l’éthique, au nom de la morale... cette machine (in)humaine à tuer, qu’il me répugne de nommer, n’est ni négociable ni réhabilitable.

    […]

    Les droits de l’homme ne peuvent être préservés sans le devoir de justiciabilité, et le peuple syrien martyr ne pourra reposer en paix tant que son bourreau se repose dans l’impunité, entre un massacre et l’autre.