Alors que le Parlement britannique doit décider si le pays s’engage militairement en Syrie, (re)lire « Jeremy Corbyn, l’homme à abattre », par Alex Nunns (octobre 2015)
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2015/10/NUNNS/53931
M. Corbyn est le président de la coalition Stop the War Coalition (Arrêtez la guerre), qui a organisé la retentissante manifestation de deux millions de personnes contre l’invasion de l’Irak en 2003 — la plus grande protestation de masse de l’histoire britannique. (…) Les réactions d’hostilité qu’il suscite déjà n’ont rien de surprenant, dans la mesure où, sur nombre de sujets, les positions de M. Corbyn se heurtent frontalement à ce que l’Etat britannique estime être ses intérêts. Il explique ne pas imaginer de circonstances susceptibles de justifier le déploiement des forces armées ; s’oppose aux bombardements en Syrie ; ne souhaite pas que le royaume investisse dans une nouvelle génération de missiles nucléaires (Trident) ; se montre très critique sur le rôle de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) et l’extension de sa zone d’intervention. [#st]
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