Bien que les #zones_rurales ne soient pas une réserve substantielle de votes pour #Podemos (faute, notamment, d’un grand nombre d’habitants), le parti s’active dans les petites localités de province. Les #campagnes renouent avec un niveau de revendication qui ne s’était pas vu depuis longtemps, et l’ambiance est à l’espoir dans les rangs des militants. « Le fait qu’aucun parti n’accorde de l’importance à ces zones laisse un espace dont nous pouvons profiter, estime Iván Flamarique. Les médias ont exagéré la radicalité de Podemos, mais avec des propositions concrètes, on peut contribuer à changer les choses à long terme. (...) »