• Triste de voir dériver un auteur qui ne disait pas que des conneries :

    Patrick Pelloux : « Mon Charlie est mort… »

    N’y a-t-il pas justement un paradoxe à commémorer ? En général, on commémore quand tout est fini…

    Pour moi, ces actes permettent justement de ne pas oublier que cette guerre continue . Soyons lucides, on attend le prochain attentat… Nos agresseurs ne sont pas des amateurs. Ils sont surpuissants, mais ne nous font pas peur. Il ne faut pas les minorer. Il faut les tuer. Il y a des mots qui m’agacent, comme la « prise d’otages » au Bataclan par exemple. Ce n’est pas une prise d’otages, c’est une exécution de masse ! Comme celle des nazis à Oradour-sur-Glane. C’est du nettoyage. On doit tous être solidaires et faire attention. Comme en Israël, on doit s’habituer à vivre avec cela.

    [...]

    Concernant l’attentat de Charlie, une polémique est née sur un supposé défaut de protection du bâtiment. Cela vous inspire quoi ?

    [...]

    C’était une attaque imparable menée par des gens entraînés et équipés.

    Et fous…

    Là, vous insultez la folie ! Je n’ai jamais vu un fou faire ça. Les grands psychopathes, les schizophrènes peuvent commettre des crimes en série. Quand vous regardez ces tueurs, vous voyez des gens structurés, et c’est là qu’on peut parler de nazisme . Ce qu’ils ont commis, ce sont des crimes contre l’humanité. Et c’est pour cela que je suis pour la déchéance de nationalité. Quand les policiers en attrapent un, il faut qu’ils le tuent tout de suite ! Il n’y a rien à négocier avec eux. C’est le médecin qui parle.

    [...]

    Vous ne les trouvez pas à la hauteur [les représentants de l’islam après les attentats] ?

    [...]

    Voir ce relent de religion, en début de millénaire, est totalement contraire aux valeurs de l’humanité. Le Coran est illisible, c’est une écriture primitive ! Les versets brandis par les islamistes, la dénonciation du mécréant etc., ça relève de la psychiatrie.

    À la fin on retrouve un terrain d’entente

    Mais j’avoue que le bouquin de Philippe Val (2), je l’ai mis à la poubelle. Je ne sais pas ce qui lui a pris… En revanche, le livre de Denis Robert est juste (3)